Auteure de best-seller maçonnique

Publié par Jiri Pragman
Dans Edition

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samedi 19 mars 2011
  • 5
    EMEREK
    19 mars 2011 à 19h32 / Répondre

    Je rejoins les louanges précédentes sur son immense travail…
    I .M. a le bonheur de pouvoir accéder à une mine de renseignements qu’elle exploite avec talent et qu’elle nous offre avec générosité.

    Un bémol…Je souhaiterais un exposé historique des documents , clairement séparé de son analyse personnelle….

  • 4
    spahi
    19 mars 2011 à 15h25 / Répondre

    @zorba06
    Irène Mainguy dans nombre d’ouvrages fait référence au REAA ou d’autres rites.
    Mais de toutes façons, n’y a t il pas un socle commun à la FM? en dehors des rites pratiqués.
    En tant qu’historienne, elle s’abstient de développer des « thèses » et renvoie aux autres auteurs cités et même à … Guénon (je ne suis pas un fan) mais surtout et d’abord à beaucoup de sources historiques.
    Mais, je suis d’accord, avec toi, à chacun de trouver son chemin.Avant d’entre en Fm, je m’étais intéressé à Bayard.
    Compte tenu de l’abondance d’ouvrages et d’auteurs, ses livres ont, à mon sens , le mérite d’être , comme le dit Kaliooela, claire en tendant vers l’exhaustivité.

  • 3
    Kalilooela
    19 mars 2011 à 14h18 / Répondre

    Euh, personnellement je suis né dans le REAA, et malgré cela ses livres m’ont été d’un grand apport. Son avantage est d’être dans bien des cas factuelle (une performance si on traite de sujets initiatiques et symboliques), claire, synthétique et de tendre vers l’exhaustivité. Encore une fois, c’est un grand plaisir que de pouvoir louer et complimenter quelque chose plutôt que de cracher de la bile 🙂 Donc je ne boude pas mon plaisir à lui tresser des couronnes.

  • 2
    zorba06
    19 mars 2011 à 13h35 / Répondre

    incontournable en effet, mais au Rite Français Groussier, donc pas si répandu que ça.

    Cela étant que ce soit elle, Wirth, Ragon, Bayard, etc. chacun ne fait qu’exprimer son point de vue. A l’initié de trouver son chemin vers la Lumière.

  • 1
    spahi
    19 mars 2011 à 11h58 / Répondre

    Merci à Irène Mainguy d’avoir « rafraichi » la littérature maçonnique écrite pour les maçons (mais accessible à tous).
    Pour ceux qui comme moi ont été élevés au Wirth et au Ragon, elle a renouvelé le genre.
    Nos apprentis et de façon générale les cherchants lui doivent beaucoup.Un travail d’historienne plus « sérieux » que, souvent, des « thèses » développées par ses prédécesseurs.
    Travail salutaire de « clarification » pour les initiés (et les non initiés)
    Comme on le dit aujourd’hui : incontournable.

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