UGODFM-GODF. Audience de plaidoirie

Publié par Jiri Pragman

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mardi 1 février 2011
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  • 7
    Flupke
    3 février 2011 à 15h04 / Répondre

    à JB31

    En droit il est obligatoire de donner une réponse à chaque plaignant.
    Nos jurés sont des bénévoles qui n’ont pas que cela à faire …
    je propose à JB31 d’offrir son temps pour tenir le secrétariat et rédiger les 500 réponses …

    En fait dans ma profession j’ai connu un litige dans lequel le CNPF (à l’époque) avait asphyxié une instance juridique de cette façon (multiplication des plaintes) mais ici un décret ministériel avait permis au gouvernement de faire cesser la strangulation de l’instance.

    Une association ne dispose pas de moyens efficaces pour se débarrasser de ce type de plaideurs abusifs.

    Tout cela a peu à voir avec une activité associative qui devrait permettre un travail sur soi pour dépasser (entre autres problèmes intimes) la peur de LA FEMME … en fait pour la plupart de ces personnes cela correspond à des contentieux individuels qu’ils n’ont pas su maîtriser avec les femmes qu’ils on croisé dans leur vie.
    La voie judiciaire n’est qu’une voie se substituant à la voie du travail sur soi, une distraction au sens pascalien.

  • 6
    JB31
    3 février 2011 à 7h25 / Répondre

    On peut renverser le raisonnement : s’il s’agit de 500 plaintes « copier-coller », il suffisait d’en juger une , non ? Le verdict aurait été le même pour toutes les autres !

    Il fallait juger la première sans attendre et répondre à toutes les autres identiques par le jugement de la première … non mon cher cette lenteur de la CSJM n’était pas innocente, car, qui pouvait prétendre savoir jusqu’à ce que cela devienne officiel que serait saisi le TGI ? Personne n’y avait fait allusion.

    Revenons un peu en arrière. Lorsque les partisans de la mixité ont saisi la CSJM qui ignorait qu’ils menaçaint de saisir aussi les Tribunaux de la République ? Personne. Même un ancien Grand Maître, avocat, Jean-Michel Quillardet menaçait de ses foudres de la Justice de la République voire de celle de l’Europe, de la halde .. de que sais-je encore. Cela n’a pas empêché la CSJM de juger avec la plus grande célérité n’est ce pas ?

    Si votre raisonnement était fondé, la CSJM aurait attendu qu’ils le fissent, ce ne fût pas le cas.

  • 5
    spahi
    2 février 2011 à 19h14 / Répondre

    Il me semble que ce ne sont pas moins de 500 requêtes qui ont été déposées à la CSJM par les Frères regroupés dans l’UGODFM.
    Je ne retrouve plus cette indication mais elle est vérifiable et on peut penser qu’il a fallu pour le secrétariat de cette instance un certain temps pour y répondre sachant que cette instance doit aussi donner un délai égal ou supérieur à 15 jours pour la date de l’audience.
    Il me semble aussi que l’argument de non réponse rapide a été utilisé pour que 4 frères d’UGODFM « justifient » d’avoir ester près la justice de la République et qu’enfin certains plaignants ne se sont pas caché que cette opération était une opération de pression exercée dans ce but.
    Si une seule plainte (plutôt que 500 copiées collées) , le résultat en aurait été donnée rapidement.
    Mais ces saisines sur la forme ne demandent (selon des plaignants) qu’à dire que le voeu n°9 n’a pas été adopté selon les règles.
    Alors, que penser de cette opération qui s’apparente à une manœuvre concertée pour des raisons que chacun pourra juger comme devant d’abord servir cette association ?

  • 4
    Flupke
    2 février 2011 à 17h25 / Répondre

    Les commissions disciplinaires prévues par les règlements intérieurs que ce soit dans les entreprises, les administrations etc. n’ont jamais eu « bonne presse ».
    Saisis les magistrats professionnels épluchent les dossiers et nombre de fois cassent les décisions.
    Ceci dit l’inscription de la masculinité est refusée régulièrement à chaque fois que la question est posée à un Convent et cette constance quoique l’on en dise pèse donne du poids au refus d’inscrire cette masculinité …

    L’acharnement à discutailler de ce problème d’un petit nombre qui bien que changeant de pseudo sont en fait très peu nombreux … m’amuse …

  • 3
    JB31
    2 février 2011 à 16h50 / Répondre

    Certes mon cher Flupke, certes dès lors que le TGI était saisi.

    Mais rappelons nous, voulez vous, qu’en 2009, sur la plainte déposée par une loge après le Convent début octobre si j’ai bonne mémoire, la CSJM avait alors statué avant fin novembre de la même année, soit moins de 2 mois après. Et avait annulé la séance plénière du Convent dans laquelle l’objet de la plainte avait été votée.

    En 2010 il en a été tout autrement. En effet les plaintes déposées début octobre aussi (accusé de réception de la CSJM faisant foi), n’ont reçu de réponse pour être informé de la date de la session d’examen qu’au début de l’année 2011 (3mois après).

    Si ces plaintes avaient été examinées avec la même célérité que celle de 2009, la CSJM aurait donné son verdict fin novembre début décembre, c’est à dire avant que ne soit fait appel à la Justice de la République.
    Et peut être alors n’aurait il pas été nécessaire d’aller devant le TGI … qui sait ?

    Ce que d’aucuns appellent atermoiement et des mauvais esprits vont jusqu’à affirmer que c’était volontaire car il fallait noyer le poisson, tactique parce qu’il fallait créer un fait accompli d’importance en initiant et affiliant le plus grand nombre de femme. Il fallait donc du temps.
    La CSJM comme ceux qui ont organisé ce fameux vote sur le voeu n°9, n’imaginant pas que la justice de la République serait saisie et de si tôt … Ce n’est qu’une hypothèse bien sûr.
    Mais qui induit une suspicion de partialité de la part de la CSJM ou son instrumentalisation .. Mais là il faut avoir un très, très mauvais esprit.
    Bref dans cette affaire, après s’être auto-instituée « conseil constitutionnel » dans l’interprétation de la Constitution et du Règlement Général , se substituant ainsi au Convent la voici maintenant suspectée de partialité et de manoeuvres.

    Cette institution au sein du GODF a perdu ainsi beaucoup de son crédit pour ne pas dire la totalité.

    Il parait souhaitable de lui en redonner mais alors et uniquement comme vous le dites fort justement un « comité disciplinaire » que pour ma part je verrais bien comme une « chambre de Conciliation » ayant un pouvoir disciplinaire naturellement, puisque jugeant en dernière instance ce que les jury régionaux n’auraient pu résoudre.

  • 2
    Flupke
    2 février 2011 à 14h45 / Répondre

    à JB31

    ama la justice maçonnique le terme « justice » est ici impropre, s’agissant plus humblement d’une instance disciplinaire interne à l’association « GODF ». Cette instance disciplinaire attend les résultats des contentieux de la vraie justice, celle de la République qui de toute façon s’imposera à elle.

    C’est habituel quand comité disciplinaire d’ordre privé donc de niveau très inférieur au plan du Droit est en concurrence avec la seule la vraie justice. Cela se produit régulièrement ailleurs qu’en FM. Il n’y a vraiment pas de quoi déclamer sur ce sujet banal !!!

  • 1
    JB31
    2 février 2011 à 7h59 / Répondre

    une remarque toute simple qui dispense de commentaires:

    La CSJM (justice maçonnique du GODF) saisie début octobre 2010 prévoit de rendre son verdict en assemblée plénière au bout de quelques 173 jours après avoir fait poirauter les plaignants 89 jours pour les informer de la date de la séance plénière en question … la Justice de la République rendra son verdict au bout de 43 jours.

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