StJean de la Renaissance

A Bruxelles, le GOB s’ouvre aux Sœurs

Publié par Géplu
Dans Loges

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vendredi 8 janvier 2016
  • 7
    Marc
    4 février 2016 à 13h40 / Répondre

    La Franc-maçonnerie se donne maintenant en spectacle navrant en se glosant du politiquement correct et de la pensée unique qui aujourd’hui nous enlèvent de plus en plus une partie de nos libertés… Il y a des obédiences masculines, féminines et mixtes. Chacun et chacune peut donc y trouver son bonheur. Pourquoi vouloir changer ce qui jusqu’à présent fonctionne bien ? Aura-t-on encore dans l’avenir le pouvoir de choisir ses relations si les Bienpensants et les Grandes Consciences de ce monde nous imposent leurs diktats ?

  • 6
    Maxime
    9 janvier 2016 à 10h58 / Répondre

    Au GO(d)F, dans les débuts, il fallait l’autorisation du CO pour faire une Tenue mixte. Puis la réception de Soeurs en visiteuses a été rendue libre. C’est comme ça que ça a commencé.
    Aujourd’hui chacun y fait ce qu’il veut. Jusqu’à quand ?
    La GLFF a admis la possibilité de double appartenance de ses membres avec le GO.
    Donc, à titre de réciprocité, puis-je demander mon affiliation à la GLFF ?

  • 5
    Maurice1718
    9 janvier 2016 à 7h42 / Répondre

    Nous avons eu ici la version soft des tenantes de l’ouverture avec moult agapes succulentes, pas la version hard des partisanes de l’orthodoxie féminine, essentiellement préoccupée d’action maçonnique réduite à sa plus simple interprétation féministe, c’est à dire un militantisme orienté vers la défense des SS, des femmes, des associations féministes, des intérêts exclusifs des causes féminines. On peut certes appeler cela de l’extériorisation, pas de la maçonnerie qui est de nature universaliste. Chacun est libre en effet, mais au-delà d’une certaine interprétation de la règle, définie par les piliers de la FM, on peut parler d’émancipation, pas de FM, car on ne peut réunir ce qui diverge par définition. A force d’effort, on risque le grand écart et la dissolution des fragments épars. La vraie question dans ce débat est bien celle de l’orthodoxie féminine face à la règle masculine si l’on veut y comprendre quelque chose et surtout si l’on a quelques raisons de vouloir préférer les charmes de la tradition masculine orientée vers l’avenir et le progrès. On n’est pas obligé de « mélanger les genres ».

  • 4
    EMILIUS
    8 janvier 2016 à 23h08 / Répondre

    Bonjour,

    parfois il est vrai je fais bondir certains mais je tiens ici à énoncer quelques précisions qui n’engage que mon point de vue, chacun en fait ce qu’il veut : autant je me méfie des « innovations ou simplement déviances » autant je ne les confonds pas avec des nécessitées et adaptations dues aux temps ; en effet, ceci n’est pas de même nature, mais malheureusement il semble y avoir des problèmes de discernement.

    Cordialement.

  • 3
    niaclabut
    8 janvier 2016 à 13h08 / Répondre

    Il n’y a aucun problème à accueillir des Soeurs au sein des Loges du GOB. Ma Loge le fait, à chaque Tenue, depuis de nombreuses années. Et les Loges de la région Nord (Flandre) le font pratiquement toutes et cela ne dérange nullement l’Obédience. Il en est de même pour les Loges de la GLB. Quant aux Loges de la GLFB, la plupart d’entre elles invitent les FF. à leurs cérémonies (initiations, augmentations de salaire, installations de COD, …).
    J’ai même été invité à plancher dans l’une d’entre elles à une Tenue tout à fait ordinaire.
    Amitiés.

  • 2
    Maurice1718
    8 janvier 2016 à 11h39 / Répondre

    La maçonnerie cède aux modes du siècle… A quand la mixité des matchs de rugby? N’y manque-t-il pas quelque parité?

    A l’argument « Nul doute que cela va provoquer débat au sein de l’obédience entre les tenants de l’ouverture et ceux d’une orthodoxie masculine », il convient de répondre en interrogeant la GLFB (Grande Loge Féminine de Belgique) sur les tenantes de l’ouverture et celles partisanes de l’orthodoxie féminine car c’est en ces termes que se posent les arguments de la dialectique. La singerie de l’autre serait-elle devenue plus pertinente que le développement de sa singularité propre dans un espace librement choisi selon des règles d’homosocialité, fût-elle masculine, ce qui ne signifie pas d’orthodoxie ?

    Bonne année

    • 8
      Marco
      11 avril 2018 à 16h33 / Répondre

      Mixité, surtout dans les douches.

    • 9
      lazare-lag
      11 avril 2018 à 21h06 / Répondre

      C’est un propos ni maçonnique, ni fraternel. Tout juste une brève de comptoir pour beaufs.
      Les soeurs apprécieront.

  • 1
    357
    8 janvier 2016 à 11h17 / Répondre

    Je ne connais pas très biens les règles d’acronymie. Mais en tout cas, pendant très longtemps, le Grand Orient était désigné sous l’acronyme « G.O.F. »). Le sceau du GO, c’est bien lettres G, O et F entrecroisées.

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