‘GLNF. Magazine’, une revue transformée

Publié par Jiri Pragman

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samedi 6 juillet 2013
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  • 28
    Luciole
    8 juillet 2013 à 13h57 / Répondre

    En effet faire le proçès du seul Stif pour les dérives de la Glnf est comique.S’il s’est maintenu aussi longtemps c’est bien parce qu’il y eut des aides et des complices.
    Ce que l’on continue (parfois) de reprocher à cette Obédience, c’est le mépris total qu’elle, et donc ses membres,manifestent envers tout ce qui n’est pas eux! et cela, rien ne le justifie.

  • 27
    abakar
    7 juillet 2013 à 14h10 / Répondre

    je ve largan pour vivre evac franc maconnerie

  • 26
    abakar
    7 juillet 2013 à 14h07 / Répondre

    le sel largan pour vivre mue!

  • 25
    titietgrosminet
    7 juillet 2013 à 13h09 / Répondre

    Si l’accès à cette revue consultable en ligne n’est pas verrouillé, comment fait-on pour y accéder?

  • 24
    Yasfaloth
    7 juillet 2013 à 12h35 / Répondre

    Bonjour

    J’apprécie aussi grandement particulièrement le post de Thot, mais aussi ceux de Horus, Fred; Vieux Julien, au delà de leur contenu c’est l’envie de comprendre, de trouver la voie du milieu au milieu des condamnations, des imprécations qui y est remarquable.

    Si tous les maçons avaient le réflexe d’agir ainsi, nous ne serions peut être pas, à ce point, en face de cette vague de maçonnophobie (sans doute organisée, mais bon) qui commence à battre les fondations de nos temples…

    Cordialement

  • 23
    Iphraim
    7 juillet 2013 à 12h33 / Répondre

    @ matthieu
    Ce qui est inique, c’est d’entendre la langue de bois de ceux qui semblent oublier que la GLNF est à l’origine du plus grans scandale que la Maçonnerie ait jamais connu.
    Et qui voudraient nous faire croire que ce fut le fait d’un seul homme, et qu’aujourd’hui tout est réglé, parce que, sous la pression de la scission (il faut appeler les choses par leur nom) il a fallu le sortir, tout enpréservant les hommes de son équipe (Tardivat, Servel, Gomez et j’en passe et des meilleurs…)
    Normalement, une scission dans une association aboutit à un procès qui fixe le partage des biens. les milliers de Frères partis à la GL-AMF ou ailleurs laissent derrière eux des temples que leurs cotisations ont contribué à payer, comme les décors les sociétés et la Fondation et les honteux frais de bouche et autres gabegies des potentats et locaux et parisiens.
    En plus la GLNF nous fait découvrir qu’elle avait des réserves de trésorerie incroyables, qui lui permet de surmonter sans difficulté (bon , on va recruter à fond, comme toujours!) les 7 millions d’euros que la crise a ou aurait couté.
    Et ces gens -là accusent ceux qui ont eu le courage de partir d’avoir été indélicats, voire même les traite de voleurs.
    Les anglais doivent être dans l’embarras d’avoir sur les bras un tel fardeau de honte pour la FM « régulière » qui veut se faire reconnaitre
    Heureusement ceux qui sont partis tentent de reconstruire, ensemble et à la force de leur enthousiasme quelque chose de digne, tout simplement

  • 22
    Jiri Pragman
    7 juillet 2013 à 11h50 / Répondre

    Comme indiqué, ce lien n’est pas censé être public.

  • 21
    titigrosminet
    7 juillet 2013 à 10h31 / Répondre

    Quel est le lien pour accéder à la revue?

  • 20
    Fred
    7 juillet 2013 à 7h51 / Répondre

    Et si nous utilisions la methode speculative pour comprendre que les turpidudes que nous croyons déceler chez les uns ou chez les autres nous renseignent sur nos propres faiblesses et nos propres travers. Aucune obédience n’est a l’abri d’un fonctionnement qui privilégie l’intérêt ou le point de vue d’un petit groupe de dirigeants au detriment de la majorité des frères, aucun maçon ne peut se targuer de ne jamais être sensible au plaisir egotique que lui procure un cordon ou des propos lénifiants a cause de sa fonction.

    A mon avis le travail sur soi meme qui est la caracteristique de notre demarche peut se realiser quelque soit l’obedience ou la loge qui constitue un environnement necessaire mais pas suffisant pour devenir un maçon.
    Il y a, et finalement c’est heureux, tellement d’obediences disponibles que chacun peut continuer son chemin même si il constate que l’organisation a laquelle il appartient part en vrille. nous pouvons comme ça nous occuper de la poutre qui est dans notre oeil plutôt que de la paille que nous croyons appercevoir chez nos frères et chez nos soeurs.

  • 19
    Franc Masson
    6 juillet 2013 à 23h35 / Répondre

    @Thot
    bravo pour ton commentaire essentiel !!!

    et comme tu le dis :  » Alors il reste du travail « 

  • 18
    Matthieu
    6 juillet 2013 à 23h28 / Répondre

    Les critiques visant la GLNF sont le plus souvent, par leur virulence, incontestablement iniques mais aussi injustifiées car cette Obédience reste et demeure incontournable au sein du PMF ; elles témoignent d’un manque d’un respect caractérisé à l’égard des personnes qui en sont membres et qui ne sont ni des indélicats ni des voyous.
    Je salue les considérations journalistiques que le blog de Jiri Pragman réserve à l’actualité de cette Obédience attestant par là-même l’absence d’orientation dudit blog ainsi que l’impartialité de ses articles.
    La GLNF n’est pas finie et (année du centenaire oblige) … elle commence en effet !

  • 17
    Fox7ans
    6 juillet 2013 à 23h21 / Répondre

    Ben moi, vu du GODF, j’ai troué un point très positif à cette crise de la GLNF : j’en rencontré (dans ma loge, à la GL, au DH ou ailleurs) plein de frères ex-réguliers très sympas qui ne serais jamais sortis de la GLNF si elle n’avait pas explosé.
    Donc pour pour ça, merci !

  • 16
    Mister Zotis
    6 juillet 2013 à 22h22 / Répondre

    Vieux Julien et Thot.
    Vous lire m’a fait du bien et m’a apporté quelque chose.
    Je vous en remercie.

    (…)

  • 15
    HORUS
    6 juillet 2013 à 22h00 / Répondre

    @ Thot

    Je crois qu’il y a du travail pour tout le monde.

    Sans pouvoir me mettre totalement à la place de Mister Zotis, qui dira lui-même le fond de sa pensée, je présume qu’il voulait parler de 2 paradigmes irréconciliables, celui d’une vision du monde où il y a la croyance en un principe créateur, et celui où rien n’est intelligible au ciel comme le postule l’existentialisme athée de Sartre et qui est peu ou prou la philosophie de la majorité (90%) d’une Obédience qualifiée de sociétale.

    Les deux visions sont totalement incompatibles dans un même rituel (sauf pour ceux qui font du tourisme rituélique) et le GODF l’a bien compris en expurgeant des rituels déistes, toute odeur de transcendance. Je ne parle pas de la notion de Sartre, abus de langage à mon sens, qui dit que la transcendance c’est la capacité à se faire autre que ce que l’on est.

    Dans la mesure où un rituel se vit, il y a une incompatibilité totale entre un rituel déiste et un rituel excluant un principe créateur. La formule « ad libitum » pour le GADLU, n’a tout simplement pas de sens. Cela relève du principe de non contradiction cher à Aristote. On ne peut à la fois, à l’intérieur d’un rituel et pour rester cohérent, dire qu’il y a un principe créateur et qu’il n’y en a pas, et par conséquent, travailler à la gloire du GADLU ou au progrès de l’humanité, au sens Sartrien du terme. Ce n’est absolument pas pareil et de surcroit incompatible au point de vue logique.

    L’Humain et la notion sous-jacente d’humanisme, a plusieurs acceptions :

    L’Humanisme, au sens de courant philosophique, pour qui la conception de l’existence implique que l’homme doit s’affirmer et se construire en dehors de toute référence (GADLU par exemple) ou religion. L’aboutissement est précisément l’existentialisme de Sartre, pour qui rien n’est intelligible au ciel et pour qui l’existence précède l’essence. (C’est l’inverse au REAA)

    L’humanisme au sens commun, hérité de la renaissance et qui visait l’épanouissement de l’homme par la culture, mais qui aujourd’hui signifie altruisme ou amour des hommes. Ceci est compatible pour toutes les Maçonneries.

    Chacun peut choisir sa Maçonnerie mais on ne peut violer les principes de la logique ou marier la carpe et le lapin.

  • 14
    jacques
    6 juillet 2013 à 21h04 / Répondre

    bizarre vous ne trouvez pas chaque fois qu’il y a un sujet sur la glnf !!!!!l’harmonie cesse la discorde revient et c’est toujours les mêmes refrains qui « rerererviennent « !!!!de grâce arrêtez les sujet sur cette obédience de malheur qui a jetée opprobre sur toute la franc maçonnerie de France!!!la FM a besoin de discrétion d’amour et d’harmonie entre ses membres et cela quelque soit son obédience «  »mes frères mes reconnaissent comme tel » »!!!j’ai dit.

  • 13
    Will
    6 juillet 2013 à 18h19 / Répondre

    1 à Thot.
    J’aurais dit la même chose mais mille fois moins bien. Cessons de tenir des propos caricaturaux.

  • 12
    Thot
    6 juillet 2013 à 12h37 / Répondre
    Comment dans une même Loge travailler à la fois à la Gloire de Dieu et à la gloire de l’Homme. (désolé mais ça m’échappe)

    Alors il reste du travail.

    Car précisément : travailler sur le Divin et l’Humain, le haut et le bas, Le ciel et la Terre, l’externe et l’interne, sur le microcosme et la macrocosme se fait de concert. C’est la voie de l’équilibre. Quelque part entre élévation spirituelle et descente initiatique. Le truc c’est de ne pas dissocier la Lumière et les Lumières. De considérer que travailler à la gloire du Grand Architecte ou au progrès de l’humanité revient au même. Puisqu’au final tout est « Un » et revient au « Un ». Rassembler ce qui est épars consiste exactement à réinventer une nouvelle manière d’être « Un ». Chacun selon ses voies et ses inspirations, et selon le point où il en est sur son chemin vers lui-même. Chemin qui l’entraînera tantôt vers le Ciel et tantôt vers la Terre. Ca fluctue.

    Sur les blogs ou les fora nous subissons la même chose que tous les autres commentateurs, nous radicalisons nos idées. Nous fixons nos regards sur les choses. Nombreux sont ceux qui sont pétris de certitudes, quand ils ne devraient avoir que des opinions, des points de vue dynamiques, c’est à dire se laisser une chance, une possibilité d’évoluer.

    Je vois trop de frères qui rejettent qui clivent et qui séparent. Je rêve d’une maçonnerie qui intègre et qui réunit.

  • 11
    Vieux Julien
    6 juillet 2013 à 11h29 / Répondre

    Mister Zotis, dire que  » aucune obédience régulière n’a prévu de procédure de destitution d’un TRGM » est erroné.
    Aussi loin que je le sache au Grand Orient des Pays-Bas, la Grande Loge peut destituer n’importe quel membre du bureau, dont le Grand Maître fait partie. Selon les conversations que j’avais eu avec les Frères locaux (atterrés) à l’époque de la crise, un Stifani n’y aurait pas survécu longtemps après sa première guignolade (plus probablement, il n’aurait jamais fait son apparition).

    Que la GLNF ait copié le pire de la GLUA n’empêche donc pas d’autres Obédiences Régulières-Reconnues de faire preuve d’un peu plus de jugeotte, il est même possible que d’autres dans le monde soient aussi sérieuses que les Pays-Bas: appel à témoignages mes Frères.

  • 10
    Ledoyen
    6 juillet 2013 à 10h52 / Répondre

    Je confirme la GLNF n’a rien compris et, surtout, n’est absolument pas disposée à la moindre remise en cause, le nouveau GM Jean-Pierre SERVEL à conservé ou promus des Frères opportunistes, indélicats, ou entachés par certaines affaires…
    Il couvre même par son silence « des manquements et abus de pouvoir » de ses Grand Maître Provinciaux, Rien que ça…

    http://isere-savoie-leman.over-blog.com/glnf-du-rififi-en-ile-de-france

  • 9
    Luciole
    6 juillet 2013 à 10h51 / Répondre

    Bien chers blogueurs
    Demander à une structure qui détient de grands pouvoirs,à des personnages tels les GM provinciaux et oligarques de tout poil de renoncer à leurs prérogatives relève du vœux pieu.
    Il faut déjà une Constitution qui prévoit un contre-pouvoir (ou plusieurs), des charges électives qui ne dépassent pas 3 ou4 ans, non renouvelables dans l’immédiat et un retour sur les colonnes sans distinction particulière.
    Autrement dit,pour les Glnf et dérivés ce n’est pas pour demain! hélasx3

  • 8
    Jean-Emard de Frotter
    6 juillet 2013 à 9h58 / Répondre

    Je voudrais simplement ajouter une dernière chose : si j’en crois le sommaire de cette revue, telle que Jiri Pragman le relate, la GLNF n’a rien compris et, surtout, n’est absolument pas disposée à la moindre remise en cause : en cette année de son centenaire, la doctrine officielle est : « Le démon Stifani a été chassé, les problèmes sont donc en passe d’être résolus, on va être à nouveau reconnu par Londres, circulez, y a rien à voir. » Tout change parce que rien ne change. Le pire est donc à venir.

  • 7
    Mister Zotis
    6 juillet 2013 à 9h43 / Répondre

    Il marrant de constater que certains exipent de soient disant « mots durs » des réguliers sur les « non réguliers », tout en se permettant de parler de monstruosité maçonnique etc à propos de la GLNF
    Et sa parle de principe à géométrie variable.

    Si nous ne travaillons pas dans les mêmes loges c’est simplement que vous vous êtes égarés des sentiers de la FM de tradition.
    Nous ne jugeons pas, nous en prenons acte.

    Je dirais même heureusement que les irréguliers existent ; ils sont des Frères, séparés, certes, mes des Frères ! Cela permet de ne pas fermer la FM aux athés, aux femmes..et c’est très bien.
    Mais il est injuste de nous en vouloir de prendre acte du fait que nos travaux ne puissent êtres menés de concert. Comment dans une même Loge travailler à la fois à la Gloire de Dieu et à la gloire de l’Homme. (désolé mais ça m’échappe)

    Nous cheminons sur le même damier de la vie. L’essentiel est là.
    La différence c’est qu’en plus de nous situer sur plan horizontal de pavé mosaïque, nous nous situons également sur le plan vertical de l’échelle de Jacob.
    Pour mémoire, elle repose sur le VLS.

    (…)

  • 6
    Mister Zotis
    6 juillet 2013 à 9h36 / Répondre

    « Comment se fait-il que ce sinistre individu a pu, pendant tant d’années, s’accrocher à ses hochets et à son tablier de Grand Maître sans qu’on puisse le déloger ? »

    Mon cher Jean Emard ; c’est très simple, aucune obédience régulière n’a prévu de procédure de destitution d’un TRGM

    Si la GLUA avait eu la malchance d’avoir un GM indigne, elle se serait retrouvé dans le même problème.

    Je te laisse lire le livre de Alec MELLOR au sujet de la FM Régulière.

    P/S Si ton phrasé est représentatif de l’obédience à laquelle tu appartiens, je suis bien content de ne pas en faire partie.

    (…)

  • 5
    Jiri Pragman
    6 juillet 2013 à 9h21 / Répondre

    Il n’est pas sûr que le « non verrouillage » de cette revue soit volontaire. D’où l’absence de lien ici. Quoi qu’il en soit, la refonte d’une revue d’Obédience telle que la GLNF qui a connu la crise que l’on sait mais reste importante dans le paysage maçonnique français est suffisamment importante pour qu’il en soit question dans ce Blog.

  • 4
    Jean-Emard de Frotter
    6 juillet 2013 à 9h20 / Répondre

    La GLNF, pour moi, est discréditée pour longtemps. Elle a montré qu’elle n’avait de maçonnique que l’apparence et qu’elle s’est comportée en structure sectaire. Certes, il est possible d’en démissionner, mais lorsqu’on en est membre, on doit se soumettre à ses modalités de fonctionnement, sans rechigner, sans qu’il y ait le moindre libre débat possible.

    Sous les oripeaux de la « franc-maçonnerie de tradition », ce sont souvent des mœurs affairistes en coulisses. La GLNF, au cours des 20 dernières années, a recruté tout et n’importe quoi dans le seul but de devenir la première obédience française et dépasser en effectifs le GODF. Un démarchage quasi industriel. Des centaines de Loges ont été ouvertes, souvent malingres et avec les mêmes types à l’intérieur, dans les orients les plus divers. Parallèlement, la GLNF n’a eu de cesse de verrouiller ses structures internes, conférant au Grand Maître des pouvoirs exorbitants, que ne désavouerait pas n’importe pas quel gourou de secte, et au Souverain Grand Comité (le petit club des oligarques) des prérogatives qui lui ont permis de tenir l’appareil.

    Le résultat ?

    Une monstruosité et une aberration maçonniques qui ont permis l’avènement d’un François Stifani. Ce dernier s’est inscrit dans la droite ligne de ses prédécesseurs. Il n’a fait que pousser le système à son paroxysme. Comment se fait-il que ce sinistre individu a pu, pendant tant d’années, s’accrocher à ses hochets et à son tablier de Grand Maître sans qu’on puisse le déloger ? Comment se fait-il qu’une Obédience n’ait pas en son sein des contrepouvoirs institutionnels ? Comment se fait-il surtout que l’écrasante majorité des membres de la GLNF a pu assister, sans broncher, pendant des mois, voire des années à ces batailles juridiques consternantes et ineptes ? Comment expliquer cette longue période de soumission que ne vient pas atténuer la création récente et tardive de ces GLAMF, GLIF, GLIP, GLURP, GLOUP et autres cabines téléphoniques obédientielles ?

    Ah qu’ils sont beaux les « maçons de tradition » avec leur régularité en bandoulière et leurs principes à géométrie variable ! J’en connais même qui, toute honte bue, sont même allés se réfugier « en enfer », au sein de ce GODF contre lequel ils n’avaient pas hier de mots assez durs ! Qu’ils ne viennent pas après faire la leçon sur ce que doit être la « véritable franc-maçonnerie ». Ils ne valent pas mieux que Stifani et le système qu’ils ont passivement cautionné. Ils ont aussi leur part de responsabilité dans ce désastre moral, juridique et financier.

    Et surtout, qu’ils ne se leurrent pas ! L’élection de Jean-Pierre Servel ne servira strictement à rien si la GLNF n’a pas le courage et la volonté de réformer en profondeur ses structures et de tirer les leçons de ses longues années de dérive. Qu’elle ait cette humilité qui lui a fait si longtemps défaut et qu’elle en profite pour se rapprocher des autres obédiences françaises tout en conservant sa spécificité (car, ma foi, si elle est attachée à la régularité en 12 points, grand bien lui fasse !).

  • 3
    Mister Zotis
    6 juillet 2013 à 9h17 / Répondre

    @ Eric ;

    « L’accès à cette revue feuilletable en ligne n’est pas verrouillé. »

    Conclusion : la revue n’est pas accessible qu’aux Maçons de la GLNF.

    Je t’en conseille la lecture, et surtout surtout le mets pas de côté les cahiers de Villard de Honnecourt au seul pretexte que c’est une publication GLNF.

    Cette RL de recherche publie de remarquables travaux symboliques. (quant aux sujets politico-sociétaux…)

    (…)

  • 2
    Jiri Pragman
    6 juillet 2013 à 8h21 / Répondre

    D’autres si.

  • 1
    Eric
    6 juillet 2013 à 8h14 / Répondre

    Evoquer une revue qui n’est accessible qu’aux francs-maçons de la GLNF, je n’en vois pas l’utilité !

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