Pils_-_Rouget_de_Lisle_chantant_la_Marseillaise
Rouget de Lisle chantant La Marseillaise, par Isidore Pils, 1849

« La Marseillaise » et la franc-maçonnerie

Publié par Pierre Mollier

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jeudi 14 juillet 2016
  • 10
    TRAZOM PREMIER
    8 décembre 2018 à 11h28 / Répondre

    Post 8 Douce Hélène, mon commentaire était purement d’ordre musicologique, et je le maintiens. C’est mon bon camarade Blazing Star qui a évoqué le cours d’arabe, dont je ne vois pas clairement ce qu’il vient faire dans le débat. Veuillez bien préciser à qui vous adressez vos récriminations, même après trois ans…

  • 8
    Luciole
    17 juillet 2016 à 18h42 / Répondre

    Malgré ses outrances son chauvinisme et sa brutalité je pense à la Marseillaise comme ce que chantaient
    tant de personnes au moment de mourir parfois même mourant pour l’avoir chantée.Elle est devenue un symbole de Liberté.

  • 6
    LINEA RECTA
    17 juillet 2016 à 11h27 / Répondre

    @ Lamouline et Chicon
    comme vous, je ne suis pas français non plus, si ce n’est de cœur. Mais je ne puis entendre la Marseillaise sans ressentir, à chaque fois, l’écho de ce qui fut exprimé avec force et vigueur par les sans-culotte de 1792 lorsque la France fut envahie et violée par la Prusse et l’Autriche.
    « Aux armes, citoyens !! ». Quel appel à l’action, à la destruction de la tyrannie et de la barbarie…
    Pour les Belges de 1830, la tyrannie était celle des Hollandais que nous avons boutés hors de notre territoire, dans un élan unanime qui pourfendait et vilipendait l’oppression de l’Orange, c’est à dire les Orange-Nassau venus du Nord, avec une religion calviniste et une langue néerlandaise qui n’étaient pas les nôtres..
    Voir les paroles de la Brabançonne sur Internet, et surtout écouter notre hymne national dans les trois langues du pays : le français, le flamand et l’allemand, chanté pour le Roi par Helmut Lotti.
    Mes amis français proclament sans cesse, entre deux discours :  » Nous SOMMES EN guerre »!. Soit, nous reverrons donc souvent les bougies et les fleurs, les prises d’armes émouvantes à l’Elysée et les discours de bon ton devant des familles ravagées.
    J’aimerais pour ma part, en tant que Français de cœur, entendre les (énergiques) dirigeants français actuels affirmer calmement :  » La France FAIT la guerre ». Car il est des tyrannies–j’en ai connu plusieurs depuis 1930 — que l’on ne peut vaincre que par une force supérieure et une détermination plus inflexible que celle de l’ennemi.
    « Aux armes citoyens !  » Y a-t-il un autre choix ?!
    Pax Vobis.

    • 7
      Blazing Star
      17 juillet 2016 à 17h38 / Répondre

      On pourrait peut être expliquer tout cela en instruction civique: le pourquoi et le comment de la Marseillaise, apres le cours d’arabe et l’Internationale ?

      • 9
        Helene
        7 décembre 2018 à 22h05 / Répondre

        Votre commentaire est raciste neoconservateur. Les cours d’arabe sont financés par les ambassades des pays respectifs jamais par l’état et aujourd’hui tout se fait à l’extérieur des établissements scolaire publics.

  • 4
    Lamouline
    17 juillet 2016 à 9h49 / Répondre

    Il y a beaucoup à dire des hymnes nationaux. Pour moi, l’hymne national belge, La brabançonne, est particulièrement bête. Quant à son équivalent français, je l’ai toujours trouvé à la fois bête, méchant et agressif. Enfin, chacun ses goûts.

    • 5
      Chicon
      17 juillet 2016 à 10h26 / Répondre

      Je partage ton avis, Mais on ne va pas supprimer la Marseillaise cela ferait jaser. Quoique l’interprétation de Gainsbourg me plaisait, on etait « pris » comme dans une vague.

  • 3
    TRAZOM PREMIER
    15 juillet 2016 à 18h06 / Répondre

    Il existe une intense polémique entre musicologues au sujet des compositeurs divers, et supposés tels, de la Marseillaise, qui n’est autre que le Chant pour l’Armée du Rhin, attribué à M. Rouget. Tout semble travesti à propos de la musique et même des paroles de cet hymne. La musique se compare avec étonnement avec le concerto pour piano n° 25 de Mozart, de décembre 1786, mais la controverse est bien plus complexe que cette simple anticipation ne le laisse supposer. Car l’anticipation est-elle attestée ?!

    Quant aux paroles, voici un court extrait qui est à méditer…
    « Dans une ode de Boileau (1656), on trouve deux vers intéressants : « Et leurs corps pourris dans nos plaines / N’ont fait qu’engraisser nos sillons. » Dans une chanson protestante sur la conjuration d’Amboise (1560), il est question d’« étrangers qui ravissent d’entre nos bras nos femmes et nos pauvres enfants ». Rappelons aussi et enfin que le bataillon de Rouget, qui n’était en rien de l’Isle, se nommait « Les Enfants de la Patrie »…
    Il n’en n’est pas moins vrai que le merveilleux et paisible couplet qui célèbre « la Liberté chérie » a donné son émouvant titre distinctif à une loge belge et occulte, au camp nazi d’Esterwegen…

  • 2
    ASSE KOUAME HERVE
    14 juillet 2016 à 22h14 / Répondre

    Si l’on ne s’aveuglait point par les préjugés puerils et inutiles de la contribution maconique dans tout les secteurs dit de l’esprit . le monde se serait défait des oripeaux outrancières qui le conduise aujourd’hui à sa perte; extrémisme , stigmatisation divers, intolérance….
    bonsoire

  • 1
    lazare-lag
    14 juillet 2016 à 20h32 / Répondre

    Je me suis laissé dire que le dernier couplet qui commence par « Nous entrerons dans la carrière, quand nos aînés n’y seront plus, nous y trouverons leur poussière et la trace de leur vertu » était un couplet rajouté bien plus tard et qui ne serait donc pas de Rouget de Lisle. Peut-être rajouté en 1848 ou plus tard encore.
    Qu’en est-il vraiment?

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