Tradition et Progrès

Publié par Jiri Pragman
Dans Loges

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mardi 22 novembre 2011
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  • 19
    jean van win
    24 novembre 2011 à 17h33 / Répondre

    @ Quén et aux Principautaires

    re : le poste 11 ci-dessus

    et à propos de l’invitation amusante qui m’est faite et que je retranscris :

     » je ne puis que vous vous inviter à envisager aussi la situation de la Principauté de Liège au 18ème siècle et non uniquement celle des Pays-Bas hollandais, il y matière à rectification « .

    Je rectifie donc en vous invitant — de même que les non-principautaires — à lire la note de bas de page n°18 de mon article intitulé  » Rite Moderne Belge, Rite Moderne Français, je t’aime, moi non plus », que les plus patients et les plus curieux trouveront parmi les textes offerts sur le site de la « Loge Tradition et Progrès ». Ceci nous éloignera des plaisants Pays Bas hollandais, cousins des tubes creux à l’intérieur.

  • 18
    quén
    24 novembre 2011 à 16h30 / Répondre

    Très cher Jiri,

    Non seulement il n’est pas mort, mais il a même une double existence… en Belgique.
    Une soi-disant régulière et une autre 😉

  • 17
    Quén affère à Lidje !
    24 novembre 2011 à 15h57 / Répondre

    Je sais, Jiri. Je te taquinais un tout petit peu. Au temps pour moi sais-tu.

  • 16
    jean van win
    24 novembre 2011 à 15h47 / Répondre

    Soyons précis. La loge Le Marquis de Gages est née à la GLB. Certains l’ont poussée à passer à la GLRB lors de la scission GLB / GLRB. Elle a ensuite quitté cette obédience pour retourner à son obédience de naissance, sauf certains qui sont restés. Vous soyez bien qu’il n’y a pas que moi qui aie la bougeotte. Mais je leur laisse le soin de clarifier leur position eux-mêmes.

  • 15
    Kathy
    24 novembre 2011 à 15h46 / Répondre

    Certaines intervention me font sourire : franchement, cet article ne vise nullement à présenter ni la GLB ni la GLFB et qu’est-ce que cela peut intéresser le lecteur de savoir si le Frère Van Win est au GO ou ailleurs ? Personnellement, avec son propos, il serait vraiment étonnant qu’il soit au SCREB !

    Personnellement, je vois en cette loge une nouvelle initiative en matière de mixité, mixité qui est à l’actualité de nombreuses obédiences mais peu de choses se concrétisent à ce niveau. J’ai d’ailleurs lu que LITHOS, seconde obédience mixte en Belgique et seule multirite, fêterait prochainement ses 5 ans d’activité mais où en est-elle au niveau de sa reconnaissance par les autres obédiences ? La Belgique conserve un paysage maçonnique relativement faible en regard de la France. Avant l’arrivée de Lithos, il était ainsi impossible de concilier la mixité avec un autre rite que le REAA. … sauf en allumant une loge sauvage. Je suppose que le parcours de ces FF et SS voulant travailler au rite français sur notre sol ne fut pas une sinécure.

    Ayant effectué la majorité de mon chemin maçonnique en France et au rite moderne, je m’interroge quand même quand, visitant une loge se présentant au rite moderne, j’y trouve delta lumineux, autel, équerre et compas entrelacés, … et que je constate qu’au 3ème grade la parole y est perdue comme au REAA ? Je me demande alors sans pour cela porter un jugement négatif, ce que ce rite moderne a encore de commun avec l’essence du régulateur 1801 ? Le travail m’a séduit tout autant que dans d’autres loges mais …ce n’est pas vraiment du rite français.

    J’ai pour ma part trouvé sur ce site deux articles particulièrement intéressant de nos Frères Guilly et Dachez.. J’invite d’ailleurs le webmester du site à en faire figurer d’autres.

    @ Stolkin

    Merci pour l’adresse du blog Montaleau que je ne connaissais point et qui est une véritable encyclopédie du RM;

  • 14
    Jiri Pragman
    24 novembre 2011 à 15h42 / Répondre

    Je sais mais je parlais du « vrai » marquis de Gages (c’était une tentative d’humour).

  • 13
    jean van win
    24 novembre 2011 à 15h42 / Répondre

    @ Quén

    Voilà un message plein d’ésotérisme, ce qui n’est pas ma tasse de thé. Je ne saisi pas bien. Quant aux Pays Bas hollandais, voilà une curiosité historique qui m’intéresse. Je connaissais les Pays Bas Autrichiens, mais les Pays Bas hollandais me paraissent constituer une amusante tautologie. Quant au Marquis de Gages, le vrai, il est mort en janvier 1787, alors qu’il était Provincial de la GLUA. Rien à voir DU TOUT avec le Rite Français, dont les rituels furent envoyés aux loges de la correspondance en juillet 1787. Je puis en fournir la preuve, ce qui confortera ma réputation de ne jamais laisser passer de pareilles salades.

  • 12
    Jiri Pragman
    24 novembre 2011 à 15h25 / Répondre

    @Quén affère à Lidje !

    via le Marquis de Gages ! Tiens, je le croyais mort 😉

  • 11
    Quén affère à Lidje !
    24 novembre 2011 à 15h22 / Répondre

    @ Alain Druart

    Loin de moi de l’idée que la GLB a une quelconque exclsusivité quant à ce décor. Et je suis confus si j’ai pu te froisser. Mais l’arborescence de ton site évoque la maçonnerie belge. Bref.

    @ Jean van Win

    Oui oui, pas de soucis. Portez vous bien (…). Jai pu lire votre planche sur la différenciation des rites (dans cette optique, d’un point de vue historique, je ne puis que vous vous inviter à envisager aussi la situation de la Principauté de Liège au 18ème siècle et non uniquement celle des Pays-Bas hollandais, il y matière à rectification). Jai eu entre-temps des échos de votre réputation. Notamment via le Marquis de Gages. Je vous conseille vivement de lire un petit ouvrage tout à fait succulent que Jiri a évoqué récemment « Les 9 poisons… » Comme le dit le sagesse populaire, il y en a qui ne doutent de rien. Les plans du GADL’U sont parfois impénétrables, et c’est fort bien ainsi.

  • 10
    Alain DRUART
    24 novembre 2011 à 12h37 / Répondre

    @ Quén

    Je te remercie de tes précisions mais il n’y a nulle représentation de tablier porté par les Frères de la GLB mais bien des tabliers portés selon le rite. Ce n’est, en effet, pas le bleu coutumier de la GLB. Mais pour ton info, la GLB n’a pas l’exclusivité du Rite Moderne – pour te plaire – version belge comme le souligne Jean Van Win. Tout comme la GLB n’a pas l’exclusivité, de par le monde, de ce bleu

  • 9
    jean van win
    24 novembre 2011 à 11h52 / Répondre

    @ Quén

    Dans la mesure où ceci intéresse grand monde, ce dont je doute, je ne suis pas au GOB, je ne suis pas dans un atelier bruxellois, et je ne suis pas au SCREB. Par contre, je suis passé par tout cela, j’en suis fort aise et assume ma réputation de nomade (aujourd’hui sédentaire, car j’ai trouvé chaussure fraternelle à mon pied).

  • 8
    Quén affère à Lidje !
    24 novembre 2011 à 11h08 / Répondre

    @ Alain Druart

    …toute comme la réprésentation du tablier porté par les Frères de la GLB : ce n’est pas ce bleu-là. Du tout.

    @ macbenac

    Oui, entre autres. Au Rite Français aussi, même si la majorité des nos Soeurs travaillent au REAA.

    @ Jean van Win

    Laisse -moi deviner : à te lire, je dirai que tu es au GOB, dans un atelier bruxellois, que tu as vécu la création de la GLB et qu’accessoirement tu es au SCREB.

  • 7
    Gabaon
    23 novembre 2011 à 11h38 / Répondre

    Ce qui me semble important, c’est la relation entre cette loge mixte de Rite Français et le Chapitre Métropolitain Le Prince de Ligne, également mixte et présenté dernièrement sur ce site.

    Il reste donc évident que non seulement il y a un intérêt croissant pour le Rite Français tant en Belgique qu’ailleurs mais surtout qu’il s’offre maintenant des possibilités de pratiquer cette tradition maçonnique authentique des premiers temps, en mixité et selon tous les grades, de l’apprenti au 4ème ordre. Même en notre pays, nous assistons donc à un retour aux sources.

    Il me parait tout aussi évident que la déclaration de Barcelone par l’UMURM en juin dernier (présentée également sur ce site) porte déjà de beaux fruits.

  • 6
    macbenac
    23 novembre 2011 à 10h29 / Répondre

    ..la GLFB travaille entr-autre au rite français rétabli….

  • 5
    Alain DRUART
    23 novembre 2011 à 8h28 / Répondre

    En précision à Athanase, je soulignerai que le nom distinctif de notre loge fut surtout inspiré du parcours maçonnique des fondateurs. Nous avons ensuite découvert que ce no était assez répandu en France ainsi que par une loge au Luxembourg. Je retiens l’idée de contacts …

    En réponse à Quen, l’erreur sur le rite de la GLFB fut corrigée. Par contre, comme le souligne Jean Van WiN (son article sur le Rite Moderne Belge et le Rite Français sera bientôt publié sur notre site), nous considérons que le Rite Moderne ainsi dénommé en Belgique reste totalement diffréent du Rite Moderne selon le régulateur 1801. Ce qui explique notre qualificatif de « Belge ».

    Je remercie Jiri pour cet article et pour les remarques, en précisant toutefois que notre hébereur n’est que temporaire.

    Tres frat à tous et toutes
    Alain DRUART
    Ex VM

  • 4
    Jean van Win
    22 novembre 2011 à 15h07 / Répondre

    @ Stolkin @ quén affère à Lidge

    Quelques erreurs, en effet, voyons cela de plus près.
    Le Rite Moderne n’est pas pratiqué à la GLFB, mais il n’est pas pratiqué non plus QUE à la seule Grande Loge de Belgique. Il est en réalité pratiqué au Grand Orient de Belgique, par la grande majorité des loges, dont la GLB a hérité les rituels en 1959 lors de son éphémère passage par la régularité, et la GLRB a emporté les mêmes rituels en 1979, lorsqu’elle a doublé la GLB pour devenir en Belgique le mini bastion de la GLUA. C’est toujours le même rite, moyennant quelques retouches de personnalisation.

    Le Rite dit Moderne est donc le rite adopté par 3 obédiences belges, deux adogmatiques, et une troisième « affirmant l’existence de Dieu ». Ajouter le qualificatif Belge qui explicite celui de Moderne, dans notre pays, ne me paraît nullement constituer une erreur, mais bien répondre à une salubre nécessité, destiné à pallier l’éternelle confusion entre Rite Moderne et Rite Français. Le Rite Français est évidemment moderne, car il est né à Paris en 1786, voire même 1784, des oeuvres du Grand Chapitre Général du Grand Orient de France, fils de la maçonnerie de goût, de style, d’esprit français, qui ne deviendra Rite Français qu’à cette date de 1786. Cette maçonnerie est elle-même l’héritière de la maçonnerie anglaise, débarquée en France en début de siècle, où elle se francisera aussitôt..

    Ce Rite Français comporte un certain nombre de spécificités, dont la plupart sont dues à la société française du XVIIIe siècle, tant en ce qui concerne le contenu des rituels progressivement marqués par les Lumières au pays de l’Enyclopédie, qu’en ce qui concerne la vêture et autres particularités (port de l’épée, du chapeau, du cordon du Saint Esprit, position inversée des colonnes, absence de résidus religieux, occultistes, magiques, ésotériques, mystiques,etc. que l’on retrouve d’abondance ailleurs).

    Ce rite fut celui de la plupart des loges des Pays-Bas autrichiens, sous diverses appellations, puis celui de la Belgique, et ce jusqu’en 1880 environ. Au bleu comme au rouge en ses Ordres de Sagesse ( contrairement au Rite Moderne Belge, le Rite Français va nécessairement du grade 1 jusqu’au grade 9,) il fut alors détrôné, par les 33 degrés caroliniens bien connus. (Voir sur ce même Blog Alain Bernheim qui en est le véritable expert ). Au bleu, les rituels modernes belges subirent tous les outrages, depuis l’intrusion d’un  » autel  » dans la loge qui devient  » temple « , jusqu’au folklorique  » Départ des Compagnons  » du deuxième grade, et son troisième où la parole est perdue, comme au REAA bien entendu. Tout ceci est heureusement limité à la Belgique.

    Voilà pourquoi, en quelques mots, le Rite dit Moderne de Belgique doit être identifié comme Belge. Il est parfois qualifié, par certains persifleurs, de Rite Moderne Belge de Schaarbeek, en raison du nombre de hauts caciques en gibus et lorgnons de la maçonnerie belge du XIXe siècle qui habitaient cette commune autrefois distinguée.
    On verra avec intérêt, je crois, l’étude plus étendue que notre ami Stolkin mentionne en http://montaleau.over-blog.com/article-rite-francais-de-la-comparaison-du-rite-moderne-belge-et-du-rite-moderne-francais-43212242.html

  • 3
    STOLKIN
    22 novembre 2011 à 11h36 / Répondre

    @ Quen affère à Lidje.

    http://montaleau.over-blog.com/article-rite-francais-de-la-comparaison-du-rite-moderne-belge-et-du-rite-moderne-francais-43212242.html
    Ce site me semble par contre bien décrire les différences d’interprétation possible entre « français » et « français/belge » dirais-je.

  • 2
    athanase
    22 novembre 2011 à 11h18 / Répondre

    Le nom distinctif « Tradition et progrès » est très employé.
    Il existe en France 6 ou 7 Respectables Loges qui portent ce nom.
    il en existe une aussi au Grand Duché du Luxembourg à l’Orient de Luxembourg (ville).
    une « fraternelle » (ou un jumelage) regroupant les Sœurs et Frères de ces Respectables Loges… serait amusant et instructif vue les différences « géographiques » !!!

  • 1
    Quén affère à Lidje !
    22 novembre 2011 à 11h11 / Répondre

    Sur le site de cette Loge, il y est dit , en ce qui a trait aux différents rites pratiqués en Belgique, que le Rite Moderne est aussi pratiqué à la Grande Loge Féminine de Belgique, ce qui est un erreur. Ce rite n’est pratiqué qu’à la Grande Loge de Belgique.
    Nos Soeurs de la GLFB pratiquent 3 rites, mais pas celui-là.
    Et adjoindre la qualificatif « Belge » au Rite Moderne est aussi une erreur.

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