Le Frère de Sang

Publié par Jiri Pragman
Dans Edition

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jeudi 31 mai 2007
  • 5
    Jakin
    24 février 2013 à 19h42 / Répondre

    Je viens de me delecter de la lecture du frère de sang (en édition de poche) et il m’a semblé y détecter une autre anomalie: en effet, à la fin du chapitre 121, Marcas découvre l’identité du tueur dans les archives de l’obédience (« Alexandre Hautefort, marié, deux enfants »). Un peu plus loin (ch.41, 110 et.123) il est question d’un seul fils (mort tragiquement).

  • 4
    Jean-Georges D'Ancoisne
    27 juin 2007 à 16h24 / Répondre

    Concernant la coquille de saint Jacques sur le bâton de marche, il est exat que le pélerin ne pouvait la porter qu’au retour. Toutefois rien n’indique que ce soit son premier voyage… Certains pélerins se contentaient d’une coquille sur le bâton, d’autres en ajoutaient à chacun de leurs voyages.

  • 3
    Phileas.Frog
    16 juin 2007 à 15h49 / Répondre

    J’habite un village des Landes et je vois souvent passer des pèlerins qui se rendent à Santiago. Il n’est en effet pas rare d’en voir qui portent sur leur bagage une coquille de St Jacques.
    Salut et Fraternité
    Phileas

  • 2
    jacques ravenne
    8 juin 2007 à 10h12 / Répondre

    Il est exact que seuls les pélerins qui avait atteint Saint Jacques avait le droit – moral – de porter la fameuse coquille, symbole du pélerinage réussi. Toutefois, cette règle a conu des exceptions justement pendant la guerre de Cent ans. Pour traverser les troubles et les combats sans trop d’entraves, les pélerins se munissaient préalablement d’une coquille ce qui leur assurait une certaine impunité… Souvent la coquille était offerte par un ancien pélerin

  • 1
    Stéphane
    31 mai 2007 à 17h56 / Répondre

    Incidemment, Jiri, tu n’es donc plus médecin-légiste, comme dans l’une des précédentes aventures du Commissaire Marcas 😉

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