Speed Debating

Un « Speed-debating » maçonnique à Blois

Publié par Géplu

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jeudi 1 février 2018
  • 8
    marmott
    2 février 2018 à 10h53 / Répondre

    La GLFF et la GLDF sont actuellement gérées par un petit noyaux de communicants incultes dont les seuls objectifs sont: faire du buzz, vendre des bouquins, faire du fric.
    Il est temps que les vrais maçons mettent ces gens là dehors et que l’on revienne à une sincère démarche initiatique.

  • 4
    Désap.
    1 février 2018 à 19h02 / Répondre

    « Speed-débating » ??? !!! ??? et pourquoi pas bientôt un « speed-initiating » pendant qu’ils y sont ?? !!!.
    Non mais vraiment, ça devient proprement révoltant ce galvaudage, cette vulgarisation, cette dénaturation permanente.
    Et que vont-ils expliquer de la Maçonnerie ces crânes d’oeufs, je vous le demande ??
    Il n’y a rigoureusement rien qui soit explicable, justement, ou bien ce serait une religion, mais comme les 33è font maintenant soit de la politique, soit de la religion parce qu’ils ne comprennent plus rien d’autre que la notion bien métallique « d’effectifs », ils font donc de la « speed-couillonading »
    « Ne jetez point de roses aux pourceaux » oui, eh bien maintenant ils sont dans la place et ce sont eux qui les jettent.
    La FM obédientielle devient un groupement d’entreprises, c’est débile.

    • 10
      Picoloo
      5 février 2018 à 11h19 / Répondre

      C’est dur de vivre avec son temps mon cher DESAP…

      Mais, ne t’inquiètes pas… il n’y a pas encore d’application « égrégore » pour apple ou android…

      • 11
        Désap.
        5 février 2018 à 17h44 / Répondre

        Mouais ……………..
        Le Temps n’ayant qu’une utilité normative et aucune réalité dynamique, bien au contraire, s’en extraire est l’objet de la Tenue !, « vivre avec son temps » n’a aucune signification.
        Si tu fais partie des organisateurs du « speed-débating », tu vas donc raconter des sornettes aux curieux …………………….
        Tant mieux ! mais en as-tu conscience ? 🙂 🙂
        Bien Frat.

        • 12
          Picoloo
          15 février 2018 à 15h07 / Répondre

          MTCF DESAP,
          Je ne fais pas partie des organisateurs.
          Mais force est de constater que le « speed-debating » s’adresse aux profanes qui eux, vivent dans le temps présent.

          Je te l’accorde, la formule peut faire débat, mais elle s’adapte aux modes de communications actuels…. et entre-nous mieux vaut un « speed-debating » qui se conclura avec des échanges avec des SS et des FF locaux que de laisser les profanes surfer au gré des médias et lire/voir/écouter le meilleur et surtout le pire !!!

          Bien à toi
          Picoloo

  • 1
    JJL
    1 février 2018 à 10h04 / Répondre

    Rencontres informelles aurait été plus valorisant qu’un anglicisme à la mode.
    Ce n »est pas comme celà que l’on défendra la langue française

    • 2
      Tartuf_rit
      1 février 2018 à 15h31 / Répondre

      Pas faux

    • 3
      Chicon
      1 février 2018 à 15h38 / Répondre

      Défendre la langue française alors que la franc-maçonnerie GLFF défend un français sans orthographe, sans genre, c’est un non-sens. Un anglicisme pur jus c’est moins grave qu’un français dénaturé et incompréhensible.

      • 5
        lazare-lag
        1 février 2018 à 21h13 / Répondre

        Défendre la langue française, point.
        Ce que fait la G.L.F.F. par rapport à la langue française est finalement, me semble-t-il, assez secondaire.
        Car ce n’est ni la G.L.F.F. ni une autre obédience d’ailleurs qui auront – seules – un effet positif sur notre propre langue.
        A mon sens, mais je ne suis pas linguiste, ce n’est pas une question d’anglicisme certes acceptable face à un français dénaturé.
        Mais pourquoi s’agirait-il ici forcément de français dénaturé?
        Par contre pourquoi accepter de se laisser aller à employer des expressions anglaises? Par facilité? Par lassitude? Par paresse langagière? Par effet de mode ou de snobisme creux? Par démission par rapport à notre propre langue?
        Il me revient un exemple canadien.
        L’an passé les actualités, pour différentes raisons politiques, ont su nous parler de l’accord économique et commercial passé entre l’Union Européenne et le Canada. Cet accord semble être passé à la postérité sous l’appellation d’accord C.E.T.A.
        Or C.E.T.A. n’est que l’abréviation anglophone de cet accord. En français cet accord économique commercial et global a pour abréviation A.E.C.G. Que ni la presse, ni nos politiques, ni nos économistes n’utilisent. On se demande vraiment pourquoi.
        Encore une paresse d’écriture ou de langage peu glorieuse pour nous français.
        Ce que je veux dire, pour avoir eu sous les yeux sur ce sujet des documents canadiens, c’est que vous ne trouverez jamais le terme C.E.T.A. dans un document officiel québécois.
        Il est quand même malheureux que dans un accord unissant l’Union Européenne (dont la France est membre et pays fondateur) et le Canada (dont le Québec est une composante minoritaire), ce soit le Québec qui défende l’usage de la langue française, alors qu’en France on capitule à le faire.
        On pourra expliquer mièvrement par toutes les arguties fumeuses ce penchant vers du vocable anglais, quand notre langue est riche pour qui veut faire l’effort d’y recourir, on en revient toujours au précepte de départ:
        Défendre la langue française, point.
        Et non pas défendre la langue française, mais…

        • 6
          Chicon
          2 février 2018 à 10h35 / Répondre

          (5).cher lazare. Le français est concurrencé par l’anglais et l’espagnol sur la planète. L’anglais marque des points car c’est une langue facile à apprendre. Tous les pays d’Europe dite du Nord, parlent anglais en plus de leurs propres langues. Avec l’anglais tu « passes partout » dans le monde me dit ma femme qui est hispanisante…Nous français, nous sommes « crasses » en langues étrangères.

          • 7
            Chicon
            2 février 2018 à 10h42 / Répondre

            Au 18ème siècle, l’Europe parlait français, au 20eme siècle elle parlait anglais.
            Cela n’empêche que le français ait une littérature vivante et plus nuancée que l’anglais.
            Mais c’est l’économie qui impose sa langue aujourd’hui, la plus simple possible.

        • 9
          astronome64
          2 février 2018 à 11h37 / Répondre

          @lazare un bouquin assez ancien (1965??): Parlez vous vous Franglais d’etiemble reste d’actualité..hélas..

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