170 ans

170 ans de Liberté(s)

Publié par Géplu
Dans Divers

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jeudi 9 mars 2017
  • 3
    JEAN VAN WIN
    9 mars 2017 à 23h28 / Répondre

    La statue en question est un faux. Elle a été demandée par les AP au sculpteur Geefs qui avait statufié le roi avec les décors de son Ordre dont on aperçoit encore le bijou derrière la main gauche du roi. Le ruban n’est pas composé de caractères cyrilliques (!!!) mais c’est un ruban de Kadosch remis à Geefs qui l’a sculpté la tête vers le bas. De plus, le ruban de Kadosch est celui d’un grade dit de vengeance ; ce qui signifie qu’il se porte de l’épaule gauche vers la hanche droite afin de soutenir un poignard. La copie de statue en question, qui est un faux remarquable en toutes ses facettes, montre un soi-disant ruban de Kadosch allant de l’épaule droite vers la hanche gauche. Avec les lettres CKS ayant la tête vers le bas…. Unique au monde.
    Quant au prince Frédéric (pourquoi lui ?) les intérêts économiques de certains ont entraîné cette « fidélité ».
    Et la fidélité à Léopold a suscité la loge « la Fidélité ».

  • 2
    WOLSEM
    9 mars 2017 à 17h19 / Répondre

    Il ne faut pas oublier qu’après l’indépendance de la Belgique, beaucoup de francs-maçons sont restés fidèles au prince Frédéric d’Orange-Nassau. C’est pourquoi le roi Léopold Ier a soutenu la création du Grand Orient de Belgique. Toutefois, l’attitude maçonnique du premier roi des Belges a toujours été très ambiguë ; s’il a bien été initié par un proche ami, membre de la loge « L’Espérance » de Berne en 1813, cela ne s’est pas fait dans la loge elle-même. En plus, il ne s’est jamais dévoilé auprès des francs-maçons belges. À la fin de sa vie, il détestait les francs-maçons. La statue de ce roi dans les locaux du Grand Orient est un peu folklorique. On le voit avec les décors du 30e degré juste à côté de la statue de Théodore Verhaegen.

  • 1
    JEAN VAN WIN
    9 mars 2017 à 11h02 / Répondre

    La Belgique, en tant qu’Etat, est née en 1830. De 1815 (Waterloo) à 1830, elle fut placée, par les Puissances qui avaient enfin vaincu Bonaparte, sous l’autorité du récent roi de Hollande, Guillaume 1er. Ces 15 années de protestantisme et de néerlandisation de nos régions furent racontées en détail par le professeur Jacques Willequet et font comprendre bien des choses. Notamment l’intense frustration puis la « renaissance » des vigoureuses troupes de militants catholiques, qui se redressèrent aussitôt que les Hollandais eurent décampé. L’action de Verhaegen fur une réaction à une réaction catholique, qui, à son tour, avait été aussi vigoureuse qu’insupportable.
    De nos jours encore, le roi assiste en famille chaque année à un Te Deum en la collégiale des Saints Michel et Gudule, et il s’agenouille aux pieds du pape lorsqu’il est reçu en audience au Vatican. Le roi des Belges qui fut ELU par les deux chambres, ce qui ailleurs, s’appelle un président…

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