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Une « lettre ouverte à Gabrielle » de Corinne Drescher Lenoir

Publié par Géplu
Dans Divers

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mardi 15 novembre 2016
  • 53
    lenogré
    5 décembre 2016 à 20h44 / Répondre

    407 démissions de la G.L.F.F. en 2016 sans compter le mois de décembre qui est depuis toujours bien fourni , 400 SS désireuses de former la G.L.I.F.F. .
    A mon avis , laissons les tranquilles elles ne vont pas plus que cela déséquilibrer la maison mère

  • 48
    Vache qui rit
    18 novembre 2016 à 9h17 / Répondre

     » bien faire et laisser braire  » a écrit Corine Decher . Donc la GLFF fait bien, et la GLIFF qui brait est donc constituée de vaches ne fait pas bien. Première fois que l’on lit telle métaphore subtile et délicate dans un conflit de GL.
    Corine « la parole est libre mais la plume est serve », tu m’en copieras cent lignes et tu feras tes excuses à tes sœurs.

    • 50
      Désap.
      18 novembre 2016 à 10h00 / Répondre

      Non, non, Ma Soeur, je puis t’assurer que nous assistons de la part des responsables et thuriféraires de la GLFF à un copié/collé des réactions de Stifani, son staff et ses partisans lors de la crise de la GLNF.
      Vous n’êtes pas au bout de vos peines,
      alors courage et surtout Persévérance !

      • 51
        Chicon
        18 novembre 2016 à 12h45 / Répondre

        Comme dit le taureau: ça va de mâle en pis

  • 44
    luciole
    17 novembre 2016 à 18h27 / Répondre

    Je ne suis pas sur que ces mini-querelles (entre masculins surtout) s’agissant d’affaires purement féminines aient toute leur place dans un blog ouvert aux profanes des deux sexes.
    Je respecte la démarche de ces soeurs mais je pense qu’elles auraient pu trouver un vecteur d’information plus discret quels que soient les efforts de Geplu pour concilier les contraires!

    • 45
      Biscotte
      17 novembre 2016 à 19h14 / Répondre

      Allons allons petite luciole…
      Je trouve pour ma part que nos frères ont des positions tout à fait éclairées et éclairantes. Le débat est d’un niveau plutôt élevé et de fait nous discutons sur le sens de notre démarche en maçonnerie. La trgm vient de sortir d’un silence relatif avec la seule position à avoir de sa place, réserve et appel à se rallier à la dynamique des 70 ans à la foi maçonnique et à la fidélité à la glff comme si les dissidentes manquaient de foi et étaient des infidèles.
      C’est soft mais les gliffeuses sont rangées finement parmi les mécréantes. Elles ont besoin aussi sans doute d’être confortées dans leur démarche par les frères. Merci pour elles messieurs.

      • 49
        Désap.
        18 novembre 2016 à 9h50 / Répondre

        Ma Très Chère Soeur, Mes Très Chères Soeurs,
        Au Rite Français 1785, celui-là même dont certains prétendent qu’il servait de décorum au premiers temps de la Maçonnerie moderne, il est dit au Récipiendaire lors de sa toute première cérémonie : « … vous annoncent que tous les Maçons voleront à votre secours, dans toutes les circonstances »
        L’une des particularités des Maçons « réguliers » est d’avoir à coeur de mettre en pratique les principes maçonniques.
        A contrario de ce que l’on peut lire ça et là, la Maçonnerie régulière évolue, je fais partie de ceux, et nous sommes nombreux, qui réfléchissent à l’établissement de modalités permettant la reconnaissance d’une GL régulière féminine ; la GLUA également vis à vis de Order of Women freemasons qu’elle considère très officiellement comme régulière.
        Je vous embrasse

  • 38
    mateo simoita
    17 novembre 2016 à 11h43 / Répondre

    Les échos qui circulent sur les parvis semblent mettre en cause des sœurs du Suprême Conseil Féminin de France dans le projet de scission de la GLFF ; elles reprocheraient à Marie-Thérèse Besson son interventionnisme médiatique en particulier dans l’action en faveur des femmes de migrants à Calais!
    Info ou intox ? That’s the question !

    • 39
      Chicon
      17 novembre 2016 à 12h12 / Répondre

      @matel simoita – est ce que MTBesson va mieux car elle a été prise d’une crise de vomissement en visitant la jungle de Calais. Peut être à t elle mangé des frites froide et bu de la bière éventée.

    • 40
      Robe rouge
      17 novembre 2016 à 12h16 / Répondre

      Cela montrerait, si c’est avéré, qu’il y a une dimension politique à cette affaire.
      Que Marie Thérèse Besson soit considérée comme trop progressiste ne manque pas d’humour.
      À suivre

      • 43
        Désap.
        17 novembre 2016 à 15h47 / Répondre

        De dimensions politique et métallique, c’est ta conception de la maçonnerie si on en croit tes commentaires,
        j’ai l’impression de lire du Stifani haute époque :-))

  • 33
    357
    16 novembre 2016 à 18h23 / Répondre

    Je suis désolé. Je ne me suis pas relu. C’est mal écrit mais bon tant pis.

  • 31
    357
    16 novembre 2016 à 18h19 / Répondre

    D’après ce que j’ai pu déduire de toutes les conversations que j’ai eues avec des « sœurs critiques » de la GLFF, le problème n’est pas le pseudo clivage entre la maçonnerie dite « sociétale » / la maçonnerie dite « traditionnelle ». C’est d’autant moins le problème que les loges de la GLFF sont majoritairement tournées vers le symbolisme. Honnêtement, chaque fois que je suis allé visiter une loge de la GLFF, l’ambiance a toujours été guindée.

    En effet, je me rappelle qu’un frère carreleur avait fait un joli pavé mosaïque qui a déplu aux sœurs de la GLFF locale parce ce qu’il comprenait des petits triangles blancs et noirs (oh la la… terrible!). Vous savez ce qu’elles ont fait ? Elles ont confectionné un autre pavé mosaïque (avec des carreaux blancs et noirs, bien comme il faut selon les prescriptions de la symbolique maçonnique de Jules Boucher) pour recouvrir celui qui était incrusté dans le sol ! Vous voyez le genre… casse couilles… Comment voulez-vous qu’une loge pareille ne fasse fuir les sœurs ?

    Ce que je veux dire, c’est qu’il y a depuis très longtemps un mauvais climat au sein de la GLFF accentué par des problèmes d’ordre administratif. Je prendrai un exemple : longtemps, la GLFF a refusé la double appartenance. Bien que ce point ai connu récemment des évolutions réglementaires, il n’en demeure pas moins que cette interdiction été mal vécue par un certain nombre de sœurs qui ont été contraintes de quitter la GLFF alors qu’elles auraient bien voulu y rester à la condition de pouvoir s’affilier ailleurs.

    De même, la GLFF est très stricte sur les créations de loge.

    Dans ma région, je connais des sœurs qui se sont vues refuser la création d’une loge alors même qu’elles souhaitaient s’implanter dans une zone dépourvue de loge (la loge féminine la plus proche est à 1h00 de route). Je ne dis pas que ce refus est injuste. Je dis que ce refus prive la GLFF d’une implantation possible. C’est dommage. Je précise que ce projet était porté par des sœurs de rite français, minoritaires dans ma région. Tout ceci engendre une frustration. Il ne faut pas s’étonner que certaines sœurs aillent voir ailleurs.

    L’anonymat est un faux problème. Je dirais même que c’est une bonne chose. Il permet d’éviter utilement les coups. Il permet aussi d’éviter utilement qu’un projet soit réduit à quelques personnalités. Je me moque personnellement de savoir qui se cache derrière Gabrielle. L’essentiel est de savoir si cette obédience annonce un mouvement d’effectifs important et si elle est une réponse à des questionnements de fonds. Si elle ne sert qu’à grossir les rangs des groupuscules maçonniques existants, elle ne servira pas à grand-chose.

    Ce n’est que mon avis.

    • 34
      Désap.
      16 novembre 2016 à 18h51 / Répondre

      D’après ce qu’on lit, de Gabrielle, la lettre et le commentaire de Corinne Drescher Lenoir, les commentaires des thuriféraires de la GLFF, le commentaire de Amertume,
      il semble bien que le problème soit d’ordre maçonnique.

  • 28
    observe à tort
    16 novembre 2016 à 17h34 / Répondre

    Si Corinne est intervenue de son propre chef, dont acte, cela ne rend que plus assourdissant le silence de l’obédience qui est, disons le mot, attaquée, et de bien étrange manière, puisque, rappelons-le, les soeurs sympathisantes de la scission, car d’essaimage il ne peut s’agir, se manifestent directement par voie électronique à des anonymes.
    Effet connexe du temps qui perdure, les thuriféraires de l’ineffable initiatique, membres de plusieurs obédiences masculines jalouses les unes des autres en profitent pour expliquer en quoi ils aspirent au nirvana et pas à la compréhension de la société, la poursuite des émancipations, un peu en panne en ce moment.
    Espérons au moins que la GLIFF n’acceptera pas en visite d’autres frères que ceux qui leur rendent la pareille.
    et que du côté de la cité du couvent on ne regrettera pas trop le départ des bonnes soeurs vers leur couvent sans cité.

    • 30
      Désap.
      16 novembre 2016 à 18h15 / Répondre

      Se rend-on compte que l’on va jusqu’à ridiculiser l’objet même de la maçonnerie, l’initiatique.
      Le nom de ta loge ma Soeur ? Que je ne m’y égare pas.

      • 35
        Robe rouge
        16 novembre 2016 à 18h53 / Répondre

        L’objet de la maçonnerie: l’initiatique?
        Relire Anderson d’urgence…

        • 37
          Désap.
          17 novembre 2016 à 9h14 / Répondre

          Pauvre Anderson, on lui fait dire tout et n’importe quoi, jusqu’à lui prêter d’avoir participé à la création d’un club ludique et convivial … dans « convivial » il y a …

          • 41
            Colonne
            17 novembre 2016 à 14h17 / Répondre

            Laisse tomber, Désap, le pseudo de notre amie « Robe rouge » en dit plus long qu’un long discours…

            • 42
              Désap.
              17 novembre 2016 à 15h41 / Répondre

              C’est à se demander ce que certains entendent par « Maçonnerie » ?
              surement un club ludique et conv.ivial ; le point est mal placé, désolé :-))

  • 25
    Corinne Drescher Lenoir
    16 novembre 2016 à 16h00 / Répondre

    J’aurais pu simplement me contenter de penser « bien faire et laisser braire », mais comme je ne suis pas seule en cause dans tous les jugements que je lis je ferai une brève réponse. Chacun et chacune peut interpréter mes propos à l’aune de ses propres obsessions, mais d’abord je tiens à préciser que cette initiative est totalement personnelle et non en service commandé comme j’ai pu le lire. Merci Alain d’avoir compris le fond de ma démarche, ton intervention m’a beaucoup touchée. Il n’y a aucune intolérance de ma part simplement c’est le procédé d’anonymat qui est difficile à accepter et qui blesse ma conception de la franc-maçonnerie et je me demande de quel coté est le mépris ?
    Je comprends que certaines souhaitent travailler dans ce qu’elles appellent une optique traditionnelle et uniquement spiritualiste, c’est leur droit le plus absolu mais ce n’est pas la GLFF qui doit changer pour correspondre à leur désirs car là je me demande où est l’intolérance ?
    L’ histoire de la GLFF est faite d’ouverture, comme elle a fait le choix d’être multi-rites et offre de multiples chemins aux femmes qui la rejoignent pour répondre à leurs questions existentielles et métaphysiques tout comme à leurs désirs de perfection et leurs rêves d’une humanité meilleure. Messieurs « les réguliers », si vous prenez le temps de visiter nos loges et de partager nos travaux, car nous, nous vous y accueillons comme de véritables frères, vous ne douterez plus avec condescendance de la qualité initiatique des travaux des sœurs de notre obédience. Si les sœurs qui souhaitent fonder une obédience conforme à leurs idéaux doivent se séparer de la GLFF, que ce soit avec le respect de toutes les sœurs qui la composent dans leur diversité. Je n’ai rien à prouver à ceux qui souhaitent me décerner des brevets d’initiabilité et cette prétention me fait me demander où sont les censeurs ? Je souhaite à tous les franc-maçons et à toutes les franc-maçonnes qui lisent ces lignes de trouver dans leur quête tout le bonheur qu’elle m’a donné pendant presque quarante ans de ma vie. Corinne

    • 27
      Colonne
      16 novembre 2016 à 17h17 / Répondre

      C’est juste ma soeur que nous ressentons dans tes 2 interventions, une colère et une animosité que l’on n’a pas retrouvé dans celle des soeurs qui souhaitent la création de la GLIFF.
      Je cite : « une autre franc-maçonnerie mythique et hors sol… » l’on a déjà fait mieux dans le compliment ou « bien faire et laisser braire »…

      Si ton intervention est une initiative personnelle, il n’est pas certain, au final, qu’elle rende service à la GLFF et à son image.

      • 32
        Robe rouge
        16 novembre 2016 à 18h21 / Répondre

        C’est bien facile de sourire quand on attaque, surtout masquée. Quand les partantes auront publié, comme l’a fait Corinne des textes qui servent à la fois la maçonnerie et les femmes, on en reparlera.
        Mais peut être aura-on droit à des éxégèses sur l’évangile de Jean et l’impensé féminin chez René guénon

        • 36
          Désap.
          16 novembre 2016 à 19h08 / Répondre

          Que de menaces et autres railleries …
          Et penses-tu qu’ainsi tu empêcheras quoique ce soit ?
          C’est tout de même mal connaitre la nature humaine,
          c’est utiliser des procédés que l’on prétend combattre par ailleurs,
          c’est épatant.
          Cela montre tout le côté théorique d’un humanisme revendiqué comme fondateur, remis en cause dès que les intérêts matériels en viennent à être mis en jeu.
          La sacro-sainte liberté de conscience ne serait-elle non seulement qu’à sens unique, mais de plus qu’une posture ?
          Chère Robe Rouge, tu confirmes d’un trait de plume le bien fondé du commentaire de notre Soeur Amertume ; c’est ainsi que nous la comprenons que mieux, et Gabrielle.
          Mes TCCSS, courage et persévérance, que V.I.T.R.I.O.L ne quitte pas votre esprit.
          Je vous embrasse.

        • 52
          mimi
          21 novembre 2016 à 23h42 / Répondre

          merci de m’avoir fait sourire… ça fait du bien!

    • 29
      Désap.
      16 novembre 2016 à 18h06 / Répondre

      Ma Chère Soeur, une naïve question :
      radios et chaines TV : du matin au soir et même rediffusé la nuit, presse écrite : plus de 50% des journaux et magazines, forums, sites internet, bref, nous sommes submergés de débats, d’informations, de reportages, d’analyses, d’opinions sur notre société.
      Loin de moi l’idée de m’en plaindre, je suis très intéressé par tous ces sujets.
      Ne penses-tu pas que le gens viennent chercher autre chose en Maçonnerie, quelque chose dont on ne parle jamais, d’indicible, le subtil que l’on aurait séparé de l’épais, un détachement, une évasion, une poésie, l’Art sans don matériel, dont on sentirait la vibration, Picasso, Mozart, Pythagore tout à la fois, la beauté d’une déesse d’Athènes qui nous imprègne de toute la majesté de ce dont elle n’est que la copie, cette oeuvre magistrale que la Maçonnerie nous donne à re.connaitre ?
      On ne vient pas à la Maçonnerie pour trouver des contingences, on y vient pour être hors de la toute première, le temps, et c’est ainsi que l’espace de la loge est sacré ; sacré, où ça se crée.
      Voilà à mon sens l’interrogation qui devrait être celle « libéraux ».

    • 46
      IGLESIAS Marie
      17 novembre 2016 à 20h37 / Répondre

      Bonsoir,

      Notre rôle est de prendre de la hauteur, nous assistons dans le monde profane à une vague pour ne pas dire à un tsunami de pensée Qui souhaite laver « plus blanc que blanc ». Que ce soit religieux avec DAECH, politique avec une extrème droite qui gagne du terrain, ou associatif des personnes qui souhaite installer des règles des plus en plus strictes et parfois sectaires. En psychologie on dirait d’une personne qui installe des règles et nous savons tous ce qu’il en est, qu’elle est insécure et fragile. La question les Soeurs du GLIFF se sont elles sentis en insécurité au sein de la GLFF? Notre chemin initiatique fait de nous des êtres libres, confiants dans leur chemin et se doivent d’avoir effectué « le » travail ultime dans l’abandon de l’ego, nous nous devons de partager dans le don et l’amour de l’autre. Ont-elles « peur » de leur différences ? ne peuvent elles la vivre au sein de notre obédience? Personnellement je suis très ancrée dans le monde de l’initiation et j ai plaisir à me nourrir de nos différences. Marie

    • 47
      Mayflower75
      17 novembre 2016 à 20h48 / Répondre

      Dans votre lettre ouverte qui vous permet de dire que les Sœurs qui veulent venir à la GLIFF ne sont pas engagées dans la société. Elles veulent sans doute simplement le faire individuellement et hors des Tenues respectant ainsi le vieil adage « La Franc-maçonnerie nulle part, les Francs maçon(ne)s partout »).
      Et quand vous dites que « Les motifs intimes qui nous ont conduites à frapper à la porte du temple sont variés et personnels mais ce que nous y découvrons c’est l’Autre qui, parce qu’il est différent, nous fait grandir et sortir de nos préjugés, je réponds qu’on s’y découvre aussi soi-même. C’est d’ailleurs l’essentiel de la démarche. La découverte de l’autre n’est pas une démarche exclusive de la maçonnerie).
      Enfin, quand vous écrivez que « N’oublions pas en ces temps noirs la leçon de nos frères et sœurs résistants au nazisme et au pétainisme. N’oublions pas non plus leur universalisme. Je réponds que certes la situation est difficile pour notre société, mais faire l’amalgame avec le nazisme et surtout le pétainisme me parait exagéré.

  • 18
    Mory
    16 novembre 2016 à 8h38 / Répondre

    On voit bien dans la lettre de Corinne que la dimension initiatique s’est complètement effacée au profit d’un maçonnisme politique (j’ai presqu’envie de qualifier sa mouvance de para maçonnique). D’ailleurs l’initiatique est le grand absent de sa lettre… Progression de soi, évolution de l’individu, remise en cause… tout ce vocable propre aux « initiés » y est absent et pour cause…
    La GLFF serait elle devenue une officine de la rue de Solférino ? A lire le texte de Corinne, le doute n’est plus permis. Elle y parle de combat…
    Je comprends que des Soeurs éprises de spiritualité aient décidé de s’en aller pour fonder une loge ou une obédience qui soit un vivier réellement initiatique, où le tablier et les gants représentent le symbole d’une démarche authentiquement maçonnique.
    Coup de poignard dans le dos ? Je ne crois pas… puisque ces soeurs – celles de GLIFF – souhaitent oeuvrer au sein d’une maçonnerie authentique, spirituelle et symbolique – comme ce qui est fait à la GLDF ou à la GLNF. Donc leurs préoccupations sont éloignées des considérations sociales, laïcardes et féministes ainsi affichées par la soeur Corinne…
    Donc bonne chance aux Soeurs de la GLIFF !
    Quand à la GLFF, le jour où le GODF aura des loges féminines – et il en aura mécaniquement, ne serait ce qu’en application de la loi de 1901 (imaginons que tous les FF d’une loge mixte du GODF la quitte… Que reste t’il ?… allons, réfléchissons un peu… et c’est légal !) – la GLFF aura des soucis à se faire…
    M.

    • 20
      Chicon
      16 novembre 2016 à 10h11 / Répondre

      @mory – ton dernier paragraphe annonce les demains de la GLFF : le gros societal mangera la petite societale.
      La GLFF ne pourra se maintenir et se developper si elle devient spiritualiste, ce qui est apparemment contraire a son objectif et son histoire.

    • 21
      Colonne
      16 novembre 2016 à 10h37 / Répondre

      Bonjour Mory,
      Je suis en total accord avec ton analyse et comme le précise aussi Lola, il semble bien qu’aujourd’hui, au sein de la GLFF, l’intolérance soit du côté des « sociétaux ».

      • 23
        AMERTUME
        16 novembre 2016 à 14h13 / Répondre

        Pour le vivre de l’intérieur, je vous confirme et vous le découvrez à travers les écrits de Corinne Drescher Lenoir, le niveau d’intolérance et de mépris est tristement grand à tel point que cela ne relève même plus d’une posture comportementale maçonnique !
        Cela fait bien 10 ans que cette dérive a commencé, la GLFF ce n’était pas cela quand je suis entrée, « le contrat » a changé et il me semble légitime que nous soyons tentées aujourd’hui par le projet de la GLIFF.

      • 24
        Désap.
        16 novembre 2016 à 14h52 / Répondre

        Excellente analyse de Mory.
        Bonjour mon Cher Colonne,
        cette intolérance se trouve-t-elle être réservée à la GLFF ?
        A la GLAMF, ma GL, on passe en Chambre de Justice les Officiers qui défendent ses principes fondateurs, savoir « les Basic Principles, qui fondent la régularité, pierre angulaire de notre Grande Loge » GM Alain Juillet, décembre 2013.
        Les principes de la Maçonnerie régulière n’ont rien d’inventé, ils sont la continuité d’une antériorité qui les relie à la Tradition.
        L’essence de cette Tradition, ce qui la constitue, n’est autre que la résultante de l’observation de la nature pour en comprendre les Principes.
        Ces mêmes Principes qui fonderont les premières civilisations, période qui marquera la transition de l’état animal à l’état humain.
        La Maçonnerie, qui n’est ni une religion, ni une philosophie ni une science, est antérieure à ces « activités » contemporaines de l’Homme, c’est un Métier, le Métier qui pratiqué par l’animal fait de lui un Homme.

  • 13
    Désap.
    15 novembre 2016 à 21h06 / Répondre

    On remarquera que les « libéraux » sont âpres à défendre leur orientation et prompts à qualifier les « réguliers » de réducteurs, dogmatiques, religieux, jusqu’à se demander s’ils savent bien où il sont ( « T’es où là ?… »)
    On remarquera également que les scissions actuelles se font généralement, voire uniquement, sur le thème d’un trop plein de sociétal au détriment du symbolisme ; et bien entendu, les « scissionnaires » sont tout aussi promptement accusés des mêmes travers.
    Je me suis toujours interrogé sur le positionnement sociétal ; si l’on veux faire de la politique au sens large, quelle utilité d’entrer en maçonnerie ? N’y a-t-il pas suffisamment d’organisations profanes bien plus compétentes dans le domaine ?
    Ne serait-il pas plus adéquat d’équilibrer et renforcer son caractère en maçonnerie de manière à être plus incisif dans le monde profane et ainsi avoir les moyens de contrer efficacement, par exemple, le populisme ?
    Car en effet et tout bien considéré, que constate-t-on ? Bien que les « libéraux » se soucient et travaillent sur les maux de notre société en loge, notre populiste a de plus en plus de chance de se retrouver aux affaires,
    ça rend perplexe sur la pérennité de la démarche tout de même …

  • 12
    Alain
    15 novembre 2016 à 19h13 / Répondre

    C’est une belle lettre pleine d’amour et de souffrance qu’adresse Corinne Drescher Lenoir et peut-être fera-t-elle réfléchir les sœurs qui, par déception sont tentées de créer une nouvelle micro obédience.

    N’y a t il pas des prétextes de la part de ces sœurs scissionnistes. pour ne pas dire la vérité ? C’est plus facile d’accuser de faire du « social » que de parler d’ambitions avortées !

    Il me semble que la glff ne devrait pas trop se faire de souci car cela ne semble vraiment pas sérieux.

    Il faut peut être être magnanime pour préparer un retour au « bercail » ?

    • 15
      Biscotte
      16 novembre 2016 à 8h25 / Répondre

      Oui c’est très bien écrit.
      Mais à quel titre cette sœur est-elle propriétaire de l’histoire commune ?
      Pourquoi serait-elle dans la vérité plus que les autres ?
      Il faut se souvenir que la GLFF elle-même comme d’ailleurs à peu près toutes les obédiences actuelles sont nées d’une scission ou d’un détachement de groupes de frères. Je note que si les sœurs reviennent incognito elles seront , selon ses propres termes « sans danger » ! il y a donc bien un danger à ce qu’elle se dévoilent maintenant ces brebis égarées !

      • 22
        Alain
        16 novembre 2016 à 13h54 / Répondre

        On ne connaît pas l’histoire du conflit mais au delà des mots accusatoires que les unes et les autres peuvent se lancer il y a une vraie douleur de se déchirer alors qu’une de nos raisons d’être est de se respecter dans nos différences pour construire un lieu de réflexion pacifique et de perfection. Le problème du « règlement de comptes » est dérisoire et polémique. La question principale me semble être de savoir si les liens rompus pourraient être retissés.

  • 11
    LUCIOLE
    15 novembre 2016 à 19h11 / Répondre

    Je vais paraitre naïf mais n’aurait il pas été plus simple et facile de créer une loge entre sœurs partageant la même vision de la FM puis de n’accepter pour l’avenir que celles qui sont ou pourrait adhérer à ce même projet?

    • 26
      Biscotte
      16 novembre 2016 à 16h30 / Répondre

      Il me semble avoir compris que c’est à peu près ce qu’elles font mais avec plusieurs loges et quelques dizaines de soeurs non ?

  • 6
    Chicon
    15 novembre 2016 à 14h38 / Répondre

    Peut etre, que la reaction de Corinne est plus celle d’un adjudant que celle d’une franc-maçonne qui elle serait faite d’ecoute, et de bienveillance.
    Il est dit dans un precedent post que la franc-maconnerie avait perdu ses repéres, n’est ce pas l’illustration

    • 10
      observe à tort
      15 novembre 2016 à 17h32 / Répondre

      Pas adjudante cheffe, mais au moins colonelle, mandatée par l’état-major pour allumer un contre-feu. et elle a bien raison, même si on peut regretter que la grande maîtresse ne se manifeste pas pour exiger au moins la transparence.
      Je sais bien que les services spéciaux doivent être en train d’enquêter, mais attendons le moment clef: la divulgation de l’origine de la patente. C’est à ce moment là que les loups et les louves vont sortir du bois.
      Bien dommage pour l’image de la maçonnerie encore une fois assimilée à une guerre de positions symboliques.

      • 16
        Biscotte
        16 novembre 2016 à 8h27 / Répondre

        Euh ! la GLFF n’a eu de patente qu’en 2006 ! cela ne l’a pas empêché de pratiquer le REAA pendant plusieurs dizaines d’années sans patente !

  • 5
    VABADUS
    15 novembre 2016 à 12h16 / Répondre

    En mars 2012 a été lancée par 100 frères issus de la GLNF la Grande Loge Souveraine de Corse (GLSC). Un jour on apprendra que des dissidents on généré une GLSC-canal historique voulue par 30 frères qui n’acceptaient la réforme des RG l’obédience demandant que les fusils en tant que métaux soient laissés à la porte du Temple! Tout ceci pour dire que se génèrent des chapelles de plus en plus sectaires qui voulant laver plus blanc que blanc se séparent de leur obédience. Il y a ainsi plus de 100 obédiences en France et ce n’est pas sérueux pour la FM. Mais quand on a dit cela on n’a pas traité le problème de fond des obédiences qui ne parviennent pas à trouver le point d’équilibre pour gérer le Centre de l’Union. Il y toujours une tendance, généralement la plus marquée de religiosité qui veut faire la loi. Un management efficace d’obédience implique de faire vivre au mieux des Loges Libres sinon cela passe, au mieux par une réaction de contre-pouvoir de la base, et au pire, par des départs et la création d’une nouvelle obédience. Mais pour éviter cela il faut des GM qui ne se prennent pas pour César!

    • 17
      Lola
      16 novembre 2016 à 8h34 / Répondre

      Il y a au sien de la GLFF des loges symbolistes, d’autres plus sociétales, d’autres les 2. Lorsqu’une profane se présente je n’ai jamais hésité à de nombreuses reprises lorsque sa sensibilité allait plutôt vers le sociétal à l’orienter vers une autre loge que la mienne.

      la question n’est pas d’accepter qu’il y ait des loges de toute sorte ce qui ne pose aucun problème mais aujourd’hui. l’intolérance est du coté des sœurs opposées à la bible comme troisième lumière, à la référence au grand architecte de l’univers et de façon générale à un rouleau compresseur centralisateur et totalitaire qui cherche à imposer aux loges une pensée unique !

  • 4
    Chicon
    15 novembre 2016 à 12h16 / Répondre

    Voila une bonne reprise en mains de la situation. Silence dans les rangs !

    • 19
      Bouche cousue
      16 novembre 2016 à 8h47 / Répondre

      Exactement mon cher CHICON ! Silence et discrétion, toute parole dissidente sera punie ! La Franc maçonnerie féminine appartient à la GLFF et toute tentative de création est considérée comme une concurrence déloyale. Je suis certaine que les avocates de la GLFF ont déjà été consultées pour savoir si il existe des moyens d’action profanes pour condamner cette initiative. Personnellement j’ai vraiment envie de plus en plus de souligner l’énorme courage de ces sœurs qui osent se démarquer. Les avocates ne vont sans doute rien trouver : elles qui, jadis, ont revendiqué la liberté d’association et en son nom, ont assigné au profane la GLFF dans un procès mémorable sans qu’aucune sanction ne leur soit infligée. Faites ce que je dis pas ce que je fais ! Mais chut ! Taisons-nous

  • 3
    observe à tort
    15 novembre 2016 à 11h56 / Répondre

    Laissons les nostalgiques du couvent refuser la cité et ramener la bible disparue hors loge dans leur atelier monosexué (mais pas forcément monogenré…).
    Et regardons ce qui se passe sous les robes noires. Ce qui reste décent, n’est-ce pas?.
    Des soeurs traditionalistes cherchent à laver plus blanc que blanc dans leur propre lavoir.
    Pour construire leur petite entreprise, elles montent une OPA digne d’un cabinet de conseil de haut grade et on s’attend à ce que la maison-mère réagisse aux propos de l’ange Gabrielle pour protéger ses avoirs.
    On attend, donc et on voit une très respectable soeur sortir du bois sous une forme quasi littéraire pour nous rappeler que l’on danse sur deux pieds, nous les soeurs modernes et traditionnelles, un social et un spirituel et qu’on assume une certaine forme de féminisme sans renier les beautés ineffables de l’écossisme.
    Double volonté de demeurer dans un combat à fleuret moucheté et concours de jésuitisme.
    Le suspens est intolérable.

  • 2
    Mai 68
    15 novembre 2016 à 11h24 / Répondre

    F VM d’une L mixte du GO après plus de 40 ans de FM je pense que la FM est un dosage harmonieux de mesure, de bienveillance et de bon sens. En conséquence le sociétal doit être présent en L avec le symbolisme et le philosophique car la FM ne peut ignorer la société et ses problèmes une fois la porte du Temple refermée et nos Travaux ouverts.
    Si notre parcours est initiatique il ne peut s’abstraire de s’intéresser en L à la société dans laquelle nous évoluons.
    Aborder en Tenue que le symbolisme et le spirituel me semble très réducteur et quasi dogmatique pour ne pas dire « religieux ».

    • 7
      Désap.
      15 novembre 2016 à 15h04 / Répondre

      Le travail initiatique n’est-il pas alors réduit à sa plus simple expression, l’ouverture et la fermeture des travaux ?
      En subsidiaire : le rituel est-il maitrisé pour que l’on se dispense d’y travailler et lui préfère les sujets sociétaux ?
      Questions sincères dénuées de toute ironie.
      Bien Frat.

      • 8
        Azerty
        15 novembre 2016 à 15h46 / Répondre

        Parce que tu crois que « le rituel » c’est une fin en soi, c’est la tenue ?…
        Comme à la messe, réciter quelques incantations et puis tout va bien ?…
        T’es où là ?…

        • 9
          Désap.
          15 novembre 2016 à 16h14 / Répondre

          Ai-je parler de récitation ?
          Je parle de travail sur le rituel, sur son contenu,
          celui-ci est-il si simple que l’on puisse rapidement arrivée au bout de ses significations, particulière dans ses différentes étapes, globale dans ce qu’il exprime et où il mène, que l’on puisse le réduire à ses fonctions basiques d’ouverture et de fermeture des travaux.
          C’est ma question, elle me parait non seulement simple, mais comme précisé dénuée d’ironie.
          Peut-on simplement me répondre et non chercher à me faire passer pour un affreux intégriste qui irait à la messe ?

        • 14
          Colonne
          15 novembre 2016 à 22h53 / Répondre

          Mon cher Azerty, le rituel n’est certainement pas une fin en soi mais bien un début en soi.
          Comprendre ainsi que tout rite est constitué par un ensemble de symboles, et c’est pourquoi nous devons aller bien au delà de la représentation classique et habituelle que nous nous en faisons. Les symboles ne comprenant ainsi, pas seulement les objets employés (outils), ou les figures représentées (Tableau de Loge), mais aussi les gestes effectués (signes de reconnaissance, attouchements), ainsi que les paroles prononcées (rituel). Parce que le mot ne saurait être rien d’autre qu’un symbole de l’idée qu’il est destiné à exprimer. Aussi pouvons nous maintenant affirmer que cela concerne l’ensemble des éléments du rite sans exception, et par là entendre le rite, comme des symboles mis en action. Rite et symbole ne sont au fond que deux aspects d’une même réalité, qui n’est autre que la correspondance qui relie entre eux tous les degrés de l’existence, qui seule peut permettre une communication avec les états supérieurs de l’être.
          Attardons nous maintenant sur le mythe. Ayant ainsi rappelé le principe du symbolisme, il est d’emblée évident qu’il nous faut envisager celui-ci comme l’une des modalités de celui-là. En d’autres termes, si le symbole est le genre, le mythe en est une espèce. Les mythes, de même que les légendes de certains grades maçonniques, sont donc des récits symboliques au même titre que les paraboles, mais des récits qui ont ceci de particuliers, qu’ils gardent le silence. Et c’est dans l’étymologie que nous allons trouver les explications, puisqu’il existe une correspondance entre muthos (le mythe) et motus (muet). De même qu’avec le verbe muein (fermer la bouche). Quand à mueô, verbe dérivé de muein, il signifie ni plus ni moins, qu’initier aux mystères.
          Ainsi le mythe garde le silence puisqu’il est une des modalités du symbolisme qui par essence permet l’expression de l’indicible. Comprenons que dans le mythe, ce que est exprimé n’est pas du même ordre que ce qui est signifié, ce qui nous renvoie d’ailleurs à l’étymologie même du mot allégorie. Le mythe ne dit pas sciemment ce qu’il veut dire, il le cache pour mieux le suggérer, à quelques uns, là encore par correspondance analogique.
          En d’autres termes, le mythe garde le silence tout en parlant, ce qui confère une énergie particulière à cet oxymore, et c’est de là qu’il a reçu sa désignation. Et c’est pourquoi l’on peut dire que le mythe constitue véritablement, le langage même de notre démarche initiatique.
          Et c’est pourquoi il nous faut tenter en le travaillant de mieux le comprendre

  • 1
    Désap.
    15 novembre 2016 à 10h02 / Répondre

    « Bien sûr nous retrouvons la Bible dans les degrés supérieurs et nous savons que sa portée symbolique et son origine multiple dépasse la simple pratique religieuse. »
    :):) ainsi donc, cette « définition » ne serait pas accessible aux loges bleues ?
    On peut donc comprendre que lesdites loges bleues dispenseraient une approche trop basique pour lever le voile et ne pourraient envisager ce qui vient des religions que du point de vue religieux, d’où une certaine nécessité de ménager ces « débutants » au risque qu’ils s’offusquent qu’on leur imposât une conscience.
    Ah ! cette ploutocratie des « Hauts Grades », Dieu qu’elle est tenace ! (Dieu pris en tant que vocable et non selon son acception religieuse, pas de méprise !)
    Ma Cher Soeur, un certain nombre, pour ne pas dire un nombre certain d’années de pratique m’ont convaincu de ce que mes vieux Maîtres, jeunes hommes par excellence, m’ont toujours affirmé : tout est dit aux trois grades et celui de Maitre de la Loge, et même plus précisément : toute la Maçonnerie est délivrée lors de la cérémonie d’initiation et à l’instruction au grade d’Appt:. ; ce qui suit n’est que précision pour s’assurer le chemin et le Grade de Vénérable indispensable parce qu’une mise en pratique.
    « tout en sachant qu’une franc-maçonne équilibrée marche sur ses deux pieds et que son élévation spirituelle n’a de sens que si elle lui permet d’œuvrer dans le monde »
    dans le monde, justement, et non dans la Loge où sont acquis puis renforcer les principes qui permettront et devraient même encourager à un engagement actif et résolu au sein des organes de la Société, associations, partis politiques, Sénat, Assemblée, permettant l’indispensable progression vers l’humanité.
    Amener le débat sociétal dans la loge c’est la vider de sa substance, c’est la vider de sa fonction.
    Bien Frat.

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