Exploration du temple maçonnique à la lumière de la kabbale

Publié par Jiri Pragman
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lundi 17 décembre 2007
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  • 15
    Diallo Youssouf
    8 juin 2018 à 16h04 / Répondre

    Comment obtenir le livre de André Binzimra?

  • 14
    saincilus dartive
    27 juin 2011 à 20h43 / Répondre

    je suis dartive saincilus franc macon de la grand loge d’haiti de 1961 orient de delmas ,dirige pas grand maitre Ary louisaint ,je veux sa voir plus d’information sur la franc maconnerie des usa.

  • 13
    gonzalez blanca
    30 janvier 2010 à 12h58 / Répondre

    [tout à fait d’accord que la kabbale est une forme de penser individuelle,néanmoins restons les uns et les autres des Francs-Maçons évéillées face aux problèmes qui nous entourent et nous dire surtout comme disait Albert EINSTEIN « Le mondeest dangereux non pas à cause de ceux qui font le mal,mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire »

  • 12
    Alain
    15 août 2008 à 21h18 / Répondre

    Il est évident qu’il ne faut pas tout mélanger…la Franc Maçonnerie n’est pas la Kabbale et le Kabbale n’est pas la F.°.M.°….Mais, on peut dire que la Kabbale a nourri la Maçonnerie, comme elle a nourri le Judaïsme, le Christianisme et l’Islam. Les codificateurs en puisant dans notre culture judéo-chrétienne, en faisant référence au Temple de Salomon, en jalonnant les rituels de mots hébraïques ont nécessairement attirés le cherchant dans la voie de la Kabbale…Il suffit d’analyser les mots hebreux utilisés pour se convaincre qu’ils ne sont pas là par hasard et qu’en développant la symbolique des lettres (hebraïques) qui les composent et leur valeur numérique, on s’aperçoit très vite, que nous retrouvons dans ces mots le fond des rituels. On peut vivre son parcours maçonnique sans s’intéresser à la Kabbale, oui c’est vrai…Mais la relecture de nos rituels à la Lumière de la Kabbale reste pationnante…Ceci dit!..je n’ai pas lu encorele livre de M.BenZimra…Mais ce genre de sujet m’interpelle et son livre peut probablement apporter un plus au cherchant que doit être un maçon…
    (…)

  • 11
    Philippe
    18 décembre 2007 à 8h13 / Répondre

    Les décors sont probablement venus enrichir avec les rites par couches successives le noyau initial venant des métiers au fur à mesure que des couches dominantes plus intello des sociétés se sont servies de ce noyau.
    Faut-il toutes ces fioritures pour être un être bon ?
    Dans un labyrinthe d’artifices le risque de se perdre en activités très occupationnelles est grand est peut être grand ?
    Est-il certain que la réponse soit oui ?
    Mais tout cela attire les êtres épris de mystères remplis d’artifices.

  • 10
    Yack
    17 décembre 2007 à 23h13 / Répondre

    Je regrette mais, certes sans être moi même Kabbaliste, quand j’entre « Jachin Boaz Arbre de Vie » dans un moteur de recherche, les résultats sont là.

    Peut-être des sites fantaisistes, je n’ai pas assez de connaissances en ce domaine pour le déterminer.

    Bien amicalement

    Yack

  • 9
    Philippe
    17 décembre 2007 à 20h30 / Répondre

    « La seule maçonnerie qui compte est celle des bâtisseurs spécultatifs ayant les pieds sur terre. » ;;; et qui ont été chercher leur inspiration chez ceux qui mouillaient leur chemise ayant un métier qui associait pour sa pratique la synergie « chair et cerveau » et non uniquement un cerveau spéculatif.

    Ceci dit on peut très bien observer ces choses avec la loupe du kabbaliste, c’est autre chose. Les amis de religion juive sont-ils tous kabbalistes ? Dans ma petite expérience, absolument pas !

    On peut même observer cela du haut de son destrier en jouant au chevalier.

    Pour lire il y a des lunettes pour tous les goût.

  • 8
    jeje30
    17 décembre 2007 à 20h27 / Répondre

    Jakin et Boaz sont les deux piliers du temple de Salomon et non pas de l’arbre de vie; en revanche « Sagesse, Force, Beauté » qui sont les colonnettes que l’on retrouve dans les rites spiritualistes et qui portent effectivement le nom de trois sephira. (Hasard?)
    L’arbre de vie ayant d’ailleurs trois colonnes (Miséricorde, « Equilibre » et rigueur et chacune des séphira (Sagesse = Miséricorde, « Equilibre = Beauté, »Force= Rigueur ».)

    Certains voudraient faire coïncider les postes d’officiers au dix sephira; là c’est pousser l’analogie un peu loin. Et cette approche là manque à mon avis de pertinence. Faire correspondre le vénérable maître à « kether », la couronne qui représente la manifestation de l’inconnaissable chez les juifs ; c’est faire du vénérable maître une sorte d’émanation divine, guère satisfaisant pour l’ego.

    Certains rites font figurer la bible sur leur autel; la Kabbale est l’étude ésotérique de la Bible. L’approche maçonnique s’apparente donc à une approche kabbalistique. (KBL signifiant par ailleurs « réception ou recevoir ») Ne reçoit on pas la lumière lors de l’initiation ?. Pour les amateurs de raccourcis faciles; je n’ai pas dit la franc maçonnerie est kabbalistique.

    Le point commun entre la Kabbale et la Franc maçonnerie est que les deux sont des herméneutiques et que la Franc-maçonnerie empruntant des symboles judéo -Chrétiens; elle « laboure » le même terrain que la mystique juive.

    En revanche, et pour être clair ; la Franc-maçonnerie n’est pas kabbalisitque. Que certains des éléments du temple ou même des rituels y fassent référence ; cela ne fait aucun doute (point de vue personnel). Mais ce sont des références indirectes liées au fait que les deux « apprentissages » présentent à la fois des points commun dans la forme (herméneutique) et dans le fonds (même texte de référence…)

  • 7
    Yack
    17 décembre 2007 à 19h29 / Répondre

    Chers Amis,

    Le modeste profane que je suis rappelera à ses Amis Maçons, avec ses bien maigres connaissances que les deux piliers de l’Arbre de Vie en Kabbale sont aussi Jachin et Boaz.

    Un jour, un Ami m’avait montré le livre « la Symbolique Maçonnique » par Jules Boucher, ouvrage de référence paraît-il parmi les Maçons s’intéressant de près aux symboles. Les mêmes comparaisons entre l’Arbre de Vie et la Maçonnerie y sont tenues.

    Oui, c’est vrai, la Kabbale « est à la mode », et on retrouve aujourd’hui quelques « farfelus » qui s’improvisent kabbalistes, mais, dans le fond, c’est un ensemble de pratiques que l’on retrouve dans la religion Juive depuis déjà très longtemps, et je ne pense pas pour autant que les Juifs ne sont pas des gens « qui n’ont pas les pieds sur terre », du moins, ni plus ni moins que les Catholiques, les Protestants, les Musulmans etc. A mon humble avis, ce n’est pas les religions qui posent problèmes, mais la manière dont certains les pratiquent. Aussi, certaines « thématiques » des rituels Maçonniques n’empruntent-elles pas à certains récits bibliques ? Pourtant, je ne suis pas Maçon, mais je sais cela.

    Le profane que je suis entend souvent que l’on peut très bien vivre la Maçonnerie tout en conservant ses propres convictions religieuses à côté, soit, je crois qu’il est bien de cela dont il s’agit ici.

    Pour moi, cela ne pose pas de problème, je ne suis pas croyant, mais cela ne veut pas dire pour autant que je ne lirais pas ce livre à l’occasion (quand je serai Maçon par exemple, si cela se fait un jour). Quant une association sectaire sévit en abusant du terme « Maçonnique », c’est une bonne chose de la dénoncer, maintenant, pour ce qui est d’un livre, encore libre à nous de le lire ou pas….Ne voyons pas le « mal » partout. D’autant plus dans le cas présent que les éditions Dervy ont quand même la réputation d’être sérieuses et de ne pas publier « n’importe quoi ».

    Bien Amicalement et respectueusement

    Yack le profane

  • 6
    Jacques Cécius
    17 décembre 2007 à 15h51 / Répondre

    Laissons la Kaballe aux kabbalistes, le soufisme aux soufis, la gnose aux gnostiques, le rosicrucianisme aux rosicruciens, le templarisme aux templiers. La seule maçonnerie qui compte est celle des bâtisseurs spécultatifs ayant les pieds sur terre.

  • 5
    Vlady
    17 décembre 2007 à 14h27 / Répondre

    N’oublions pas que la franc-maçonnerie se veut traditionnelle et universelle. Il y a donc des thèmes que l’on retrouve dans d’autres approches spiritualistes. Ces thèmes mènent tous à la recherche intérieure. Car le travail sur soi, voire sur le Soi est le fondement de la maçonnerie.

  • 4
    Serial Ripper
    17 décembre 2007 à 11h32 / Répondre

    Sans doute Stéphane… 😉

    Mais ici encore on assiste à la dérive de la Maçonnerie, du moins d’une certaine Maçonnerie avec laquelle je suis en brouille. On va finir par retrouver tout en tout et de tout nulle part. Un bon ouvrage pour les « péroquetteurs » qui sermonneront un nouvel éloge de la folie, celui-ci j’en conviens, bien camouflé. Arrêtons un peu de délirer!

    A force on va se retrouver en Loge avec des fantômes et le pire, on ne les entendra plus gémir…

    Quittont donc cet espace de « masturbation klûteradienne » 😉 pour faire entendre le bruit des maillets dans le monde.

  • 3
    Philippe
    17 décembre 2007 à 11h04 / Répondre

    Vous avez dit « traces », ah bon !!!
    « Il semblerait néanmoins qu’en Franc-Maçonnerie, on remarque des traces de pythagorisme, d’ésotérisme johannique, de gnose, d’hermétisme, peut-être aussi d’un héritage templier, de kabbale, etc.. »
    Mais ces « traces » ont été « appliquées » en sur-couches sur les rituels des divers 1er degré dit d’apprenti après « coup », en deuxième intention.
    Le seul acte inaugural symbolique qui fait le franc-maçon est l’initiation au 1er degré qui dérive à mon avis des coutumes des divers métiers dits manuels.
    Dans ce monde, celui des métiers, monde humble et peu argenté, chaque individu avait un objectif vital celui de manger et de faire manger sa famille. Dans ce cadre centré sur le labeur les objectifs étaient d’apprendre un métier et pourquoi pas dans le cadre d’une « fraternité » quel qu’en soit le titre distinctif, d’établir des règles limitant l’accès à cette « fraternité » pour maintenir le niveau des rémunération, d’organiser des tontines ou des solidarités pour tenter de faire face aux aléas de sa vie et de celle de sa famille, d’établir des règles de vie que les membres se devaient de suivre envers les seuls membres du métier.
    Pour distinguer les « en dedans » des « en dehors » il fallait des signes de reconnaissance (pas de listing informatisé, pas de carte d’identité infalsifiable etc …, peu d’alphabétisation) et ce qui n’est pas inutile quelques invocations pour se concilier le Bon Dieu et ses saints voire ce qui était lié les forces de la Nature.
    Ces derniers points sont de mon point de vue à l’origine des rituels maçonniques, forestiers, qui ont été peu ou prou copiés voire paraphrasés par les, disons en simplifiant beaucoup, les « bourgeois » (clercs, nobles, marchands etc …) qui étaient de façon ponctuelle invités pour des motifs relationnels et/ou professionnels à une réunion de l’une de ces nombreuses fraternités.
    Mais ces « bourgeois » qui ont paraphrasé les coutumes des « métiers » de la pierre ou de la forêt ont ressenti le besoin d’avoir des activités plus nobles selon leur point de vue d’où à mon avis la prolifération secondaires de rituels de grades qui ont été qualifiés de « hauts » pour des motifs sans doute inconscients de dominance sociale. C’est dans ces grades ultérieurs que l’on retrouve les traces citées en introduction.

  • 2
    Xeg
    17 décembre 2007 à 10h29 / Répondre

    La Kabbale fait-elle partie des influences de la FM, belle question. Sans doute des historiens pourront-ils nous éclairer sur ce point. De manière plus anecdotique, les portails de ND de Paris portent quelques représentations qui y font songer. Coïncidence ou non…

    Même si cette parenté historique est sujette à caution, il n’est pas forcément absurde d’étudier la FM à la lumière de la Kabbale, et vice et versa. Ces deux systèmes pouvant être vus comme des représentations différentes d’une même réalité plus insaisissable…

    Cela ne dispense néanmoins pas d’utiliser des sources de qualité, et d’éviter la « kabbale de supermarché » qui cause autant de tort à cette discipline que la psychologie ou la FM du même nom.

  • 1
    Stéphane
    17 décembre 2007 à 8h01 / Répondre

    Je pense que « zieverderâ » serait plus exact que « zieverages ». Quant à la traduction de « klûterâ », ce serait plutôt « couillonnade »… Tout ceci n’ayant aucun rapport avec le contenu du livre 😉

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