Les Capenoules

Une tenue en Ch’ti à Vendin-lez-Bethune

Publié par Géplu
Dans Divers

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jeudi 19 octobre 2017
  • 20
    Chtilourchoise
    24 octobre 2017 à 14h09 / Répondre

    Et vive Le Cabaret Wallon Tournaisien !

    • 22
      Cafougnette
      25 octobre 2017 à 9h05 / Répondre

      Sé d’où euss bistrot ?

  • 15
    Lionel MAINE
    22 octobre 2017 à 20h04 / Répondre

    Une petite visite du site du CNRTL, Centre national de ressources textuelles et lexicographiques, vous éclairera.
    Bonne soirée.

  • 8
    Chtilourchoise
    19 octobre 2017 à 20h14 / Répondre

    Ne plus parler le rouchi, c’est le condamner à l’oubli, c’est comme pour la Tradition qui survit depuis plus de 300 ans, grâce aux paroles de rituels répétés depuis leur création. Les oublier ou les édulcorer n’est pas faire preuve de modernisme mais bien oublier l’origine de l’ordre auquel les frangin(e)s ont choisi d’appartenir. » Un mort n’est jamais mort tant qu’il reste un vivant pour parler de lui ». C’est pareil en matière linguistique tout comme en matière symbolique….
    Le film en question restera une caricature de l’esprit, de l’attitude propre aux gens issus de ces terres de Picardie, du Hainaut, des Flandres et de nos cousins wallons. Le picard et le rouchi sont les patois savoureux qui relient les habitants de par et d’autre d’une frontière administrative, comme un lien indéfectible du tempérament qui les anime.

    • 9
      Chicon
      20 octobre 2017 à 10h17 / Répondre

      Il est vrai que les patois locaux ou langues locales se perdent, sans doûte à cause de la télévision, de la radio , des journaux ( on dit maintenant « les médias » à Paris ). C’est dommage mais quand on voit ce qu’on peut faire d’une patois local en Catalogne, érigé en langue et imposé dans les écoles, on peut se poser des questions,

      • 10
        Lionel MAINE
        21 octobre 2017 à 12h03 / Répondre

        La langue catalane, un « patois local » … quel mépris !

        • 11
          PAPYGRINCHEUX
          22 octobre 2017 à 8h19 / Répondre

          Décidément ce Chicon pontifiant, et méprisant comme le dit Lionel n’en loupe pas une!
          La langue catalane est parlée sur une aire de 68 000 km2, habitée par 13 500 000
          personnes. Cette aire est actuellement divisée en sept territoires répartis sur quatre
          États : l’Andorre, l’Espagne — où se trouve la plus grande partie de la population et du
          domaine linguistique —, la France et l’Italie.

          • 12
            Lionel MAINE
            22 octobre 2017 à 14h39 / Répondre

            Au fait, le pseudonyme « CHICON », c’est bien du verlan et pas du « patois d’min coin », rassurez-moi !!!

            • 14
              Chicon
              22 octobre 2017 à 17h04 / Répondre

              (12) Chicon = Wittlof = Endive
              J’ignore les origines, désolé

          • 13
            Chicon
            22 octobre 2017 à 15h22 / Répondre

            Papy Grincheux : il y a plus de quarante ans que j’observe sur place la montée du  » catalisme  » arrogant. L’Enseignement o-bli-ga-tioire en Catalan a permis de créer une generation de purs Catalans a qui on apprend que Les « castillans » sont paresseux et profitent du travail réel des Catalans. Les independantistes avec la benediction d’intellectuels français, ficheront en l’air l’Espagne, qui n’est pas de son côté exempte de défauts.

          • 16
            Blazing Star
            23 octobre 2017 à 16h56 / Répondre

            (11) Papy Grincheux – Dans les 13.500.000 catalans que tu évoques il y a les 7.000.000 d’habitants du Val D’Aran qui dénient appartenir à la Catalogne. Ils ont même leur propre langue multi-ancestrale ( guide Vert ) et ont déclaré être étrangers à l’agitation intellectuelle actuelle ( Figaro) . Ils demanderont leur independence si cela continue.

            • 17
              chtilourchoise
              23 octobre 2017 à 18h54 / Répondre

              Ebinchébon !
              dire que d’parler du rouchi nous a emmenés en Catalogne!!!! restons français et balayons d’vant nos portes . . .
              L’ Français s’ra toudi un vrai coq qui restera l’seule biète capab’ de cocoricoter, ses deux pieds din l’brin!!!
              Et vive les Chti! ! !

            • 18
              PAPYGRINCHEUX
              23 octobre 2017 à 20h50 / Répondre

              @ BLAZING STAR 7.000.000 d’habitants dans le Val d’Aran ben dis donc! Ca c’est un « argument » sérieux! Et fiable! T’en as encore d’autres? Les Catalans du Sud ne s’en remettront pas! Ceux du Nord tremblent aussi: Llivia va annexer Perpignan si cela continue…le ridicule ne tue pas!

            • 19
              Chicon
              24 octobre 2017 à 9h49 / Répondre

              17 chtilourchoise . Version française de CM2 :
              « N’a pas grammin d’sous mé y bo com un trou »
              (il n’a pas beaucoup d’argent mais il boit beaucoup)
              « Lé katalans ché dé tchouck-tchouk d’là-bas ? »
              (Les Catalans c’est des mediterranens du sud ?)

            • 21
              Chicon
              24 octobre 2017 à 17h48 / Répondre

              (18) @Papygrincheux – Va voir en detail la Sagrada Familia, tout y « pousse de travers » dans cette allégorie de la nature oú apparaissent des symboles religieux et moraux au hasard du regard. Le divin émanant de l’homme et de la nature. Antoni(o) Gaudi était bien plus haut que les cris des independantistes. Va voir aussi la chapelle de la Colonia Guell et les toits de la Perdrera avenida de Grecia.

  • 6
    Chicon
    19 octobre 2017 à 15h52 / Répondre

    Pour ceux qui ont du mal à lire en « ch’ti », l’écoute en phonétique est beaucoup plus intelligible. Référez vous au film « Bienvenu chez les Ch’ti » pour voir si vous comprenez.
    Le Ch’ti est un usage dérivé du « patois » local ou « Picard ancien » (rouchi-picard) parlé dans les campagnes des Hauts de France (avec quelques variétés locales difficiles)
    C’est un patois imagé, toujours teinté d’humour :
    « elle ėtô bielle comme un oignon, chaque fois queuj la voyo, euj brayos » ( brayos = braire = pleurer ).
    « te ne sera jamais si fort qu’une mouque, te kira jamais au plafond »( mouque=mouche , kira=chiera=déféquer)
    Traduire du français en « chti » est moins simple que l’inverse.

    • 7
      Chicon
      19 octobre 2017 à 18h36 / Répondre

      Français, Belges, rassurez- vous , en Haut de France on parle français partout ( en Chti seulement quand on abuse de la bière ou du carnaval )

  • 4
    Chtilourchoise
    19 octobre 2017 à 15h27 / Répondre

    Cha ché un’ bonn’idée ! ! ! ya bin l’rituel bin connu de Pierre Dac et pratiqué un’ fo l’an à Troyes !
    Mi, j’dis que d’èt un frangin cha n’impêche pas d’savoir rigolé tout in faisant les choses sérieusement sans s’prindre au sérieux!!!!
    Ché l’principe du carnaval : un’ fo l’an, tout yé cul padesus tiète !
    Pour mi, cha n’sera point possib’ ed’ialler mais j’auro bin voulu vire et intinde cha ! ! !

  • 3
    ERKAN N.BULENT
    19 octobre 2017 à 14h57 / Répondre

    Dors, min p’tit quinquin,
    Min p’tit pouchin, min gros rojin
    Te m’f’ras du chagrin,
    Si te n’dors point j’qu’à d’main

    • 5
      GépluAdministrateur
      19 octobre 2017 à 15h46 / Répondre

      Merci Erkan,
      Pour les non ch’ti, il s’agit là du refrain de la plus célèbre berceuse du Nord, « l’ (la) canchon dormoire » écrite en 1853 par le lillois Desrousseaux, appelée aussi « le p’tit quinquin ».
      On peut l’écouter ici :
      https://www.youtube.com/watch?v=op51lUE5QZQ

  • 2
    Mostar
    19 octobre 2017 à 9h56 / Répondre

    cha devro tout di ette bien….!

  • 1
    Lionel MAINE
    19 octobre 2017 à 7h47 / Répondre

    Manquo pu k’cha !!!

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