Le Rite « égyptien » de Memphis Misraïm

Publié par Jiri Pragman

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jeudi 10 mars 2011
  • 23
    Louxor
    22 mars 2011 à 20h16 / Répondre

    A tout ce qui vient d’être dit, je voudrais évoquer la place et la fonction d’un egregore.

    Changer, modifier un rituel n’a pas forcément pour conséquence l’altération du Rite.
    En revanche, modifier un egregore, peut totalement bouleverser ce même Rite alors que l’on se sera contenté de lègères « retouches ». En apparence tout au moins…

    Il me semble que cette dimension – celle d’un egregore- doit être prise en compte, à mon sens, pour entrevoir sa fonction éminente dans la conduite des travaux et que dès lors, une autre chaîne, invisible celle-ci, se double en des plans plus subtils…
    Une patente n’a aucune valeur si elle ne nous relie pas à ces Maîtres du Passé, ou Veilleurs, qui surent capter et retransmettre l’Esprit dont ce Rite est vecteur et auxquels nous nous associons régulièrement…

    La connaissance de l’Histoire du Rite, de ses méandres et de ses résurgences, me semblent tout aussi déterminante dans l’accomplissement de soi, que l’étude du rituel.
    Il est à redouter grandement que la chaîne soit rompue et, au demeurant, cela nous est dit.

    Est-ce sur quoi, à notre tour, nous devons Veiller pour que jamais cela ne soit ?

  • 22
    Ignaz Von Born
    17 mars 2011 à 19h26 / Répondre

    Sages paroles apprenti !

  • 21
    apprenti
    17 mars 2011 à 10h26 / Répondre

    De toutes façons, il n’y a pas un rite qui n’est pas été remanié et réécrit de nombreuses fois. Le frère qui cherche à comprendre comment s’élabora le rite qu’il pratique à de quoi être perplexe. Car nous sommes obligés de constater que tous nos rites (quels qu’ils soient) se sont formés en recueillant des débris d’autres rites. Aujourd’hui ils relèvent tous du patchwork auquel le maçon en mal de filiation antique attribue une cohérence a posteriori. Parce qu’il veut avoir l’impression d’appartenir à une grande lignée ancestrale.

    Vouloir prouver qu’un rite est saugrenu ou fantasque, en démontant mécaniquement tous les errements de son histoire n’avance à rien (Je ne dit pas que c’est ce que cherche à faire ce livre, mais c’est souvent ce que l’on cherche à reprocher aux rites égyptiens). C’est là encore confondre le contenant et le contenu. Là n’est pas l’essentiel. A contrario un rite dont la filiation historique est impeccable (y en a t-il ?) peut être devenue une coque vide si il n’est pas pratiqué, vitalisé, par des maçons réceptifs (et travailleurs).

    Les rites égyptiens n’échappent pas à cette règle, ils ont étés l’objet de multiples réécritures, et le sont encore aujourd’hui. Régulièrement nous recevons des addendum des petits rectificatifs (anodins, mais quand même présents) sur nos rituels. Un mot par ici, une virgule par là. Il se bonifie. Un vin vieilli en fût de chêne qui aurait libéré ses arômes et ses vertus au fil de ses transformations serait-il moins intéressant qu’au moment où il y a été placé fraîchement pressé ?

    Pouvez-vous travailler avec un rite réécrit et remanié ?
    Perd t-il de son impact sur le « moi » pour autant ?
    Votre rite agit-il sur vous ?
    C’est à mon sens, la seule question légitime au regard de son efficacité ou de sa pertinence.

    Mais j’ai peut-être une vision trop simpliste (naïve) des choses.

  • 20
    Baptiste
    17 mars 2011 à 8h40 / Répondre

    @Ignaz : A quels Rose-Croix ? Il y a 36 groupes de soit disant Rose-Croix dont la filiation est heu … interrogeante.
    Les Rose-Croix ont-ils jamais existé en dehors du grand bluff des affiches placardées dans Paris ?

  • 19
    Ignaz Von Born
    17 mars 2011 à 6h35 / Répondre

    Ne le doit-on pas aux Rose-Croix ?

  • 18
    lanterne
    16 mars 2011 à 23h41 / Répondre

    bonsoir à tous,

    petite précision, le REAA c’est 1801 ça fait quand même une différence avec 1870, mais là n’est pas vraiment le problème, pour une raisont simple, c’est que les rituels à l’époques changent beaucoup et chacun se les approprie, par exemple certains grades du REAA tirent leur source de rituels pratiqués autour de 1730 alors qu’il n’est pas question de REAA, ce qui fait que si l’origine historique du REAA en tant que tel est précis, ses rituels eux sont plus anciens et se trouvent même dans d’autres nomenclature de grade comme justement celle de misraim, donc il est à mon avis risqué de s’aventurer à vouloir les hiérarchiser…

    d’autre part les rituels de misraim des 3 premiers grades n’ont strictement rien à voir avec ceux pratiqués par les memphis-misraim d’aujourd’hui, pour misraim (rite seul) je ne peut l’attester mais il est probable qu’ils soient différents aussi.
    si lors de tes visites il y a des « assesseurs » à la place des surveillants alors peut être qu’il s’agit du rituel de misraim, sinon il s’agit d’un rite plus recent, penses à faire attention à cet aspect à ta prochaine visite.

    Enfin quand à dire que cagliostro est à l’origine du rite, il s’agit là d’une croyance largement répendue certe par R.AMBELAIN mais qui s’étiole tous les jours un peu plus, les éléments d’histoires tendant à démontrer plutôt que cagliostro à puiser dans un milieu commun à celui d’où est issu le rite de misraim, ce qui est très différent.

    voilà en espérant vous avoir apporter quelque chose…

    A+

  • 17
    Humour !
    16 mars 2011 à 22h18 / Répondre

    Le Chat demande ça à Le Chien !!! A quand la Souris, le Hamster et le Cochon d’Inde ?!

  • 16
    Le Chat
    16 mars 2011 à 20h43 / Répondre

    Je trouve aussi agréable la tribune ci-dessus qui s’exprime agréablement. J’aime aller visiter les rites égyptiens et tout particulièrement à Misraim (Levallois). Et m’interroge : Misraim a posé son rite, via Cagliostro, vers 1782-86 en Italie (1804 en France) et, le REAA seulement vers 1870. Qui se sera inspiré de l’autre ? Merci à vous mes frères.

  • 15
    Fox7ans
    12 mars 2011 à 21h17 / Répondre

    Il est assez agréable et plutôt intéressant d’entendre parler des rites egyptiens comme le fait ici Apprenti (et les autres).
    Ca change des c… de quelques’uns et ça montre qu’on peut être un maçon ‘normal » et pratiquer les RE.

  • 14
    Jacques Courtois
    12 mars 2011 à 9h46 / Répondre

    Pour fréquenter assidûment ce blog, je trouve que les deux post d’apprentis comptent parmi les meilleurs ! C’est « frappé au coin du bon sens » et bienvenu dans ces temps tumultueux ! Merci à lui.

  • 13
    Le Chien
    11 mars 2011 à 19h02 / Répondre

    tu me rassures Apprenti, je t’avais mal lu ! J’ai à apprendre de toi !

  • 12
    alkemia
    11 mars 2011 à 19h00 / Répondre

    pour bandit:
    le rite du crata repoa se trouve sur le net , il parle d’initiation et c’est plus important a mon avis que l’origine supposée du rite car comme le dit Apprenti ce qui importe ce sont les changements qu’opère le rite en soi …

  • 11
    Jiri Pragman
    11 mars 2011 à 14h12 / Répondre

    avoir un avis pragmatique (et non pragmanien) : j’aime !

  • 10
    apprenti
    11 mars 2011 à 14h10 / Répondre

    @LeChien

    Je pense qu’il faut faire là un distingo (scolastique), entre ce que les précédentes interventions sur ce post appellent une filiation (authentique et patenté) et ce que tu appelles la tradition (celle qui se perpétue depuis l’Egypte antique). Pour autant nous pouvons avoir un avis pragmatique (et non pragmanien) sur l’histoire de l’ordre qui est né au 18è. Une approche historienne dirons-nous. Autant je suis le premier à me revendiquer de cette lointaine tradition initiatique (que tu appelles la sève). L’un n’empêche pas l’autre.

    Il faut séparer le subtil de l’épais. L’enveloppe « franc-maçonnerie » n’est pas la tradition véhiculée par la « franc-maçonnerie ».
    Et nous devons faire attention de bien préciser à chaque fois si nous parlons de l’une ou de l’autre.

    En ce qui concerne la sève, attention à ne pas trop nous y fixer. La sève, le sang, ce sont nos ancêtres, c’est notre hérédité horizontale. Ce qui transporte le phlègme et la tête morte. Si nous voulons parachever le grand œuvre, il faut séparer les principes subtils. Il faut nous en débarrasser de cette sève pour ne conserver que notre hérédité verticale. Le lumineux.

    Il faut savoir cueillir cette « tradition » séculaire. Mais être honnête devant les faits historique. Nous parlions là de filiation de papier. J’espère ne pas être aussi loin de l’essentiel que ce que tu sembles croire. Mais je travaille, je travaille.

  • 9
    Le Chien
    11 mars 2011 à 13h24 / Répondre

    Sans sève car sans racines… Ne tournez pas le dos à la Pierre.

  • 8
    Le Chien
    11 mars 2011 à 13h02 / Répondre

    Bleu-Ciel :

    La Franc-Maçonnerie nous vient directement d’Ecosse via l’Angleterre et tout ce qui concerne l’Egypte a été emprunté par des frères qui ont voulu élargir le champ d’investigation du symbolisme….au petit bonheur la chance…parfois!

    Apprenti : Tout comme l’on sait que nous ne venons ni des templiers, ni des bâtisseurs de cathédrales.

    Il est vrai que la Franc-Maçonnerie, fonctionnarisée à souhait, d’aujourd’hui n’a plus rien à voir avec la source de l’Initiation !
    Bleu-Ciel et Apprenti, je vous rejoins sur ce point la F.M. du 18ème siècle n’était déjà plus dans la veine véritable de l’Initiation !
    Affirmer que vous n’avez rien à voir ni avec l’Egypte, ni avec les Templiers et les bâtisseurs de Cathédrale
    ne vous empêchera peut-être pas de vous rapprocher de la Sagesse, mais vous privera de l’essentiel : approcher la Parole Perdue.
    Je vous invite à vous rendre à Amiens, sur le parvis de Notre-Dame et méditez-y : ici vous pourrez véritablement Vivre le V.I.T.R.I.O.L. !
    L’Egypte est inscrite dans les pierres de Notre-Dame d’Amiens (encore faut-il prendre le temps de la déchiffrer) ; les templiers ont inscrit leur empreinte au coeur-même de Notre-Dame (encore faut-il prendre le temps de la pénétrer) ; et
    les loups-passants (ceux de ma race) ont oeuvré à Notre-Dame et comme dans toute l’Europe d’alors (Au 14ème siècle,l’Ecosse a été leur dernière étape ou plutôt leur dernier refuge ; au 8ème siècle, l’Egypte agonisante sous le dogme islamiste leur point de départ ). Puis les initiés opératifs se sont fait spolier par leurs « homologues » spéculatifs qui eux-mêmes se font actuellement spoliés par les administratifs (cf : GLNF, GO)…
    Vous faîtes de bons maçons… sans sève.

  • 7
    bandit
    11 mars 2011 à 11h54 / Répondre

    il me semblais avoir lu que:
    « En 1640 dans les régions de Montauban et d’Avignon, circulaient sous le manteau des traités d’Alchimie gardés dans les associations compagnoniques parmi les « acceptés » non opératifs. Également circulait un traité secret d’initiation Égyptienne qui contenait des allusions transparentes au « Grand Œuvre ». Ce même traité vers 1760 fut connu dans les milieux maçonniques allemands sous le nom de Crata Repoa où on le considérait comme une véritable initiation égyptienne. »
    si mes infos sont erronées, merci d’éclairer ma lanterne.

  • 6
    fluo
    10 mars 2011 à 21h49 / Répondre

    Vos différents commentaires à tous m’ont donné envie de visiter à nouveau une Loge que je connais et qui entretient de bons rapports avec la mienne, je l’avais visitée avec des Maîtres de mon Atelier, mais, encore tout jeune Apprenti, je n’avais pas assez profité du Rituel. Ce que dit Lanterne est intéressant, parce que, et à moins que je me trompe, j’ai trouvé quelques similitudes entre le Rite de Memphis Misraïm et le REAA. Et je constate, à tous vous lire qu’il existe de nombreuses façons (je n’oserai dire « d’écoles ») pour aborder le Rituel, notamment par l’allusion de Jean-Pierre, à de vieilles querelles de chapelles….

  • 5
    lanterne
    10 mars 2011 à 18h45 / Répondre

    Je partage complètement l’avis de « apprenti »,

    en fait avec le recul et au regard de manuscrits originaux (tout à fait accessibles) on se rend compte que le système est monté à partir de rituels déjà en vigueur ailleurs, en particulier pour les hauts grades qui reprennent la nomenclature du REAA dans bien des cas, avec quelques différences de forme plus que de fond. d’ailleurs dès l’origine il en est ainsi, seul la place du grade et son « numéro » étant différent, chacun réécrivant un peu ses rituels en fonction de la direction voulue.
    un très bel exemple est l’évolution du rituel du 18eme degré écossais ou chacun pourra noter les différences entre celui d’origine et celui pratiqué aujourd’hui.

    Il y a néanmoins quelques exceptions rituelles ou l’on trouve des origines de rites plus spécifiques comme ceux du baron tchouddy par exemple, pour le 28 comme au REAA mais surtout pour le 18ème version ambelain , qui fut d’ailleurs rarement pratiqué (remplacé par le 18 REAA), ce qui fait qu’on peu parler d’un rite plus « méditéranéen » qu’égyptien effectivement puisqu’on sait que tchouddy à probablement été infulencé par son séjour en italie.

    une différence notable toutefois pour une des branches du rite de MM qui pratique le mythe d’osiris en lieu et place du mythe d’hiram ce qui est plus cohérent au regard de la prétention du rite qui est de se présenter comme un courant « egyptien », néanmoins ce fut au prix d’une certaine marginalisation vis à vis de la maçonnerie « officielle », ce rite n’est donc pratiquement pas pratiqué en france, j’ai eu la chance de le pratiquer et de le transmettre également et c’est vraiment un degré qui mériterait toute l’attention de nos Frères « egyptiens », plutôt que de se chamailler pour des histoires de filiations et de pseudo hiérophanies.
    certains seraient ainsi bien inspirés de se pencher sur tout ces rituels afin de mettre les choses vraiment en ordre de façon cohérente plutôt que de suivre un cursus « écossais » sous couvert d’une appellation égyptienne, car honnêtement si c’est pour faire la même chose autant s’affilier ailleurs …mais ce n’est qu’un point de vue.

    enfin une petite mention pour les fameux Arcana Arcanorum (les derniers grades d’origine), qui furent en réalité la seule vrai raison de la création du rite de misraim, avec le recul et là c’est un avis personnel, je pense que les créateurs de ce système avait pour ambition de chapeauter toute la maçonnerie en proposant un système supérieur à tout ce qui avait été fait jusque là, on est au milieu du 18ème siècle et la maçonnerie n’est pas complètement organisée, ce rite est sortie miraculeusement tout droit de la noblesse italienne plus particulièrement autour du prince raimondo di sangro qui était le patron de la maçonnerie, mais la suite devait faire avorter l’entreprise…

    du coup bien plus tard en France a été ramené un rite dépourvu de rituels ou presque, et comme prévu il fut l’objet de convoitises diverses comme l’histoire le montre, notamment de la part du grand orient, la vie de ce rite à donc toujours été d’apparaître et de disparaître au gré des évènements, sans jamais accomplir le destin qui était le sien…et qui ne le sera probablement jamais..

    à bientôt

  • 4
    apprenti
    10 mars 2011 à 14h31 / Répondre

    Pour être c’est vrai tout à fait clair et honnête, il n’y a d’Egyptien dans ce rite (celui que je pratique) que le nom. Juste peut-être certaines allusions au mythe d’Osiris et de sa résurrection que l’on peut subtiliser à Hiram. Sinon dans sa praxis, Memphis, misraïm ou Memphis-misraïm est plutôt un savant mélange de traditions grecques, latines, arabes et juives. Toutes condensées dans ce que l’on pourrait nommer l’hermétisme (les sciences d’Hermès).

    C’est donc plus un rite « méditerranéen » qu’Egyptien. L’Egypte n’est là que pour servir d’archétype ou de catharsis symbolique. (Tout comme l’on sait que nous ne venons ni des templiers, ni des bâtisseurs de cathédrales.)

    Mais c’est là quelque chose que l’on savait déjà. Rien de nouveau sous le soleil.

    Et effectivement des fous aussi bien que des cherchants lumineux s’y sont côtoyés.
    Les rites Egyptiens sont des rites marginaux, minoritaires, mal compris. Pas grave. C’est même ce qui les rends beaux.

    Sinon pour tout ce qui est filiations, patentes et autres transmissions, en toute sincérité, je m’en cogne un peu.
    La seule tradition dont j’ai besoin est celle de mon cœur. Mes travaux modifient des choses en moi ? Des changements subtils s’opèrent ? Alors je suis dans la bonne voie, celle d’Hermès. Celle de l’homme libre. Peut importe le souverain sanctuaire, les hauts grades et les détenteurs du rite. Je ne les écoute que très peu. Ils fixent le cadre, mais il n’y a pas de dogme, ou d’orthodoxie. C’est un chemin de liberté.

    Voilà, j’ai dit ce que j’avais à en dire.

  • 3
    Jiri Pragman
    10 mars 2011 à 10h51 / Répondre

    Certes mais, d’un autre côté, il n’y a pas de raison que je ne critique pas ce livre et que je fasse pas allusion à d’éventuels manques ou questions qui resteraient en suspend. C’est vrai que j’aimerais parfois disposer d’un avis non partisan sur ces filiations, patentes et autres transmissions.

  • 2
    Jean-Pierre
    10 mars 2011 à 10h38 / Répondre

    Cher Jiri, ne crains-tu pas de rallumer le vieux débat sur la légitimité (ou l’illégitimité) des filiations et patentes dans la nébuleuse « Memphis-Misraïm » 😉 ?

  • 1
    Bleu-Ciel
    10 mars 2011 à 9h56 / Répondre

    Il faut rappeler comme le rappelle justement Rogez Dachez dans ses écrits et dans ses interventions que nous n’avons aucune relation directe de transition avec l’Egypte.La Franc-Maçonnerie nous vient directement d’Ecosse via l’Angleterre et tout ce qui concerne l’Egypte a été emprunté par des frères qui ont voulu élargir le champ d’investigation du symbolisme….au petit bonheur la chance…parfois!
    Tout bon historien des origines de la Franc-Maçonnerie ne pourra pas dire le contraire dans l’état actuel des recherches et des manuscrits à notre disposition.

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