Pavé jaune dans la mare égyptienne

Publié par Jiri Pragman
Dans Edition

Ce contenu est réservé aux abonnés.Pour accéder à cet article, vous pouvez choisir de :

*Vous pouvez déverrouiller jusqu’à 3 articles gratuitement.
dimanche 24 avril 2011
  • 252
    Gabaon
    23 décembre 2012 à 8h07 / Répondre

    Pour ceux qui sont intéressés par les débuts de l’Eglise Gnostique (Pouvourville et Champrenaud) :
    http://oeuvre-de-rene-guenon.blogspot.fr/2012/12/simon-et-theophane-1907-les.html

  • 251
    Jiri Pragman
    15 juillet 2012 à 20h41 / Répondre

    @Emond le Lyonnais

    Cette technique destinée à attirer des visiteurs vers son propre blog en profitant de l’intérêt porté au Blog Maçonnique a déjà été utilisée par d’autres.

  • 250
    Edmond le Lyonnais...
    15 juillet 2012 à 18h58 / Répondre

    Il m’était parvenu, de divers horizons, que j’étais intervenu sur ce forum sous le pseudonyme de « hou », à la manière d’un somnabule ; ignorant que j’étais doué d’ubiquité et que mon « fantome » se permettait de telles facéties, j’ai donc visité celui-ci. Effectivement, on me prêtait des discours qui n’engageaient, que leurs auteurs, mais pas moi car je n’en suis totalement, parfaitement et péremptoirement pas l’origine. Je laisserai donc les propagandistes de ce genre de plaisanterie à leurs délires. Que chacun s’amuse avec ses pâtés de sable pour savoir qui a le Père le père le plus fort, signant, ainsi, une adolescence prolongée et un attardement mental patent. Ils méritent, certes toute ma compassion, mais pas d’être pris au sérieux.

    Que d’aucuns, sachant que ce ne n’était pas moi l’auteur de ces fantaisies, aient fait semblant d’accréditer la thèse du contraire, néanmoins, est révélateur d’un état d’esprit pathologique. Déduisez-en ce que voius voudrez…

    Mon temps est occupé à d’autres tâches plus porteuses, dont un Blog dont voici le libellé : http://mentor-laqueste.blogspot.fr/p/editorial.html.

    Bonne lecture.

  • 249
    Pierris
    29 mai 2011 à 13h26 / Répondre

    @ Jiri Pragman

    Raison tu as : que l’on se réserve le droit de se faire reconnaître ou pas, en tant que maçon appartient à chacun, d’où l’opportunité de dialoguer avec un pseudo ou même un avatar quand l’espace de la toile n’est pas tuilé ou est ouvert au profane…
    mais cela donne une raison de plus de ne pas se vautrer dans de basses manoeuvres de dénigrement contre un Frère qui a notoriété de représenter l’Ordre ou les Rites, ce qui oblige à employer des réparties de même acabit !
    On m’a toujours appris à respecter les symboles de la hiérarchie de l’Ordre avant de chercher à comprendre s’ils étaient réguliers ou pas… Il y a bien assez de médias qui font leurs choux gras de ce genre d’affaires et je ne pense pas que ce soit le but de ce Blog !

  • 248
    Jiri Pragman
    29 mai 2011 à 12h28 / Répondre

    L’utilisation d’un pseudonyme, en soi, n’est pas synonyme de dissimulation. Pour de nombreuses raisons, des Maçons peuvent souhaiter distinguer leur identité numérique profane de l’identité numérique affichée lorsqu’ils interviennent à propos de la Franc-Maçonnerie.

  • 247
    Pierris
    29 mai 2011 à 12h23 / Répondre

    @Jiri Pragman

    Je cite : « Exact car, à mes Degrés, j’ai appris à mesurer mes propos et à ne pas viser l’homme. »

    Aux miens, j’ai compris que répondre à quelqu’un qui se dissimule derrière un pseudo et dont on ignore l’identité et qui ne fournit même pas la preuve qu’il est un Frère,
    lui répondre n’est pas attaquer une personne, mais contrer une intention de nuire, en l’occurrence gratuite et sans prendre de risque, ce qui n’est pas de mon monde…

    @lanterne
    Je cite : « c’est ce que je disais..la marque des faibles.. »
    Joliment dit par une lanterne, mais qui peut être autant considéré comme une insulte !

    Mais nous allons finir par considérer que seule la meute des anonymes anti Castelli a tous les droits sur les rites égyptiens, au mépris de toute régularité initiatique et de tradition…

  • 246
    le charbonnier
    29 mai 2011 à 11h31 / Répondre

    je pense que nous devrions prêter une plus grande attention à certains échanges qui frisent l’abus en terme d’utilisation de messages sur le Net.
    Même si le site est souché en Belgique, il peut faire l’objet d’interdiction, voire de poursuites judiciaires en cas de dénonciation calomnieuses, « agressions verbales », propos non étayés de preuves, etc.
    cela vous pend au nez et le seul résultat sera de mettre en notre Frère Jiri, modérateur hors classe, dans l’embarras.
    d’une manière générale, en France, la Gendarmerie Nationale, sur ce genre de dossier, ne lâche jamais une affaire.
    comme nous somes loin de la maçonnerie égyptienne.
    pour changer, je vous informe de la TBO de la GLFMM le 25 juin prochainà 15H00 à la GLDF rue Puteaux TBO en hommage au TIF Robert Ambelain. (/!\, il faut réserver).
    je pense que cette info fait l’unanimité et que nous nous retrouverons tous.

  • 245
    lanterne
    29 mai 2011 à 11h25 / Répondre

    l’insulte…

    c’est ce que je disais..la marque des faibles…

  • 244
    Jiri Pragman
    29 mai 2011 à 11h21 / Répondre

    Exact car, à mes Degrés, j’ai appris à mesurer mes propos et à ne pas viser l’homme.

  • 243
    Pierris
    29 mai 2011 à 11h15 / Répondre

    @lanterne

    « moi je ne suis rien du tout, je n’ai aucune prétention sinon celle de vous
    remettre sur les rails de l’histoire de temps en temps… « 
    je dirais plutôt un tartuffe …

    PS la définition de Media dico.com du terme tartuffe a été « Modéré pour cause d’insultes. » par Jiri Pragman

  • 242
    Pierris
    29 mai 2011 à 10h46 / Répondre

    @lanterne

    « moi je ne suis rien du tout, je n’ai aucune prétention sinon celle de vous remettre sur les rails de l’histoire de temps en temps…  »
    je dirais plutôt un tartuffe : hypocrite, bigot, papelard, judas, faux-jeton,, fourbe, imposteur, jésuite, insinuant, mielleux….

  • 241
    Pierris
    29 mai 2011 à 10h34 / Répondre

    @Tsang Mang Kin GMG, Ordre Maconnique Tradittionnel du le 29/05/2011

    丑角, 小丑, 弄臣, 醜角

  • 240
    lanterne
    29 mai 2011 à 10h31 / Répondre

    je sens poindre comme de l’amertume dans tes propos, en fait dès qu’on vous secoue un peu vous ne savez que menacer et gesticuler, c’est la marque des faibles…

    je persiste et signe, vous ne connaissez rien à ce rite, et Castelli n’a jamais rien reçu de kloppel car n’étant ni hiérophante ni grand maître de rien, vous pouvez tapper des pieds comme des petits enfants tant que vous voulez c’est comme ça, c’est la raison pour laquelle castelli n’est reçu nul part es qualité, et ça va pas s’arranger.

    quand à mon identité pierris tout le monde s’en fout, moi je ne suis rien du tout, je n’ai aucune prétention sinon celle de vous remettre sur les rails de l’histoire de temps en temps…

    quand au face à face, le seul qui m’impressionne c’est celui du cabinet de réflexion, le reste m’amuse.

  • 239
    Joseph Tsang Mang Kin GMG, Ordre Maconnique Tradittionnel du
    29 mai 2011 à 10h01 / Répondre

    Bonjour
    Devant ce spectacle, comment pas penser à Shakespeare?

    « …a walking shadow, a poor player that struts and frets his hour upon the stage and then is heard no more
    It is a tale told by an idiot full of sound and fury signifying nothing. »

    …Une ombre qui marche, un pauvre acteur qui passe son heure à se pavaner et à s’agiter en scène et que l’on n’entendra plus…
    C’est une fable racontée par un idiot pleine de bruits et de fureur et qui n’a pas de sens,

    A méditer…Bon dimanche !

    joseph

  • 238
    Pierris
    29 mai 2011 à 9h58 / Répondre

    @ Lanterne

    Je suis vraiment désolé de refuser de continuer à m’adresser à un anonyme, dissimulé derrière un pseudo, qui martèle ses vérités contre Castelli gratuitement et sans la moindre trace de preuves…
    Toi aussi tu vas être dévoilé, sous peu, et nous verrons alors si tu persistes, en toute responsabilité, à continuer à maintenir tes propos diffamatoires, nous pourrons même avoir conversation en tête à tête !

    A très bientôt

  • 237
    lanterne
    28 mai 2011 à 23h24 / Répondre

    pierris,

    la grande hiérophanie ça n’existe pas, nous l’avons démontré mainte et mainte fois…personne n’a jamais été en mesure de faire la preuve de son existence avant qu’Ambelain ne l’invente, tout ça est archi connu. Tous les documents sur la fudosi et l’invention du 99 jusqu’à sa fin ont déjà été publiés et commentés par de vrais historiens, pas besoin d’y revenir, il faut être un sacré crétin pour prétendre le contraire, mais il y en a toujours pour oser, c’est même à ça qu’on les reconnait…

    Pour la grande maîtrise, vous semblez oublier que Gérard était simple membre de la GLTMM il n’était pas grand maître, par conséquent puisqu’il n’y a pas de hiérophanie, puisque Gérard n’était pas grand maître, puisqu’il n’avait pas non plus les rites confédérés comme cela a déjà été prouvé : à part sur du vent et le « Nom » de Kloppel il n’y a aucune transmission de rien, d’ailleurs Gérard Kloppel n’a pas réunis le souverain sanctuaire international pour transmettre sa charge à Castelli que je sache, et comment l’aurait-il pu d’ailleurs puisqu’il n’était plus membre de rien, sur ce point Castelli semble enclin à s’en passer..

    la vérité de cette affaire c’est que Castelli à fait rêver Gérard avec ses sites internet, et que celui-ci a cru voir revenir ses belles années, et le prix fut la rédaction de diplômes bidons à Castelli, c’est d’ailleurs la première fois que l’on voit le grade de « 97eme honoraire » mais Kloppel n’a jamais eu véritablement confiance en Castelli. D’ailleurs à cet égard vous semblez tous oublier que Kloppel l’avait laissé tomber sur la fin, tout ceux qui ont vécu cette histoire s’en souviennent très bien. D’ailleurs ce retrait de Gérard on en entend pas beaucoup parler
    Castelli n’est absolument rien dans le rite,
    Par conséquent toute cette histoire n’est que l’histoire d’une quête illusoire de pouvoir, Gaudard de soulage, Castelli, Harel tout cela est une vaste fumisterie bâtie sur du vent, toutes ces personnes sont venues tel des parasites se glisser dans le rite alors en décomposition, pour essayer de profiter des possibilités inhérentes à tout système instable, manque de bol ce jour-là j’ai cliqué avec d’autres sur le site internet…
    la suite vous la connaissez…
    Donc je le répète il n’y a pas de hiérophanie, l’histoire le démontre sans cesse (d’ailleurs j’attends la preuve contraire de Castelli depuis 2007), et puisque Kloppel n’était plus grand maître de rien…
    Castelli n’a donc hérité de rien.
    A bientôt

  • 236
    Serge Malifer
    28 mai 2011 à 23h15 / Répondre

    J’avais décidé de ne plus… mais le post 215 de Pierris est remarquable sur bien des points
    Je souscris à 100%, j’aurai aimé trouver ces mots pour l’exprimer, depuis les 60 premiers posts et « pis c’est tout »!
    Alors j’y retourne (au silence) et je vous invite tous, mes frères, à y aller pour cesser d’alimenter ce que Jiri lui-même qualifie de : commentaires (souvent peu intéressants quand ce n’est pas à la limite de la débilité)
    Tiens-donc…
    Même toi, Pierris ! N’use plus tes forces à nourrir le débat (enfin, débat !?) car « ils » n’attendent que ça pour remettre 5 € dans ce bastringue !
    Hou : Edmond ou Gérard, quelle importance ! L’excessif est dérisoire, et le dérisoire risible et inutile !

  • 235
    Pierris
    28 mai 2011 à 22h09 / Répondre

    Question… à qui veut bien et à qui le vaut bien !

    A qui et à quoi sert cette pantomine ? Personne ne conteste l’héritage de Ambelain, du moins n’ose… Tout le monde a su que Kloppel fut choisi pour lui succéder, je passe qu’il y eut quelques effets de rideau, comme toute Diva qui se respecte sait le faire Ambelain ne manqua pas à la règle, mais Kloppel hérita de toute (ou presque, à quelques détails) sa transmission !
    Il la céda à Castelli et ce ne sont pas les affamés de pouvoir qui diront que ce n’est pas vrai, depuis la GLNF jusqu’à Harel en passant par les opportunistes, aucun ne joua les dégoûtés et …
    Oh surprise ! Une meute de zozos autoproclamés, usurpateurs et falsificateurs se jettent sur cet héritier dont le malheur est d’avoir reçu sans demander,
    pour le charger de tous les maux et lui arracher ses grades pour tenter de s’en décorer et séduire encore une meute de gogos en manque de gourous !
    Et quoi ? Castelli commence à se défendre, il fait rendre justice et on le lui reproche presque !?
    Il faut qu’il souffre en silence, qu’il se laisse traîner dans la fange sur tous les sites plus ou moins clandestins, dans tous les commentaires plus ou moins débiles…

    Ben moi, je lui fais un reproche à Castelli celui d’être magnanime et maçonniquement correct,
    qu’il soit Le Grand Hierophante Mondial ad Vitam comme le réclame le Souverain Sanctuaire et comme le veut la Tradition
    et qu’il tire un trait sur tout ce carnaval !

  • 234
    Jiri Pragman
    28 mai 2011 à 14h09 / Répondre

    Je me demande comment certains peuvent s’insurger devant le nombre de commentaires (souvent peu intéressants quand ce n’est pas à la limite de la débilité) et en ajouter une couche avec des soi-disant identifications d’utilisateurs de pseudonymes qui donnent lieu à de nouveaux délires.

    Quelle est la valeur de ces commentaires? Moins que zéro.

  • 233
    Pierris
    28 mai 2011 à 9h16 / Répondre

    @Sigismond

    Grand merci ! Enfin un autre masque vient de tomber, Gérard Harel himself aime être travesti ! Ah le Brésil et ses charmes ! Il est vrai que l’on pourrait se croire dans les palmeraies sous le pleine lune où les ombres de la nuit se croisent dans des frous-frous troublants… Ah Gérard mon Hou, l’été sera chaud, mais prends une petite laine !

  • 232
    Sigismond
    27 mai 2011 à 19h02 / Répondre

    Pierris se trompe depuis fort longtemps : Hou n’est pas Edmond le lyonnais : c’est bien plus simple que cela Edmond le Lyonnais s’attarde sur de l’Initiatique avec un grand I, pas sur des mégotages.
    Hou est GH.; c’est à chaque fois lui qui signale ce qu’il y a sur le site de la GLEDF, il est au parfum, il vient de l’écrire ! Il dit même qu’il a bien été accueilli quand il a pris contact avec la GLEDF et pour cause ! Relisez ses posts, ( si vous avez le temps, of course ) tout deviendra clair.
    C’est d’un comique….

  • 231
    Pierris
    27 mai 2011 à 18h16 / Répondre

    @Edmond F dit Le Lyonnais

    C’est gentil de donner des références de sites plus ou moins fantaisistes où on remet sur le tapis ( qui n’a rien à voir avec loge ) les flux et les reflux de tous ces commentaires qui sont autant de sanglots d’usurpateurs ou de faussaires pris dans un filet tissé par les liens de l’Histoire… Tu ( tu peux me tutoyer ) penses que le résultat n’est pas assez probant, tu veux aussi qu’on vide les poubelles, je pense qu’il en sera fait suivant tes envies… Il reste en effet des dégâts collatéraux à évaluer et il faudra parler de fric détourné, de préjudices subis, de diffamation etc;, l’affaire n’était qu’une embrouille civile l’adversaire l’a amené sans vergogne sur le plan maçonnique, c’est donc à suivre…ne t’inquiète pas !

  • 230
    Hou
    27 mai 2011 à 16h42 / Répondre

    Pierris, je pense que avant de crier victoire, il vous faudrait faire une relecture du document référencé comme vous l’indiquez N° 09/03449 et également lire le contenu du lien suivant.
    http://www.gledf.fr/accueil/93-structuration-civile-de-la-gledf.html

  • 229
    Pierris
    22 mai 2011 à 18h21 / Répondre

    Affaire O.R.U.M.M. : Justice est enfin rendue !

    Réflexions sur trois points: Le Rapporteur de la Chambre d’Échos vous informe
    rflexionssurtroispoints.blogspot.com
    IEt ça, ce n’est pas de l’intox, ni un document falsifié ! La grosse du jugement est disponible à tout bon citoyen, au greffe du Tribunal de Grande Instance de Valence, affaire n° 09/03449. Comme chacun sait, une décision de justice, rendue sans appel, est incontestable !
    Les faux nez, les postiches et les masques peuvent tomber !

  • 228
    Francesco Rexete
    22 mai 2011 à 13h35 / Répondre

    @ Edmond. Penses-tu sérieusement qu´un simple prénom soit plus démonstratif de ton identité de maçon qu´un pseudonyme ?
    LC´est la limite du blog de protéger l´anonymat. Mais c´en est pareillement la limite faute d´une organisation adéquate qui pourrai etre une autorisation donnée á Jiri (@ Jiri :ne bondis pas au plafond) de donner l´@ á une personne précisée. Dans ce cas, tomberaient les faux nez, les postiches et les masques.

    FR33SGIG

  • 227
    Pierris
    22 mai 2011 à 11h36 / Répondre

    @Edmond

    Raison tu as, ce sont des commentaires peu maçonniques mais il faut établir un constat : ceux qui attaquent le font anonymement et sous des pseudos, qui ne prouvent ni leur appartenance à l’Ordre, ni au rite, donc leur répondre ne passe absolument pas par les us et coutumes habituelles, d’autre part les arguments apportés sont soit des affirmations gratuites soit des documents dont l’authenticité n’est pas prouvé, ce qui est d’autant plus facile que l’anonymat les couvre !

    Et enfin, la hargne et la volonté de nuire à Castelli est tellement évidente qu’il ne sert absolument à rien de leur démontrer quoique ce soit !

    La simple logique suffit pour se poser la question : des gens si sectaires et aveuglés pas la haine ont un intérêt évident à empêcher la vérité de s’exprimer : leur intérêt à continuer leur commerce d’usurpateurs !

    (…) Jiri je te rassure il n’y a rien de difficile à comprendre dans le Livre Jaune ce ne sont que faits et documents historiques à constater loin de toutes querelles partisanes !

    Merci de votre attention

  • 226
    Jiri Pragman
    22 mai 2011 à 6h44 / Répondre

    On trouve ici des commentaires qui sont grossiers mais dont les auteurs évoqueront toujours une forme d’humour. Faut-il les modérer davantage que des commentaires qui prétendent parfois voler au-dessus des autres tout en ne dédaignant pas les attaques sous la ceinture?

    J’ai déjà expliqué comment je modérais. Si je ne devais valider que les commentaires que j’estime dignes d’un Franc-Maçon ou utiles, il n’en resterait que peu et beaucoup crieraient à la censure. Encore que par « beaucoup », il faut sans doute quelques dizaines de personnes au grand maximum.

    Contrairement à ce qui m’avait été annoncé par l’éditeur et auteur, je n’ai jamais reçu ce « Livre jaune » et je n’ose penser aux difficultés que j’aurais eues pour l’appréhender. Des commentaires font allusion à la manipulation de documents (de part et d’autre) et c’est plutôt à la justice qu’il faudrait faire appel. Quant aux considérations sur les cheminements des transmissions ou sur les exclusions, elles sont incompréhensibles pour le commun des modernes, eut-il été reçu Maçon quelque part.

    Je reste de toute façon dubitatif – mais il est vrai que j’ai travaillé sur le phénomène sectaire et que cela influence mon jugement – sur un système de transmission via un individu, quel qu’il soit.

  • 225
    Hou
    21 mai 2011 à 23h57 / Répondre

    Bonjour Jiri,

    Ton Blog est remarquable pour ne pas dire exceptionnel.
    Il permet d’exposer toutes les idées.
    Je pense toutefois, que le message d’un personnage qui propose l’utilisation de pavés en enlevant les pouces comme seule réponse à la mise en cause d’une personne qu’il semble vénérer, sort totalement de la bienséance.
    Pour que l’information, autant dans un sens que dans l’autre, puisse circuler, il me semble nécessaire, (mais je ne suis pas à ta place), de bannir ce genre de propos, qui toujours à mon avis ne peut, en aucun cas, être celui d’un Franc Maçon.

  • 224
    Pierris
    21 mai 2011 à 21h22 / Répondre

    @Max la Ménas

    Que devrait-on dire, car « Soumission aveugle à un gourou » « incapable de comprendre quoique ce soit… « ne semblent pas correspondre à de véritables compliments, si je ne m’abuse !…enfin par contre tu deviens raisonnable en donnant à tes 3 ou 4 complices de la horde sauvage le conseil « éclairé »de retourner à leur fourneau…
    Et magnanime, je peux par contre t’expliquer comment faire boire un âne qui n’a pas soif et tu peux essayer avec un de tes grands pharaons. Quand il est mort de soif, tu lui mets un seau rempli d’eau devant le nez, après qu’il se soit mis à 4 pattes et nu de préférence. Ensuite tu prends deux pavés et tu te places derrière. Tu lui mets le nez dans l’eau et tu lui ordonnes de boire, ce qu’il va faire et juste au moment où il va arrêter, tu lui coinces violemment les testicules entre les deux pavés ! Il va pousser un grand soupir et avaler le reste du seau ! C’est garanti et ça ne fais pas mal, il faut seulement que tu n’oublies pas d’enlever tes pouces d’entre les pavés…

    Bon Week End !

  • 223
    Menas
    21 mai 2011 à 20h03 / Répondre

    C’est une constatation que je souhaiterais faire ce soir.

    Avec ce 201e post, la rengaine, nauséeuse, est toujours la même : certains opposent des faits historiques, des documents, des preuves et il leur est répondu par des sarcasmes, des insultes, des inepties et de la haine.

    Avec tous les membres du groupe Castelli (7 ou 8 personnes au maximum), je pense qu’il faut arrêter d’essayer de leur expliquer quoique ce soit… ils sont intellectuellement incapables de comprendre quoique ce soit qui s’élèvent au-dessus du tablier, ils ne peuvent se remettre en question, pour eux seul compte leur soumission aveugle à leur grand gourou. Ils donnent là un très bon exemple de l’attitude maçonnico-castellienne…

    Alors arrêtons… et suivant cet adage : « comment faire boire un âne qui n’a pas soif ? »
    Cordialement

  • 222
    Pierris
    21 mai 2011 à 15h15 / Répondre

    @ Edmond Le Lyonnais

    Kloppel est, agit et signe comme GM du Suprême Conseil des Rites Confédérés
    Il en a les Prérogatives, le Pouvoir et ….
    Il le confirme et le précise le 15 janvier 1999 en présentant ses voeux sur un papier à entête personnel … !
    Document authentique du Livre Jaune

    En contre partie, l’anonyme qui affirme que cela n’est pas vrai, au prétexte d’une pièce, non certifiée, qui serait une « copie » du JO du 27 février suivant et d’un document dont le cachet a l’air d’une netteté et d’un ovale parfait par rapport au reste… serait un piètre falsificateur!

  • 221
    Hou
    20 mai 2011 à 12h20 / Répondre

    Bonjour,
    Partout, dans le Livre Jaune, J. Castelli fait référence au titre de « Président du Suprême Conseil des Rites Confédérés ».
    Lecteur régulier du site de la GLEDF, je viens de trouver une analyse dite complétée sur la transmission de la Présidence de ce Suprême Conseil des Rites Confédérés par R. Ambelain.
    http://www.gledf.fr/doc/77-rites-confederes.html
    L’analyse est claire, les documents troublants (relativement à ce qui est dit pat J. Castelli), le tout ne pouvant que aiguiser notre réflexion .

  • 220
    Pierris
    16 mai 2011 à 22h46 / Répondre

    @Pour Danièle
    ….et cum spiritutuo ! Effectivement Dieu reconnaîtra les siens, mais comme nous le suggérait Ambelain cela dépend de quel Dieu tu parles, le mien n’a pas de préférence, le votre a peut être l’embarras du choix avec vos procédés… Tuer n’est digne que de l’être déchu, je vous laisse le libre arbitre de vivre en votre âme et conscience la forfaiture ! Mais confidence pour confidence je ne te hais point et je préférerais ton Amour à la haine, tu fus un temps adepte de ton Bienfaiteur et tu ne peux tout rejeter dans la ténèbre…
    @Pour Max la Ménas
    Suis-je donc ce monstre de vulgarité que tu te plais à désigner à tes complices ou bien es-tu à ce point aveuglé par la haine et la fureur d’être dérangé dans ta misérable existence de cloporte ? Pour moi tu n’es pas grand chose qu’un pseudo, qu’un presque rien… En quoi ce Livre Jaune t’apporte-t-il cette rage ?! Je ne t’ai pas trouvé cité ni mis en accusation et pour cause ! Et si je te mets le nez dans la fange dans laquelle tu es déjà vautré, tu ne pourrais m’en faire le reproche c’est ta condition d’être ou plutôt de n’exister dans le débat que travesti et masqué !
    Ménas pas tout le monde ou sors de ton camouflage à la loyale et comme un homme !

  • 219
    Serge Malifer
    16 mai 2011 à 19h48 / Répondre

    Xavier Cuvelier-Roy, interpellé dans le post 198 me prie de vous communiquer qu’il n’est en rien dirigeant du site (et non blog) le Philosophe Inconnu, que ce site purement saint-martinien est tout-à-fait étranger à cette querelle et qu’il ne convient pas de le citer dans ce débat. Il confirme en outre qu’il n’a rien à ajouter à la déclaration faite antérieurement au post numéro 75.

  • 218
    Ménas
    16 mai 2011 à 19h06 / Répondre

    A lire les derniers posts je reste confondu, tétanisé par tant de bêtise et de vulgarité, là où Daniele Fortin et d’autres emploient la dérision et l’ironie, d’autres comme Pierris emploient la vulgarité, l’insulte, mas peut être ne peuvent-ils pas employer autre chose, je pense qu’ils sont condamnés à n’utiliser que ce que leur « intelligence » peut mettre à leur disposition. Il suffit de consulter l’adresse FaceBook de Pierris, c’est consternant mais combien conforme à sa personnalité.

    Revenons au sujet même de ce débat : le Livre Jaune.
    Comment accordez-vous la moindre importance à ce Livre Jaune. Je l’ai eu, je l’ai lu, oui je l’ai lu !
    Je dois dire que la médiocrité, voire l’absence de tout style littéraire, la pauvreté intellectuelle, l’absence de chronologie historique, les mauvais copiés-collés, les incohérences sont si nombreux que c’est un véritable calvaire que de lire ce « livre ».
    Comment un auteur, dirigeant un blog si renommé (Le Philosophe Inconnu), j’ai cité Xavier Cuvelier-Roy, a pu cautionné ce livre et surtout dans les termes qu’il a employés ! ? !
    La conclusion de Yonnel Ghernaouti, une catastrophe, un manque de relecture flagrant, des débuts de phrases qui s’interrompent soudainement, des fautes, des a-peu près historiques, un style digne d’un lycéen de première… A croire que cette conclusion n’est pas de sa main ? Mais le plus cocasse est de comparer ce Livre Jaune aux « 900 conclusions philosophiques » de Pic de la Mirandole, à croire que Yonnel Ghernaouti n’a jamais lu ces « 900 conclusions ». Plus loi, page 206, il ose écrire : Robert Ambelain était écrivain (sic) Gérard Kloppel n’avait pas de maison d’éditions, Joseph Castelli allie les deux ». Que répondre à un tel argument ? Comparer Castelli à Ambelain ! ?

    Les « preuves » ou éléments du Livre Jaune
    Une chatte, même égyptienne, n’arriverait même pas à y retrouver ses petits. C’est un étalage sans aucune suite logique et cohérente de documents, d’affirmations, de textes, de chronologies différentes qui n’ont aucun lien entre eux. On passe de la création de la Grande Loge Féminine de Memphis-Misraïm en 1960 au projet de création de la Grande Loge Mixte de MM en 1996… suivi de la « Grande trahison des FF. Georges Claude V. Richard G…… » en 1998.

    Après la lecture de ce Livre Jaune, j’ai eu le sentiment d’être passé à côté des « scoops » des « révélations » qui allaient changer la face du monde maçonnique. Je l’ai donc relu trois fois, restons dans le symbole, et hélas rien ! Peut être que les scoops et révélations seront dans le Livre Jaune n°2… du moins je l’espère.

    Pour conclure cette critique du Livre Jaune. Je conseille à Joseph Castelli de prendre un bon avocat, les noms de nombreuses personnes cités dans ce livre pourrait lui valoir quelques procès. Quant à ce livre il est vide, nul et sans aucun intérêt. Il est en tout point conforme à ses rédacteurs il tend vers une vacuité « hiérophanesque » sans limite.

    Cordialement
    ménas

  • 217
    daniele fortin
    16 mai 2011 à 16h55 / Répondre

    Ha ! ce n’est que du plaisir ! il gobe tout ce Pierris !
    En tous cas, je suis certaine d’une chose : ni GK, ni JC ni lui n’ont eu de transmission de l’OSA, ça leur aurait évité beaucoup d’erreurs !
    Et ne stresse pas trop ton petit coeur ; ce petit coeur malmené dans ta porsche à cabrioles et ta générosité native qui s’extériorise de plus en plus dans le sourire et la grace, pourrait bien te jouer des tours…Il n’aime pas colère..Tiens relis donc le Kybalion ou Clément Marot, le « chant de Mai et de Vertu » par exemple…
    Prends de l’aubépine, c’est souverain dans ce cas là et aussi un peu de gentiane… On adore ces tisanes au RAPMM…mais si tu preferres les chemins de Socrate, libre à toi…
    Dieu reconnaitra les siens Pierris, inutile de tuer tous ceux qui ne pensent pas comme toi…parce que figure-toi, si tu organise celà, il ne va plus rester que quelques nombrils sur place qui vont faire une bien petite chaîne d’union.
    Que la paix soit avec toi…
    DF

  • 216
    Pierris
    16 mai 2011 à 16h00 / Répondre

    @Pour Danièle
    Je constate avec tristesse que tu es arrivée à la frontière entre charlatan et spirite, ne crains tu pas de déchaîner quelque colère de l’au delà par ton comportement ? Je te recommande la sagesse et la prudence en ce domaine… N’est-il pas préférable de repousser certaine vaine futilité du royaume et de dormir tranquille ?!

    @Francesco
    Merci de ta promotion qui a certainement une aussi grande valeur que les titres que tu t’attribues, mais je suis effaré de voir la cupidité qui t’imprègne pour rendre tout de suite vénal le moindre coup tordu qui te vient à l’esprit et je pense que ton commerce ne te sert pas qu’à sucer du nougat !

  • 215
    Danièle Fortin
    16 mai 2011 à 12h00 / Répondre

    @Pour Pierris
    Est ce que cela ne pourrait pas faire double emploi avec la GLASSE (Grande Loge Anonyme Souveraine et Sélective Egyptienne) que j’ai créée le 10 aout 2008 à la suite d’une communication spirite avec Johanny Bricaud ?

    @Pour Francesco :
    pas la peine de créer un 37eme, Castelli a déjà créé une classe secrète du REAA qu’il a balancé dans son SCAR ( Suprême Conseil de l’Aigle Royal). Demande lui, il va te faire une transmission et un diplôme !
    A quand les AA du Cerneau, de la SOT, du RER, du GP Puissance 4 ?

  • 214
    Hou
    16 mai 2011 à 10h31 / Répondre

    Bonjour,
    Si vous souhaitez rester dans le jaune, je vous suggère, Les livres Jaunes dont les numéros 5, 6 et 7 qui sont téléchargeables en PDF, mais semble t’il interdit en France.
    Ils sont beaucoup mieux construits que celui dont on parle sur ce blog et beaucoup plus intéressants.
    http://www.fichier-pdf.fr/2010/07/12/hs4ou6j/ pour le N° 5, qui traite des SOCIÉTÉS SECRÈTES ET LEUR POUVOIR AU 20ème SIÈCLE. dont bien entendu la Franc Maçonnerie.
    A vous de découvrir les autres.

  • 213
    Francesco Rexete
    16 mai 2011 à 8h58 / Répondre

    Vive le 193 Pierris. Enfin quelqu´un reprend ce que je dis ! Pierris, trés cher frére, je te nomme 37éme degré du REAA, grade que je nous propose d´inventer de de faire vendre par les grands éléphants mondiaux et universels au prix de mille € dont ils nous ristourneront la moitié. Meme les Apprentis y auront droit mais ce sera plus cher. Que de nougat on pourra acheter alors dans les échoppes de Montélimar et autres lieux.

  • 212
    Pierris
    16 mai 2011 à 8h25 / Répondre

    Bonjour à tous !
    Merci d’être là et de me prêter attention, si vous le voulez bien !
    Grâce à ce lieu de rencontres, nous avons la possibilité de fonder quelque chose de fabuleux, de révolutionnaire, de réunir enfin ce qui était épars, grâce à une solidarité, que dis-je, une Fraternité à toute épreuve, de fonder un Grand, un formidable, une fantastique initiative pour le progrès de l’Humanité : l’Ordre International Mixte des Faux Cultes !

    On a en effet, sous les yeux de qui veut bien lire, un fatras de mensonges cupides et éhontés, de fausses affirmations et de dénonciations calomnieuses et anonymes pour la plupart, ceux qui hier se seraient volontiers arraché les yeux s’embrassent goulûment sur la bouche, ceux qui voulaient être calife à la place du calife, pour garder leur baldaquin d’opérette ou leurs pompons usurpés font front et s’unissent, tous contre un, ah, refaire les Ides de Mars en mai !…
    Ils sont tous venus se « serrer les coudes » et abattre le témoin vivant de leur Imposture !
    Les bois de la croix ne sont pas encore assemblés qu’on échange les adresses…

    Et bien, Mesdames, Messieurs, vous venez là de commettre l’irréparable erreur, vous vous désignez ainsi à la vindicte de vos ouailles, de vos clients, de vos victimes : des identités sont désormais connues, d’autres vont l’être, plus rien ne sera comme avant !

    L’Histoire est là pour vous juger et le Détenteur désigné par les Maîtres des Sanctuaires Sacrés n’aura dés lors qu’une parole pour vous déclarer relaps et couverts d’indignité maçonnique !
    Qu’il en soit ainsi !

    Pierris

  • 211
    Gérard HAREL
    15 mai 2011 à 16h07 / Répondre

    Message pour Joseph Tsang Mang Kin
    Bonjour Joseph,

    N’ayant pas tes coordonnées pour te joindre, j’utilise le biais du blog.

    Tu écris : Je prépare une nouvelle édition avec de nouveaux chapitres sur l’Orumm, la Gledf, etc.

    Il me semble donc nécessaire, en fonction de tes souhaits d’écritures, que nous puissions être en contact pour que tu disposes du maximum d’information.

    De plus, je t’informe que je dispose de ton live « L’ile Maçonnique » en PDF.

    Tu peux me contacter, hors blog : secr.admi.gledf@gmail.com ou orumm.contact@gmail.com.

    Au plaisir de se retrouver, (…)

    Gérard HAREL

  • 210
    lanterne
    15 mai 2011 à 14h09 / Répondre

    Bonjour Joseph,

    beaucoup de questions à la fois…
    je n’ai pas les réponses à toutes, mais je te propose de me contacter sur ma messagerie pour en parler..

    lanterne2009@gmail.com

    à bientôt

  • 209
    Joseph Tsang Mang Kin GMG, Ordre Maconnique Tradittionnel du
    15 mai 2011 à 13h56 / Répondre

    Pardonnez-moi de revenir sur ce site (merci Jiri Pragman) pour poser une petite question à Monsieur Castelli. Il se réfère dans son Livre Jaune à un de mes ouvrages : L’Ile Maçonnique. Il mentionne même la page 120 pour des extraits qu’il cite.

    Or, L’Ile Maçonnique n’a jamais été publié et il n’y a qu’une SEULE maison d’edition à Paris, en France et au monde à qui j’aie confie le texte. Je donnerai des détails en temps opportun, mais il me semble qu’il y a ici plusieurs délits de commis : violation du secret professionnel, complicité, vol, etc..

    M Joseph Castelli peut-il nous dire aux lecteurs de ce blog comment il a fait pour avoir entre les mains un texte qui n’est pas le sien, qui ne lui appartient pas et qu’il n’a jamais eu le droit ni l’autorisation pour s’en servir?

    M Castelli peut choisir de ne pas répondre, mais je suis patient. Il repondra tot ou tard

    J’attends la sortie du Livre jaune pour sonner suite à cette affaire…

    Joseph Tsang Mang Kin

    GMG de l’OMT

  • 208
    J Tsang Mang Kin
    15 mai 2011 à 13h39 / Répondre

    D’abord merci au Frère Francesco qui a 100% raison. J’ai employé le mot « essentiel » en effet dans le contexte étroit de nos discussions, je parlais de cette question fondamentale qui divise, la grande hierophanie, effectivement importante et sans importance, mais pas essentielle…

    Mais nous sommes d’accord sur l’essentiel, l’essentiel c’est la vie vécue en loges, celle qui construit le maçon. Oui, d’une certaine manière tout est la dans le premier degré, la graine qui contient l’arbre.

    Je peux ajouter qu’à Maurice TOUS les membres de notre SSOI travaillent régulièrement dans nos degrés symboliques et il en a qui occupent des fonctions, entre autres, celle de gardien du seuil.

    Merci aussi à Lanterne d’apporter un nouvel éclairage. On avait évoqué de projets mais je ne savais que’elles auraient abouti , car la pierre d’achoppement c’etait toujours les GCRG. Ils semblerait donc que Lebensold, Kloppell et Seri auraient reglé la question ? Qu’ont-ils fait des Grandes Constitutions. Kloppel a-t-il eted’accord pour supprimer les dispositions neocolloniales comme les qualifiait Seri? C’est quand meme curieux…Pourquoi n’en ont-ils pas parlé ? Et quand était-ce? C’est indispensable pour suivre le cours des evenements actuels et comprendre…

    Peut-on avoir copie de cet Accord ? Et a quoi sert-il dans nos présents débats ? Pourrait-il servir de thème de discussions pour les SS qui souhaiteraient mettre au point de nouvelles GCRG et se réunir autour ? Peut-être le point de départ d’un réseau international…Je souhaiterais tant voir le texte de cet Accord.

    Merci mon Frère Lanterne. Je serai a Paris vers la fin de juin et je souhaite rencontrer des Frères de ce blog. A bientôt, j’espere.

    Joseph TMK
    GMG de l’OMT

  • 207
    Francesco Rexete
    14 mai 2011 à 21h37 / Répondre

    Joseph Tsang Mang Kin dit : « Revenons à l´essentiel » et se lance dans un discours sur l´utilité d´un grand machin mondial.

    Non, Cher Joseph, l´essentiel n´est pas lá, pas du tout. Toute cette affaire est une querelle pour un beefsteak entre des gens « douteux » (et je suis poli).

    L´essentiel est dans les loges car c´est lá que se crée le maçon et ceci quelque soit le rite. Je sais un de ceux qui se proclament « Grand hierofant (?) mondial, qui m´ a dit textuellement : « Je ne m´occupe plus du tout des Loges bleues car elles n´ont aucun intérêt (sic) ». J´en étais resté muet !

    Cher Joseph, l´essentiel est justement dans les Loges bleues et encore que SGIG, c´est ce que je vérifie en allant dans la loge de mon territoire, en dirigeant l´instruction des nouveaux (1 séance de deux heures ou plus par semaine autour d´une table) et après quelques mois ils deviennent des maçons aguerris qui en savent beaucoup plus que d´autres sur le symbolisme notamment. Et ils deviennent aptes á assumer pleinement des responsabilités. C´est çà la « vraie » maçonnerie et elle n´a rien à voir avec les Grand élefants mondiaux et leurs petits trafics de grades, de diplômes ou de patentes. Evidemment, le vénéralat ne rapporte rien … financièrement, mais être VM est une des joies de la vie dans notre Ordre, une joie pleine d´enseignements, une joie parfois épuisante mais un travail immensément gratifiant. Je le clame toujours : La vraie FM, et c´est un SGIG qui le proclame, c´ est les loges bleues et rien d´autre.

  • 206
    lanterne
    14 mai 2011 à 9h11 / Répondre

    Bonjour Joseph,

    je viens de lire ton message complet et je dois dire que j’y souscris pleinement quand à l’esprit qui l’anime.
    J’intervient pour une petite correction concernant l’italie et la france. Des Accords et une reconnaissance mutuelle ont été signé entre l’obédience de giancarlo seri en italie (successeur de brunelli) et la GLTMM, avec pour signataire jean lebensold, kloppel et les frères participant à cette rencontre et faisant les traducteurs. Ces accords sont encore d’actualité.

    à bientôt

  • 205
    Joseph Tsang Mang Kin GMG, Ordre Maconnique Tradittionnel du
    13 mai 2011 à 18h45 / Répondre

    Je n’a jamais vu dans un si petit monde avec ses blogs autant de cynisme, de frustration, de mauvaise foi, un refus péremptoire de considérer le point de vue de l’autre, des pete-sec, cowboys si près de la gâchette, souvent des Zorro masqués, petits colons jaunis de racisme… Pardonnez-moi d’être aussi franc : On ne semble pas disposé à discuter sur le fonds, mais on est venu pour démolir, et surtout pour mal y faire

    Mais passons, tout cet enfantillage au fonds m’attriste. Nous ne semblons pas être sur la même planète : j’avance des dates et des faits, jamais de mensonges ou de contre-vérités. Et, je précise : je ne cherche pas être contre qui que ce soit. Contrairement à ce que l’on pourrirait croire, je ne suis pas contre la personne de Castelli. Je ne cherche pas sa peau, je n’y trouve aucun plaisir. Mais, je trouve ses actes extrêmement regrettables, tant pour les autres que pour lui-même. Il met en mouvement des forces dangereuses pour lui-même. C’est pour cela que je dis : Castelli est un cas bien qui me fait de la peine. A le voir courir dans toutes les directions, à gauche, à droite, nord, sud, est ouest. Il fait la navette entre régularité et irrégularité, il béatifie puis damne les gens autour de lui, et ils sont légion, qui a leur tour lui rendent la monnaie de sa pièce… Pauvre homme! Sait-il ce qu’il fait ? Il semble désorienté. A-t-il jamais essaye de penser ou il se trouvera dans disons 10 ans ou 20 ans ?

    Au lieu de l’aider, en abonde dans son sens, on le flatte sans se rendre compte qu’on lui fait du tort. On ne semble pas savoir non plus, que c’est tout aussi risqué de s’interposer entre son karma et lui. Castelli ne sait pas ce qu’il fait et je souhaite de tout cœur qu’il puisse se retrouver, comme tout vrai maçon qui s’égare, entre l’équerre et le compas. Je le dis du fonds du cœur, sans cynisme et sans ironie.

    Revenons à l’essentiel : la Grande Hiérophanie est un leurre, un attrape-nigaud. Le GM national ou Mondial n’est pas un calife. On n’en a plus besoin. D’ailleurs Kloppel n’a-t-il pas lui-même ecrit : LE GRAND MAITRE INTERNATIONAL N’A PLUS SA RAISON D’ETRE.
    Et Kloppel de proposer de le remplacer par de « petits groupes d’adeptes, mieux aptes à favoriser la nouvelle évolution, tache essentielle pour toute Maçonnerie qui se veut authentiquement spiritualiste. »
    Je répète: On n’a pas besoin d’un GM Mondial pour conférer les Hauts Grades AA set 95e. Un Grand Maître national a les mêmes pouvoirs de conférer ces grades.

    Donc ceux qui affirment le contraire, ceux qui viennent – non, il n’y a qu’un seul qui vienne nous dire que tous les grades non conférés par lui ne sont pas valables et seraient sont nuls et non avenus. Ce gars a un sérieux problème si croit sincèrement qu’il n’y a que lui seul au monde à pouvoir conférer les hauts grades. Et, comme il ne se gêne nullement pour les jeter à gauche et à droite, avec une telle irresponsabilité, on arrive à se demander, si ces hauts grades il les a préalablement, réellement et rituellement reçus. Aux FF et aux SS de faire leur propre enquête…

    Je profite du blog pour répondre à Hou dont le premier blog se terminait par un « très fraternellement » qui m’avait fait chaud au cœur. On n’est maçon que reconnu comme tel. Puis est venu « cher monsieur » avec une interrogation légitime et fort diplomatique pour se demander si Castelli a raison, dans lequel cas, tout ce que j’ai fait durant bientôt 40 ans, repose du vent, un mensonge. Des explications, certes je ne dois à personne encore moins des justifications. Mais comme la boue qu’on jette sur le mur blanc finit par y laisser des traces, j’ai pensé qu’il était de mon devoir d’aider ceux qui désirent sincèrement connaître la vérité. C’est pourquoi je leur donne des éléments d’information qui suivent.

    Voici mon parcours maçonnique, en bref: Initié en Belgique, je rentre à Maurice avec une Patente de Robert Ambelain obtenue sur recommandation du GM de Belgique Oscar Jeusette, pour introduire le RAPMM dans mon pays.
    Avec l’aides de FF de la RL La Triple Esperance(LTE) du GODF, notre premiere loge Memphis est installée le jour même du bicentenaire de LTE (18 sept 1978) dans son temple avec le concours des Freres du GO et de la GLDF. C’est au GO où je suis resté membre pendant 20 ans de présence active que je reçois les 4 au 18e en 1979. Personnellement je n’ai JAMAIS rien demandé pour moi-même. Jamais. C’est Ambelain lui même qui m’ecrit le 27 octobre 1981 pour me proposer de me passer 30e, mais n’ayant pas la possibilité de me rendre à Paris, ce sera fait deux années plus tard en mai 1983. Puis passage au 31e et 32e en décembre 1983 et passage au 33e, 5 années plus tard en juillet 1988 toujours par G Kloppel lui–même et qui lors du dernier Convent international décide de créer un Souverain Sanctuaire de l’Océan Indien, projet en évocation et en discussion depuis 1996.

    Et c’est donc en vue de cette création du SSOI que G Kloppel dépêche Michel Kieffer pour faire passer Tooblall Hawoldar qui avait plus de 60 années de maçonnerie et moi-même(8 années après réception de mon 33e), aux AA régime de Naples, le 20 mai 1996.

    Et permettez-moi d’ajouter que je suis heureux de ce parcours honnête, en ligne droite, sans précipitation, sans magouille, sans cordonite, qui s’étale sur 4 décennies.

    C’est le 13/14 mars 1998 à Lyon lors de la dernière réunion du SSI présidé par Gérard Kloppel que la décision est prise de créer le Souverain Sanctuaire de l’Océan Indien. Kloppel confie à Michel Kieffer le soin de préparer tous les documents, les Patentes ainsi qu’un mémento administratif au SSOI à remettre au SSOI une fois créé.

    C’est à ce moment que, pris dans la tourmente, que G Kloppel alors qu’il avait été invité à venir faire les installations et passages de grades et création du SSOI à Maurice, prend la décision de démissionner. Il nomme Cheickna GM à sa place.

    C’est ainsi que les toutes premières responsabilités de Cheickna Sylla auront été d’implémenter la décision prise pas le dernier SSI présidé par G Kloppel, à savoir, la création de :
    1. La GRANDE LOGE LEMURIA et le SOUVERAIN SANCTUAIRE DE L’OCEAN INDIEN,
    2. La GRANDE LOGE et LE SOUVERAIN SANCTUAIRE DE L’AFRIQUE DE L’OUEST :

    Il est donc revenu à Cheickna Sylla de signer les documents et les Patentes qu’il remet à Michel Kieffer qu’il nomme Grand Maitre de France. Il l’envoie ensuite à Maurice faire les installations à sa place. Michel Kieffer, homme de devoir arrive et met en place toutes les institutions dans la plus stricte régularité.

    Voila la vérité toute simple, l’exacte vérité. Conclusion :
    LE SSOI EST UNE CREATION VOULUE PAR LE SSI
    ET LE GM DU SSOI A ETE INSTALLE ET PROCLAME PAR LE SSI.

    Pour le reste de l’histoire, vous pourrez consulter Les Héritiers de la Franc-maçonnerie égyptienne de Memphis-Misraïm, publié à Maurice mais que l’on peut trouver en France. Je prépare une nouvelle édition avec de nouveaux chapitres sur l’Orumm, la Gledf, etc.

    Je vais surtout parler du réseau des Souverains Sanctuaires mis en place par les Francais (Kieffer, Cousin), les Italiens, les Roumains, les Chiliens, les Latino-Américains et les Mauriciens. Précisons qu’ici, dans ce milieu, personne n’ambitionne d’être GH/GM Mondial. Ils veulent seulement préserver l’Ordre. Je ne demande pas à Hou d’avaler des couleuvres mais d’être sans parti pris.

    Puis-je oser demander aux FF qui souhaitent connaitre le bonheur de travailler en paix et dans la sérénité de venir nous rendre visite à Maurice. Nous vivons une réelle fraternité qui dépasse les barrières administratives : les tenues des hauts grades se font à tour de rôle chez nos Freres du GODF ou chez nous ; beaucoup de respect envers les uns et les autres, pas d’empoignades, jamais d’insultes. On ne verra jamais chez nous la lettre et l’esprit ce que j’ai pu voir sur ce blog ! Il s’agit d’une autre culture…

    Et pour terminer, voici ce que je dis à ceux, blasés(?)qui demandent du nouveau: La France n’est pas le centre du monde maçonnique égyptien. Le RAPMM n’appartient pas qu’aux seuls Français. En en faisant une affaire franco-française avec toutes ses querelles intestines et ridicules, les Francais qui en sont responsables sont en train de priver le RAPMM de sa dimension européenne, puis internationale. Que faire ?

    Une urgence : se réconcilier avec les Italiens, dont les Français sont sépares depuis la manœuvre de Vieilledent à l’insu de Kloppel. Kloppel, mené en bateau, a endossé la responsabilité de la cassure avec les Freres italiens. Pour donner à notre Rite sa véritable dimension, et en faire une force spirituelle de notre temps, il faudrait coute que coute la réconciliation franco-italienne.

    Au lieu de perdre notre temps avec les ambitions démesurées des egos désorientés, qui veulent régenter ou diriger alors qu’ils ne savent pas eux-mêmes où ils vont ou veulent aller, les vrais et anciens Maçons de la Vieille Egypte devraient chacun dans son cadre, œuvrer pour amener cette réconciliation franco-italienne, et pour ce faire, commencer par ENLEVER DES GCRG, TOUTES LES DISPOSITIONS QUI ONT AMENE UNE CONCENTRATION DES POUVOIRS ENTRE LES MAINS D’UN GMM.

    C’est là dans les GCRG que résident tous nos problèmes.

    Merci de m’avoir lu jusqu’au bout.

    Joseph Tsang Mang Kin, SGMG de l’OMT

  • 204
    Danièle Fortin
    13 mai 2011 à 18h40 / Répondre

    Il me semble Hou, que vous allez un peu vite dans vos conclusions réductrices ; là aussi vous n’avez que la vision que vous donne la GLEDF version GH, qui n’est pas non plus aussi net que cela. Et lorsque j’énonce quelque chose, je peux aussi le prouver. !
    Vous pouvez prendre contact avec moi, je suis sur le bottin et/ou m’écrire sur : danielefortin@sfr.fr je vous donnerai le numéro et vous serez aussi chaleureusement accueilli, sauf si vous décidez de m’insulter comme certains ici.

    Mais je peux vous dire ceci dès à présent : ce n’est pas parce que j’ai passé pas tout à fait un an avec Castelli que je dois être inféodée toute ma vie à sa botte.Je n’étais plus d’accord avec son comportement, sa vision de l’avenir à géométrie variable.et moi je l’ai dit et je suis partie. Mais il n’y a pas que moi qui le lui ai dit. Avant moi, il avait déjà usé 2 Grands Maîtres et il a en usé combien après ? les divorces ça existe dans la vie. Chacun reprend sa ligne de vie.

    Je n’ai pas repris contact avec Castelli c’est l’inverse et il m’a cassé les pieds jusqu’à ce que je dise niet. De plus qu’est ce que vous vouliez qu’il me donne ? J’avais déjà tout eu avant de le rencontrer, il ne m’a donné que des degrés administratifs et des emmm….chronophages comme dirait Jiri.
    Mais c’est vrai que je lui ai fait cette attestation car pour moi Harel a effectivement squizzé les structures de Castelli. C’est juste un problème d’équité et d’ethique.Je pense que GH ne vous a pas donné le double de la lettre RAR de 9 pages que je lui ai envoyée après le mail de tentative d’intimidation qu’il m’a envoyé ?
    Vous savez, il est très difficile de dénouer l’écheveau de cet imbroglio, sauf lorsque on l’a vécu et que l’on a des documents.
    Et j’aimerais bien que l’on ne déforme pas ce que j’ai écrit avec des interprétations douteuses.

    Pour le blog : le triumvirat à qui Ambelain a confié le SCDRC, ce n’est pas ni Joseph Tsang, ni J. Cousin ni moi. Les noms des récipiendaires figurent sur le document que je possède et …sur le livre de JP Bayard…
    Perso je n’ai jamais rencontré Robert Ambelain, mais ce qui est drôlissime, c’est que je rencontre de plus en plus de gens qui ont quasiment sauté sur ses genoux !

    Je rappelle quand même que ce beau bor….ne serait jamais arrivé si JC avait monté tranquillement son Obédience sans jeter d’anathèmes en balançant des degrés à droite et à gauche et en multipliant les decrets de radiation à tout va ! Il veut prouver qu’il est le seul ! et bien non.
    Le principal ce n’est pas le papier, mais c’est uniquement le travail.
    df

  • 203
    Pierris
    13 mai 2011 à 17h56 / Répondre

    @Jiri Pragman

    Juste quelques mots, d’abord pour te remercier de m’avoir publié, il est vrai que je ne suis pas de nature soumise ( cela s’est vu en d’autres temps )
    pour souligner que je ne me cache pas derrière un pseudo ( ce n’est pas grotesque mais franc-de-collier ),
    la dérision est quelque fois prise pour de la grossièreté mais entre beaux masques on peut tout se dire,
    enfin il n’y a qu’une chose qui me fasse sortir de mon calme bien connu c’est la mauvaise foi ( je parle pour ceux qui n’interviennent que dans l’intention de nuire à JC )
    Ceci étant, la chasse au malfaisant n’est pas tout à fait une activité de retraité, je préfère chasser la caille… ou surfer sur ce magnifique Blog si enrichissant quand il ne tourne pas au pugilat de cloportes.
    Mille fois merci de ton attention !
    (…)

    Pierris

  • 202
    Serge Malifer
    13 mai 2011 à 17h17 / Répondre

    De Monsieur ‘Apprenti : J’en ai fini avec cette histoire. :
    Moi aussi (et je reconnais que votre message contient des recommandations de grande sagesse)
    De Monsieur Hou :
    Vous êtes objectif, et je ne chercherai pas davantage à vous convaincre davantage du bien fondé de ma position. Nous sommes en démocratie.
    Madame Fortin :
    Arrivée sur le (trop) tard, je me permets ce petit conseil : faites vous oublier, de grâce !
    Et à l ‘impayable Monsieur Jiri : :
    BIEN DU COURAGE… !

  • 201
    Jiri Pragman
    13 mai 2011 à 15h49 / Répondre

    @commentaire 180

    M. Pierris évoque la surface glauque du Blog Maçonnique. Ce qui nous change des grossièretés dont il a déjà abreuvé l’espace de commentaires de ce blog.

    Evoquer la censure est tout simplement un mensonge. Sur les 200 commentaires qui ont suivi cet article, 20 ont dû être modérés. Pourquoi? Parce que, comme cela a été dit et redit, ils étaient contraires aux lois belges et françaises avec diffamations, calomnies, injures,… D’autres l’ont été parce qu’ils usaient et abusaient des abréviations maçonniques. D’autres enfin parce qu’il s’agissait de simples copies de textes de Chevillon (des tentatives pour noyer le poisson).

    Accuser les autres de se réfugier dans l’anonymat quand on se fait appel « Pierris » est grotesque mais on a la preuve depuis longtemps que certains prétendus maçons égyptiens sont capables des raisonnements les plus « tordus ».

    Enfin, je rappellerai que j’ai d’autres choses à faire que de passer mes journées des commentaires aussi stupides. Tant pis pour les retraités qui fulminent lorsque le commentaire n’est pas validé dans la seconde.

  • 200
    Hou
    13 mai 2011 à 12h46 / Répondre

    Bonjour,

    Dès parution du post 177 de Serge MALIFER, je suis a nouveau entré en contact avec la GLEDF.
    Étant maintenant connu, l’accueil a été, comme précédemment, chaleureux.
    J’ai ainsi pu obtenir de nombreuses informations, validées par des documents, que je retrace ici par chronologie.
    28 Juin 2008 :
    Réunion à Bordeaux en présence de Gérard KLOPPEL, très houleuse entre Castelli et Me Fortin.
    30 juin 2008 :
    Soit deux jours après, mise à l’écart de Me Fortin, intronisée Grand Maître de la GLEDF le 28.
    12 novembre 2008 :
    Démission de Me Fortin de l’ORUMM et de la GLEDF.
    15 février 2009 :
    Me Fortin accuse (par mail transmis à plusieurs destinataires), Castelli, d’escroqueries Spirituelles et Financières avec moultes explications.
    13 mars 20010 :
    Cousin devient Substitut Grand Maître Mondial de Castelli.
    IL semble alors, que Me Fortin, membre du Souverain sanctuaire dirigé par Cousin, se rapproche de Castelli, malgré ses accusations d’escroqueries de l’année précédente.
    13 avril 2010 :
    Confirmation du rapprochement Castelli/Fortin.
    Me Fortin fait une attestation (productible en justice) en faveur de Castelli, concernant le litige l’opposant à Gérard HAREL.
    22 avril 2010 :
    Soit 9 jours après, nouveau changement de Me Fortin qui semble rejeter à nouveau Castelli en refusant de recevoir les transmissions prévues le 23 mai 2010.
    25 janvier 2011 :
    Destitution par castelli de son Substitut Grand Maître Mondial.
    28 janvier 2011 :
    Lettre de Cousin – « Tentative d’explication », relative à sa « collusion » avec Castelli.

    Sentiment personnel :
    Je suis effaré de voir, ce que certains sont capable de faire, au sein du rite de Memphis Miraïm.
    Pourquoi ? Dans quel intérêt ?
    Heureusement, ils ne représentent qu’une infime minorité.
    Dommage qu’il se targuent de titres et non pas d’engagements personnels.
    Si 100 années de maçonnerie, cumulées entre Tsang Mang Kin, Cousin et Me Fortin, ne donne que le spectacle d’un festival de girouettes, je revendique ma plus grande jeunesse Maçonnique et ma fidélité à mes engagements.

    Ce livre, Le Livre Jaune, respecte le pavé mosaïque, il est au niveau informatif, tout aussi blanc que noir.
    Mais, « I have a dream » : Pouvoir disposer d’un livre sur Memphis Misraïm qui soit non partisan, qui s’appuie sur des faits et éléments irréfutables.
    Il faudrait pour cela que l’auteur puisse réellement s’informer à toutes les sources, valider les documents présentés et non, comme ici, raconter tout et n’importe quoi, en demandant en plus au lecteur de croire ce qui est écrit, ce qui n’est pas ma conception de l’honnêteté littéraire ou honnêteté tout court.
    Dans cet état d’esprit, je préfère encore lire « Le Dauphiné Libéré », mais surtout travailler au niveau de ma Loge.

  • 199
    Pierris
    13 mai 2011 à 11h08 / Répondre

    L’Internet est-il maçonnique ? Déjà à l’époque héroïque la polémique avait été lancée, elle revient à la surface glauque du Blog de son auteur Jiri Pragman : Non, décidément HIRAM BE n’a pas un comportement maçonnique. Pourquoi donc ? Parce que Dame Censure empêche tout droit de réponse aux attaques échevelées, sournoises et surtout ANONYMES ( car cachées derrière un pseudo ) qui se déchainent contre le Fameux LIVRE JAUNE de Joseph Castelli. Cet ouvrage comme il est écrit par Jiri, himself : Ce Livre jaune affirme n’être en aucune façon une diatribe, un règlement de compte ou une attaque personnelle de qui que ce soit ou de quoi que ce soit. Encore qu’il devrait être question quand même de ces Frères (…) s’autoproclamant ceci ou cela, voire « grand » ceci ou grand « cela », sans pouvoir justifier de leurs transmissions. Il serqit question de donner des faits, de nommer des sources, de joindre des preuves et de remettre de l’ordre dans de désordre où les Obédiences de toutes vocations se perdent, citant JC… Et depuis quelques 177 posts aussi passionnés que de mauvaise foi, certains se voient interdits de s’exprimer et chose étrange en particulier ceux qui défendent la position simple et historique que Joseph Castelli a bien reçu la Transmission de AMBELAIN via KLOPPEL !
    La censure sévit discrète mais efficace, les réponses aux agressions gratuites et acides des anonymes partisans des usurpateurs de tout poil et des travestis égyptiens sont tout simplement ignorées !…
    Je ne prendrai qu’un exemple (de taille et d’assise) Danièle FORTIN, démasquée, se livre à un véritable strip-tease de révélations surprenantes sur des faits qu’elle nous livre tels quels : Ambelain n’a pas voulu transmettre à Kloppel et il a constitué un triumvirat, composé de son Cousin, de son Mandarin Strang Mang Kin et d’elle-même (qui distribue les cartes au lieu de les tirer)…la preuve existe, 4 pages signées Ambelain qui sont restées secrètes et qu’il appartient aux historiens de trouver ! Moralité de cette histoire : aucun intérêt, elle avoue elle-même que ces 3 Pharaons ne viennent pas de la même Egypte et qu’elle ne croit pas à une Transmission qu’elle qu’elle soit, pas question de l’oindre « quand il s’agit d’onctions, il est évident pour moi que je peux confier mon front et/ou différents points d’onction à n’importe quel pinpoï. » ! Quant aux papiers et documents « ça je m’en fous, ç’est du vent et ça se déchire…»
    Personnage aussi pathétique que surprenant et à qui on a envie de dire mais « que fait la Police ? » tellement on a l’impression qu’elle est agressée par ses propres fantasmes…
    Et nous en sommes au 177ème post, tous de la même trempe !
    Enfin, faisons un test, je poste ce message en réponse sous le pseudo Pierris, ce serait le 178ème sur ce Blog qui est devenu un Forum « des Halles » et attendons la suite…

  • 198
    apprenti
    13 mai 2011 à 10h47 / Répondre

    Ne serait-il pas temps à présent, que chacun retourne au silence ? Pas un silence d’acquiescement, ni de renoncement à ses vues. Mais un silence salutaire. Un silence qui seul peut faire cesser les matines de nos clochers en querelle ? Il est clair à présent que les maçons d’Egypte n’arriveront pas à faire entendre raison à Castelli et ses séides. Comme il est clair qu’il ne nous convaincra pas nous-même.

    Donc où mènent ces échanges ? Une réponse à une agression ? Qui agresse ? Qui répond ? Et tout cela n’est-il pas finalement complètement métallique ? Je souhaite à JC et les siens un beau travail dans leur temple, un travail axé sur le beau, le bon, le bien et le véridique. Et je suis sincère, je lui souhaite vraiment.

    Je ne lui demande en retour qu’à laisser faire les autres maçons d’Egypte de même. Sans jugement, sans piques, sans « excommunions » et sans chercher à rabaisser ou à dévaloriser notre propre travail sous prétexte que nous aurions des vues différentes des siennes.

    Ce livre jaune qu’il soit la vérité ou truffé de mensonges, peut importe. Nous l’avons ressentit comme une agression et avons agresser à notre tour. Tout le monde est en tort selon moi.

    A présent, si les sommets de nos pyramides ne savent faire que s’affronter, alors mes frères retrouvons sur le niveau. Et paix aux hommes !

    J’en ai fini avec cette histoire.

  • 197
    Danièle Fortin
    13 mai 2011 à 10h42 / Répondre

    Riez monsieur Malifer, riez, si cela au moins pouvait vous détendre !
    Il existe une thérapie par le rire…. Pourquoi ne pas en profiter ?

    Je comprends que vous ayez détruit ces documents publiés sur le blog de Castelli ; mais la date est bonne car Castelli avec ce blog avait voulu concurrencer le blog des rites egyptiens (copie conforme en violet alors que l’autre était en rouge), je suis partie de la GLEDF après juin 2008 et avant juillet 2007, Castelli ne m’avait pas encore contactée pour rentrer dans sa sphère. Alors, conclusion pour la date ?
    Je sais que certains s’en souviennent et ce blog avec vos écrits était encore présent il y a peu, j’y suis allée et c’est là que j’ai fait le copié/collé !

    J’ai connu Jean Pierre Bayard parce que je l’ai fait venir à un salon du livre de Pessac afin qu’il dédicace ses livres en 1987, et il était venu avec sa compagne, Marie et pendant toute la période du salon je me suis occupée d’eux.
    Depuis cette période et jusqu’à sa mort, nous nous téléphonions de temps en temps…. alors, heureux ? ça doit être faux aussi sans doute ?
    Ma lettre à Castelli, mais je ne m’en glorifie pas…. c’est lui Sâr GLORIFER ? Pas moi !
    Moi j’énonce, c’est tout, après on en pense ce que l’on veut, cela m’est totalement indifférent.

    Je comprends que les documents de RA que je détiens vous grattent le poil mais c’est ainsi.

    Bonne journée à toutes et tous
    Danièle Fortin.

  • 196
    Serge Malifer
    12 mai 2011 à 19h49 / Répondre

    2008 affirmez-vous, et de préciser : hé oui, j’ai de la mémoire, non encore frappée d’Alzheimer. Aïe, aïe, aïe !
    Vous vous trompez d’une année chère madame. Je puis même préciser, pour vous rafraîchir la mémoire qu’il s’agissait du blog http://memphis-misraim.forumactif.info/, blog qui n’a pas franchement bien marché, il faut l’avouer (ne cherchez plus, j’ai effacé mes interventions il y a quelque temps déjà) et ce que j’avais écris était en quelque sorte la contribution de l’âne pour avoir du son, histoire d’embrayer la discussion, de lancer l’affaire. Vous voyez, j’avoue… honte à moi de n’être pas du tout le néophyte que je prétendais. Non, je le redis, je ne suis pas un historien, au moins je le dis moi, mais je ne vois pas en quoi toutes ces allusions changent la face des choses, ni même ce qu’elles viennent faire dans ce débat. Avez-vous bien analysé l’intervention de Monsieur Hou ? C’est à ce genre de commentaire que je me forge une opinion, que je maintiens ou pas ma confiance, c’est simple et frappé au coin du bons sens
    J’en profite pour vous confier que votre lettre du 22.04.2010 dont vous semblez vous glorifier, est affligeante… pour ne pas dire plus ! Je m’étais abstenu de la commenter lorsque vous en avez fait précédemment état, mais votre intervention m’y contraint. C’est sur, nous n’avons pas la même conception de la parole donnée, du respect de la parole donnée. Si réellement ce que vous prétendez est vrai (hypothèse de travail…) moi, à votre place, j’aurai eu la pudeur de me taire par respect à cette parole autrefois (imprudemment ?) donnée ! Peut-être même que j’aurai eu honte… Mais non, vous, en quelque jours, vous tournez la veste (image) et hardi petit, je vais me mettre à genoux supplier XXX de me pardonner !
    Tout ça pour re-dénoncer la farce ridicule de la lettre du commentaire 171, je persiste et signe
    ainsi que cette dernière nouveauté sortie du chapeau, le Triumvirat !
    P.S. : je connaissais bien, personnellement, feu J.P. Bayard… Vous me faites hurler de rire !
    Pour conclure, à défaut de triumvirat, et c’est vous qui le manifestez en fin d’intervention, je reconnais par contre un trio bien authentique celui-là (mais un peu à l’ouest) : Tsang Mang Kin, Jacques Cousin et … vous !

  • 195
    Daniele Fortin
    12 mai 2011 à 17h37 / Répondre

    Je reviens apporter quelques précisions sur ce blog, plus particulièrement à Hou et Serge Malifer
    les extraits publiés par le Frère Jaseph Stang Mang Kin sont des extrait d’un Balustre du 28 janvier 2011 du frère Jacques Cousin et destiné uniquement aux membres de notre Souverain Sanctuaire qui l’ont toutes et tous reçu.
    Les extraits n’ont pas été faits pour « l’occase » de ce forum contrairement à ce que vous pensez…Le reste du texte a aussi son importance mais ne mérite pas qu’il soit dévoilé sur ce site.

    Vous avez eu sur ce blog le texte de ma rupture totale avec Castelli. J’avais en effet, un peu avant cette date reçu des documents essentiels ( différents de ceux publiés sur le site de GH) prouvant que GK n’a jamais possédé les rites confédérés et que, avant sa mort, Ambelain avait décidé de les confier à un triumvirat conservateur et de mettre le Suprême Conseil des Rites Confédérés en sommeil afin de les soustraire aux appétits grossiers. Ces documents comportent 4 pages, Ambelain ayant paraphé chaque page.
    De plus, il n’y a jamais eu dans le Suprêm Conseil des Rites Confédérés le Rite ancien et Primitif de Memphis -Misraim.
    Je ne suis pas douée en informatique et les faux ne rentrent pas dans ma conception.
    D’ailleurs Jean Pierre Bayard qui était très ami avec RA, (ils se téléphonnaient souvent et se dédicaçaient régulièrement leurs livres) avait écrit dans l’un d’entre eux cette passation au triumvirat. Comment l’aurait-il su si RA ne le lui avait dit ?
    Je vous laisse rechercher lequel et feuilleter les pages, comme cela ceux qui ne sont pas historiens de la Maçonnerie pourront peut-être le devenir.
    Les transmissions que devait faire Castelli à J. Cousin ( et à d’autres) devaient s’effectuer le dimanche 23 mai 2010, Ma lettre à Castelli date du 22 avril 2010, vous comprennez bien ( ou vous ne comprennez pas, c’est votre affaire) que l’on ne peut accepter de recevoir physiquement de quelqu’un ce que l’on estime qu’il n’a pas reçu. Les papiers, ça je m’en fous, ç’est du vent et ça se déchire, mais quand il s’agit d’onctions, il est évident pour moi que je peux confier mon front et/ou différents points d’onction à n’importe quel pinpoï. Castelli peut faire illusion au niveau de quelques uns mais moi je n’en ai plus aucune sur lui.

    @ monsieur Serge Malifer
    le 9 avril 2008 vous écriviez sur un blog de Joseph Castelli
    ( hé oui, j’ai de la mémoire, non encore frappée d’Alzheimer)
    Quid
    Invité le Ven 9 Avr – 17:36

    .Votre forum est bien informé, mais en néophyte que je suis, je voudrais savoir s’il traite de MEMPHIS MISRAIM et de la franc-maçonnerie égyptienne en général, ou est-ce un site dédié à une organisation?
    Félicitations, continuez dans ce sens, enfin de l’info sans désinfo ou contre-info !
    Petite contribution : je viens de consulter sur un blog qui m’a l’air très bien lui-aussi: http://rflexionssurtroispoints.blogspot.com/, une article très intéressant sur un curieux Ordre d’Hermès-Michaël Uni à l’Ordre Oriental Antique & Primitif de Memphis-Misraïm.
    Cordialement,
    Serge Malifer

    Sous le pseudo d’Anacardia, et encore avec Castelli à cette époque, j ‘avais répondu personnellement à votre demande et développé ce qu’était l’ordre d’Hermès Michaël.
    Par ailleurs vous avez mentionné sur un post céans que vous n’étiez pas historien, mais vous emaillez constamment vos propos que Castelli ne dit que la vérité… Vous ne le connaissez que depuis 3 ans je constate une fois de plus, que pour vous, il n’y a que lui qui dise la vérité. C’est quand même bizarre cela, le Maçon étant un chercheur de vérité, pourquoi s’arrêter à des seuls dires ? Où étiez-vous, Castelli et vous au moment des grosses scissions en 1998 par exemple ? Castelli n’a eu que la vision de Kloppel. Le Frère Joseph Tstang Mang Kin, Jacques Cousin et moi, nous venons d’horizons égyptiens différents et accumulons à nous trois peu ou prou une centaine d’années maçonniques. vécues. Aurions nous totalement tort parce que Castelli a décidé qu’il serait le seul et l’unique dieu égyptien régent de l’univers et qu’il n’ a que sa parole et que ses écrits qui comptent ?
    La FM est bâtie sur des mythes mais n’a pas besoin de mythomanes. Construisons des Temples et pas des cabanes en planches avais-je dit le 28 juin 2008.
    Je le redis à présent.
    Danièle Fortin

  • 194
    Serge Malifer
    12 mai 2011 à 11h55 / Répondre

    Excuses, pas de s à « bon » sens etc…
    J’ajoute que cette lettre me semble avoir été subitement écrite, pour ne pas dire inventée pour la circonstance… Mais c’est une simple supposition de ma part.

  • 193
    Serge Malifer
    12 mai 2011 à 11h44 / Répondre

    173.Posté par Hou le 12/05/2011 10:59 : Monsieur Hou, je rends hommage à votre sens de l’objectivité, même si assurément nous ne sommes pas du même coté ! Voilà qui remets un peu de bons sens et de politesse sur ces échanges navrants (et parfois…des deux cotés).

  • 192
    Hou
    12 mai 2011 à 10h59 / Répondre

    Mr Joseph Tsang Mang Kin.

    Merci d’avoir bien voulu répondre à mon questionnement.
    Vous transmettez quelques extraits de la lettre écrite par Jacques Cousin, le 28 janvier et déclarez :
    « Je n’en sais pas plus« .
    Vous n’étiez sans doute pas informé, avant cette date.

    Pourquoi ces extraits n’arrivent pas à me convaincre ?
    1) Après avoir rencontré J. Castelli à Paris, se serait par simple « curiosité » et pour savoir qui était « Ce Castelli » que Cousin aurait accepté de le rencontrer à nouveau et cela en délégation à Montélimar.
    Cela apparait comme l’excuse banale du débutant qui, se trouvant coincé, invente n’importe quoi.
    2) Il est totalement aberrant de dire que J. Castelli ai pu proposer de céder sa grande maîtrise mondiale.
    Ce serait pour lui, perdre sa raison de vivre.
    3) Accepter un titre aussi important, que celui de Substitut Grand Maître Mondial (98ème degré), uniquement « pour voir » est tout aussi aberrant.

    Surtout, Mr Tsang Mang Kin ne remettez pas en cause les écrits de Mr Cousin, mais attention cela peut être dangereux d’avaler des couleuvres.
    De même qu’il est tout aussi dangereux d’essayez maintenant, après la mise au grand jour de ces incohérences, de préserver l’image de votre groupe, celui défini par J. Castelli (Page 181), soit : Michel KIEFFER-Joseph TSANG MANG KIN-Jacques COUSIN.
    J. Castelli aurait il, sur ce point, raison ?

    Pour conclure, mon opinion est, que vouloir « Manger à tous les râteliers », ne me semble pas correspondre aux valeurs de la Franc Maçonnerie.

  • 191
    MB
    11 mai 2011 à 14h50 / Répondre

    Ceci est ‘il vraiment Maconnique?
    Pas étonnant que la presse qui considère la Franc Maconnerie comme un marronier se délecte des luttes fraticides qui déchirent les frères.Nous présentons une image de ce que nous combattons le plus!
    Pour les plus violents d’entre vous, ainsi que les rapporteurs -falsificateurs de propos, gardez le silence ou démissionner de la Franc Maconnerie que vous polluez!

    Il y a tant à faire aujourd’hui! je ne répondrai pas aux commentaires , il y a trop de nullards dans ce blog qui ne mérite qu’un chatiment:avant de démissionner plonger vos regards dans vos miroirs éclaboussé de merde!

  • 190
    Joseph Tsang Mang Kin GMG, Ordre Maconnique Tradittionnel du
    11 mai 2011 à 14h20 / Répondre

    166 poste par Hou
    J’avoue ne pas tres bien comprendre ou Hou veut en venir , mais au sujet des rapports des deux JC Jacques Cousin et Jacques Castelli, voici quelques extraits de la lettre qu’a écrit Jacques Cousin le 28 janvier. Je n’en sais pas plus:

     » Notre premier contact avec Joseph Castelli date de la fin de l’année 2009 ou du début de l’année
    2010, où il a contacté le Grand Maître de la GLISRU, à cette époque, Christian Robert, désirant
    nous rencontrer.
    Comme nous en étions convenus avec Christian Robert, par simple curiosité, pour connaître ce
    personnage controversé nous avons donc organisé une rencontre qui a eu lieu au cours d’un dîner, à
    Paris, au moment du Convent 2010 de la GLTSO.
    Suite à cette rencontre, Joseph Castelli m’ a contacté à plusieurs reprises par téléphone et m’a, à un
    moment, proposé de me transmettre sa Grande Maîtrise. Mondiale
    Tout mon parcours et mes travaux tant avec Michel Kieffer que Joseph Tsang Mang Kin m’ont
    depuis longtemps fait refusé ce concept de Grand Maître Mondial, tout au moins dans sa dimension
    gestionnaire. En revanche, par curiosité et pour savoir qui était ce Castelli j’ai accepté de le
    rencontrer chez lui et de voir ce qu’il pouvait avoir d’original par rapport à mes propres filiations de
    la voie Robert Ambelain, afin, éventuellement, d’en enrichir notre Arche contenant déjà un certain
    nombre de Rites.
    J’ai souhaité être accompagné par des membres de notre Souverain Sanctuaire, notre T∴Ill∴ et
    S∴ Frère Jean-Christophe s’est décommandé, seule notre T∴Ill∴ et S∴ Soeur Marie Beauvais,
    Substitut, a pu m’ accompagner le 13 mars 2010.
    Nous avons passé cette journée à Montélimar chez Castelli, qui nous a montré différents
    documents, donné tous les ouvrages qu’il édite, ou presque, et m’a nommé son Substitut en me
    remettant un Diplôme à cet effet.
    Et en me révélant le secret ultime de la Maçonnerie !!!!!
    Les conclusions pendant notre voyage de retour avec notre T∴Ill∴ et S∴Soeur Marie Beauvais
    étaient qu’il y avait un immense doute sur le personnage et sur ce qu’il pouvait effectivement
    transmettre, mais que, toujours dans l’objectif d’un éventuel enrichissement de notre Corpus, le
    contact pouvait être maintenu.
    Quelques jours après, toutefois, notre T∴Ill∴ et S∴Soeur Danièle Fortin, qui a, à un moment de
    son parcours maçonnique, travaillé avec lui de façon assez brève , lui a écrit pour lui demander de
    ne plus avoir de contacts avec elle.
    Et moi-même, en date du 18 mai 2010, au retour d’un séjour de 15 jours aux Antilles et en Guyane
    pour la GLISRU, ayant eu une entretien téléphonique avec lui qui m’informait que des ( ? ) Frères
    appartenant à son Souverain Sanctuaire s’opposaient à cette nomination, je lui ai dit en prendre
    acte et que, de toutes façons, je n’aurais pas souhaité voir conservé ce titre prêtant à controverses
    justifiées et que surtout j’aurais demandé une total discrétion sur cette éventuelle nomination, dont
    encore une fois je ne voulais voir que le côté initiatique de dépositaire et surtout pas d’un dirigeant
    quelconque.
    Tout en est resté là jusqu’à la réception de ce décret !
    J’avais eu aussi l’opportunité, au moment de la dernière réunion de notre Souverain Sanctuaire, de
    présenter les circonstances de ces évènements.
    On peut donc légitimement s’interroger sur les motifs de ce décret, quels intérêts peut il servir ? et si
    bien sûr, au delà de son illégitimité puisque, seule la prise en compte d’une éventuelle annulation du
    Décret de mars 2010 aurait pu être compris, même si pour moi c’était déjà le cas implicitement
    depuis mai de l’année dernière, de quelle autorité pourrait se prévaloir Joseph Castelli pour renvoyer
    quelqu’un à la vie profane ( sic ! ) ?
    A titre personnel, même s’ il est certain que ce document servira des objectifs troubles, je ne souhaite
    pas aller au-delà de ce courrier que je vous adresse ici. »

    Je n’a aucune raison de mettre en doute ce qu’a écrit le franc-macon Jacques Cousin, dont je connais la rigueur et la rectitude pour l’avoir connu et travaillé avec lui durant plus d’une decennie, pour l’avancement de notre Rite.

    Joseph Tsang Mang Kin GMG de l’OMT

  • 189
    dudule GM de la GLdesRitesComiques(dit rite des voyoux)
    10 mai 2011 à 18h58 / Répondre

    allez que diable un peu d’énergie , 170 commentaires et toujours pas de nouveauté , ça laisse à désirer…
    et dire que l’on raconte la fable du boeuf et du crapeau aux enfants qui eux au moins la comprennent…

  • 188
    Cavalier Seul
    10 mai 2011 à 7h45 / Répondre

    J’espère que le GMMMMMM de l’île Maurice avait écrit tout ceci en traitement de texte, parce que si directement sur le blog et que soudain une baissse de tension… tout aurait été perdu!
    @Rexete : j’espère que Castelli, éditeur, fera lui-même un livre avec nos interventions parties, je le rappelle, de l’annonce d’un livre pas encore sorti et pas encore analysé sur ce Blog (sourire)
    @celui qui veut : deux personnages dans cette histoire ont un rôle majeur: Ambelain, appprtant sa clarté et sa logique et, étant martiniste par ailleurs, ne voulant pas « mettre du martinisme » dans l’Egypte,
    et Jean Bricaud, devenu Jehan, dont les aventures aux quatre coins de la sphère occulte de son époque sont floues, son caractère n’est pas facile à cerner. Y a t-il une bio de Bricaud lui-meme?

  • 187
    lanterne
    9 mai 2011 à 18h54 / Répondre

    la démonstration à déjà été faites plusieurs fois, castelli ne connait pas l’histoire du rite, les preuves sont déjà fournie il suffit de lire galtier caillet ventura, mais si tu es novice en la matière je te donnerai les références..

    enfin JC fait des faux à sa convenance, il suffit de comparer l’évolution d’un même document au cours du temps, ces documents sont en circulation, quelques uns sur le site de la gledf, quelques autres à qui ces documents furent fourni par JC lui-même, du temps ou ils furent avec lui, bref du grand délire.
    Il est facile de faire des faux à partir des documents qu’il a lui-même créé au départ en créant l’ORUMM, manque de bol quand plusieurs signent un document ils en ont copie, et il devient difficile ensuite de distribuer le même en le faisant passer pour un orignal. On pourrait se dire qu’il n’y a qu’un imbécile (je reprend ta définition) qui pourrait faire ça n’est-ce pas, et bien JC l’a fait…étonnant non ?

    la vérité c’est que JC, l’ORUMM, de soulages etc tout ça relève d’une imposture depuis le départ, c’est construit que sur des mensonges. par exemple du temps où kloppel était vivant, JC défendaient l’idée qu’il fallait des années pour être hiérophante, quand il est mort ah ben du coup quelques mois suffisent et en plus on n’en nomme un pour la glnf et l’autre pour les irréguliers. mort de rire !!! quand on sait que GDS n’a jamais mis les pieds dans une loge de memphis misraim.

    En fait les JC les GDS et la plupart de ceux qui furent à l’origine de l’ORUMM n’ont jamais été des membres de ce rite, ils se sont gréffés tels des parasites pour obtenir à force d’insistance des grades et qualités pour lesquels ils n’ont jamais travaillés, ils ne connaissent rien de ce rite sinon les pompeuses appellations dont ils seraient bien en peine d’expliquer le symbolisme.

    en bref ils vont repartir comme ils sont venus…

    memphis misraim n’a pas besoin de hiérophante, elle a besoin de frères qui connaissent ce rite à fond, qui savent expliquer ses rituels, qui connaissent l’esprit qui préside aux travaux, elle n’a besoin que de ça. le reste c’est pour les mauvais…

    et puis il y a un symptôme simple : partout où il y a des problèmes on retrouve les même personnages, ça n’interpelle personne ? pour moi l’analyse est simple, les dégager du milieu et leur fermer la porte et pour ça on est obliger de s’abaisser à leur niveau sur internet car sinon il pourraient faire illusion; à cet égard je remercie internet pour les traces des écrits, car à tout ceux qui ne connaissent pas ces personnes, il suffira de mettre castelli, ORUMM de soulage etc dans un moteur de recherche pour tomber sur ces échanges, et toute personne sensée saura quelle attitude adopter.

    mes interventions n’ont d’ailleurs jamais eu pour but d’obtenir des réponses de leur part, ils en sont incapables, mais uniquement d’obtenir des messages comme ils savent les faire, insultes menaces etc…car à chacun d’entre eux c’est un peu la vérité qui en ressort, à chacun d’entre eux c’est une preuve supplémentaire qu’ils n’ont rien de ce qu’ils prétendent tant dans les papiers que dans le comportement qui devrait accompagner ces fonctions.

    Par conséquent l’objectif est atteint. Castelli et ses amis ont montré qui ils étaient dans leurs messages, c’est là tout ce qui compte, ils pourront écrire tous les livres qu’ils veulent, les messages sur internet restent, ils sont gratuits et disponibles, et ça c’est mieux qu’un diplôme falsifié !

    salutations

  • 186
    Serge Malifer
    9 mai 2011 à 17h23 / Répondre

    Houf ! Enfin, quelqu’un prend le relais, je vais pouvoir m’effacer et vous laisser en compagnie de Monsieur Apprenti et Madame Lanterne (à défaut de savoir qui est qui, je respecte « le genre » grammatical des pseudos).

    En prenant congés, j’observe (je l’ai déjà écrit, post 162, que si les couplets changent, le refrain reste le même : la peau de J.C. et tous les moyens sont bons : ce sont toujours les arguments et les documents des autres qui sont justes et authentiques… C’est lui qui est attaqué, mais c’est à lui d’amener la preuve du contraire, curieux cette conception, même en droit profane.

    Je vous fais donc deux invitations messieurs :

    – Consulter le Larousse. Vous constaterez que les mots crétinisme et imbécilité ne sont en aucun cas des insultes mais un état pathologique… Car nous en sommes arrivés-là aujourd’hui avec vous, à presque 170 commentaires, étant partis le 24 avril de la simple annonce présentation d’un livre-jaune (revoir là-aussi la définition) écrit par J.C., certes, mais sur l’ordre et les désordres de M.M. Il en a le droit, comme je vous reconnais celui de le contester, mais alors, c’est à vous d’amener des preuves (j’entends par là celles émanant d’un personnalité établie et non dissimulée sous un pseudonyme, sinon ça ne vaut pas un clou).

    – Visionner l’excellente émission de Voix de connaissance, « Le lâcher prise », sur le site
    http://www.rose-croix.org/mediatheque/Video/lacher_prise.html
    Selon l’adage populaire, que le plus intelligent s’arrête le premier moi je vous promets de faire dès maintenant un très gros effort (d’autres peuvent prendre le relais, je ne suis pas jaloux!)

  • 185
    apprenti
    9 mai 2011 à 17h03 / Répondre

    C’est effectivement ce que j’avais cru comprendre et auquel je faisais allusion dans le post 140.

  • 184
    Hou
    9 mai 2011 à 16h25 / Répondre

    Bonjour,
    Je reviens sur la toile, suite au post 153 de Joseph Tsang Mang Kin.
    Ces explications sont relativement claires contre Joseph CASTELLI, mais, j’ai le sentiment qu’il ne nous dit pas tout.
    Ma question est simple :
    Pourquoi, son représentant pour la France, Jacques COUSIN, membre semble il, de la Grande Loge indépendante et Souveraine des Rites Unis (GLISRU), du SEPA de Joseph Tsang Mang Kin et du Souverain sanctuaire des Gaules des Sublimes Ordres Universels d’Égypte, était il de mars 2009 (probablement et relativement à la page 189 du livre jaune) au 25 janvier 2011 (date à laquelle il s’est fait destituer), le Substitut Grand Maître Mondial, 98ème degré, de Joseph CASTELLI ?

    J’avoue ne pas comprendre et remercie d’avance, Mr Tsang Mang Kin, pour une réponse aussi claire que son post N° 153.

  • 183
    Serge Malifer
    9 mai 2011 à 11h59 / Répondre

    160.Posté par apprenti le 09/05/2011 11:01

    Eh bien Lanterne, je sais au moins que toi, tu ne sais pas lire : j’affirme exactement le contraire !
    Encore une bonne occasion (loupée) de te taire ! (vertu maçonnique)

  • 182
    Serge Malifer
    9 mai 2011 à 11h31 / Répondre

    164.Posté par apprenti le 09/05/2011 11:17
    Alors exprimes toi mieux que l’on puisse te comprendre mon frère. :
    c’est bien ce que je te dis, tu ne sais pas lire (normal pour un apprenti) voici exactement ce que j’ai écrit :

    et puis, reconnaissons-le, pour une fois, bien écrit, sans faute d’orthographe, ni insultes ! (C’est rare et assez remarquable sur les 150 commentaires et plus)

    i[

  • 181
    apprenti
    9 mai 2011 à 11h17 / Répondre

    Alors exprimes toi mieux que l’on puisse te comprendre mon frère.
    Et puis ce n’est pas Lanterne qui te parles.

  • 180
    Serge Malifer
    9 mai 2011 à 11h14 / Répondre

    Mon commentaire 161 :
    Excuse-moi, Lanterne, c’est à Apprenti bien sur que je m’adressais : Lanterne-Apprenti, Apprenti-Lanterne, je m’y perds un peu 🙂

  • 179
    Serge Malifer
    9 mai 2011 à 11h12 / Répondre

    Voici ce qui aurait du paraître en commentaire 160 si le logiciel avait correctement fonctionné :
    @ Lanterne
    Ce que je constate, c’est que si les couplets de cette sempiternelle chanson changent, le refrain demeure toujours le même : la peau de J.C. C’est tout ce qui vous intéresse, vous préoccupe !

    Sinon, il y a 4 ans que vous vous occuperiez à maçonner tranquillement dans votre coin sans vous soucier de « pseudos évènements », vous avez donc beaucoup de temps à perdre.

    C’est sans doute pour cela que le site que vous signifiez en signature (xxxxx forumactif) est aussi inactif, mais ne me prenez pas au mot, je m’en fiche, surtout qu’il le reste !

    Sur ce, je retourne au Silence, dans l’espoir de ne pas être à nouveau « dérangé » (là, je vous tends un perche, mais moi, c’est de l’humour).

  • 178
    apprenti
    9 mai 2011 à 11h01 / Répondre

    Pour les fautes d’orthographes mon frère Serge, tu pourras quand même apprécier la qualité du français d’un frère dont ce n’est pas la langue d’origine. Joseph Tsang Mang Kin est Mauricien d’origine chinoise. Il ne faudrait tout de même pas pousser le bouchon trop loin. Tu peux ne pas être d’accord avec lui, mais argumentons sur des faits tu veux bien ? Ou alors si tu estimes que son français n’est pas au niveau, réponds-lui dans sa langue, et il nous dira ce qu’il pense de ton chinois.

    Joseph Tsang Mang Kin nous apporte des faits, des dates, des noms. C’est là dessus qu’il faut discuter.
    C’est un débat sur le fond pas sur la forme.

  • 177
    lanterne
    8 mai 2011 à 22h44 / Répondre

    je trouve au contraire les propos du Frère Joseph Tsang Mang Kin tout à fait objectifs,
    ce qu’il dit nous le disons depuis 4 ans, rien à changé.

    reste qu’internet permet à chacun de s’inventer une envergure internationale, ce qu’essai de faire Castelli, mais il ne représente absolument personne pas même une loge, ce sont de pseudos évènements, avec de pseudos livres écrits par des pseudos hiérophante…auquels répondent donc, à juste titres, des pseudos comme nous…

    à bientôt

  • 176
    Serge Malifer
    8 mai 2011 à 21h22 / Répondre

    S’il en est ainsi, tu as droit non seulement à mes excuses mais aussi à mon aveu d’un manque total d’humour…

  • 175
    Francesco Rexete
    8 mai 2011 à 21h14 / Répondre

    Je plaisentais …

  • 174
    Serge Malifer
    8 mai 2011 à 21h08 / Répondre

    Je vais donc refaire, de mémoire :
    Je citais :
    152.Posté par Francesco Rexete le 03/05/2011 20:14
    APPEL En vrai je suis aussi écrivain. Chacun des protagonistes pourrait-il m´envoyer ses positions afin que j´en sorte un opuscule, naturellement objectif. Je pense qu´il pourrait connaitre un franc succés.
    154.Posté par Francesco Rexete le 08/05/2011 19:16
    Aprés cette longue intervention N 153, tout est devenu d´une clarté … lumineuse.
    Chacun appréciera la modestie et surtout l’objectivité de ce monsieur…
    153.Posté par Joseph Tsang Mang Kin GMG, Ordre Maconnique Tradittionnel du le 08/05/2011 18:44
    Alors là ! c’est bouleversifiant d’extravagance mais… je trouve cette intervention normale : pouvait-on s’attendre à autre chose de la part de quelqu’un cité à comparaître, en quelque sorte, au tribunal des Justes. Il a bien le droit de se défendre, après tout, même en se commettant dans le pittoresque et puis, reconnaissons-le, pour une fois, bien écrit, sans faute d’orthographe, ni insultes ! (C’est rare et assez remarquable sur les 150 commentaires et plus). Je ne suis pas historien -moi non plus – et je m’abstiendrai donc sur ce point. Pour le reste, ç’est nul et non advenu, un brin sectaire, en tous cas intolérable de la part d’un haut-dignitaire (?) qui se réclame de la F.M. Universelle et qui emploie les mêmes armes qu’il reproche à J.C.

  • 173
    Serge Malifer
    8 mai 2011 à 19h58 / Répondre

    Toutes mes excuses, jiri, je viens de t’adresser un commentaire sur les 152, 153 et 154 et j’ai complètement oublié de m’identifier.

  • 172
    Francesco Rexete
    8 mai 2011 à 19h16 / Répondre

    Aprés cette longue intervention N 153, tout est devenu d´une clarté … lumineuse.
    Juste une question . Que reste-t-il á Jo ? Il est grand quoi ?

  • 171
    Joseph Tsang Mang Kin GMG, Ordre Maconnique Tradittionnel du
    8 mai 2011 à 18h44 / Répondre

    APRES LE LIVRE JAUNE, LE RIRE…
    On m’apprend dans ma paisible ile Maurice à dix mille kilomètres de l’Hexagone, qu’un Livre jaune vient de sortir en France et fait un fracas ! Ce serait le Grand œuvre de Joseph Castelli qui clame haut et fort que c’est lui seul le Grand Maitre du Monde de la franc-maçonnerie égyptienne, Grand Hiérophante légitime et que tous les Francs-Maçons des Rites doivent se soumettre à sa volonté, etc. etc.

    Je connaissais sa « Vérité sur Ordre… » de sept 2004. Or cette Vérité est truffée d’inexactitudes et de faussetés. S’il se met dans la tête (on peut y mettre n’importe quoi, je sais), que je bluffe, je le renvoie tout de suite aux pages suivantes de son livre : 24, 108, 114, 126, 128, 129,162). Pour les corrections, il pourra consulter « Les Héritiers de la Franc-maçonnerie Egyptienne de Memphis-Misraïm. Editions Ammoi, Maurice 2008»

    Les affirmations de Castelli ont cessé d’être amusantes à partir du moment où il s’est mis à agresser et à excommunier les autres qu’il ne parvient pas à soumettre. . Ses gesticulations pour prouver sa légitimité et ses bagarres avec ses associés le rendaient pitoyable maintenant repoussant. Dans ce qu’il dit il semble fonder ses prétentions sur deux éléments tout aussi nuls: 1 la Grande Hiérophanie, et 2 Les Grandes Constitutions et les Règlements Généraux.
    ..
    1. La Grande Hiérophanie
    a. Les dernières Volontés de Kloppel
    Les problèmes de Joseph Castelli ont commencé en septembre 2007 lorsque Michel Gaudart de Soulages obtient tout pouvoir pour diriger et développer le Rite au sein de la « franc-maçonnerie régulière et traditionnelle.» Mais Joseph Castelli ne peut admettre d’être devancé dans la course au sommet de la pyramide. Il nous dira lui–même s’il n’a pas fait le siège de Kloppel et l’a eu à l’usure puisque à la veille de sa mort (à moins de 2 mois,) Kloppel le nomme, « hors du champ de la Maçonnerie régulière 98e et président du Suprême Conseil des Rites Confédérés. ».
    Cette nomination ne vaut rien, il le sait. C’est une coque vide. Mais il a quand même le 98e, titre qui flatte et impressionne le grand nombre qui se trouve au pied de la Pyramide. Après tout il est désormais Grand Chef, même sans Indiens, sans squaws, sans wigwams. Il y a en droit français quelque chose que l’on appelle abus de faiblesse. Je pourrai revenir dessus…

    Kloppel passe à l’Orient Eternel le 5 octobre 2008, point de départ de nouveaux dérapages. C‘est seulement après cette date que le couple Joseph Castelli et Michel Gaudart de Soulages entre en scène. Cinq jours plus tard, le 10 octobre 2008, ils créent le Grand Collège de la Grande Hiérophanie du RAPMM de l Ordre des Rites Unis de Memphis et Misraïm. Gaudart de Soulages s’octroie le titre de Grand Hiérophante ad vitam pour la Maçonnerie Régulière et Joseph Castelli prend le titre de Grand Hiérophante ad vitam pour la Maçonnerie Universelle.

    Mais qui sont ces personnages et d’où sortent-ils, eux qui il avant la mort de Kloppel, n’étaient absolument pas connus dans le RAPMM ?

    b. Une Nouvel Epouvantail
    Venons-en maintenant au Collège de la Grande Hiérophanie. Ce qu’il faudrait souligner ici, ce n’est pas Kloppel mais les deux Grands Hiérophantes qui ont créée la Grande Hiérophanie du RAPMM de l Ordre des Rites Unis de Memphis et Misraïm. Mais on nous dit que cette nouvelle structure fait partie des dernières volontés du TSF Gérard Kloppel. Passons…

    Et pourquoi cette Grande Hiérophanie ? A quoi sert-elle ? Elle n’est pas innocente. Elle ne peut servir qu’à accroitre les pouvoirs entre les mains d’un seul homme. D’abord elle n’existe pas dans la tradition du rite.
    Corrigeons un malentendu qui a trop duré et qui a commencé avec Jehan Bricaud il n’y a jamais eu de GMM/GH avec des vassaux autour de lui.
    Il y a eu un Grand Maitre dans chaque pays et que l’on appelait soit Grand Maitre, soit Grand Hiérophante. Bricaud qui voulait s’approprier le titre de GH pour lui tout seul a eu des problèmes avec le GH roumain et a finalement reconnu qu’il était seulement GH de France.

    Ainsi dans chaque nation, il y a un Souverain Sanctuaire National composé de Patriarches Grands Conservateurs Du Rite. Ceux-ci choisissent ou élisent leur Grand Maître National. La conservation du rite de Memphis Misraïm repose sur le dos de chacun des PGCO Il n’existe pas un pacha qui décide sans consulter les autres. Plus tard, sous Kloppel, on a entendu parler de droit régalien.

    Donc un GM par pays avec son Souverain Sanctuaire. Chacun opère de son coté, en toute autonomie seul maitre à bord, dispensant les hauts grades du Rite, les Arcana Arcanorum et le 95e degré. C’est le pouvoir et le devoir de chacun des Grands Maitres nationaux. Mais quand Bricaud s’est pris pour Grand Maitre Mondial, il a tout simplement confisqué aux GGHH/GGMM leurs pouvoirs d’initier aux AA et au 95e. C’est ce qui s’est perpétué en France où à partir de la confusion des rôles, la même personne occupant à la fois les deux fonction, celles de GM de France et de GM Mondial, on est arrivé a penser que seul le GMM ou le GH avaient le droit de donner ces grades et qualités..

    Les Souverains Sanctuaires qui connaissent l’histoire du Rite ne se laissent pas faire. Pour eux, la Grande Hiérophanie, avec pouvoirs divins, c’est une invention récente, c’est une escroquerie. C’est pour cela que Joseph Meuwis, GM de Belgique, n’a jamais demandé ni GM de France ni au GM Mondial le droit de faire passer aux AA et 95e.

    C’est pour cette même raison que le GM du SSOI de l’OI n’a jamais demandé ni au GM de France ni au GM Mondial le droit de faire passer aux AA et 95e

    Maintenant tout le monde sait que toute cette question de la Grande Hiérophanie, de sa suprématie et de sa toute puissance n’est en réalité qu’un jeu de pouvoir.
    Il n’a ni fondement historique, ni justification initiatique. Personne n’en veut.

    Déjà sous Kloppel il y a eu un accroissement des pouvoirs du GM Mondial ce qui a amené la cassure entre les Frères italiens et les Frères français.
    Et c’est là le danger de cette nouvelle structure qui n’existe pas dans les Grandes Constitutions et Gouvernement de l’Ordre. Dire que tous les titres et degrés reçus avant son existence sont nuls et doivent maintenant être reconnus par la Grande Hiérophanie inventée hier ? Vouloir que les GGMM et GGHH d’Italie, d’Allemagne, de Roumanie, de Maurice, du Chili aillent en France pour être reçus dans les Hauts Grades ?

    Il n’est pas étonnant que le SS d’Italie ait, en son temps, dit de la démarche française: « C »est du néocolonialisme!» Il rejeta les GCRS et depuis les Frères français et Italiens ne se parlent plus ! Et maintenant, avec la nouvelle grande Hiérophanie, semble vouloir aller beaucoup plus loin : faire de Paris le centre du monde de l’initiation égyptienne !
    Aveuglement, volonté de puissance, folie furieuse ? On a le choix ce qu’il faut en penser.
    Quant à nous, PGC de l’Ordre, cette invention est nulle et non avenue. Castelli peut hurler tout son soul
    c. Une Monstruosité Bicéphale
    Revenons aux deux Grands Hiérophantes ad vitam se sont se sont nommés eux-mêmes, auto- proclamés. Ces postes n’existent pas dans les GCRG ni dans le Gouvernement de l’Ordre ! Regardons de prés cet animal bicéphale, construction mythique avec une tète régulière et une autre une non-régulière. Car le RAPMM devient désormais par la volonté deux Grands Hiérophantes à la fois régulier et irrégulier. Comprenne qui pourra !

    Voyons la tête régulière : A quoi sert-elle ? Kloppel, aurait-il oublié ce chapitre de l’histoire de notre Rite en Grande Bretagne ? Il est vrai que cela se passait au 19e siècle mais comment peut-on oublier le rôle des Anglo-Saxons (GL d’Irlande et Gluda) qui avaient pris le Rite de Misraïm sous leurs ailes pour mieux l’étouffer, comme elles l’ont dit et ecrit elles-mêmes !

    Kloppel n’a pas le droit de donner à quiconque ce qui ne lui appartient pas. Le RAPMM n’est pas sa propriété privée. On peut comprendre s’il n’avait plus personne à qui confier le Rite pour qu’il soit conservé, mais il n’a pas le droit de le donner à quiconque et encore moins aux Puissances dites régulières qui ne reconnaissent les maçonneries irrégulières dont RAPMM fait partie.

    Est-ce à dire que désormais, depuis la date fatidique du 28 septembre toujours selon l’expression de Gaudart de Soulage, le RAPMM s’est retrouvé au sein de la Franc-maçonnerie régulière et traditionnelle, notre RAPMM est devenu régulier, Ses loges et se membres seraient reconnus par la GLUDA pour commencer, la GLNF et les autres puissances maçonniques du monde. Nos Frères et nos Soeurs égyptiens devraient désormais pouvoir se rendre dans les tenues régulières des Anglo-Saxons et autres réguliers de la planète.

    Tout cela est une fumisterie, un écran de fumée, je suis tenté de dire une e vaste escroquerie
    Mais chose plus fondamentale que cette reconnaissance et il faut le dire et le répéter : Nous tous Vrais et Anciens Maçons de la Terre de Memphis, comme notre Rite, nous n’avons pas besoin de « régularité » ou de reconnaissance anglo-saxonne. Note Rite doit rester légitime, sa légitimité suffit.

    Maintenant voyons la tête non-régulière avec Joseph Castelli? A quoi sert-elle ?
    De qui ou de quoi parle-t-on ici ? Que veut dire Maçonnerie Universelle. La Maçonnerie régulière se dit elle aussi universelle! Sinon on conclura qu’elle ne l’est pas. Ou bien s’agit-il ici de la maçonnerie du RAPMM qu’on ne veut pas appeler par son nom. Possible, puisqu’une fois le RAPMM dissous ou absorbé dans la régularité universelle, elle aura cessé d’exister.
    Ou entend-on par maçonnerie universelle, toute cette maçonnerie non régulière avec à sa tête le Grand Orient de France ? Est-ce assujettir et faire absorber le RAPMMM par le GODF et amener sa disparition ?
    Dans les deux cas de figure il n’y a plus de RAPMM ?
    Ou bien Castelli pense-t-il être à la tête d’une maçonnerie universelle et non régulière qui engloberait le GODF et le RAPMM. Oui, on est ici en plein délire ! Comment peut-on vivre avec une telle confusion dans la tête et surtout vouloir l’imposer aux autres.
    Hélas ! Cette Maçonnerie Universelle n’existe pas.
    Pauvre Grand Hiérophante d’une Maçonnerie Universelle qui n’existe pas !
    d. Mort de la Grande Hiérophanie
    Les deux frères ennemis étaient donc tombés d’accord pour le partage des pouvoirs. C’etait la saison des amours. Castelli nomme Gaudart de Soulages Président d’Honneur du Suprême Conseil des Rites Confédérés.
    Quelques mois plus tard, Gaudart de Soulages et Joseph Castelli se nomment réciproquement le premier Grand Hiérophante Mondial ad vitam, le second, son adjoint, avec le titre de Grand Hiérophante adjoint.
    Or, Castelli n’est pas content, sa démangeaison le reprend : il s’attribue le titre de Grand Maître Mondial et destitue le Grand Hiérophante Gaudart de Soulages de sa charge ad vitam.
    Puis à son tour Gaudart de Soulages trouve que Castelli s’est ramené à la vie profane et lui enlève en conséquence tous ses titres, fonctions et charges et le radie de RAPMM et de l’OPRUMM.

    Ainsi, moins de trois mois après la mort de Kloppel, on assiste à la mort de la Grande Hiérophanie , soi-disant créée pour respecter les dernières volontés dit-on de Kloppel. Elle n’aura été qu’un arrangement de circonstance, un stratagème pour mettre le grappin sur le RAPMM. Le nom de Kloppel aura été fort utile et maintenant que le but est atteint, les volontés « posthumes » de Kloppel n’ont plus besoin d’être respectées.
    2. Les GCRG perverties
    Le deuxième socle sur quel Castelli tente d’assoir se prétentions n’est autre que les Grandes Constitutions et Règlements Généraux. Or, ces GCRG ont été perverties en deux occasions, la première fois par Jean Bricaud et la deuxième sous Kloppel, toujours dans le sens de la concentration des pouvoirs entre les mains d’un Grand Maitre Mondial ou Grand Hiérophante mondial.

    On sait que Giuseppe Garibaldi fut nommé à la tête des deux rites, de Memphis et de Misraïm. Il fut nommé par ses pairs et reconnu comme Grand Hiérophante général 97e, c’est à dire chef mondial du Rite. Sa nomination fut surtout une charge honorifique et ne lui conférait pas plus de pouvoirs qu’un autre GM national. Mais il était le Primus inter Pares, le premier parmi les égaux, (Un peu si l’on veut, comme la reine d’Angleterre, Chef du Commonwealth, sans pouvoirs exécutifs ni le droit de s’immiscer dans les affaires intérieures des autres pays du Commonwealth. Elle demeure un symbole.)

    Il n’y a jamais eu avant Bricaud, un Grand Maitre Mondial, un Grand Hiérophante qui seul détiendrait le pouvoir d’initier aux AA et au 95e, ou à qui il faille demander une quelconque autorisation pour conférer les hauts grades.

    Les problèmes cavaient commence lorsque Jehan Bricaud, entre en scène dans des circonstances pas très nettes d’ailleurs. Il a tout mélangé, mettant franc-maçonnerie gnosticisme, martinisme etc. dans le même sac. La confusion a été si profonde qu’aujourd’hui encore de nombreux maçons égyptiens, même des hauts grades qui croient devoir appartenir aux Ordres martinistes, Rose croix d’occident, Elus Coens, confraternité hermétique Rosae+Crucis d’Héliopolis, entre autres, pour être dans la Voie. Peut-être croient-ils aussi qu’en faisant étalage de ces appartenances, ils établissent leur supériorité initiatique… Leurs titres peuvent être impressionnants dans son CV, mais n’ont pas leur place quand on parle de la franc-maçonnerie de Memphis-Misraïm. D’ailleurs les chefs du RAPMM ne doivent appartenir uniquement à ce Rite.

    Il nous a fallu attendre l’arrivée de Robert Ambelain pour sortir la franc-maçonnerie de cet embrouillement qui l’étouffait. C’est lui qui a libéré la franc-maçonnerie égyptienne d’un ensemble de pratiques et voies non maçonniques comprenant pratiques religieuses, gnosticisme, des voies initiatiques valables en soi certes, mais qui n’ont rien à voir avec la vraie maçonnerie. Or, ici il y a un malentendu ! Le nom d’Ambelain est aujourd’hui fort utile et fort utilisé. Nombreux sont ceux qui se réclament de Robert Ambelain tout en continuant d’amalgamer les genres. Est ce de l’ignorance ou de l’escroquerie ?

    Les Grandes Constitutions et Règlements Généraux dont fait état Castelli pour asseoir son autorité, ont été perverties. Elles sont donc impropres et inapplicables. Elles méritent une révision en profondeur afin que soient enlevées les dispositions faisant du Grand Maître ou du Grand Hiérophante National ou Mondial un autocrate. Le Grand Maitre Mondial doit redevenir un primus inter pares, ce qui facilitera la réconciliation franco-italienne et rendre au Rite sa vocation internationale.

    C’est sous Kloppel, durant les années 80, que les GCRG subissent une transformation profonde. Elles sont manipulées, altérées, perverties par les jeunes loups venus du GODF dans l’entourage de Kloppel. Ils voulaient bâtir un Empire et avaient fait croire à Kloppel qu’ils allaient faire de la GLFMM une Obédience plus importante que le GODF. Ils avaient accru les pouvoirs du GMG Kloppel au point de lui faire tourner la tête.

    La Grande Hiérophanie (version Bricaud, Castelli, Gaudart de Soulages) et les GCRG (version néocoloniale de Kloppel) reposent sur du vent. Elles ne valent rien. Pauvre Castelli qui pensait à travers elles, nous mettre au pas !

    Le Rite n’a pas besoin de Califes! Il suffit que les Patriarches Grands Conservateurs de l’Ordre se lèvent et reviennent sur la carrière usurpée et profanée.

    Joseph TSANG MANG KIN, 33°66° 90° 95e 97°
    Zénith de Floréal, le 8 mai 2011
    Grand Maître Général du Souverain Sanctuaire de l’Ordre Maçonnique Traditionnel du Rite Ancien et Primitif de Memphis-Misraïm

  • 170
    Francesco Rexete
    3 mai 2011 à 20h14 / Répondre

    APPEL En vrai je suis aussi écrivain. Chacun des protagonistes pourrait-il m´envoyer ses positions afin que j´en sorte un opuscule, naturellement objectif. Je pense qu´il pourrait connaitre un franc succés.
    Merci d´avance
    (…) rexete@gmail.com

  • 169
    lanterne
    2 mai 2011 à 20h43 / Répondre

    le temps de modifier tous les faux et puis c’est bon…

  • 168
    laurent
    2 mai 2011 à 17h12 / Répondre

    et la sortie du livre ellle est prévue pour quand ???
    parceque j’ai l’impression que tous ceux que cela interesse l’ont déjà eu par mail…drôle de stratégie commerciale 🙂

  • 167
    dje992
    2 mai 2011 à 11h07 / Répondre

    Triste maçonnerie que celle là…
    On s’étripe joyeusement, fraternellement pour quoi en définitive?? Savoir lequel est le plus régulier, celui qui piss… le plus loin?
    Maçon égyptien, je suis bien heureux de ne pas être membre d’une de ces obédiences qui me semblent, vue de l’extérieur, assez fumeuses. Merci le G.O.D.F. de me laisser travailler au rite ancien et primitif de memphis misraim en me protégeant des turpitudes de reconnaissance de tel grand machin chose ou tel autre.

  • 166
    Hou
    1 mai 2011 à 11h47 / Répondre

    Pour Lanterne (post 145),
    Tu n’auras aucune suite à tes 5 €.
    Les documents présentés par la GLEDF sur son site : http://www.gledf.fr/infos.html, surtout les trois premiers du chapitre appelé Infos, lézarde complétement l’édifice que souhaitait imposer Castelli.
    Cet édifice ne tenait, que par son vernis, mais quand le vernis s’écaille, l’édifice s’écroule.
    Tout est quasiment démonté :
    – Fausse constitution pour appuyer ses dires,
    – Faux décrets de radiation,
    – Divers autres faux
    – Etc.

    Comme demandé sur le site, je me suis présenté aux responsables de la GLEDF et j’ai pu après un échange téléphonique, sans aucun problème, obtenir les 3 documents que je souhaitais soit :
    – Fausse Constitution de Castelli du 3 janvier et décret de radiation N° 090108-1b, afin de vérifier par moi même les dates effectives des PDF,
    – Dossier de réponse de Gérard HAREL, dans le cadre du procès intenté contre lui par Castelli pour fausse assemblée générale de l’ORUMM.

    C’est édifiant, consternant pour Castelli et je peux maintenant confirmer que la GLEDF parle claire et ne cache rien, merci à eux.
    Pour le fun, Je me permets donc de leur décerner une rosette d’honneur.

    PS : L’on m’a également indiqué que d’autres documents seront progressivement publiés.

  • 165
    giuseppe garibaldi
    1 mai 2011 à 9h33 / Répondre

    méne hélas !!!
    je vous aime si vous êtes vraiment mon frère
    tout maçon doit savoir pardonner
    mais je persiste et signe
    vos interventions n’éclairent que rarement ce dialogue sur cette espace de liberté qu’est ce magnifique blog

  • 164
    giuseppe garibaldi
    1 mai 2011 à 9h30 / Répondre

    Cher M. ménas où devrions-nous écrire méne hélas !!!

    Vous êtes aussi voyant que Mme Fortin qui n’a pas vu le » Livre Jaune » arrivé.
    Alors que le post s’adressait à un certain nombre d’intervenants qui, s’abritant derrière l’anonymat, se déchaîne toujours contre quelqu’un et ne contribue, en aucune manière, au travail du maçon qui est d’apporter sa pierre à l’édifice, vous vous êtes senti visé.
    Sans doute parce que l’on ne vous reconnaît pas comme tel.
    Nous avons envie de rappeler Molière, mais aussi le bon sens populaire, c’est celui « qui se sent morveux qui se mouche. »

  • 163
    lanterne
    30 avril 2011 à 17h23 / Répondre

    vous allez me trouver taquin, je reviens mettre 5 euros dans le nourin, ça s’endort un peu…

    je viens de retourner sur le site de la GLEDF, et j’aimerai bien qu’on nous explique cette histoire des rites confédérés

    on y voit que castelli les a usurpé puisque kloppel ne pouvait lui transmettre ce qu’ambelain lui avait retiré.
    Ainsi j’aimerais bien savoir ce qu’ils pensent de cette décision d’ambelain ..

    à bientot pour le prochain point godwin

  • 162
    Ménas
    30 avril 2011 à 15h24 / Répondre

    Bravo,

    Enfin !

    Mon très cher Monsieur Giuseppe garibaldi, auterement nommé Personne, La Vérité et j’en passe, je vous félixite, ainsi que l’Académie de la Loi de Godwin.

    Par votre persévérance vous venez enfin d’atteindre, avec tous les honneurs qui vous sont dûs, le « Point Godwin », vérifiant par là, avec le brio qui vous caractérise, la Loi de Godwin.

    Félicitations et un triple ban pour ce persévérant !

    Pour plus de renseignement sur la Loi de Godwin vous pourrez utilement visiter le site suivant : http://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_de_Godwin

  • 161
    Jiri Pragman
    30 avril 2011 à 14h38 / Répondre

    @giuseppe garibaldi (!)

    A quels Frères belges est-il fait allusion ici ? Ces échanges n’intéressent guère les Frères belges et les intervenants ici, pour ce que j’en sais, sont français dans leur toute grande majorité ! Loges « indépendantes » comprises,

    Précision: il ne devrait pas y avoir plus de 150 Maçons égyptiens en Belgique (sur 25.000 Maçons) et je doute que beaucoup d’entre eux se sentent concernés par ces querelles françaises.

  • 160
    giuseppe garibaldi
    30 avril 2011 à 12h13 / Répondre

    A tous ceux qui se cache derrière l’anonymat d’un pseudo, qui détruisent et ne construisent rien.
    « la critique est aisée mais l’art est difficile », cette citation de Beaumarchais garde toute sa valeur.
    A ceux là, nous voudrions leur dire qu’ils ressemblent plus aux tristes dénonciateurs sous le régime de Pétain qui ont contribué à envoyés nos Frères juifs et FM dans les camps.
    C’est facile de livrer en pâture des Frères qui s’expriment sous leurs véritables identités.
    Prenons pour exemple le RER dont le Livre Jaune, véritable pavé dans la mare comme le cite si bien notre FJiri, n’est pas l’objet;
    Nous savons tous parfaitement que l’origine RER est multiple, et vous ne le dites même pas, faute de connaissances ?
    Le RER a pour origine :
    – la source des Pères de l’Eglise,
    – la source de la SOT,
    – la source du rite pratiqué en France à l’époque,
    – la source de Martinez de Pasqually, insufflée dans les rituels willermoziens.
    Beaucoup de Soeurs et de Frères français, toutes obédiences confondues y compris féminines et mixtes, connaissent et apprécient le (…) Yonnel Ghernaouti, chroniqueur littéraire et écrivain, pour son apport historique et son esprit d’ouverture et de tolérance. Nous savons qu’il n’ignore pas tout cela en matière de théosophie rectifiée.
    Alors mes (Frères) belges, c’est trop facile et vous ressemblez plus à des « Léon Degrelle » qu’à des bâtisseurs.
    Nous vous aimons et vous pardonnons.
    Mais l’objet de l’ouvrage ne concerne que les rites égyptiens.
    (…)

  • 159
    pour Tea post 141
    30 avril 2011 à 11h37 / Répondre

    Tu devrais essayer le 04 69 39 37 63

  • 158
    Tea
    29 avril 2011 à 18h26 / Répondre

    Bon j’ai appelé le numéro indiqué sur la couverture du livre : 33 66 90 95 99… mais ça sonne occupé…

  • 157
    apprenti
    29 avril 2011 à 16h00 / Répondre

    Une chose que je ne comprend pas. Il faut dire que ce n’est pas extraordinairement bien expliqué. Le site gledf sur cette page (tout en bas de la page) continue de développer son analyse du livre jaune et parle maintenant d’un autre JC. Que viennent faire Jacques Cousin et la GLISRU dans cette histoire de livre jaune ? J’avoue ne plus arriver à suivre. Le paragraphe ou l’article en question est un peu abscons. Quelqu’un pourrait-il éclairer ma lanterne ? Ca ne commence pas à partir un peu dans tous les sens là ?

  • 156
    Le Chien
    29 avril 2011 à 15h54 / Répondre

    Et hop ! V’là le 139ème commentaire…

    Trop de bla-bla mes Frères, vous vous époumonez pour rien : beaucoup d’entre vous ne s’intéressent pas la FM initiatique et lui préfèrent la FM « sociétale »… Chacun son chemin !

  • 155
    pour jiri pragman
    29 avril 2011 à 9h51 / Répondre

    https://www.hiram.be « le weblog de la Franc-Maçonnerie », devient un forum de discussions éhontées, avec la protection de son administrateur. Cela va se savoir…

  • 154
    Jiri Pragman
    29 avril 2011 à 9h14 / Répondre

    Le Blog Maçonnique compte plus de 4.600 articles. Si quelqu’un se focalise sur le fait que trois (3) articles ont amené des commentaires, des réactions, des questions (certes parfois fort éloignées de toute formulation maçonnique) émanant de quelques dizaines (au pire) de Maçons ou présentés comme tels, grand bien lui fasse. Je l’ai déjà dit, il existe des blogs qui évitent toute question problématique ou se contentent de copiés-collés inoffensifs.

    Les autres savent que ce Blog, dans sa 2e version, propose donc aujourd’hui 4.612 articles originaux et ne consacrent pas leur temps à ces commentaires peu intéressants (mais chronophages pour l’éditeur du Blog Maçonnique qui est obligé de les passer en revue avant de les admettre et préfèrerait consacer son temps à la lecture de livres et revues ou à la rédaction d’articles).

  • 153
    Jiri Pragman
    29 avril 2011 à 8h22 / Répondre

    Je viens de bloquer 10 commentaires qui ne sont que de simples copies d’ouvrages. Ils n’ont pas de lien direct avec l’article censé être commenté. Nous ne sommes pas dupes de la manoeuvre qui consiste à noyer les commentaires sous d’autres.

  • 152
    le vrai visage de la franc-maçonnerie - constant chevillon
    29 avril 2011 à 8h13 / Répondre

    LA LOI DU SILENCE

    Les prêtres Egyptiens avaient personnifié le silence sous le symbole du dieu Harpocrate. Il était tout yeux et tout oreilles, mais sa bouche était close. Cette attitude est évocatrice : il faut voir, écouter, comprendre, mais, parmi les vérités ainsi découvertes, aucune ne doit être divulguée inconsidérément. Plus tard, Apulée écrira dans l’Ane d’or : « Nul danger ne pourra jamais me contraindre à dévoiler aux profanes les choses qui m’ont été confiées sous le sceau du secret ». Il en fut ainsi pour l’enseignement ésotérique de tous les mystères anciens, pour ceux d’Isis et des Pyramides, pour ceux d’Eleusis où l’on célébrait le culte de Déméter, de Perséphone et du divin Iacchos, pour ceux des Cabires et de Mythra ; il en fut ainsi, même pour les mystères de la foi des premiers siècles, distribués aux fidèles dans le silence des cryptes et des catacombes. La loi du silence est à l’origine de toutes les initiations véritables, elle se perd dans la nuit de la préhistoire, sans contestation possible.
    [68] Pourquoi, dès lors, s’en servir comme d’une machine de guerre contre les sociétés initiatiques et en particulier contre la maçonnerie ? La raison en est simple, on a perdu le sens de cette loi. Les profanes et les ennemis de cette institution la considèrent, ou tout au moins feignent de la considérer, comme un aveu, mêlé d’hypocrisie, du but subversif et des mystères honteux atténués par son ombre propice. L’ignorance et la mauvaise foi expliquent cette conception. Tous les maçons vraiment dignes de ce nom le savent, la loi du silence ne recouvre rien de redoutable, d’immoral ou de subversif ; elle est le prolongement légitime, et combien nécessaire, des injonctions données aux antiques adeptes, l’écho de la parole évangélique : « Ne jetez pas les perles aux pourceaux ».
    Mais si la loi du silence est légitime, si elle a été recommandée en termes précis par les maîtres de la pensée ésotérique, comment faut-il l’interpréter ? Beaucoup l’ignorent, même parmi ses observateurs bénévoles, a fortiori parmi ses détracteurs. Trop souvent, ces derniers regardent le serment maçonnique comme un goût enfantin de l’arcane, comme un Besoin, propre à tout esprit superficiel, de se donner à ses propres yeux, une importance capitale pour voiler son néant. Ils ne connaissent rien de la doctrine maçonnique. C’est là leur seule excuse, mais leur ignorance devrait les inciter à sonder les raisons profondes d’un interdit imposé au récipiendaire, avant son admission dans le vestibule du temple.
    [69] Examinons donc le problème dans toute son étendue, sans nous laisser accaparer par des raisons étrangères au sujet. La moindre réflexion, en effet, les mettrait sur la voie.
    Tout d’abord, une affirmation s’impose : toute loi implique une contrainte, une obligation nette de se soumettre à sa teneur. Mais, ici, une distinction est à faire. Les lois civiles : politiques, économiques ou sociales sont l’expression d’une nécessité, momentanée ou durable, constatée par le législateur et, le plus souvent, s’appliquant à la société sans consultation préalable des assujettis. Il y a donc contrainte réelle, absolue, et cette contrainte comporte la soumission à la lettre des textes, plus qu’à leur esprit, jusqu’au jour où la loi sera résorbée par la force des choses ou par la réaction de la foule excédée. La loi maçonnique du silence n’offre rien de semblable à nos méditations. En premier lieu, comme nous allons le voir tout à l’heure, elle est imposée par la raison et non pas par la volonté d’un homme ou d’une collectivité. Ensuite elle est présentée à chaque adepte avant son admission dans l’Ordre et librement acceptée. Le récipiendaire se soumet de plein gré, en toute connaissance de cause aux incidences de la loi ; bien plus, il scelle son acceptation par un serment et se retire ainsi, consciemment, toute possibilité ultérieure de rupture ou de dérogation. La contrainte est donc bien effective, mais elle est d’une autre essence, elle est transcendante aux [70] individus et repose sur la personne de l’initié. Les constitutions civiles régissent les peuples, en dehors de leur volonté et de leurs désirs, ils sont, « perinde ac cadaver », entre les mains de l’Etat et du pouvoir judiciaire chargé d’appliquer la loi. En maçonnerie il y a, au contraire, la volonté et la joie de se discipliner et le serment de persister « sine die » dans cette discipline librement consentie. Ainsi la contrainte du silence n’engendre pas un état de servitude vis-à-vis de la loi, c’est une adhésion dont la nécessité, basée sur la raison, n’enlève rien à la spontanéité. C’est une norme initiatique sans laquelle aucune ascèse n’est possible ; nous allons essayer de le démontrer.
    La loi du silence, avons-nous dit, procède de la raison. La raison est une faculté spécifiquement humaine, elle coordonne les données expérimentales ou intuitives, élaborées par l’entendement, sous forme de notions, de concepts ou d’idées, et les transpose en jugements pour en fixer les répercussions sur notre vie. Or, en face de la raison, la maçonnerie est l’art de poursuivre, la méthode pour découvrir, la science pour intégrer, dans la spéculation et la, pratique, les lois des rapports essentiels établis entre la vérité et l’intelligence humaine. Où est la vérité ? Elle n’est pas dans les expressions fuyantes du langage, écorce périssable sans cesse modifiée par les vicissitudes du temps et des lieux. Elle réside dans les choses elles-même, dans les êtres, dans la vie. Ce n’est pas dans [71] le tumulte des discussions, des vaines et pompeuses paroles que l’on pénètre la substance voilée par les concepts. La voix subtile des essences nous parvient seulement dans le silence de l’esprit, dans le recueillement de la méditation ; elle est interceptée par le fracas du monde profane, constitué, trop souvent, par des sonorités inconsistantes et sans valeur. Ainsi, la loi du silence, loin d’être une obligation arbitraire, est une contrainte rationnelle par laquelle notre corps et notre âme se mettent à la disposition de notre esprit, pour lui permettre d’écouter en toute quiétude la voix des êtres, émanation et sous-multiple de la grande voix universelle. Plus nos méditations seront prolongées, plus complet notre silence intérieur, mieux nous parviendrons à percevoir cette harmonie sublime. Voilà les raisons profondes du silence maçonnique ; nous verrons plus loin comment il faut l’organiser. Retenons-en dès maintenant le principe directeur : L’Enseignement initiatique se donne et se reçoit dans le silence de tout l’être, il jette ses assises dans la méditation et il porte ses fruits dans les replis les plus secrets de l’esprit apaisé.
    La loi du silence a encore un autre aspect, aspect tout extérieur et plus généralement considéré par les membres de l’institution et surtout par ses ennemis. Lorsque le Vén clôture les travaux de l’atelier, il dit : « Retirez-vous en paix, mes ff sous la loi du silence ». Cette phrase du rituel a deux sens, celui plus [72] haut étudié et un sens exotérique, applicable aux profanes. Or, si le symbole du dieu Harpocrate concerne le premier, la parole évangélique et le texte d’Apulée, cités au début de ces lignes, s’appliquent incontestablement au second et, ici encore, la raison dicte la loi. En effet, toute idée, divulguée sans discernement, est sans profit pour la foule aveugle, inapte à la recevoir. Pour elle, c’est une proie toute indiquée, une proie à dépecer. Elle s’en empare avec toute son ignorance et son irrespect, elle la triture, la torture par des interprétations et des applications fantaisistes pour en faire un monstre sans forme et inesthétique, selon le mot du poète latin : « Monstrum horrendum informe, ingens, cui lumen ademptum ». Monstre horrible, informe, immense à qui la lumière est enlevée. Oui, la parole maçonnique jetée en pâture à la masse devient, en passant dans les cellules cérébrales d’individus sans culture adéquate, un monstre illogique, un amalgame de concepts rebelles à la fécondation de la vivante lumière. Le danger de certaines divulgations intempestives apparaît donc redoutable. Par elles, la maçonnerie, de tout temps, a été considérée comme une entreprise de mort, comme une assemblée de destructeurs ou d’hommes tarés. Le contraire, pourtant, seul est vrai, car elle s’efforce, dans sa tradition authentique, de guider les individus et l’humanité tout entière vers les hautes sphères de la Sagesse et de la Spiritualité. D’où la nécessité morale absolue de celer à la multitude les symboles et idées maçonniques [73] inaccessibles à son intelligence, non seulement pour en éviter la profanation, mais encore pour empêcher la transformation d’un outil de vie en arme de mort, de la lumière en ténèbres, de la vérité en erreur. « Sancta sanctis » dit l’Ecriture ; il faut réserver les mystères aux mystes, tout en essayant d’accroître le nombre de ceux-ci pour élever progressivement toutes les élites à la hauteur de la science sacrée. La maçonnerie n’a pas été parée en vain du nom de science royale, elle l’est par essence et, comme telle, elle est l’apanage des intelligentes subtiles greffées sur une volonté d’airain et consolidées par un grand cœur. Jamais la foule, en l’état actuel de l’évolution humaine ne pourra assimiler les arcanes, les aporreta de notre institution ; ils constitueraient, pour elle, un philtre de folie, un soleil trop lumineux pour un regard habitué à la pénombre de la forêt des préjugés.
    Revenons maintenant sur nos pas et voyons comment il faut organiser le silence prescrit par la loi maçonnique. Se taire vis-à-vis de l’étranger, lui voiler sa pensée si nous le jugeons indigne ou indifférent, paraît chose relativement facile. Le serment du silence malgré des violations répétées veut, du reste, être dans ce cas, un obstacle suffisant à toute indiscrétion. Mais il est des circonstances où la difficulté est plus grande. Tous nous avons une famille, des amis chers, des camarades auxquels nous avons accordé notre confiance ; l’amour ou l’amitié, la sympathie peuvent nous [74] inciter à des révélations peut-être dangereuses pour la tranquillité de nos proches et surtout préjudiciables, en raison de l’incompréhension que nos paroles peuvent rencontrer, d’un côté à nos affections, de l’autre aux FF auxquels nous sommes liés par un serment solennel ; c’est pourquoi la loi du silence extérieur est absolue, le maçon doit savoir se taire, il doit respecter son serment sans aucune défaillance. Il doit se taire, lorsqu’il n’est pas dans le temple ou en présence de ses pairs. Remarquez bien ces paroles : « Nous disons, ses pairs et non pas ses FF » Tous les maçons en effet, sont FF, entre eux la solidarité, la fraternité et l’amour jouent sans distinction d’âge, ils forment une chaîne d’union, unique et indissoluble, du plus jeune au plus ancien, mais ils ne sont pas tous égaux sur le plan de la vérité, ils ne la voient pas tous sous le même angle, ils ne sont pas tous également aptes à réaliser un travail déterminé dans le grand œuvre des constructeurs. Aussi, comme il serait inopportun et même dangereux de confier la sculpture d’un chapiteau à un apprenti tout juste habitué à dégrossir un moellon, il faut éviter de lui divulguer prématurément les secrets des ateliers supérieurs et les vérités auxquelles ils servent de voile ; sa science rudimentaire ne lui permettrait pas de les assimiler entièrement. II ne saurait les utiliser selon la norme, et devant l’inutilité de ses efforts pour comprendre et œuvrer, le découragement et le dégoût envahiraient son esprit. Le [75] Maçon ne parle donc que devant ses pairs, devant les ouvriers capables de réaliser son propre travail. C’est du reste la raison pour laquelle la maçonnerie est une institution progressive ; à ses adeptes elle donne la vérité par étapes et non pas d’un seul bloc. Voilà les arguments qui étayent la loi du silence, à l’extérieur et à l’intérieur de l’institution. Voilà la façon de la comprendre et de la pratiquer ; mais la question est plus vaste encore, ce sont là des prolégomènes tout à fait superficiels, c’est la lettre de l’obligation. II nous reste en effet à examiner l’organisation du silence au sein même de la conscience d’un Maçon. Nous le disions tout à l’heure, la vérité n’est pas située dans les paroles dont nous entourons nos concepts et nos idées, elle réside dans l’essence des choses et des êtres. Le silence seul peut nous permettre d’entendre la voix subtile des essences. Comment donc réaliser en nous la loi du silence et pénétrer dans l’esprit de notre serment ? Examinons l’histoire des sages et des philosophes.
    Pythagore, avant de créer son école de Crotone, passe des années dans le silence absolu. Devenu chef d’école, il impose le silence à ses élèves. Ceux-ci étaient à l’origine des « Akoustikoi », des écouteurs ; ils devaient écouter et se taire, ils ne questionnaient jamais, ils suivaient les leçons du maître et les méditaient dans le secret de leur intelligence.
    La vie cachée du Christ dure 30 ans, pendant les[76]quels l’histoire ne révèle aucun fait, geste ou parole susceptible de nous mettre sur la trace de sa formation intellectuelle et spirituelle. Avant de se lancer dans la vie publique, il se retire pendant 40 jours dans le désert, afin de concentrer sa pensée et de la mûrir dans le silence absolu des solitudes transjordaniques. Vers cette même époque, Apollonius de Tyane s’interdisait toute parole pendant cinq années consécutives, et i1- avait 20 ans à peine. Ces maîtres avaient compris la valeur et la vertu quasi surnaturelle du silence physique. Intelligences géniales, ils dépassent la foule comme des chênes centenaires écrasent le modeste taillis de la forêt.. C’est pourquoi nous pouvons les voir et de loin les imiter. De leur exemple tirons ce premier principe :
    « Le Maçon parle au moment opportun et surveille ses paroles, il énonce seulement sa pensée essentielle. » Tout le reste est parole vaine, bruits sans consistance, la ritournelle d’un perroquet à laquelle s’essayent avec tant de succès les tribuns de nos assemblées politiques, ou de nos cénacles littéraires.
    Voilà comment il faut comprendre et réglementer le silence physique, qualité primordiale du Maçon. Il y a trop, de par le monde, d’orateurs et pas assez de penseurs, trop d’idéologues et pas assez de réalisateurs, car l’homme livré à sa nature animale s’extériorise constamment par des paroles et par des gestes vains au lieu de s’enfermer dans le silence de la méditation, [77] seule source des grandes pensées et des grandes actions. Mais ce n’est pas tout, il faut encore organiser en soi-même le silence psychique, le silence de l’âme. Il faut imposer à la ruée des instincts et des passions le contrôle de la raison et de la volonté ; les contraindre à s’exprimer seulement dans les circonstances où les juguler serait une erreur manifeste, et une cause de déperdition des forces vitales, un appauvrissement injustifié de l’instinct de conservation. Il faut donc ici, comme s’il s’agissait des paroles, surveiller les instincts et les passions, discerner leurs mouvements et ne donner libre cours qu’aux seules manifestations compatibles avec les lois naturelles de l’évolution humaine. Cette restriction, ce silence psychique est la base même de la vertu de tempérance, opposée au brutal élan de toutes les incontinences animales.
    Sur ce palier de l’organisation du silence, le Maçon, déjà, se révèle largement outillé, pour la lutte contre la facilité profane. Nous pouvons apercevoir enfin toute l’ampleur de•l’ascèse ultérieure à envisager pour atteindre la perfection relative do la conscience. Il faut, en effet, dans une ultime étape réaliser le silence intérieur, le silence de l’esprit, pour mieux entendre la parole des choses et le Verbe de Dieu.
    Cette opération, difficile entre toutes, réclame une très longue habitude, elle emprunte deux attitudes différentes : élimination et purification.
    [78] Comme la loi du silence nous incitait, tout à l’heure, à surveiller nos paroles oiseuses et le débordement passionnel, elle nous invite maintenant à surveiller nos pensées, à éliminer les dissonances capables d’obscurcir le Vrai, le Beau et le Bien, dans le champ de notre conscience. Puis non content de cette opération négative, il faut passer à l’attitude positive, car la purification, c’est l’affinement de la pensée. Or cet affinement s’opère par le contact de notre esprit avec l’essence des choses. Le silence est le creuset dans lequel notre raison et notre volonté sont soumises au feu vivant de la nature et de son sublime émanateur. Par ce feu nous susciterons en nous des pensées de justice, de miséricorde et de charité, des pensées susceptibles de nous conduire jusqu’aux confins du monde spirituel. Enfin, de ces attitudes diverses, il faudra en dernier ressort, réaliser une synthèse et obtenir le silence de tout notre être personnel. Nos passions et nos instincts réduits à l’état d’instruments dociles seront utilisés en vue du bien individuel et du bien général. Nous arriverons ainsi progressivement à canaliser tous nos sentiments, toutes nos notions, concepts et idées dans la voie de la sérénité. Notre vie apparaîtra alors comme une vibration synchronisée dans l’harmonie universelle du cosmos, et cela par la Vertu de la loi du Silence, joyeusement acceptée, et respectée, douloureusement certes, mais sans défaillance.
    [79] Et ainsi nous nous installerons définitivement dans cet ultime état, aboutissement obligatoire de toute vraie Maçonnerie : l’Illumination.

  • 151
    le vrai visage de la franc-maçonnerie - constant chevillon
    29 avril 2011 à 8h12 / Répondre

    LE VRAI VISAGE
    DE LA FRANC-MAÇONNERIE

    Tel est le vrai visage de la maçonnerie universelle. Nous avons voulu dépeindre ce visage en une esquisse rapide et fidèle, non pas d’après les hommes enrôlés sous sa bannière, mais d’après la tradition dont elle doit se prévaloir. Cette tradition s’est altérée au cours des âges, c’était à peu près ; inévitable, par suite des réactions humaines normales.
    Les principes de liberté, d’égalité et de fraternité, charte inamovible des individus et des peuples à laquelle la maçonnerie est attachée jusqu’à la mort, ont été trop méconnus, piétinés même, par tous les gouvernements et les partis. Les intérêts particuliers et ceux des castes, champignons vénéneux engendrés par l’indéracinable égoïsme, ont été trop longtemps favorisés par les pouvoirs publics, au détriment de l’intérêt général. La vraie maçonnerie s’est élevée contre l’injustice et l’intolérance, elle a voulu, partout et toujours, rétablir l’équilibre rompu. Parce qu’ils étaient [49] humains, les moyens employés par elle ont, peut-être. dépassé la limite de la sagesse. Pour lutter contre la détresse matérielle, elle est descendue sur le plan strictement physique, elle a ainsi perdu de vue son rôle spirituel et son office de médiateur. Dans certains cas, elle s’est aussi prêtée aux réalisations partisanes. Mais son action était légitime dans son essence, sinon dans ses modalités. Les hommes qui, dans son sein, ont dirigé la lutte étaient, pour la plupart, pleins de foi et de bonne volonté, ils avaient un seul objectif : le bien ; il faut les absoudre. Même si leur œuvre est condamnable, la maçonnerie est innocente, elle ne préconise pas l’erreur, mais la vérité.
    Contrairement aux affirmations de ses détracteurs, elle n’est pas, en effet, une entreprise de démolition, un organisme gangrené dont l’activité néfaste propage la maladie dont il est atteint. Nombre de maçons peuvent errer et le contraire serait étonnant ; beaucoup d’entre eux peuvent agir en vue d’intérêts personnels plus ou moins avouables. Il est inadmissible de jeter l’interdit sur l’ordre tout entier par le fait des brebis galeuses, fussent-elles la majorité, qui s’abritent dans ses temples.
    C’est pourquoi nous nous sommes efforcés de faire revivre, dans sa pureté idéale, la doctrine véritable de la maçonnerie initiatique ; de montrer l’ascèse individuelle et collective dont elle est le support ; d’élever [50] les adeptes jusqu’à la notion d’apostolat et, par ce moyen, de les conduire à des réalisations extérieures d’où les errements seront exclus. Nous avons écrit sans révéler aucun des « aporreta » de l’ordre, dans l’unique but d’être utile à la vérité et de détruire, dans la mesure où l’on nous entendra, les rumeurs de haine soulevées contre lui. Ceux qui, éventuellement, liront cette étude y puiseront peut-être : soit une plus juste compréhension et un peu de respect pour une haute doctrine venue des tréfonds de l’histoire, soit le désir de mettre leurs pensées et leurs actes au diapason de son enseignement traditionnel.
    Pour ces derniers, disons-le à nouveau, ils entreprendront une œuvre ardue, et, à certains moments, douloureuse. Mais sa réalisation n’affecte aucun caractère d’impossibilité. Certains l’ont accomplie, malgré les contraintes matérielles et la lutte pour l’existence : c’est déchoir de ne pas les imiter. Elle est, en ces pages, présentée dans son aridité métaphysique, non pas pour effrayer, mais pour donner le courage nécessaire à la poursuite de ce noble idéal. Il est toujours bon, en effet, avant d’entreprendre une tâche, d’en mesurer l’étendue.
    Regardons autour de nous, l’effort est partout, c’est une loi vitale à laquelle aucun être ne peut se soustraire. La vie humaine surtout est le prototype de la lutte perpétuelle. II faut combattre pour la place au [51] soleil et le pain de chaque jour, combattre pour la vérité contre l’erreur, pour la paix contre la guerre, pour le bien contre le mal. Nul homme, digne de ce nom, ne peut nier l’opportunité de l’effort dont la tension, du reste, est béatifique aux grandes âmes, puisqu’il apporte avec lui l’espérance de la victoire et la joie anticipée du triomphe. Les difficultés, dès l’abord, apparaissent insurmontables, mais s’avèrent bientôt, et presque toujours, comme un adjuvant de la volonté.
    Lorsqu’un alpiniste se trouve au pied d’une muraille rocheuse presque verticale, son premier mouvement est de retourner sur ses pas. Il n’hésite pas cependant, il l’attaque avec la volonté de la vaincre. Au fur et à mesure de l’ascension, il trouve des fissures, des cheminées, des rampes plus douces et des terrasses invisibles d’en bas. Malgré la fatigue et le danger mortel, il arrive enfin sur la crête et respire longuement l’air des sommets, il se sent le maître des forces naturelles, car il a vaincu l’épouvante et terrassé la matière. Ainsi fait le vrai maçon, chevalier sans peur et sans reproche, il conquiert la spiritualité contre tous les obstacles.

    [52 bl. 53]

  • 150
    le vrai visage de la franc-maçonnerie - constant chevillon
    29 avril 2011 à 8h12 / Répondre

    APPENDICE

    AVANT-PROPOS

    Parmi les profanes et même parmi les maçons qui se sont attardés à lire les pages précédentes, beaucoup, peut-être, ont été déçus. Ils espéraient y rencontrer, non seulement un visage inconnu de la foule, mais encore un thème précis capable de résorber tout effort intellectuel, un dogme auquel il suffit de se confier pour être irrésistiblement entraîné dans le sillage de la lumière.
    [54] A force d’entendre dire : la Maçonnerie dispense la vérité à ses adeptes, les maçons peuvent croire à l’instantanéité d’une révélation miraculeuse et, comme l’amour-propre humain les guide encore à leurs premiers pas dans le temple, ils souffrent, sans doute, de ne point en être éblouis. Quant aux profanes, ils pensent : point n’est besoin d’entrer dans la Maçonnerie pour arriver à ce résultat : les sciences, les philosophies et les religions sont des mentors aussi sûrs. Cette fraternité n’innove rien, n’apprend rien ; elle s’arroge un droit hypothétique et se sert d’un pur symbole pour convaincre les hommes de son utilité. Ouvrons une quelconque éthique, voire un simple catéchisme, et nous trouverons, sous une forme moins présomptueuse, les mêmes enseignements et les mêmes préceptes.
    Les maçons auraient tort de réclamer une révélation là où se trouve seulement la continuité d’une tradition millénaire ; les profanes, de méconnaître les bienfaits d’une méthode et d’une discipline dont l’efficacité se conçoit par les contraintes, ailleurs appliquées sous le couvert des lois punitives ; les uns et les autres, d’imaginer une prétention injustifiée. C’est pourquoi nous voulons aborder ici la question de la lumière maçonnique, dans la limite imposée par l’obligation du secret, pour montrer à tous, et surtout aux initiables, ses caractéristiques, son rôle et la manière dont il faut la comprendre et la conquérir, en dehors de toute [55] illusion incompatible avec la positivité de la doctrine.
    Alors apparaîtra aux yeux de la bonne foi, par un nouvel examen et une méditation plus approfondie et corrélative de notre premier regard, combien la maçonnerie est inconnue de la généralité des hommes et quelle est la valeur de son témoignage dans l’appréciation de la vérité humaine, témoignage d’une importance unique, puisque tout entier dans la conscience du myste.
    Nous allons revenir, en quelque sorte, sur nos pas, pour mieux en mesurer la portée et la direction ; nous allons rencontrer les mêmes concepts et les mêmes idées, mais dans un cycle plus restreint, car nous assisterons, dans une certaine mesure, à la naissance d’un fils de la Veuve.
    [56]

  • 149
    le vrai visage de la franc-maçonnerie - constant chevillon
    29 avril 2011 à 8h12 / Répondre

    LA LUMIERE MAÇONNIQUE

    Nouveaux venus à la porte du temple, cherchez-vous bien la lumière ? Rien n’est moins certain. En votre for intérieur, en effet, vous croyez la détenir en fonction de vos connaissances. Vous avez tout un passé derrière vous ; vous avez travaillé, pensé, agi ; votre compréhension englobe certaines lois et principes et vous pouvez prétendre, sinon à la vérité totale, du moins à une approximation d’une large envergure. Votre conscience éclairée par votre intelligence peut ainsi vous conduire vers un jugement d’une apparente rectitude. Vous ne venez donc pas chercher la lumière, mais, à défaut d’une vérité nouvelle qui vous paraît improbable, un peu plus de clarté et de précision. De ce chef, du reste, personne ne doit vous condamner, car la plupart des maçons, tous peut-être, ont pensé comme vous, jusqu’au jour où ils ont aperçu leur erreur.
    Attendez un peu comme d’autres l’ont vu, vous le verrez bientôt, la lumière profane dont vous êtes [57] plus ou moins saturés, est un reflet trop souvent déformé par le prisme phénoménal. Lorsque vous approcherez la vraie lumière, la lumière maçonnique, engendrée par le soleil idéal du monde spirituel, vous saisirez la signification de ces mots : « Recevoir la Lumière » et « Donner la Lumière », car vous ne serez plus de simples écrans réflecteurs, mais des foyers radiants. Et ce moment est proche ou lointain selon la détermination de votre propre volonté.

    *
    * *
    Vous avez demandé la lumière sans être bien convaincus de la recevoir. Comment vous l’a-t-on présentée ? Sous le voile de multiples symboles. Sans aucun doute, vous les connaissiez déjà et vous avez été étonnés, au premier contact, de n’en trouver parfois qu’une simple esquisse au lieu d’un modelage complet. Arrêtez-vous sur cette première anomalie, dont la raison vous échappe et souvenez-vous d’une chose : la figure ou la lettre sont des supports, l’idée et l’esprit seuls sont essentiels. Ne tombez donc point en des généralisations hâtives ou des jugements irréformables. Les raisonnements a priori ne valent rien dans les sciences exactes, ils sont encore moins de mise dans la maçonnerie universelle.
    Malgré ses études antérieures, malgré ses connaissances acquises, le récipiendaire ne sait rien encore [58] sous l’angle particulier de la Maçonnerie ; il erre dans le labyrinthe passionnel, il hésite aux carrefours de tous les préjugés et, s’il appartient à l’élite profane, il s’incline devant le sacro-saint mirage de l’intellectualisme rationnel. Or il ne s’agit point ici des rapports communément admis par les docteurs exotériques ; il faut, au contraire, établir de nouvelles relations entre le signe et les idées, ou, plutôt, les saisir à travers la plasticité des symboles. La maçonnerie, dit-on, est un art et une science ; ne nous autorisons pas de notre intelligence de la science et des arts pour juger péjorativement une institution dont la formule et le but, proclamés identiques, semblent emprunter une voie divergente ; essayons de découvrir la réalité cachée sous l’écorce.
    Depuis des milliers d’années, depuis les temps historiques, il y a des mystes, initiés et adeptes, à côté et au-dessus des hommes de la foule ; des écoles ésotériques en marge des académies officielles. Bien plus, à côté des savants, naturellement adonnés à l’élucidation des mystères dont nous sommes entourés, il y a toujours eu des cénacles fermés, des temples secrets, des fraternités hermétiques où les hommes de désir seuls étaient introduits, avec un cérémonial compliqué, propre à éliminer les curiosités malsaines et les volontés chancelantes. Ce deuxième aspect du problème mérite encore attention. Pourquoi tout cet apparat, pourquoi cette sélection ? Parce que la vérité porte un [59] sceau et qu’il faut le recevoir pour être admis en sa présence. Ce sceau est un geste sacramentel, un baptême purificateur, il pénètre toutes les facultés, les émonde et les modifie, selon la réceptivité de chacun. Avant d’ouvrir à ses élus les portes de la Vérité, la Maçonnerie imprime donc sur leur front le sceau des citoyens de la lumière, par des épreuves adéquates, tirées des quatre éléments primordiaux, successivement traversés et vaincus.
    Mais si le sceau rend la lumière accessible, il n’est pas la lumière ; ainsi dans une religion quelconque, le baptême n’est pas le salut.
    Lorsque le bandeau est tombé de vos yeux, vous avez cru, sans aucun doute, à une restitution pure et simple de la lumière physique dont vous étiez privés et vous n’avez pas été autrement émus, car le symbole ne révèle pas, de prime abord, son intime subtilité. Vous avez pourtant ressenti un choc semblable au choc de l’aube sur la nature lorsqu’elle émerge à l’horizon sous la poussée du soleil. Ce choc symbolique est, en même temps, la matière sacramentelle et la conséquence du sceau initiatique.
    Avez-vous, de ce fait, reçu et contemplé la lumière dont la Maçonnerie se flatte d’opérer la transmission ? Non, et vous pourriez avec une légitimité relative affirmer l’absence totale de rupture dans le champ ordinaire de votre visibilité. Méfiez-vous, toutefois, [60] de cette logique d’apparence irréfutable. Si la lumière ne vous a pas été brusquement révélée, si vous n’avez aucune connaissance nouvelle immédiate, vous avez néanmoins reçu la clef des portes de l’orient spirituel d’où vient la lumière véritable.
    Quelle est donc cette clef d’or ? Vous la possédez depuis l’éveil de votre entendement, tout le monde la possède, mais personne ne veut plus s’en servir, sinon pour un culte idolâtre et purement spéculatif. C’est le « Connais-toi » découvert par Socrate dans la doctrine traditionnelle des antiques mystères dont il fut l’écho révélateur. Elle vous a été restituée dans le cabinet de réflexion et on vous en a montré l’usage au cours de vos voyages de probation. Elle vous a permis, avec l’aide de vos initiateurs, d’assurer vos pas incertains, d’être maître de vous-mêmes et de dominer les éléments, non pas au gré de votre fantaisie, – les lois naturelles suivent une route immuable, – ni pour satisfaire vos caprices, – l’initié n’en a pas, – mais en les acceptant librement lorsqu’ils sont contraires, en méprisant leurs contingences lorsqu’ils sont favorables. Et ceci, c’est la lumière, et la lumière est contenue tout entière en ces paroles, à peu près inconnues en dehors de nos temples : l’homme fort est la mesure du monde. L’homme fort, en effet, ne spécule plus sur la devise socratique, il ne la porte point à sa boutonnière comme une décoration, il la transforme en motif d’action et de réaction, il la porte dans l’inti[61]mité de sa substance, elle est devenue l’œil de sa volonté.

    *
    * *

    Toute l’infinie distance entre la lumière initiatique et la lumière profane est contenue dans ces mots « Connais-toi ». Par eux, la Maçonnerie met le récipiendaire en présence de lui-même, en présence de sa pensée et de sa conscience toute frémissante du contact de Dieu, de ce Dieu interne manifesté seulement par les essences. Sans négliger le voile du monde phénoménal, elle le réduit à la juste valeur d’une gamme sonore dont les vibrations, dans l’économie du Cosmos, sont destinées à proclamer la gloire et la puissance de l’intériorité. La science profane, au contraire, met l’homme en présence du monde extérieur. Elle lui dit : regarde, analyse, compare, extrais le suc phénoménal pour remonter aux lois et aux principes ; mais elle se tient dans la dispersion et la divisibilité externes. Ainsi, la Maçonnerie intériorise et la science extériorise. Celle-ci communique le reflet de la lumière incréée, celle-là crée une lumière dans la conscience même de l’homme et illumine le monde visible pour le situer à sa place véritable. C’est pourquoi le profane, aux prises avec les luttes quotidiennes de l’existence, est enclin à se laisser dominer par les forces extérieures et se trouve désemparé lorsque le reflet, son guide habituel, l’abandonne dans les ténèbres [62] intérieures. C’est pourquoi le maçon n’est jamais seul avec lui-même ; il est co-participant de la vraie lumière ; il est une source de lumière et le monde extérieur, malgré ses révoltes momentanées, lui est soumis, car ce monde n’est rien sans une conscience capable de l’absorber au sein de sa propre lumière, de lui donner une vie réelle et un sens.
    Mais la lumière ne s’acquiert pas si facilement qu’il suffise de traverser le cabinet de réflexion pour en jouir. La clef est difficile à manier. Aussi, la Maçonnerie donne-t-elle une méthode et les règles de l’art royal. Méthode et règles sont contenues, sous un voile transparent au lecteur attentif, dans les rituels et les enseignements des maîtres ; il est inutile et inopportun d’en exposer les détails, mais elles sont basées sur un principe liminaire sana lequel leur inefficacité est certaine : la discipline. La Maçonnerie impose à tous ses membres une discipline dont la rigidité n’exclut pas la souplesse ; même à l’homme de l’élite enrôlé comme apprenti, elle ne craint pas de dire : « Ecoute, obéis et tais-toi ». Et c’est pourquoi le signe guttural est placé au seuil du temple pour rappeler perpétuellement à tous : la stricte loi du silence, le respect des serments et la domination sur tous les réflexes de l’être physique et intellectuel.
    Certes, elle ne méprise pas les connaissances acquises, ni l’éducation profane dont les incidences sont non seulement utiles, mais souvent nécessaires ; elle [63] reconnaît la science ésotérique de certains engagés dont elle facilitera l’ascension plus rapide, mais à tous elle prêche la circonspection. La vérité des masses et la vérité des élites doivent être contrôlées et passées au crible de la conscience maçonnique. Elle crie : « Prenez garde, la lumière est immaculée, seul, le doute cartésien peut l’accueillir en sa pureté originelle ».

    *
    * *
    Pendant les premiers mois de ses travaux dans le temple, l’apprenti maçon, arrivé à un certain degré d’intellectualité et surtout d’ésotérisme, peut parfois se laisser emporter par une impression singulière. Il se croit enfermé dans un circuit primaire et sans issue où l’on s’efforce de l’astreindre à un enseignement largement familier et dérisoire. Les gestes, les paroles, les doctrines, tout lui semble connu ; il a la sensation bien nette de perdre son temps. Son tort est grand et il prouve ainsi, de manière péremptoire, la superficialité de ses vues. Sans aucun doute, il connaît la technique des termes et peut-être des symboles, mais il ignore la prodigieuse différence entre l’étude d’un isolé et la méditation en commun, entre le bois sacré ouvert à tout venant et la Cella du temple. Il ignore les vertus de la hiérurgie et les horizons nouveaux et insoupçonnés qu’elle évoque, avec une rapidité souvent fulgurante, dans l’esprit du myste, sous le couvert [64] d’un mot ou d’un signe dont la fécondité semble à jamais épuisée.
    Apprentis nouvellement engagés, si grande soit votre science, si haut votre entendement, différez votre sentence et ne haussez pas les épaules. La Maçonnerie sous l’apparente simplicité de ses prolégomènes vous présente une doctrine austère, profonde et toute hérissée de problèmes inattendus. Vous mettrez des années à l’épuiser dans vos méditations et, plus encore, à la traduire en vos comportements internes et externes. Ne croyez pas à la facilité, c’est un arbre stérile, inconnu dans le sanctuaire ; ne croyez pas à l’indigence de certaines idées, leur plénitude vous deviendra tangible par l’effort continu. Et c’est en vue de cet effort, créateur d’hommes, de chefs et d’apôtres, que la Maçonnerie vous réclame la circonspection et la discipline, seules capables de conduire vers la maîtrise. Votre enrôlement vous a fait maçon de droit ; par la bonne volonté et le cœur, vous le deviendrez de fait lorsque, soumis à toutes les règles de l’art royal, pénétrés de sa méthode, vous aurez compris les doctrines philosophiques et les opérations hiérurgiques, dont l’existence, à tous les degrés de la hiérarchie, malgré la dissimulation voulue, dont elles sont l’objet, est incontestable.
    Alors seulement vous commencerez votre ascension dans la lumière, dans cet idéal constitué par la maîtrise de soi, le calme équilibre des facultés, des pa65ions et des instincts, par la prépondérance de l’esprit sur la matière et la pondération des jugements. Alors vous aurez enfin trouvé la seule paix susceptible de s’étendre de proche en proche dans les diverses couches de la nation et de se répandre dans toute l’humanité par-dessus les frontières. Vous comprendrez pourquoi la paix universelle est une utopie si la paix intérieure ne règne pas en chacun de nous et vous sentirez comment celle-ci est la résultante de la lumière maçonnique dont le phare puissant décèle l’unique vérité. Toute vérité qui n’est pas apaisante en elle-même est, en effet, un tissu d’erreurs déguisées et de préjugés ténébreux, elle déchire les individus dans leurs propres entrailles et les dresse les uns contre les autres pour assurer l’hégémonie d’une idée particulière ou pour justifier des attitudes et des actes inspirés par l’égoïsme, ce poison subtil, destructeur de la fraternité.
    La lumière maçonnique forme les hommes en dehors de toute contingence. Ces hommes sont des pacifiques et des pacificateurs, car, par le « Connais-toi », ils ont appris à se dominer, à tempérer la justice par la tolérance et la miséricorde, à aimer ceux dont le stade évolutif n’a pas encore transgressé les lois instinctives, à les aimer avec assez d’ardeur pour leur tendre la main et les attirer à eux, dans cette paix lumineuse devant laquelle l’ombre de la haine, de l’envie et de la colère s’évanouit sans retour.
    [66 bl. 67]

  • 148
    le vrai visage de la franc-maçonnerie - constant chevillon
    29 avril 2011 à 8h11 / Répondre

    EXAMEN DE CONSCIENCE

    Après avoir examiné successivement l’ascèse individuelle et l’action collective et sociale auxquelles le ’maçon est appelé par l’institution, nous pouvons nous rendre compte du travail énorme et difficile de cet entraînement progressif. Et ceci explique pourquoi tant d’adeptes croupissent dans les bas-fonds de la médiocrité, au sein des obédiences les plus actives et les plus réputées. La plupart, malgré certains caractères et une discipline librement acceptée, sont de simples profanes. Sont-ils effrayés par le labeur ou incompréhensifs ? L’une et l’autre de ces suppositions doivent être sans doute retenues ; mais la maçonnerie elle-même ne peut être accusée, car ce sont les hommes qui restent sourds à l’appel ou impuissants à réaliser, par veulerie ou mauvaise volonté. Et pourtant la maçonnerie est sage, elle n’impose à personne un effort au-dessus de ses facultés, elle s’essaye, au contraire, à magnifier et à développer les facultés pour les rendre aptes à l’effort. Elle n’impose pas à l’apprenti et au [31] compagnon le travail du maître ; elle série les difficultés, les dévoile successivement et, en présence de chacune d’elles, donne les directives nécessaires pour les surmonter. La progression peut être lente ou rapide, mais aucun ouvrier ne passe à une nouvelle branche avant d’avoir atteint la perfection dans le stade inférieur. Il avance vers la maîtrise par une marche -régulière et précise. Lorsqu’il l’atteint, il peut entreprendre un travail efficace, car il sait tailler dans la matière première, en vue de la solidité de la construction. Mais ce n’est pas tout, la maçonnerie est l’art royal par excellence ; à la stabilité de l’œuvre elle veut adjoindre la beauté, c’est pourquoi elle sélectionne les maîtres ouvriers du temple. Par une série ininterrompue d’épreuves et d’enseignements, elle leur découvre les lois architecturales susceptibles de concourir à la magnificence de l’édifice. Bien plus, elle conduit les plus aptes, les plus courageux et persévérants vers les ultimes sommets, leur transmet les règles de l’art, les principes de la science, et ceux-ci, à leur tour, pourront former les futurs ouvriers de la cité céleste, les diriger et les élever jusqu’à eux pour permettre à l’œuvre maçonnique d’être éternelle comme la race humaine.
    En présence de ces constatations, un sérieux examen de conscience apparaît opportun. Descendons en nous-mêmes, sondons nos cœurs et nos reins. La question à nous poser est double. Sommes-nous dans la voie, [32] c’est-à-dire, dans l’esprit maçonnique ? Avons-nous la volonté de la suivre jusqu’au bout ? Eh bien ! j’en ai peur, la réponse de notre conscience ne sera peut-être pas, pour beaucoup d’entre nous, entièrement affirmative ; notre faiblesse congénitale, notre égoïsme, notre amour-propre, l’attrait puissant des passions et des instincts physiques, sont de terribles pierres d’achoppement et ont, plus d’une fois sans doute, eu raison de notre volonté.
    Nous avons mis bien souvent, certes, la main sur le maillet et le ciseau pour tailler notre pierre : combien de fois les avons-nous jetés pour nous renfermer dans la paresse ou le dédain ? Nous avons mis les mains à la charrue : n’avons-nous pas, maintes fois, par lassitude, contemplé l’orée du sillon au lieu de terminer la tâche. S’il en est ainsi, frappons-nous la poitrine, car nous avons commis un crime, non seulement contre nous-mêmes et contre la maçonnerie, mais contre l’humanité qui attend en vain la consommation de l’œuvre rédemptrice. Si nous avons fauté, ne soyons pas lâches, ne jetons pas nos outils dans le chantier déserté. La maçonnerie ne renonce jamais à sa tâche, elle abandonne au néant les ébauches mal venues et transporte ailleurs les matériaux, pour recommencer inlassablement le travail défectueux. Faisons comme elle, ne nous décourageons pas, reprenons nos outils et la besogne où nous l’avons laissée. Mais, ici, arrêtons-nous à une ferme [33] attitude, prenons l’engagement sacré de ne plus regarder en arrière, affermissons-nous dans une volonté irréductible de poursuivre notre ascèse personnelle pour pouvoir œuvrer, en un jour très prochain, dans l’arène des luttes collectives, d’où sortira une humanité meilleure, une humanité régénérée, consciente de ses devoirs et de ses droits, en possession de la vraie liberté par l’égalité principielle et la fraternité.
    Par cet examen de conscience, par cet acte de ferme propos, les responsabilités maçonniques sont déterminées avec la plus extrême rigueur et dans la certitude. Pénétrons-nous bien, maintenant, des vérités ainsi énoncées. Il ne suffit pas d’avoir été reçu apprenti, compagnon ou maître, pour être un vrai maçon. Dan ; le monde profane un manœuvre ne devient pas un ouvrier compétent par le seul fait de son engagement sur un chantier. Il en est de même dans les ateliers du Temple. C’est pourquoi lorsque le Vén demande au premier surveillant s’il est maçon, celui-ci ne répond pas : « Je le suis », mais : « Mes frères me reconnaissent pour tel ». Il indique ainsi, sans ambiguïté possible, la nécessité d’un travail personnel et acharné pour arriver à l’adeptat. Quiconque est oublieux de cela, pour n’avoir pas à orienter ses efforts vers ce but précis, ne sera jamais un vrai fils de la veuve et les grades, les distinctions, les offices dont il sera revêtu par l’amitié de ses frères ou de ses maîtres seront une vaine manifestation de l’esprit profane, des oripeaux destinés à couvrir son inesthétique nudité.
    [34] Maçons courageux et de bonne volonté, travaillez donc à votre ascèse comme l’ont fait vos ancêtres ; recherchez la lumière, aimez la vérité envers et contre tous, même contre les vôtres, contre vos amis les plus chers : la vérité est trop haute pour souffrir les compromissions. Soyez durs à vous-mêmes, mais bons, compatissants, tolérants pour les autres, dans la mesure de la justice. En toutes vos pensées, réflexes ou actes, n’ayez qu’un seul but, une seule fin : le bien général de l’humanité dont les individus ne sont que des sous-multiples. Si vous êtes dans cet esprit, combien pèseront à vos yeux les mesquineries profanes, les attaques sournoises ou directes, les opinions péjoratives, les entraves jetées sur votre route ? Rien ne pourra vous détourner de vos investigations désintéressées, rien ne pourra ralentir votre travail, rien ne viendra amoindrir votre liberté essentielle, ni votre foi dans les destinées humaines, ni votre espérance de l’ère nouvelle, ni votre amour de vos frères conscients ou égarés. Les choses mauvaises seront pour vous une conséquence de l’erreur où se trouvent plongés les hommes ; les choses bonnes vous apparaîtront comme une illustration magnifique de l’évolution des âmes, une incitation à poursuivre la lutte pour le vrai, le beau et le bien. Vous serez confirmé dans l’optimisme de l’athlète, digne de votre titre et du passé humain de la maçonnerie universelle.
    Mais si vous rencontrez des obstacles insurmonta[35]bles, si votre effort se heurte à des masses trop lourde. pour vos épaules, frappez et l’on vous ouvrira, demandez et vous recevrez. N’hésitez pas, car la maçonnerie attend les demandes et les pèse à leur juste valeur pour ne pas avoir à transmettre une vérité au-dessus des forces de l’impétrant. Car, non seulement, elle donne la science, crée, affermit et développe toutes nos facultés, mais, par une éducation adéquate, s’efforce d’en rendre l’usage facile et spontané, dans un rythme de beauté et d’harmonie.
    [36]

  • 147
    le vrai visage de la franc-maçonnerie - constant chevillon
    29 avril 2011 à 8h11 / Répondre

    CULTURE

    La maçonnerie prescrit la recherche de la vérité, mais cette recherche n’aurait aucun sens si la vérité n’avait un contenu.
    Or, trop de maçons, même ceux qualifiés de grands, lorsqu’ils profèrent l’axiome à jamais célèbre, gloire de l’institution : « La maçonnerie n’impose aucune limite à la recherche de la vérité », se contentent de faire miroiter aux yeux de leurs frères moins avancés un lointain idéal, intangible et irréel, porte ouverte à toutes les hypothèses issues de l’imagination humaine, celles invraisemblables comme les autres. Ils consacrent, en quelque sorte, une vérité problématique, erreur éventuelle pour tous, sauf pour son détenteur momentané ; une vérité dont la couleur et la forme peuvent changer du jour au lendemain ; une vérité dont le point de départ et le point d’arrivée sont en équilibre parfaitement instable. Pour leur justification ils invoquent la base expérimentale et la [37] méthode rationnelle ; ils prétendent ainsi rester dans la science positive. Ils voient juste, sans doute, s’ils veulent simplement élucider les lois physiques du monde extérieur et sonder le contenu objectif de la matière. Et cependant, même sur ce point exotérique de la science royale, ils restreignent les envolées intellectuelles et nient l’utilité de la maçonnerie, celle-ci, par les moyens dont elle dispose, étant inférieure aux Académies et aux Facultés. Mais, s’ils veulent, par ce moyen maintenir la mission maçonnique et s’élever sur les hauteurs de l’esprit, ils font fausse route, car l’expérience a besoin d’un phare pour sortir des séries phénoménales qui, toutes, nous conduisent à une impasse sur laquelle s’amorcent les avenues du mystère. Ce phare c’est le contenu de la vérité. la vérité en soi. Elle est évidemment inaccessible dans sa totalité, dans sa substance vivante, sans cesse en mouvement. Cependant, chacun peut en saisir une parcelle, si infime soit-elle, un lambeau susceptible de lui donner une certitude.
    Pourquoi la généralité des maçons s’obstinent-ils à prêcher la recherche de la vérité sans jamais faire allusion à son contenu ? Ils se plaisent à la brutalité de la lettre et du mot, ils se projettent vers une évidence fantôme, sans se soucier du corps sacré des idées dont il est la projection intellectuelle, comme si l’évidence par elle-même était une fin, un repos adéquat à l’effort du penseur. L’évidence en soi n’est [38] rien, sinon la lumière engendrée par le choc des rapports du réel au réel. S’acharner à rechercher l’évidence pour l’évidence est un leurre, il faut lui donner un support. Mais le maçon ordinaire, même savant, croit se trouver en présence de la vérité lorsqu’il se loge, pour un temps plus ou moins long, dans la caverne platonicienne ; il confond ainsi le reflet et la réalité, il poursuit l’ombre de la lumière.
    L’évidence est un critérium nécessaire pour établir la légitimité d’un rapport, c’est l’harmonie des notions, des concepts, des jugements ou plus spécifiquement une vêture dont on recouvre la pensée. La vérité substantielle est une idée qui ne renferme aucune contradiction dans son énoncé, elle doit donc cadrer exactement d’un côté avec l’apparence phénoménale, avec les manifestations de la vie, de l’autre avec l’essence même des choses ou des êtres dont elle est la représentation harmonique. En d’autres termes, la vérité c’est le réel, rendu intelligible, soit par le procédé discursif du raisonnement et de l’analogie, soit par l’intuition dont l’imagination créatrice est l’instrument.
    Si nous partons de ces données reconnues exactes, et il serait difficile de les nier de bonne foi, la culture maçonnique basée sur la recherche de la vérité va nous apparaître dans sa complexe unité. Accoler les deux mots : complexe et unité, semble une hérésie ; en mathématique peut-être, dans le réel, non. L’homme est un dans son essence véritable, il est deux dans [39] ses manifestations intérieures et extérieures, il est trois dans l’actualisation de ses potentialités.
    La culture maçonnique comprendra donc trois phases ; dans chaque phase, nous distinguerons deux stades, et tous les points de vue divers se synthétiseront sous l’influx de la fin poursuivie.
    La première phase comporte l’éducation de la sensibilité ; la deuxième, l’éducation de l’entendement ; la troisième, l’éducation de la conscience, c’est-à-dire de l’esprit, unificateur du composé humain. Dans la première, il faut éduquer les instincts et les passions, puis les sentiments. Dans la deuxième, former la raison et éclairer la volonté de manière à la guider légitimement dans le libre choix dont elle est l’origine. Dans la troisième, il faut éveiller la conscience, d’un côté dans la diversité, de l’autre dans l’unité. Mais du haut en bas de l’échelle l’unité se manifeste et devient effective au fur et à mesure de l’ascèse, car le maçon, tout en agissant selon les lois et principes régulateurs de ses divers plans constitutifs, concentre son activité dans l’axe universel et unique du vrai, du beau et du bien.

    *
    * *
    Tous les catéchismes religieux, toutes les éthiques et toutes les philosophies nous donnent les règles de [40] cette triple éducation sous le couvert de la morale profane. La maçonnerie suit cette voie, empruntée de la tradition universelle de l’humanité, mais en lui donnant une portée bien supérieure. Comme certaines religions, elle n’invoque pas la récompense ou la peine, comme les éthiques et les philosophies elle ne s’inspire pas seulement d’une certaine hygiène animique et intellectuelle. Elle n’est pas, en effet, la religion de la foule ignorante, ou la philosophie d’une élite composée de primaires. La maçonnerie est l’apanage de l’élite des élites et, comme telle, se place à un point de vue surhumain. Elle veut le vrai essentiel, le beau en soi et le bien suprême, sans se préoccuper des contingences engendrées par l’égoïsme des individus, des nations et des races, compte tenu de la progressivité nécessaire à la stabilité du cosmos. Elle accepte donc les compromis et les chemins de traverse axés vers le but final, mais jamais les compromissions et les routes régressives. Elle accepte l’opinion du moment pour autant qu’elle contienne une parcelle de la vérité, mais combat l’erreur et l’ignorance, elle accepte un moindre bien pour marcher vers le mieux. Elle est compatissante aux chutes, jamais à la lâcheté.

    *
    * *
    L’éducation de la sphère humaine purement sensitive, c’est-à-dire instinctive et passionnelle, se conju[41]gue avec l’éducation de l’intelligence, car les facultés correspondantes sont intimement liées entre elles, la sensibilité fournissant à l’intellect l’aliment basique de ses cogitations. La maçonnerie ordonne à ses adeptes de se libérer des instincts et passions ; non pas de les annihiler, mais de les clarifier et de les maintenir dans leur rôle strict. Ceux-ci ne doivent pas être des fins susceptibles d’accaparer et de conditionner l’activité générale de l’être, mais des moyens, des outils par lesquels l’homme peut agir sur la nature physique et la dompter, la réduire à l’état du serviteur qui parle lorsque son maître l’autorise. Ceci est peut-être difficile, mais parfaitement intelligible. L’homme doit être maître de lui-même, or, comme la sensibilité constitue la partie inférieure du composé humain, il faut la soumettre à la partie la plus noble, à l’esprit ; elle ne peut saisir les leviers de l’action, sans être sous l’emprise spirituelle immédiate. Il n’est pas nécessaire d’insister sur ce point, tous les hommes de bon sens en sont convaincus. Il n’est pas davantage besoin de nous attarder longuement sur l’éducation intellectuelle. Les lois de la logique, la pratique des sciences positives, nous ont mis sur la voie depuis longtemps. On a, trop souvent, présenté l’intelligence comme la faculté du vrai, c’est exact en surface seulement. Le vrai est absolu et l’intelligence ne peut rien saisir en dehors de la véracité des rapports « existentiels » entre cet absolu et ses manifestations phénoménales, véracité [42] qui constitue l’évidence ou la certitude scientifique. Elle est donc relative dans toutes les incidences de son activité. Le thème maçonnique de l’éducation intellectuelle consiste précisément à empêcher les adeptes de se fourvoyer en des rapports faussement véridiques, suscités par l’erreur congénitale attachée à nos sens ou par le rapprochement illégitime de notions et concepts, semblables en apparence, mais en réalité étrangers les uns aux autres. C’est pourquoi la maçonnerie recommande la circonspection dans l’analyse, le discernement dans l’élaboration des concepts, la tempérance dans le jugement.
    Ce n’est pas tout encore. Par cette première étape, elle permet à l’intelligence de recevoir une lumière suffisamment clarifiée, authentique expression du donné sensoriel. La science véritable, la gnose, possède un autre pôle, le pôle positif de la connaissance ésotérique. Ce pôle, ce sont les idées émanations du monde des essences. Les idées sont l’élément informateur de la connaissance ; elles sont, comme telles, absolues en elles-mêmes et leur relativité est fonction de nos facultés représentatives. L’éducation intellectuelle maçonnique nous permet de pénétrer dans ce monde transcendantal, car elle ne se contente pas de former l’intelligence, elle influence l’entendement, racine radicale et support de la première.
    [43]
    *
    * *
    L’intelligence réalise l’abstrait contenu dans le concret phénoménal sensible, mais se trouve toujours dans la diversité. L’entendement, au contraire, impose à la diversité abstraite l’action unificatrice des idées et engendre l’adéquatio rei et intellectus dans laquelle tous les platoniciens, après leur maître, plaçaient et placent encore la vérité. Pour être dans le vrai, il faut réaliser l’équilibre entre le sujet et l’objet ; entre la chose connue et l’entendement qui connaît. C’est là l’œuvre maçonnique par excellence dans le domaine intellectuel, c’est la première étape du grand œuvre.
    Mais ici il faut beaucoup de subtilité pour suivre l’ascèse et c’est pourquoi nombre de maçons s’arrêtent en route, et n’outrepassent jamais la diversité intellectuelle. Leur volonté, du reste, uniquement éclairée par la lumière réfractée à travers le prisme matériel n’est pas illuminée par le reflet des essences et maintient son activité dans le monde physique, dans le monde extérieur ; le monde intérieur leur est clos. Or celui-ci peut se présenter à notre sens intime comme un livre ouvert, si nous savons éduquer notre entendement, si nous savons accroître sa réceptivité et opérer le dosage adéquat du réel et de l’apparence. Il faut, en effet, pour conserver à la vérité sa puissance dynamique de réalisation, marier les idées et l’expérience []44 dans une juste mesure. Il ne s’agit pas d’une simple juxtaposition de concepts venant des deux points opposés de l’horizon intellectuel ; il faut effectuer, non un alliage, mais une synthèse vivante au sein de la pensée. Il faut que la materia prima fournie par les sens, élaborée par le dyptique sensibilité-intelligence et la forme substantielle reçue par l’entendement donnent naissance, grâce au jeu de la volonté et de l’imagination créatrice, à un être nouveau, image parfaite de la réalité ; il faut, en un mot, constituer le verbe humain. Et ce verbe n’est pas seulement la science, la parole spéculative et théorique, il doit s’actualiser dans les manifestations de notre activité intérieure et extérieure ; il est créateur ou complètement inutile. A l’intérieur de notre être il constitue la conscience, à l’extérieur, la civilisation.

    *
    * *
    Négligeons, en cette brève étude, ce dernier point de vue ; les méditations maçonniques consolidées par les faits quotidiens en révèlent suffisamment les arcanes. Quant à la conscience, il importe de nous y arrêter un instant, car elle est à la base de toutes nos réalisations extérieures, par conséquent l’assise même de la civilisation. Notre conscience pousse ses racines, d’un côté au sein de l’expérience, résultat de l’activité incessante et discontinue du monde extérieur, de l’autre dans l’unicité de notre être, et, par cet intermédiaire, [45] dans l’unité cosmique dont l’origine repose sur le monde des idées informatrices, c’est-à-dire dans la manifestation du monde spirituel. Elle n’est pas seulement le sens de la justice, de la morale sociale et de l’amour-propre individuel dont les variations sont indéfinies. S’arrêter à cette conception, c’est prendre l’effet pour la cause. Dans son épanouissement total, la conscience est d’abord et surtout le sceau, le signe vivant de notre réalité, car elle perdure parmi les phénomènes passagers, elle est l’éternité dans le temps. Mais en raison de son pôle négatif appuyé sur la diversité phénoménale elle est aussi le sens de notre interdépendance vis-à-vis de l’universalité des êtres, donc un lien entre le moi et le non-moi. Par l’éducation, par la culture intensive, ces deux attributs répondent à une hypostase greffée sur l’arbre de la création et la conscience devient une cellule autonome de l’espèce humaine, solidaire de toutes les autres, mais complète en elle-même, dans le sein de Dieu. Elle est donc le support de l’amour véritable, de l’amour absolu et sans limite dont l’étreinte puissante embrasse toutes les créatures, à travers le Créateur. Et voilà pourquoi la conscience est aussi un tribunal devant lequel aucune parole, aucun geste, aucun acte ne trouvent d’excuse s’ils ne sont revêtus du manteau de la Foi, de l’Espérance et de la Charité. Voilà pourquoi elle est une source inépuisable de civilisation, car celle-ci ne peut s’établir sans la foi en l’unité, sans l’espérance en l’unité, sans l’amour de l’unité, dont la conscience est la plus haute expression.
    [46] Ainsi, l’éducation individuelle maçonnique rejoint l’apostolat collectif fixé comme but final à l’institution. Pourquoi tant de maçons s’arrêtent-ils, comme nous le disions tout à l’heure, à la période purement intellectuelle, sans souci de mettre un point final à leur ascèse ? La science est nécessaire, un ignorant ne peut briguer l’honneur et la responsabilité d’être un apôtre. Mais l’ascèse ne consiste pas tant à s’instruire qu’à tirer profit de la science pour organiser la vie spirituelle. Il faut s’élever au-dessus de la connaissance, simple hase sur laquelle se construit l’édifice de la conscience. La connaissance est relative et humaine, mais par elle doit s’affirmer quelque chose de surhumain dont l’existence est conditionnée par la prise de possession d’une intime réalité : la personne. Contre cette réalité, rien des contingences intellectuelles ne doit prévaloir. C’est une autocréation analogue de tout point à la discrimination des personnalités hypostatiques divines. Sur le support vital, en effet, le logos intellectuel se greffe, qui s’épanouit dans le triple amour de la volonté. Par la vie, par l’être, nous sommes un dans le tout ; par le verbe nous distinguons notre moi des autres moi et nous devenons une individualité particulière susceptible de se manifester dans la diversité du monde extérieur ; par l’amour nous restituons notre unité dans l’unité transcendantale, nous affirmons notre conscience intégrale ; en un mot, nous situons notre personnalité au carre[47]four de l’infini et du fini, de l’absolu et du contingent, dont nous devenons participants dans une mesure identique. L’amour ainsi donne un sens à la lumière intellectuelle et transpose la vie sur le plan de l’universel.
    Comment conclure ! de manière aussi simple que, peut-être, inattendue. Le maçon doit acquérir le sens de l’éternel. S’il travaille dans le temps, c’est sous l’angle de l’éternité, c’est-à-dire de la réalité. Pour l’homme, c’est dans le temps que germe l’éternité, il faut, donc en commencer la conquête dans le temps. Or, chaque individu est engagé dans le milieu social ; travailler à la perfection de ce milieu, c’est fournir à l’individu un moyen efficace pour se hausser dans l’éternité. Si le maçon a coulé sa personnalité dans le moule de l’éternité, s’il est un avec elle, il pourra essayer d’entraîner la société humaine à sa suite ; s’il est resté dans le temps, ses efforts seront vains et ses spéculations comme ses actes voués à la stérilité.
    [48]

  • 146
    le vrai visage de la franc-maçonnerie - constant chevillon
    29 avril 2011 à 8h10 / Répondre

    APOSTOLAT

    Voilà le travail personnel auquel le maçon s’est engagé, peut-être sans prévoir toute l’ampleur de sa promesse. Certes, ce travail est important, douloureux et magnifique. Mais est-ce bien là tout le travail de notre institution ? Il est important, pour nous qui en supportons le poids, mais il n’est rien ou pas grand chose par rapport à l’espèce humaine. La maçonnerie, en effet, ne tend pas seulement à créer parmi ses adeptes des personnalités, à la fois pures et fortes, elle veut illuminer les masses dans la mesure du possible, leur faire comprendre la justice et l’équité, le droit et le devoir, les confirmer dans la liberté par la vraie fraternité, par la caritas generis humani jadis évoquée par Cicéron et les stoïciens. Pour cela il lui faut des apôtres, et elle veut créer des apôtres. C’est pourquoi tout son enseignement converge vers l’action ; par la science spéculative elle conduit à la science des réalisations, son rêve c’est de construire le temple de l’humanité. Qu’est-ce qu’un apôtre ? C’est un homme [26] d’action, un homme revêtu d’une mission sacrée, pour laquelle il est prêt à tout sacrifier : ses commodités personnelles, ses désirs les plus chers, son temps et sa vie s’il le faut. Un apôtre doit posséder les trois vertus primordiales que nous connaissons bien ou que nous connaîtrons lorsque nous aurons franchi d’autres échelons de la hiérarchie : la foi, l’espérance et la charité. Ces trois vertus sont si hautes qu’on les a appelées vertus théologales, non seulement pour rappeler qu’elles s’appliquent à Dieu, mais pour montrer que leur possesseur peut être assimilé à un dieu.
    Ici, ouvrons une parenthèse nécessaire pour éloigner de nous toute idée préconçue, incompatible avec la vérité. De tout temps les hommes, et spécialement les maçons, depuis bientôt un siècle, ont eu peur des mots, parce qu’ils les ont revêtus d’un masque modelé sur leur phobie du moment. Tout à l’heure, nous parlions d’illumination. Ce mot, dans notre langue, est synonyme de folie ou de chimère, c’est absurde ; un illuminé est un flambeau. Inutile d’insister. Quant aux vertus théologales, c’est autre chose. La foi maçonnique n’est pas cette croyance étroite par laquelle l’ignorant s’incline devant un dogme indéfinissable, c’est la transfiguration de la pensée, la sublimation de l’entendement ; ce n’est pas le credo héroïque ou paresseux du charbonnier, c’est le credo plein de lumière de la science discursive et intuitive : je sens, je vois, je sais, donc je crois. L’espérance ce n’est pas [27] cette aspiration béate vers une aide problématique et imméritée, vers une récompense gratuite, inadéquate à l’effort déployé pour la conquérir ; c’est l’essor de tout l’être vers les sommets de la beauté et de la justice. La charité, ce n’est pas l’amour égoïste d’un bien conçu comme un bien-être dont on veut jouir, c’est l’amour désintéressé d’un suprême idéal de bonté, de miséricorde et de paix, non pas pour un seul être, mais pour l’universalité des êtres. Et ces trois vertus sont une seule et même chose, considérée sous trois aspects différents par suite de la triplicité humaine. C’est la volonté purifiée de tout alliage bâtard, la raison magnifiée et rendue subtile comme une lame d’épée, c’est le cœur élargi jusqu’au sacrifice, par la conscience illuminée.
    Mais, revenons à l’apostolat maçonnique, et voyons comment il peut être conçu. Ne nous leurrons pas, n’enfourchons pas les coursiers d’Apollon, ne montons pas au Sinaï, le grand œuvre de la régénération humaine est moins glorieux et beaucoup plus difficile. Il ne s’agit pas de multiplier les actions d’éclat, les gestes valeureux, d’échafauder des plans constitutionnels inédits et transcendants, il faut œuvrer dans la simplicité du cœur et de l’intelligence, avec une volonté infrangible ; il faut agir avec l’opiniâtreté de la goutte d’eau dont la chute répétée perfore le granit le plus dur. Il faut agir d’abord par le prosélytisme de la conviction : par paroles souvent, par écrit quel[28]quefois, par l’exemple toujours ; semer dans la foule les idées de saine liberté, d’égalité véritable et d’universelle fraternité, les imposer à l’attention des individus sous leur angle réel ; implanter dans les âmes la notion du vrai, du beau et du bien, et, par conséquent, dissoudre dans son ambiance immédiate le brouillard mortel des préjugés, de l’ignorance et de l’erreur, éliminer les superstitions, qui sont des liens d’esclavage pour l’intelligence et la volonté. Puis, il faut réaliser, c’est-à-dire employer toutes ses forces, toutes ses ressources disponibles, toute sa vie à la transformation de l’idéal en œuvres adéquates. En un mot, il faut concrétiser sa foi, la réduire en acte, car la foi spéculative est inutile et sans sincérité. Il n’est pas nécessaire de se précipiter vers le martyre, mais il faut savoir y marcher le cas échéant, d’un pas délibéré et la tête haute, car le maçon est un homme sacrificiel. Sa foi personnelle n’est pas égoïste, elle est rayonnante, il veut la communiquer aux autres. Il n’espère rien pour lui-même car il a tout en lui, et les contingences matérielles ont pour lui une importance relative, mais il espère pour la foule, pour les humbles et les faibles. Il espère la science pour les ignorants et ceux qui sont dans l’erreur. Il espère la liberté pour les esclaves, la justice pour les opprimés et l’équité pour tous. Son amour s’étend sur tous les êtres de sa race, sur la masse comme sur l’élite, il aime tous ses frères en vue de la fin commune de l’humanité, fin dernière où chacun doit être à sa place, dans [29] la hiérarchie des valeurs spirituelles. Le travail du maçon est donc totalement désintéressé, il est accompli sous l’angle du devoir. Le maçon, en effet, ne revendique pas ses digits personnels d’homme libre et conscient, sinon pour accomplir son devoir, car il sait que ses droits sont relatifs et limités, mais que son devoir est absolu et sans borne. Aussi le maçon apôtre est un chef missionne parmi les élites, car c’est un initié, un illuminé, un homme de cœur, de science et d’action.
    [30]

  • 145
    le vrai visage de la franc-maçonnerie - constant chevillon
    29 avril 2011 à 8h09 / Répondre

    ASCESE

    Lorsque le profane se présente à la porte du temple, pour réclamer humblement la lumière, le gardien du seuil l’arrête rudement par l’épaule en disant : « Qui va là ? ». Et le psychopompe répond, pour le récipiendaire : « C’est un homme libre et de bonnes mœurs ».
    Tout est là ; la maçonnerie, en deux mots, met ses adeptes en présence de la plus complète et de la plus haute de toutes les vérités. La lumière, en effet, ne se donne pas aux esclaves, ils en feraient mauvais usage ; elle ne s’épanouit pas dans la dissonance passionnelle sous peine d’être immédiatement déformée et réduite en ténèbres ; elle se révèle, dans sa pureté, au sein de l’harmonie consécutive à la sérénité des rapports humains. Combien de maçons, de nos jours, réfléchissent sur ces deux simples paroles ? Peu ou pas du tout. Ouvrons donc notre esprit aux accents de la maçonnerie et méditons-les pour notre compte personnel.
    Le temple est ouvert seulement aux hommes libres et de bonnes mœurs ; les deux membres de cette [13] affirmation sont une seule et même chose ; les concepts s’interpénètrent et s’étayent mutuellement. La liberté est une puissance, les mœurs sont une attitude, un réflexe de la puissance. Les bonnes mœurs ne seraient rien, si elles n’étaient l’attitude de la vraie liberté. Celle-ci, en effet, consiste à commander à tout ce qui n’est pas la conséquence inéluctable des lois universelles du Cosmos. Etre libre, c’est réglementer l’incidence des besoins, policer les instincts, canaliser les passions, juguler l’erreur et réaliser le bien dans la vertu, en détruisant le mal avec le vice. Or, de ceci, résulte une chose, à première vue étonnante, au moins pour le commun des mortels : un homme ostensiblement voué au pire des esclavages, au travail forcé sous la férule d’un garde-chiourme, à l’oppression systématique des tyrans, aux affres de la misère, de la maladie et de la mort, aux vexations et à l’ostracisme des foules aveugles, peut être immensément et superbement libre. Il n’adopte pas, en effet, l’attitude des esclaves, qui est la résignation, mais il accepte la nécessité du moment, il méprise les contingences, et il bande ses efforts pour s’en délivrer, sinon dans le temps, du moins dans la réalité éternelle. Au contraire, l’homme vêtu de la pourpre, devant lequel s’inclinent toutes les têtes, le législateur omnipotent, le magnat de l’industrie, l’arriviste sans scrupules, sûr de son prestige, de sa souplesse ou de sa force, peuvent être parmi les plus vils esclaves, s’ils se courbent au souffle de l’appétition matérielle, au souffle de leurs passions, de leurs désirs, sans autre loi que le succès. Regardez bien chacune de ces catégories d’hommes et distinguez-les par les mœurs. Vous ne trouverez pas le bien parmi les esclaves et le mal parmi les hommes libres, car les mœurs ne sont pas seulement cette concession aux convenances sociales, qui jette sur les pires abus, le voile d’un certain décorum ; les mœurs, dans leur essence dernière, sont un rayonnement de l’âme, de l’intelligence et de l’esprit, qui rend la vie belle, noble et humaine à travers des gestes parfois inélégants ou incompréhensibles. C’est pourquoi liberté et bonnes mœurs sont une seule et même chose.

    *
    * *
    Voyons maintenant comment le vrai maçon doit conquérir sa liberté pour informer sa conduite sous l’angle universel de l’humain.
    II la conquiert en deux temps :
    En une période d’émondation ou de purification qui le conduit à la liberté négative, à la maîtrise de soi-même, à la résorption des entraves matérielles et passionnelles, propres aux esclaves. En une période d’ascèse active, génératrice de la liberté positive, c’est-à-dire de la liberté de réalisation. Cette dernière seule est la véritable liberté, on le comprend sans peine.
    [15] La période d’émondation, tous les maçons la connaissent, et le contraire serait inadmissible, car elle constitue le thème essentiel de la maçonnerie symbolique ; c’est la nouvelle naissance préconisée par les Ecritures, naissance à la lumière spirituelle. Elle consiste à rompre la gangue des besoins, des instincts, des passions ; à briser la chrysalide intellectuelle des préjugés et des erreurs dont l’âme de la foule est trop souvent prisonnière et, ainsi, entravée dans son essor vers le soleil de la vérité.
    Comment s’arracher à cette emprise catastrophique ? Par l’assimilation judicieuse et l’utilisation rationnelle de l’enseignement maçonnique traditionnel. L’entrée dans le temple provoque un choc, le choc de la lumière brusquement révélée à la chute du bandeau. Ce choc c’est l’éveil sur un plan nouveau. Les fantasmes de la nuit s’évanouissent comme un brouillard inconsistant, les choses se précisent, apparaissent sous leur forme véritable ; toute la gamme matérielle se revêt de sa tonalité spéciale. Le sens strict du monde extérieur se révèle ; sous l’influx de la lumière c’est un simple point d’appui susceptible de parer à une marche incertaine et dangereuse à travers les marécages de l’animalité pure et un point de départ vers l’harmonie supérieure des entités spirituelles. Ce choc contribue donc à nous dépouiller du vieil homme, du manteau humanimal transmis par la génération sexuelle, mais c’est insuffisant. Il faut prévoir les po16ibles cataboles, éloigner les embûches ; une liberté sans armes, toujours et partout, est une liberté morte.
    Et le maçon passe à la période active, cuirasse sa liberté pour la rendre invulnérable, pour lui laisser les coudées franches, en vue de l’action éventuelle.
    Ici encore, l’enseignement s’efforce de mettre entre les mains de tous la clef de la solution. Non seulement il indique la direction générale de la liberté, mais il indique les routes les plus sûres et les plus directes pour y parvenir, il pousse même la sollicitude jusqu’à établir l’idéal itinéraire à emprunter. Insister sur ce sujet, ce n’est point éclairer une fatale ignorance, c’est attirer l’attention sur les difficultés et la transcendance de l’œuvre maçonnique, pour en fixer dans l’esprit les plus subtiles particularités.
    Il ne faut pas, en effet, mésestimer les obstacles semés sous les pas de l’initiable. Malgré les précisions doctrinales et les points de repère, ils sont durs à surmonter. Tout à l’heure, la bonne volonté suffisait : tenir les yeux grands ouverts à la lumière, comparer, apprécier et dire oui, est une besogne relativement facile. Pour l’action, il faut faire appel à la volonté. Tailler dans le vif ; retrancher les branches inutiles, les bourgeons bâtards ou purulents, comporte une souffrance pour l’arbre confié aux soins du jardinier. Il en est ainsi pour le maçon, et d’autant qu’il est à la fois, l’arbre, le sécateur et l’ouvrier. Sa volonté [17] doit être indéfectible, sinon il reculera devant la souffrance, sinon la facilité et la paresse l’emporteront sur l’effort et l’ardeur, et nous nous trouverons en présence de cet axiome de la morale latine : Corruptio optimi pessima, la corruption du meilleur est la pire de toutes.
    En cette période d’ascèse active, le but du maçon est triple, puisque l’homme est construit sur un triple plan. Il doit façonner et cuirasser son âme, son intelligence et son esprit. Nous ne parlons pas du corps, car le corps a été purifié et comme régénéré par le procédé d’émondation, il est donc en parfait état de santé et d’équilibre.
    L’âme humaine est ce milieu d’une matérialité subtile, qui, par l’un de ses pôles, touche à l’esprit et par l’autre à la matière ; elle est le moyen terme du composé humain, le médiateur plastique, si souvent condamné par les philosophes et les théologiens soi-disant orthodoxes. Elle est le milieu vital commun à l’homme et aux animaux, l’informatrice du corps ; elle renferme la sensibilité. Passons sous silence la sensibilité corporelle, lieu de décantation et d’élaboration des données expérimentales ; cet aspect relève de la psycho-physiologie. Nous envisageons seulement la sensibilité, réceptacle des passions et des sentiments, cette sensibilité qui rend l’homme matériel spécifiquement humain. Dans ce milieu naissent et se développent sous l’influx intellectuel les sept vices [18] capitaux dont l’humanité est la proie : l’orgueil, l’envie, la paresse et les autres. Mais elle est aussi, sous la poussée volitive, la matrice de l’amour.
    Si nous réfléchissons, d’un seul coup d’œil, nous verrons quel est le travail du maçon sur le plan sensitif. Les vices capitaux sont greffés sur l’égoïsme, il en résulte : la haine, la cruauté, l’injustice à tous ses degrés, les mesquineries ridicules dont la foule des timorés, des faibles et des ignorants est l’éternelle victime. L’amour prend sa source dans l’universelle fraternité des êtres appelés à une même fin. De l’amour résultent : la pitié, la miséricorde, la bonté, la charité et toutes les vertus. Par conséquent, le maçon doit déraciner en lui-même l’égoïsme et avec lui tous les vices dont il est le support, cultiver et élargir sans cesse l’amour et les vertus capables de fleurir sur cette tige embaumée.
    Or, comment nomme-t-on dans le monde l’homme exempt d’égoïsme, bon, miséricordieux et charitable ? On dit de lui : c’est un homme de cœur. La formation du cœur sur le plan sensitif sera donc la préoccupation première du maçon. Le maçon sera l’homme au grand cœur, toujours prêt à tendre la main de l’amitié aux faibles, aux déshérités, à prodiguer son amour à tous les êtres frappés par l’infortune ou l’injustice, à relever les blessés sur les champs de bataille de la vie, à soutenir ceux qui sont sur le point de tomber. Et cette qualité très noble n’est pas synonyme de faiblesse ; [19] par son ascèse sentimentale, le maçon sait qu’il ne doit pas y avoir de compromission avec le mal, avec le vice, il sera dur pour les fauteurs d’oppression, pour les égoïstes et les méchants ; mais dans la lutte il laissera toujours la porte ouverte à la rédemption, car l’amour ne veut pas la mort du pécheur, mais son retour vers la bonté.
    Passons maintenant à l’ascèse intellectuelle. Tout maçon doit être un homme de science. Ne vous effrayez pas devant ce mot, vous qui, dès l’âge le plus tendre, avez été obligés de peiner pour arracher votre pain quotidien à la nature marâtre ; la science maçonnique n’est pas la science officielle de nos facultés et de nos académies. Il n’est pas, ici, nécessaire, pour être savant, de se pencher sur des équations mathématiques vertigineuses, ou sur les cartes du ciel, de percer le mystère des sciences positives. Il faut simplement faire de son intelligence, de son entendement et de sa raison, un outil de précision, incapable d’errer dans les limites de nos potentialités humaines. Qu’est-ce que la science ? C’est une codification ordonnée et logique des séries phénoménales. Nul au monde ne peut se vanter de la posséder tout entière. Les hommes les plus instruits en possèdent une bribe d’un côté, une bribe de l’autre, et, précisément en raison de cette dispersion, s’ils n’ont l’esprit supérieur qui relie les sciences entre elles et toutes ensemble à l’unique vérité, ils sont et resteront des primaires. La [20] science maçonnique est l’esprit informateur des sciences, elle est la Gnose, au sens propre du terme ; elle ne s’arrête pas aux phénomènes, elle va jusqu’aux essences ; des attributs et qualités, elle infère la nature propre des êtres et des choses.
    Suivre une série phénoménale de A jusqu’à Z, en déduire les lois et principes de sa constitution et de son évolution, c’est très bien. Connaître le pourquoi de tout cela est encore mieux. Eh bien ! la science maçonnique ne conduit pas à un autre but, elle est la science des causes et plus spécialement celle de la grande cause, elle tend à pénétrer le secret du grand Œuvre. Quelles en sont les bases ? Dans leur simplicité et leur clarté, elles sont à la portée de tous, elles constituent une méthode trop souvent négligée par le commun des hommes.
    Le premier stade, le voici : écouter, observer, comparer et filtrer, dans le silence et la méditation. Partant, repousser les opinions toutes faites, les notions sans support, les idées faciles répétées par les perroquets de nos chaires scientifiques ou de nos tribunes politiques, pour piper la foule. Eviter la précipitation dans le jugement et, sur le jugement sain, apprendre à raisonner. Au deuxième stade : passer du connu phénoménal à l’inconnu causal ou nouménal, soit par l’induction ou la déduction légitimes, soit par l’analogie, cette clef maîtresse de la Gnose ou science ésotérique, et s’asseoir ainsi dans une certitude, sans [21] aucune limite que la capacité elle-même de nos facultés représentatives humaines. Ainsi, pour arriver à la science maçonnique, point n’est besoin de s’attacher à des problèmes abscons, réservés aux professionnels de nos instituts officiels ; toutes les questions même les plus humbles, entrent dans le cadre des cogitations maçonniques et peuvent donner lieu à une solution scientifique dont le primaire est exclu. Cette solution, en effet, est engendrée par la vie elle-même et repose sur une raison correcte, sur une possibilité d’erreur rendue infinitésimale par l’émondation intellectuelle. La vérité, toujours, est serrée au plus près, avec la rigueur nécessaire à l’élaboration de toutes les évidences. Voilà la véritable science maçonnique, elle réside dans une vision directe des choses et des êtres, étrangère à la science officielle exotérique. Or, par la connaissance vraie des causes et des effets, il est possible de discriminer l’apparence de la réalité. Le maçon saisit donc, avec précision, l’opportunité d’établir le juste rapport « existentiel » entre la première et la seconde, et ce rapport est une lumière, il est la lumière. Transporté de l’entendement à la volonté, c’est-à-dire de la pensée à l’action, il permet de procéder à l’assujettissement rationnel des besoins, des instincts et des passions, à l’extirpation des vices capitaux, à l’épanouissement des vertus, dans la mesure nécessaire à l’équilibre parfait de la personnalité spirituelle, partie dominante, substance même du moi humain. Nous entrons ainsi de plain-pied dans le troisième stade de l’effort individuel et de l’ascèse corrélative.
    [22] Non content de façonner sa sensibilité et son intelligence, son âme et sa raison, le maçon doit illuminer sa volonté. Il ne s’agit plus ici d’instaurer les bases de l’amour sensible et la vérité relative des rapports scientifiques, il faut monter plus haut, s’installer dans le monde des idées pures. Il ne s’agit plus des reflets du vrai, du beau et du bien, à travers les manifestations cosmiques, mais des concepts universels informateurs de la pensée, des principes suprêmes qui conditionnent la vie, en règlent l’évolution normale, et en constituent la fin. En d’autres termes, il s’agit d’opérer l’autocréation de la conscience véritable et d’en harmoniser l’épanouissement avec les lois de l’être. Nous disons : conscience véritable, c’est-à-dire conscience essentielle, conscience de la personnalité. Notre individualité, en effet, a pris possession d’elle-même dans notre sensibilité, en se discriminant du monde extérieur, et dans notre intelligence par l’assimilation des rapports abstraits qui résultent de nos réactions vis-à-vis de l’action phénoménale. Cette conscience, la conscience première, nous est commune, compte tenu des incidences scientifiques, avec tout le règne animal.
    Mais la conscience personnelle ou seconde, dont le support momentané se trouve dans la première, est non seulement la prise de possession de notre moi intime, elle est [23] encore le principe d’unicité de l’indéfinie divisibilité sensorielle et intellective ; elle est encore le lieu où notre propre entité se conjugue avec le monde supérieur des idées. Elle est une puissance dynamique et statique, dynamique par l’unité qu’elle infuse dans le moi, statique par sa résistance à la dispersion. Elle est le sceau de l’être ; une fois mise en éveil, elle est incoercible, donc immortelle. Comment l’homme en voie d’ascèse peut-il éveiller sa conscience, la rendre immortelle et lui donner, avec la spontanéité, son caractère spécifique ? En l’illuminant par ses deux pôles : d’un côté par la lumière des rapports vrais recueillis par les sens, élaborés par l’intellect et synthétisés par la raison, de l’autre, en résorbant tous les voiles tissés par l’involution dans la matière, voiles qui empêchent l’esprit de communiquer intuitivement avec la source divine dont il est une émanation. Par ce procédé, la conscience devient lumière, elle n’est plus un reflet, une lumière déformée par la réfraction, mais une lumière vivante hypostasiée, un foyer radiant. Elle est l’imagination créatrice et la mémoire spirituelle au sein desquelles les idées se sont, en quelque sorte, incarnées dans une forme concrète et humaine pour ne plus s’effacer jamais. Alors la conscience dirige le faisceau de sa lumière vers la volonté pour lui rendre l’action facile, l’action dans l’axe général du vrai, du beau et du bien éternels, dans la vraie liberté qui ne consiste pas seulement à faire ou à ne pas faire, mais à faire ce qu’il faut et pas autre chose.
    Certes, pour réaliser cet ultime effort qui fait les génies, les héros et les saints, les difficultés sont innom[24]brables. La matière est là, visible et palpable, attractive aussi et tyrannique ; la douleur est inévitable à celui qui veut la dompter, la conduire en des voies étrangères à ses réactions normales. Ne nous décourageons pas, adressons-nous à la méthode maçonnique. Elle nous dit : Cherchez, sondez, méditez dans le silence. Ne repoussez aucune idée, aucun concept, aucune notion, ne vous détournez d’aucun problème, d’aucune hypothèse, tout renferme une parcelle de la vérité, un rayon de la lumière, un atome de la réalité. Mais comparez, jugez et pesez avec la balance de l’équité. Or, dans cette « queste » du divin Graal, deux choses sont essentielles : la bonne volonté et le désir du bien, la subtilité intellectuelle et la persévérance viennent ensuite, car le désir engendre la persévérance et la bonne volonté est la matrice de l’acuité dans l’effort. Tout homme incapable de poursuivre jusqu’au bout cette ascèse personnelle ne gravira jamais complètement l’échelle de Jacob de la maçonnerie universelle. Mais s’il peut l’accomplir, à quel résultat prestigieux ne peut-il parvenir ? Le maçon ainsi évolué n’est plus un homme de la foule, « l’homo » soi-disant « sapiens » des anthropologistes, il est l’homme idéal, l’homme en soi, le « vir » de notre langue ancestrale, le latin ; le mâle capable d’agir, de réaliser, d’aimer et de se sacrifier à un idéal de justice et de fraternité. Il peut s’écrier comme le poète : Nil humanum a me alienum puto, rien d’humain ne m’est étranger.
    [25]

  • 144
    le vrai visage de la franc-maçonnerie - constant chevillon
    29 avril 2011 à 8h08 / Répondre

    LE VRAI VISAGE
    DE LA FRANC-MAÇONNERIE

    PROLEGOMENES

    De nos jours, et plus qu’elle ne le fut jamais, la maçonnerie est attaquée. Comme jadis le bouc émissaire des Juifs, on la charge de tous les péchés du peuple, de toutes les fautes des gouvernements, de tous les crimes perpétrés centre la concorde et la paix.

    Bien plus, ses adversaires l’accusent des plus noirs desseins.

    Ils la présentent aux foules comme une ennemie irréductible de la civilisation chrétienne, comme un agent démoralisateur chargé, par des chefs occultes, de répandre la décomposition dans le corps social et moral de l’humanité.

    Mieux encore, ils la considèrent, sans rire, comme une collectivité satanique dont l’objectif plus ou moins immédiat vise à l’hégémonie du mal.

    De ce chef, sans répit, tombent sur elle les haines, les persécutions, les lettres de cachet, les excommunications mineures ou majeures de la foule ignorante et de certaines élites trop bien renseignées sur la valeur intrinsèque de l’institution.

    Examinons brièvement les causes profondes de cet ostracisme universel.

    Pourquoi la maçonnerie est-elle attaquée, pourquoi est-elle persécutée et le sera jusqu’à la consommation des siècles ? Pour deux taisons essentielles :

    Elle est d’abord l’antithèse de tous les racismes et de toutes les dictatures de la force, car elle est le symbole vivant de la fraternité universelle.

    Elle est une condamnation permanente de toutes les politiques de partis et de toutes les politiques nationales égoïstes.

    Elle se dresse en face d’une conscience dictatoriale, comme une accusation perpétuelle et tangible. Sans prononcer une parole, sans faire un geste, par le seul fait de son existence, elle semble dire aux prévaricateurs : qu’avez-vous fait de la liberté, de la justice et de l’équité ? Ils veulent donc l’enchaîner et, mieux, l’anéantir pour supprimer jusqu’aux fantômes du remords.

    En second lieu, elle ne concède à personne le monopole de l’universalité, elle ne veut pas qu’un clan, qu’un parti, voire une Église, règle l’usage des universaux dans le moule trop souvent étriqué de ses conceptions.

    Elle veut un seul idéal pour le genre humain tout entier, mais elle prêche l’unité dans la diversité des individus, des cités, des nations et des races.

    C’est pourquoi elle est toujours la cible des attaques venues de tous les côtés de l’horizon ; les profiteurs, les autoritaires, les idéologues, tous les partisans des intérêts particuliers, de la lutte des classes, des révolutions à sens unique, se liguent contre elle.

    De droite et de gauche, par-devant et par derrière, elle reçoit des coups.

    Est-ce juste ou injuste ?

    Ne le discutons pas, c’est humain ; l’explication est suffisante.

    Mais aux persécutions dont la maçonnerie est l’objet, il y a une autre cause, celle-ci née dans son propre sein.

    Elle a parfois et délibérément, par ignorance, veulerie ou calcul, car elle est aussi constituée par des hommes faillibles, prêté le flanc à la critique.

    Elle a oublié sa raison d’être, oublié sa catholicité, c’est-à-dire son universalité.

    Elle est descendue dans l’arène des partis, elle a manqué à sa mission salvatrice ; au lieu de se cantonner dans la sphère de l’autorité et de la sagesse, elle a voulu participer, en tant que maçonnerie, au pouvoir et à la politique.

    Elle a renié son œcuménisme pour devenir le mesquin symbole d’un clocher paroissial.
    Concile général de l’humanité, elle s’est ravalée au rôle de chapelle clandestine des intérêts privés, elle a fait sa cour aux puissants du jour, pour avoir sa place parmi eux, sans penser à la fragilité des colosses aux pieds d’argile ; lorsqu’ils sont tombés, elle a été écrasée par leurs ruines et ses outils, employés à une besogne servile, utilitaire et rémunérée, sont devenus inefficaces entre ses mains débiles.

    La maçonnerie, dans les hommes qui composent son corps visible, porte donc une large part de responsabilité dans les attaques auxquelles elle est en butte.

    Cependant, maçons dans la voie droite, ne soyez pas abattus ; souvenez-vous d’Israël exilé sur les bords de l’Euphrate et livrez-vous à l’espérance.

    Les oppresseurs pensent avoir déjà tué la maçonnerie ! Les maçons peuvent être dispersés ou mourir ! La maçonnerie ne meurt pas ; couchée aujourd’hui sous la pierre du sépulcre, elle renaîtra demain plus grande et plus forte, car la maçonnerie c’est l’âme humaine elle-même ivre de liberté, de paix et d’amour.
    Oui, tous les espoirs sont légitimes, mais pour les concrétiser et les faire s’épanouir, il faut se frapper la poitrine. Le passé comporte de multiples erreurs, le présent semble les consolider ; envisageons donc l’avenir sous un autre angle. La maçonnerie paye ses fautes accumulées, l’auréole du martyre nimbe son corps européen disloqué de toutes parts ; il lui faut revenir à sa tradition originelle et véritable. Certes, les persécuteurs ne s’embarrassent pas de distinctions subtiles, leur haine est et sera toujours identique. Mais si tous [11] les maçons poursuivent dans le réel esprit de leur institution leur œuvre de libération nécessaire, ils forceront, malgré tout, le respect des pires adversaires.
    En garde donc contre la facilité, contre la paresse intellectuelle et spirituelle, contre les gestes mécaniques, contre le psittacisme des paroles inutiles et vaines. L’immense majorité des maçons des obédiences françaises et étrangères est actuellement occupée à construire une façade derrière laquelle il ne se passe rien ; une façade destinée à dissimuler, aux yeux des ignorants, la condition profane des adeptes ; à se donner à elle-même l’illusion d’œuvrer dans le temple de Salomon. Arrière cette attitude et cette illusion, arrière les Pharisiens adorateurs de la lettre et contempteurs de l’esprit.
    Pour infuser une vie nouvelle, une vie expansive, dans le corps anémié de la maçonnerie, il ne suffit pas de procéder par des exhortations qui seraient, selon le texte de l’Ecriture : Vox clamantis in deserto, la voix dans le désert. Il faut descendre dans l’arène, montrer à tous, les gestes précis de la lutte, les gestes de la victoire. Il faut restituer les assises et les coordonnées de la voie triomphale des réalisations, dont le début s’annonce dans la voie douloureuse de l’ascèse individuelle ; car personne ne peut connaître les gloires de l’ascension sans avoir gravi, d’abord, le Golgotha.

  • 143
    L’Ordre Hermétique de l’Aube Dorée
    29 avril 2011 à 7h57 / Répondre

    Aleister Crowley & l’Ordre Hermétique de l’Aube Dorée.

    Etude des influences de l’Ordre de l’Aube Dorée sur Crowley.

    En 1898, quand il avait 23 ans, Crowley lu le livre d’Eckarthausen « La Nuée sur le Sanctuaire ». Cela eu un grand effet sur le jeune homme car le livre parlait du Sanctuaire Secret des Esprits, dans sanctuaire intérieur qui détiendrait tous les secrets relatifs à Dieu et à la Nature. Aiguillonné par cette idée, il décida de se mettre à la recherche d’un tel ordre occulte qui pouvait lui offrir ce qu’il désirait depuis si longtemps : la connaissance des mystères qui lui permettrait d’être véritablement supérieur à tous.
    Envisagez un instant la situation du jeune Crowley dont les jeunes années avaient été dominées par une religion rude et sans compromis qui ne promettait la vie éternelle qu’à ceux qu’elle estimait dignes et qui s’étaient conformés aux règles qu’elle avait établies. La lecture de ce livre, cependant, offrait une nouvelle perspective, une illumination pouvait être atteinte par l’étude et la connaissance (en fait par la gnose) et non par la soumission et par la fidélité à la Sainte Loi. Ceci devait fortement attirer Crowley qui ne se ressentait pas le besoin de se conformer à un système qui pris en horreur et qui préférait l’étude et la recherche.
    Crowley commença ses recherches tout de suite et, plus tard cette même année, il fit la connaissance, à Zernatt, de Julian Baker à qui il expliqua ce qui cherchait. Baker, un étudiant du monde de l’occulte, devait l’introduire comme au sein de l’Ordre Hermétique de l’Aube Dorée. Cet Ordre était une société secrète ésotérique qui s’occupait de magie rituelle, de Qabalah et d’autres sujets occultes et mystiques. Ses origines furent sujettes à de nombreux débats bien qu’il soit généralement admis que William Wynn Westcott en fut le fondateur. Il nous faut à présent décrire quelque peu l’histoire de cet Ordre, son organisation et les raisons qui ont poussé Crowley à y entrer.
    Le Docteur Westcott, un médecin légiste de Londres, franc-maçon, était profondément impliqué dans une société maçonnique de « marge », la Societas Rosicruciana in Anglia (S.R.I.A.), dont les buts étaient l’étude de la philosophie et du monde de l’occulte (la Qabalah et l’Hermétisme). Insatisfait de cet Ordre qui ne pratiquait aucune magie réelle, n’existant que comme un simple groupe de discussion, il décida d’inventer un nouvel Ordre. Cependant, du fait de la nature même des ordres occultes, il avait besoin d’une origine authentique et bien déterminée. Il y réussit en « traduisant » quelques manuscrits codés « découverts » par un maçon dans une librairie. Ceux-ci, clamait-il, étaient des fragments de rituels magiques avec une adresse en Allemagne d’un ordre d’adeptes rosicruciens.
    Il semble que les fameux manuscrits codés qui sont à l’origine de la fondation de l’Aube Dorée sont issus de l’imagination d’un autre personnage : Kenneth MacKenzie. Mais MacKenzie décéda en 1870, et l’on peut supposer que la création d’un ordre comme l’Aube Dorée était un projet déjà envisagé et que Westcott n’a fait que le récupérer et le concrétiser.
    En 1887, avec la coopération de deux autres personnes, le docteur Woodman et Samuel Liddel Mathers, Westcott fonda le premier Temple de l’Aube Dorée, sur base d’une Charte donnée par les chefs de l’Ordre en Allemagne. Ce Temple qu’ils appelèrent « Isis-Urania », se réunissait au Mark Mason’s Hall, et ensuite à Great King Street à Londres.
    L’Aube Dorée possédait une structure hiérarchique comme beaucoup d’autres institutions occultes, de la Franc-Maçonnerie à la société de la Rose-Croix. L’Ordre était réparti en 11 Grades ou Degrés qui représentaient une progression successive dans l’apprentissage et les capacités magiques de l’adepte. Chacun de ces grades était représenté par un symbole ésotérique tiré de l’Arbre de Vie qui faisait partie du corpus de la Qabalah. La hiérarchie était divisée en trois Ordres représentant chacun une certaine classe d’adeptes. L’Ordre le plus bas était nommé « Aube Dorée » et était constituée par les étudiants qui avaient étudié les doctrines magiques et réussirent des examens sur ces sujets. Le second Ordre était intitulé la Rose Rouge & la Croix d’Or au sein duquel les adeptes pratiquaient réellement l’art magique. Le troisième et dernier Ordre était connu comme l’Etoile d’Argent et était composée des adeptes qui avaient « traversés les Abysses » et qui étaient devenus des maîtres dans l’art magique.
    Les 5 grades du premier Ordre étaient très académiques, chaque grade avait un certain nombre d’aptitudes à perfectionner et de connaissances à acquérir. Par exemple, les adeptes devaient réussir à dominer le plan astral par la méditation et certaines formes d’exercices de yoga. Les connaissances requises étaient principalement Qabalistiques bien que d’autres parties de la doctrine occulte devaient être étudiées également : le Tarot, l’Enochien, la magie et la magie cérémonielle…
    L’Oeuvre à accomplir au sein du Second Ordre était de parvenir à la « Connaissance & Conversation avec son Saint Ange Gardien ». Le SAG individuel est une intelligence céleste (un chef secret selon certains) que n’importe qui est capable d’atteindre au travers de la méditation. Ce contact était très bénéfique puisqu’il devait permettre à l’adepte de maîtriser son potentiel et ainsi d’atteindre et de dépasser les Abysses afin de devenir un véritable Maître. Ceci était considéré comme étant le Grand Oeuvre de l’Ordre et il est intéressant de lire les différentes narrations d’adeptes qui disent avoir réussi cette opération.
    Au environ de 1891, le chef de la branche allemande de l’Ordre – Madame Sprengel – décéda et il n’y eut plus aucun contact ultérieur suite à une réponse de l’Ordre qui déclarait que ceux qui voulaient apprendre plus avaient déjà en leur possession les moyens de le faire. Cela impliquait qu’ils devaient entrer en contact direct avec les « Chefs Secrets », un groupe ténébreux d’individus qui étaient les maîtres immortels de tous les autres maîtres de par le ponde. Ces Chefs Secrets étaient sensés habiter les régions inhabitées du Tibet ou être des esprits immatériels et éthériques. En aucun cas, les chefs de l’Aube Dorée ne voulaient ou désiraient entrer en contact avec ces âmes…
    En 1891, dans le Bois de Boulogne à Paris, Mathers, le troisième chef de l’Aube Dorée proclama avoir établi un contact avec les Chefs Secrets. Il soutint que ceux-ci lui avaient donné l’unique autorité pour diriger l’Ordre, et il prît le contrôle des mains de Westcott, qui démissionna en 1897. Pendant ce temps, l’autre chef, le docteur Woodman décéda. Mathers était maintenant le chef suprême de l’aube Dorée. A cette époque, l’Aube Dorée était une organisation très hétérogène, formée par trois maçons membres de la S.R.I.A., avec des femmes et certains individus que la maçonnerie n’intéressait pas. Certains des membres les plus connus sont Arthur Edward Waite et W.B. Yeats, le poète prix Nobel.
    Pour en revenir à Crowley, il fut introduit à Mathers par Georges Cecil Jones, un ami de Baker qui était aussi membre de l’Aube Dorée. Crowley accepta l’invitation de Mathers à rejoindre l’Ordre, et en Novembre 1898, il fut initié comme Néophyte 0° = 0° dans l’Ordre Extérieur de l’Aube Dorée. Il prit alors le nomen de « Perdurabo » (J’endurerai jusqu’à la fin) et fut dès lors connu comme Frater Perdurabo.
    Un mois plus tard il devint Zelator et dans les deux mois qui suivirent, il obtint les deux grades successifs. Après une période d’attente statutaire il accéda alors au rang de Philosophus, et attendit l’accès au Second Ordre. Cela représentait une progression stupéfiante, en 6 mois à peine, il accéda au rang de l’Ordre Extérieur de l’Aube Dorée et il pratiqua bientôt la magie selon les enseignements de l’Ordre. Cela a dû énormément lui plaire de rejoindre un ordre comme l’Aube Dorée où il pouvait accéder à de « nouvelles accolades » et être reconnu en tant qu’adepte.
    En 1900, Mathers vivait à Paris. Eloigné géographiquement de l’Aube Dorée d’Angleterre, la dissidence apparut. Les adeptes du Second Ordre commencèrent à se rebeller contre son autorité en demandant des preuves de son contact avec les Chefs Secrets. Le 16 février de cette année, Mathers, craignant d’être expulsé de l’Ordre et surtout de son statut de chef, écrivit une lettre à son représentant, Madame Emery (qui était aussi l’Instructeur des Rituels de l’Ordre) et l’informa de la vérité derrière la formation de l’Aube Dorée.
    « … Ceci m’oblige à vous le dire sans ambages (et comprenez-moi bien, je peux prouver chaque mot de ce que je vous dis ici et plus encore, et comme lorsque j’étais en conflit avec S.A. [Saper Aude – Westcott] je vous dirai de même) pour le bien de l’Ordre, mais comme cela risque de porter atteinte à la réputation de S.A., je vous conjure de garder tout cela secret vis-à-vis de l’Ordre, pour l’heure actuelle du moins, même si vous restez libre de lui (Westcott) montrer ceci, après mûre réflexion, si vous pensez que c’est approprié. Il n’a jamais été à aucun moment ni en contact physique ni par correspondance avec les chefs Secrets de l’Ordre, il a seul forgé la pseudo correspondance entre lui et eux , et ma langue est restée liée pendant toutes ces années par un serment de Secret envers lui, demandé à moi par lui avant de me montrer ce qu’il avait fait ou provoqué ou les deux… »
    Le lecteur pourra se référer à l’introduction de l’excellent « Dogme et Rituel de l’Aube Dorée » (éditions des Gouttelettes de Rosée, 1999) pour une explication plus détaillée de l’historique et des rituels de l’Ordre. Et enfin, se référer aux annexes afin de lire la correspondance attribuée à Mrs. Sprengel et aux adeptes allemands.
    Quelques jours auparavant, le 13 janvier, Crowley s’était vu refusé l’initiation au Second Ordre, au grade 5° = 6°, par ceux qui dirigeaient l’Ordre en l’absence de Mathers. Il voyagea alors jusqu’à Paris pour demander à Mathers de l’Initier lui-même. Mathers accepta sous la condition que Crowley lui prête un serment d’allégeance absolue et que Crowley le reconnaisse comme seul chef de l’Ordre.
    Ainsi, Crowley devint Adeptus Minor de l’Ordo Rosae Rubae et Aurae Crucis. A son retour à Londres, Crowley se rendit au quartier général du Second ordre afin d’obtenir les copies des rituels du grade qui lui étaient maintenant dus. Cependant, on les lui refusa et il ne fut pas reconnu comme Adeptus Minor du fait que l’initiation avait été donnée par Mathers (la secrétaire à cette époque était Madame Cracknell que Crowley n’appréciait pas beaucoup). En rage, Crowley retourna à Paris afin de tout raconter à Mathers et comment les choses se passèrent. Que sa rage soit due au fait qu’on lui refusa la reconnaissance de son nouveau statut ou de la rébellion ouverte contre l’autorité de Mathers, personne ne peut le dire, mais dans ses « Confessions » Crowley écrira : « … l’institution de Londres était en révolte ouverte contre le Chef… » et ne fît aucune mention de ses sentiments à ce sujet. Ainsi, on peut supposer que c’est réellement le manque de loyauté de Londres qui le mit dans cet état.
    Finalement, Crowley quittera l’Ordre de l’Aube Dorée, rompra avec Mathers et, en 1904, fondera son propre Ordre, l’Astrum Argentinum dont il sera le Magus Suprême. Dans sa revue magicke « Equinox » il publiera le matériel de l’Aube Dorée à sa disposition et entrera alors en conflit ouvert avec les continuateurs de l’Ordre.
    L’Aube Dorée a donc bel et bien joué, comme nous venons de la voir, un rôle primordial dans la formation magique pratique & cérémonielle de Crowley. L’enseignement de l’Ordre constitue la base sur laquelle il fondera son propre système, la « Magicke », en repiquant les éléments enochiens, qabalistiques, théurgiques, astrologiques et en les modifiant selon les spécificités de sa propre doctrine. Il finira par inclure ces éléments dans la révision des rituels de l’Ordo Templi Orientis, dont il deviendra le Grand Maître sous l’impulsion de Théodore Reuss.

  • 142
    Cavalier Seul
    29 avril 2011 à 1h24 / Répondre

    Chaque humain a, dazns sa tête, une pyramide dont il n’a peut-être pas toujours conscience : c’est sa hiérarchie des valeurs.
    Pour Untel, le rituel sera au-dessus de tout. Pour Telautre, ce sera les commentaires qu’on peut/doit en faire. Pour Teloutel, ce sera le ressenti subjectif en Loge. Etc.
    Pour moi, Constant Chevillon est une référence du plus haut niveau. Et qui a payé de sa vie son appartenance, puisque enlevé par la Milice et mitraillé dans un bas-côté de route.
    Ce serait lui rendre justice de prendre le temps de lire les passages de lui mis sur ce Blog. (eh oui ce n’est pas un forum, on s’y tromperait n’est-ce pas?).
    Histoire de respirer dans les hauteurs et de voir pour quoi (ou pour qui?) nous restons en Loge.

    Un peu de gym : lisez… inspirez… expirez à fond… reprenez votre lecture….

    Vous me direz : « Mais cela a été collé par Zigoto XIV que je hais » ou bien: « C’est un argument en faveur de Machin IX ». C’est possible. Je n’ai pas votre dextérité pour dénicher les pseudos. Je sais que, qui que ce soit qui ait posé cela, même avec des intentions nocives, il a transmis quelque chose de juste. Qu’importe la cuillère qui me donne la soupe, si la soupe est bonne. Et qu’importe si la cuillère ne comprend pas ce qu’elle fait. Après tout, je ne demande pas à mon scanner de savoir lire, ni à mon clavier de ronronner de plaisir sous mes doigts…..
    Aux débutants : renseignez-vous sur la vie et les écrits de Chevillon.
    Bonne nuit.

  • 141
    epicure
    28 avril 2011 à 22h21 / Répondre

    Ce qui me surprend est que PERSONNE dans toute cette logorrhée ne parle des Loges. Ce sont pourtant elles qui font la franc-maçonnerie et non les grands-machins, les canaris comme on dit souvent ou les tabliers bleus de la GLNF.
    L´avidité du pouvoir, des honneurs … Ah entrer dans un Temple sous la voûte d´acier, on doit vraiment flipper. Sans parler des petites combines qui peuvent rapporter pas mal
    Il semble que devenir un dignitaire ou passer le cap du 14, rende fou.
    Allons Messieurs, tout le monde se fiche de ce marigot. Ces gens là ne représentent qu´eux-mêmes, laissez-les faire joujou avec leurs filiations directes de untel ou untel. Laissez-les sombrer dans le ridicule, ils déshonorent la FM. Retournez tous à vos Loge et occupez-vous de les faire fonctionner harmonieusement.
    (…)

  • 140
    Helyas
    28 avril 2011 à 22h20 / Répondre

    Menas a posé une question (post n°109 !) et je constate qu’il n’a toujours aucune réponse : la maçonnerie de J.Castelli n’est pas identifiable, ni loges, ni chapitres, ni rien du tout. Au mieux, sans doute, quelques liens commerciaux et facebook, et JC lui-même, commercialisant ses transmissions à quelques individualités dispersées, et reconnaissantes de pouvoir se prévaloir de degrés qu’ils n’auraient pu acquérir dans des cycles de transmission rituel plus exigeants. D’ailleurs, de quelles transmissions parle-t-on ? Soyons sérieux, la hiérophanie complète se transmet en plusieurs années (relire ce qu’en a écrit GK), et certainement pas par une imposition des mains.
    Force est de constater que la maçonnerie égyptienne en France, bien que très dispersée, s’affiche en toute transparence, elle qu’elle n’a rien à voir avec ces quelques anonymes au langage ordurier. Il suffit, pour s’en faire une idée, de visiter quelques sites représentatifs, toutes sensibilités confondues : GLEDF (http://www.gledf.fr/), GLSF (http://glsf.org/), GLFMM (http://www.grande-loge-francaise-de-memphis-misraim.org/default.aspx), GLMMM (http://memphis-misraim-mixte.org/), GLIRMM (http://www.glirmm.org/) etc… A la GLEDF, à la GLSF, dans les Obédiences proches de GdS, on travaille, des loges sont consacrées. Chez JC, on s’auto-publie un bouquin et on distribue quelques diplômes à une poignée de schizophrènes méchants qui déversent sur les blogs des kilos d’insultes.
    Mais en relisant le post 118 de Danièle Fortin, je me pose effectivement une question : je me demande si la véritable fonction de JC ne serait pas (pour des raisons qui m’échappent encore, et dans l’intérêt de qui ?) de semer le trouble au sein de la maçonnerie égyptienne pour la saborder. En tous cas, le caractère opaque de cette nébuleuse, et surtout le langage ordurier de ses émules (relire les messages de personne, pierris et autres) le laissent penser…

  • 139
    Personne
    28 avril 2011 à 21h33 / Répondre

    « Il était une fois quatre individus qu’on appelait
    Tout le monde – Quelqu’un – Chacun – et Personne.
    Il y avait un important travail à faire,
    Et on a demandé à Tout le monde de le faire.
    Tout le monde était persuadé que Quelqu’un le ferait.
    Chacun pouvait l’avoir fait, mais en réalité Personne ne le fit.

    Quelqu’un se fâcha car c’était le travail de Tout le monde !
    Tout le monde pensa que Chacun pouvait le faire
    Et Personne ne doutait que Quelqu’un le ferait…
    En fin de compte, Tout le monde fit des reproches à Chacun
    Parce que Personne n’avait fait ce que Quelqu’un aurait pu faire.

    Sans vouloir le reprocher à Tout le monde,
    Il serait bon que Chacun
    Fasse ce qu’il doit sans nourrir l’espoir
    Que Quelqu’un le fera à sa place…
    Car l’expérience montre que
    Là où on attend Quelqu’un,
    Généralement on ne trouve Personne !

  • 138
    La Maçonnerie initiatique
    28 avril 2011 à 20h16 / Répondre

    La Maçonnerie initiatique
    Constant CHEVILLON

    La maçonnerie est une grande chose, une chose éternelle. Non seulement elle habilite ses enfants à comprendre les courants d’idées venus de tous les points de l’horizon, à situer dans leur
    ambiance immédiate tous les actes de la personne ou de l’individu humain , mais elle est le parvis de toutes les initiations anciennes et modernes, bien plus, elle les résume et, en même temps, elle en est la quintessence. Le maçon véritablement initié peut se présenter partout le front haut, dans tous les milieux, il est à sa place. S’il a t pétri son âme, forgé son cœur et son intelligence avec les outils de la maçonnerie et selon son esprit, rien ne lui est fermé, car il possè¬de la clef universelle, cette clavicule dont Salomon, prince parmi les adeptes, prétendait avoir le secret.
    Penchons-nous donc sur les prémisses de la maçonnerie ini¬tiatique et, pour ne point nous égarer dans le labyrinthe des opi¬nions, fixons bien nos concepts.
    Dans toutes les fraternités, initiation est synonyme de scien¬ce; un initié est celui qui détient la science ésotérique spéculative et la science cérémonielle ou pratique : la magie. Or, dans l’esprit de beaucoup, ces connaissances transcendantaies leur ont été trans¬mises par les gestes, les paroles et les cérémonies concrètes de leur initiation elle-même. C’est exact à un certain sens, mais faux dans la réalité. Initiation a pour racine le mot latin «initium», commen-cement, les cérémonies initiatiques sont un simple prélude, un bap¬tême dans l’invisible. Dans nos communautés religieuses occidentales, il ne suffit pas d’avoir reçu le baptême pour être un parfait chrétien. La baptême habilite simplement à suivre la voie christi-que, il imprime sur l’individu et la personne le sceau de la recon¬naissance et du rachat; il est comme un enfantement spirituel, ou, tout au moins une naturalisation dans le royaume de la lumière. L’initié, comme le baptisé, peut donc être, à juste titre, considéré comme un citoyen du royaume de la lumière, il peut la revendiquer comme un autochtone, authentique rameau de la souche ancestrale. Il est coparticipant au royaume et celui-ci lui doit tous les avanta¬ges des fils de la lumière, mais dans une soumission de tous les instants aux lois régulatrices d’accession et de coopération à la lumière. Il y a donc, pour justifier l’apposition du sceau, une disci¬pline à adopter et un effort à accomplir, car la conquête de la vérité est une lutte perpétuelle dont le succès ne dépend pas du droit pur à la possession mais de l’activité et de l’énergie déployées pour s’en emparer.
    Ce préambule permet de concevoir, dans une large mesure, toute la substance de la maçonnerie initiatique. Cette substance est une et double en même temps. D’un côté il y a la Gnose, de l’autre, la technique; ici la science, là les œuvres dont l’actualisation dépend de la saturation scientifique. Mais la science et les œuvres, la Gnose et la technique sont une seule et même chose, lorsque toutes les parties constitutives d’un être humain se sont concrétisées dans un vrai maçon.
    Comment l’initiation maçonnique s’y prend-elle pour enga¬ger ses membres dans la route de la science et de la technique et les conduire vers la réalisation de l’adeptat ? Tous les maçons le savent, mais il est Bon de réfléchir et de méditer.
    Lorsque le récipiendaire a triomphé des épreuves par les élé¬ments, lorsqu’il a prêté son serment de silence et de fidélité, le vénérable lui donne le sceau et lui dit : «Je te reçois, crée et cons¬titue apprenti maçon». C’est bien l’adoption, la reconnaissance des droits attachés à la nouvelle naissance. L’apprenti est constitué fils de la veuve, héritier éventuel de sa succession. Est-ce à dire qu’il est en possession de l’héritage ? Non, il a les mains vides, c’est à lui de puiser dans le trésor dont la clef lui est remise, à lui seul et selon la capacité de ses moyens d’assimilation. Il naît au monde de la lumière aussi nu que dans la génération sexuelle, mais il est apte à revêtir les voiles sacrés et la robe de la hiérophanie.
    Il est entré dans le royaume de la lumière, non pas comme un étranger, plus ou moins barbare, venu par la petite porte de l’immigration, il est entré comme un fils du sol; on ne parle pas à mots couverts devant lui car on ne cherche pas à lui celer l’intelli¬gence de ses droits et de ses devoirs. Toutefois, il n’est pas initié il est seulement initiable, il doit ouvrir le temple clos aux étrangers. Le temple est immense et la cella est à l’autre bout de l’édifice. La maçonnerie le prend par la main et le guide dans la longue nef. A chaque pas elle l’arrête pour lui montrer les détails des colonnes, des stalles et des vitraux, lui en explique le sens, la portée et la raison d’être, et c’est la voie de l’initiation. Voilà pourquoi les éta¬pes de la hiérarchie sont nombreuses avant d’atteindre à la suprê¬me maitrise dont le 3ème degré de l’ordre est le symbole résumé. L’apprenti s’arrête dans le parvis et jette d’abord un coup d’œil cir¬culaire autour de lui, il se pénètre ainsi de l’ambiance et s’habitue à la lumière pour situer la perspective idéale. Quand il voit l’ensem¬ble sous un angle réel et non plus sous un angle imaginaire, il est mûr pour le travail efficace, il doit participer à l’œuvre jamais ter¬minée de la construction de la nouvelle Jérusalem. Il doit se can¬tonner dès l’abord dans les humbles besognes, il sait voir, mais il ne sait pas encore utiliser les matériaux et les outils selon les règles harmoniques de la beauté, il sait équarrir, il ne sait pas sculpter. Il doit se perfectionner dans le compagnonnage, tel l’alchimiste qui donne à la «materia prima» la couleur noire, pour la transformer en couleurs les couleurs du prisme, avant de sortir de son athanor l’or brillant de la spiritualité. A force de travailler, d’entasser ébau¬ches sur ébauches, le compagnon acquiert la science et la techni¬que, il peut quitter le parvis pour se diriger vers la chambre du mi¬lieu, l’une des étapes majeures sur la voie du saint des saints. Il devient maître et peut à son tour guider les apprentis et les compa¬gnons sur la route des réalisations. A ce moment, le fils de la Veu¬ve, l’héritier du royaume s’est élevé jusqu’à l’initiation primaire, il a parcouru un cycle complet par lui-même, il a rompu le premier sceau, il est le maître des arcanes des petits mystères. Il possède une partie du secret de la vérité, la plus difficile à conquérir, car le point d’appui originel de ses efforts est à l’état embryonnaire et comme inconsistant. Arrivé à ce stade de l’initiation, beaucoup de maçons, le plus grand nombre peut-être, se croient au terme du pé¬riple. Ils sont convaincus d’avoir atteint la totalité de la science relative, la complète technique et le maximum de perfection, com¬patibles avec l’enseignement doctrinal de l’ordre. Dans le champ du symbolisme, des allégories et de l’art pratique accessible au com¬mun des hommes, ils ont raison. Sur le plan des réalisations trans-cendantes, cette magie de la pensée et des actes, ils ont tort. Sans doute le grain de blé contient dans son infime substance le germe et les éléments nourriciers primitifs d’où sortiront plus tard et la tige et l’épi, sans doute il contient l’essence du pain dont les hom¬mes soutiendront leur vie défaillante, mais si le laboureur ne le confie pas à la terre, matrice de toutes les végétations, il restera immuable dans sa solitude et la moisson de s’épanouira pas sous la claire coupole du ciel. C’est pourquoi la maçonnerie continue à distribuer la science initiatique à travers les méandres des Hauts Grades afin de féconder les germes latents conservés dans la cham¬bre du milieu, comme le grain dans un silo.
    Dénier l’utilitié des Hauts Grades c’est arrêter l’essor initiati¬que dont le terme ne peut jamais être atteint, ou bien c’est faire de la chambre du milieu un athanor de perpétuelles transformations où tous les aspects de l’évolution seront mélangés et rendre impossible la sélection du froment et de l’ivraie, de l’or pur et des métaux inférieurs. D’autre part, imposer les grands mystères à tous est une profanation car les maîtres maçons n’ont pas tous la même enver¬gure; certains d’entre eux sont appelés à comprendre et à expéri¬menter ce que d’autres devront toujours ignorer. Du reste, à ces maîtres il faut des maîtres, des juges et des défenseurs, il faut des prêtres du culte animateur. On ne peut pas non plus toujours quit¬ter la truelle pour prendre l’épée, ni surveiller les ouvriers en cons¬truisant les plans de l’édifice. Une seule chose peut se discuter, c’est la manière dont les maîtres maçons envisagent les Hauts Grades et par conséquent, les grands mystères et surtout la façon dont ils les utilisent. S’ils ne sont pour eux que des hochets d’une puérile vanité, ils sont, en effet, bien inutiles et n’ont rien de commun avec la marque initiatique; mais seuls les sots peuvent les considé¬rer comme tels, car ils sont matière d’ascèse personnelle et de de¬voirs et par conséquent matière à lourde responsabilité.
    Les petits mystères, la maçonnerie symbolique, forment les ouvriers, les exécutants, les soldats de l’idée, les claires intelligences et les mains expertes auxquelles le travail est confié, en un mot la cléricature de l’humanité. Les grands mystères, la maçonnerie des Hauts Grades, forment les chefs, les architectes, les sacerdotes, ceux qui conseillent et dirigent, savent où il faut frapper pour réussir, car ils sont entrés dans une certaine et progressive illumina tion. Les Hauts Grades surclassent l’initiation du porche, ils s’avan¬cent à pas lents et sûrs vers le Saint des Saints.
    Essayons de comprendre :
    Les petits mystères prennent l’homme dans le bourbier pas¬sionnel et l’amènent par étapes au stade de la civilisation. C’est la taille de la pierre brute. Les grands mystères, s’appuyant sur le sta¬de de la civilisation, poussent à la dernière limite du perfectionne¬ment relatif, pour restituer l’humanité dans son état primitif de grandeur et de puissance. C’est le polissage de la pierre cubique. En d’autres termes, les petits mystères s’apparentent en quelque sorte à l’alchimie des corps, les grands, à l’alchimie des âmes et des es¬prits. Les premiers extraient les métaux du sein de la matrice ter¬restre, ils les débarrassent de toutes les scories pour les rendre purs et utilisables dans la métallurgie sociale et initiatique. Les seconds s’emparent des métaux purs et en tirent l’or philosophai, le métal parfait analogue à la lumière immaculée. Pour nous en tenir au langage allégorique de la maçonnerie et de l’alchimie médiévale, les une utilisent l’influence de Vulcain et de Vesta, les autres repro¬duisent l’activité d’Osiris et d’Isis dans la procréation d’Horus, et c’est une des raisons pour lesquelles le G, resplendit au centre de toutes les étoiles flamboyantes exposées dans les temples maçon¬niques du monde.
    Tout ceci, paraîtra peut-être, de prime abord, un peu loin¬tain, trop intellectuel et par conséquent sans grand rapport avec l’initiation pratique et le véritable secret maçonnique. Non pas, j’emploie ici le langage de la maçonnerie, elle n’en veut pas d’autre; elle se tient toujours dans le symbolisme et l’allégorie qui sont la forme intellectuelle de la vérité. La maçonnerie ne donne directe¬ment son secret ultime à personne, il faut le découvrir et l’enlever de force pour son compte personnel, selon la parole de l’Ecriture : «Violenti rapiunt illud», les violents seuls le ravissent. Le secret de la maçonnerie puisqu’il est le fond même de la Gnose opérative ne s’expose pas du haut d’une chaire doctrinale, il se trouve dans les opérations du laboratoire, et ce laboratoire c’est la conscience et la volonté. Il faut étudier la Gnose spéculative et la transposer, par soi-même, en Gnose pratique, c’est-à-dire, et ici ne donnez pas au mot le sens péjoratif qui fait trembler les enfants et les adultes grégaires, en magie : la magie c’est la science appliquée; celui qui capte une chute d’eau et la transforme en énergie ou en lumière, fait un acte magique souvent sans le savoir, comme le prêtre qui célèbre le culte sur l’autel de son Dieu. Nous pouvons cependant, sans trahir aucun de nos serments aller plus loin. Le secret de la maçonnerie, je vous l’ai indiqué avec une clarté suffisante pour que vous puissiez, en soulevant le voile, le découvrir dans la suite de vos méditations. L’alchimie maçonnique n’est pas une cause, c’est une fin et elle a une fin, c’est de créer en chacun de ses adeptes évolués, l’or philosophai. Consultez les grimoires, si vous ne l’avez pas déjà fait, vous connaîtrez l’or philosophai. C’est la pierre rouge, la pou¬dre de projection, ce germe aurifère, ce noyau positif d’une puis¬sance incalculable sous un volume infime. Vous en connaissez la vertu. La poudre de projection mélangée à un volume mille fois supérieur au sein, de métaux inférieurs, les transmute plus ou moins immédiatement en or pur et de bon aloi.
    Et maintenant, penchez-vous sur le problème, vous n’aurez pas de peine à découvrir comment le véritable adepte de la maçon¬nerie peut être la poudre de projection de l’alchimie spirituelle. Vous comprendrez mieux encore combien un maçon doit être pur, puissant et volontaire, violent et doux à la fois, juste et miséricor¬dieux, comment il doit être tout amour et charité pour se donner à ses frères et après s’être transmuté lui-même, transmuter ses frè¬res. Vous aurez alors tous les éléments de la solution initiatique et vous pourrez avancer peut-être à grands pas, sur la route de la lumière sous l’égide de la Gnose

  • 137
    pour lanterne
    28 avril 2011 à 19h14 / Répondre

    Une parabole de la Maçonnerie symbolique
    Constant CHEVILLON

    Dans une étude récente, nous avons examiné le sens initiatique des épreuves et dégagé l’orientation philosophique et morale par elles imposée à l’Apprenti-maçon.
    II importe de sonder le problème plus profondément encore et de mettre chaque adepte en présence de la signification vraiment ésotérique de son ascèse personnelle. Par là seulement, il pourra se rendre compte du chemin à parcourir et de l’esprit vivifiant caché sous les voiles de la doctrine. De toute évidence, comme on va le voir, cette intelligence supérieure de la voie maçonnique convient à la seule élite, aux hommes de volonté dont la raison et l’entendement peuvent surclasser les contingences ordinaires de la vie humaine.

    La Maçonnerie, depuis ses lointaines origines, a toujours été appelée : Science royale, Art royal. Or, ces deux termes se complètent mutuellement, car la Maçonnerie est une science par la Gnose voilée sous les symboles et un art par la proportion, par le rythme qu’elle introduit dans les données de la science, en les réalisant sur le plan vital, sur le plan éthique et finalement sur le plan social. Par ce rythme, en effet, et par cette proportion, la beauté, sous tous ses aspects, est infusée dans la matière humaine, et la beauté est royale par destination, car elle se révèle, dans ses multiples manifestations, aux âmes nobles, aux belles intelligences et aux grands cœurs à l’exclusion des autres. Mais, entendus dans ce sens, l’art et la science ont aussi un autre nom, c’est le Grand Œuvre, objet de l’alchimie. Le Grand Œuvre peut se réaliser sur les trois plans de la nature. Sur le plan matériel, c’est la transmutation des métaux vils en or, en d’autres termes, la découverte de la Pierre philosophale. Sur le plan animique, c’est la recherche d’un équilibre constant des forces vitales, la découverte de la panacée et de l’élixir de longue vie. Sur le plan spirituel, c’est la stabilisation de la conscience dans les hautes sphères intellectuelles, c’est la découverte de l’élixir de vie, ou, plutôt, d’immortalité.
    Ainsi le maçon est un alchimiste, mais dans ce dernier sens seulement. II ne travaille pas à la transmutation des métaux : son labeur quotidien consiste à perfectionner son humanité, à purifier, à développer sa conscience, pour en faire un feu vivifiant, un feu inextinguible.

    Il ne s’agit point, ici, d’étudier l’arbre maçonnique dans ses ultimes ramifications ; nous nous contenterons d’explorer les grades du porche. Ils contiennent tout, du reste, dans leur riche substance et se prêtent à des synthèses de plus en plus vastes dont les degrés subséquents sont les formules adéquates.
    Sous quels symboles la Maçonnerie a-t-elle voilé la route de l’immortalité ? Sous le couvert des phénomènes naturels dont le flux incessant est à notre portée immédiate. La carrière du maçon, en effet, est assimilée au mouvement diurne de la terre sur son axe et à une révolution complète autour de notre soleil, c’est à dire à ces divisions temporelles qu’on nomme : le jour et l’année. Ces deux symboles, de fait, sont une seule et même chose ; ils se répondent membre à membre, comme dans une équation algébrique bien équilibrée.
    Le jour, pour le maçon, comporte cette partie du temps, qui s’écoule entre le lever et le coucher de l’astre-roi ; il se calcule sur la période idéale de l’équinoxe, moment où la lumière et les ténèbres sont réparties avec équité sur l’ensemble d’un hémisphère. L’Apprenti engagé arrive à la Maçonnerie pour voir poindre la lumière au-dessus de l’horizon. II a les pieds dans la nuit et son œil est frappé par le rayon lumineux. Tout autour de lui est enfoui dans l’ombre, mais la lumière s’accroît de minute en minute, chaque chose perd progressivement sa forme fantômale et revêt son aspect réel, s’échauffe, vibre et chante sous le baiser du soleil vivant. L’âme de l’Apprenti se revêt en même temps d’un manteau d’allégresse, car sa terreur et son angoisse deviennent amour et certitude. Or, le temps d’apprentissage va de 6h à 9h du matin ; le soleil, alors, chasse les miasmes de la nuit, résorbe la rosée et réchauffe les sillons. De 9h à midi, le compagnon se met à la besogne ; il ameublit la terre, il sème, il plante, il élague et redresse, il prépare la récolte future. Et le soleil vient au zénith pour féconder et mûrir ; le maître apparaît dans la moisson jaunissante et dans la vigne en fleurs. A ses mains expertes le vrai travail est confié, celui de préserver les fruits et de les récolter à la maturité totale. Il accomplit sa tâche en deux temps, de midi à 3h et de 3h à 6h. Au premier temps, c’est l’apogée de la lumière et de la chaleur, sa sève plus ardente monte jusqu’aux fruits, les nourrit et les dore : c’est la vie dans son complet épanouissement, la vie féconde, espoir des futures récoltes. Au second temps, c’est la cueillette : le soleil à son déclin va rentrer dans sa période d’apparente passivité ; de l’orient les ténèbres montent pour le sommeil et la mort.
    Cette allégorie s’adapte exactement, en raccourci, à la révolution annuelle de notre planète. L’apprenti, c’est aussi le printemps, la moisson qui lève et fleurit ; le compagnon, c’est l’été, les fleurs font place aux fruits ; la maîtrise, c’est l’automne, la maturité complète, la fin du cycle. Et l’automne glisse à l’hiver, c’est-à-dire aux bras de la mort. Mais le maître n’est plus l’apprenti, il a emmagasiné la récolte, il pourra parcourir le champ des ténèbres pour atteindre le renouveau, sans guide et sans autre soutien que les provisions amassées au cours des grands travaux de midi à la nuit.
    La Science alchimique n’est-elle pas le symbole concret de cette abstraite activité maçonnique ? On ne peut en douter. La matière appelée à devenir de l’or se revêt dans le creuset d’une couleur noire, c’est le corbeau ; les germes métalliques sont comme putréfiés et morts. Ainsi l’apprenti enfermé dans la chambre de réflexion est dans les ténèbres, au milieu des ossements et des débris de cercueils, car on ne peut passer du cercle profane au cycle de la lumière sans traverser le royaume de l’obscurité et de la mort. Mais la matière en putréfaction renferme en elle la puissance de renaître, de se revivifier ; elle endosse successivement toutes les couleurs de l’arc-en-ciel avant de refléter la couleur jaune, image de la lumière parfaite, polarisée par le prisme vital. L’apprenti, comme elle, possède un principe de régénération, la lumière de sa conscience. Les ténèbres voudraient l’absorber, mais il la conserve jalousement et, grâce à elle, il arrive à la porte du temple. Il est alors soumis au feu philosophique. Ce feu, c’est l’enseignement oral du maître de la Loge, ce sont les épreuves et les voyages à travers les éléments, origine de son expérience personnelle. Il voit alors apparaître la rouge lueur de l’aube. Puis, le feu poursuit son œuvre ; à chaque étape de l’opération, comme dans l’alchimie, la lumière prend une teinte différente et plus vive. Enfin, c’est l’apogée, la lumière est totale, sans trace de mélange ; la transmutation est accomplie, il a réalisé en lui l’or pur des philosophes, la divine sagesse, la vraie science a mûri dans son intelligence et dans son cœur.
    Mais, ce n’est pas tout. A l’apogée succède le déclin, non pas de la science, mais de la vie individuelle, rançon de notre état humain. Et le maître est mis en présence de la grande loi des alternatives dont la mort est l’un des pivots. En effet, comme toute vie s’en va inexorablement vers la mort, celle-ci est une porte ouverte sur une vie nouvelle. L’être s’épanouit à la lumière du soleil et se concentre à l’état latent dans la nuit du tombeau. Vie et mort sont des étapes successives sur la voie indéfinie de la vie éternelle.
    Or, le maître, comme nous l’avons dit, n’est plus un apprenti, il n’accomplit plus le ténébreux trajet dans la même inconscience, il n’a plus besoin d’adjuvant extérieur, il possède un viatique et il renaîtra bientôt sur un plan plus élevé du monde des idées. Tel est le sens profond de la légende d’Hiram, semblable de tous points à la légende d’Osiris, à celle de l’Yma avestique, de l’Yama hindou et du Min-Adam des plateaux caucasiens. Sur la tombe du maître, en effet, on plante le rameau d’acacia, le rameau d’or des initiés. Sous l’écorce de l’arbre, dans son cœur, sommeille le feu de la résurrection, le feu vital et spirituel qui, plus tard, à l’intersection des deux branches de la croix idéale, s’épanouira en cinqjetslumineux,symboles de l’étoile flamboyante.
    Pour pénétrer dans l’ésotérisme de la Maçonnerie du porche, nous avons fait appel aux procédés de la science alchimique. N’est-ce pas un rapprochement gratuit, une assimilation forcée et conventionnelle ? Non. La matière première du Grand Œuvre, le corbeau, n’est pas autre chose que la pierre brute, image de l’apprenti. Comme le feu philosophique va commencer à épurer la matière, le maillet et le ciseau contribuent à dégrossir le bloc informe sorti de la carrière ; les deux méthodes et leurs résultats sont identiques. La matière doit s’affiner progressivement dans le creuset, il faudra de même, par un travail parallèle, opérer le calibrage de la pierre. C’est pourquoi le compagnon copie, en quelque sorte, les métamorphoses réalisées au sein de l’Athanor. Au maillet et au ciseau, il ajoute d’autres outils : la règle, l’équerre et le compas. Avec leur aide, il détermine les arêtes, les angles et les courbes : d’un moellon brut il fait une pierre cubique, susceptible d’être utilisée dans la construction du temple. Ici, encore, la corrélation et la signification de l’activité sont semblables.
    Quant au maître, il n’a plus besoin d’outils spéciaux, il a réalisé en lui la Pierre cubique à pointe, il est lui-même la poudre de projection, la pierre angulaire de l’œuvre. Aussi, on place dans sa main la branche d’acacia réceptacle du feu latent qui informe toute vie nouvelle. Et c’est pourquoi, lorsqu’il prononce la parole : « Je connais l’acacia », il ne dit pas une chose sans portée, il fait appel à la loi du retour, germe de l’avenir.

    Annales Initiatiques – juin 1937

  • 136
    PRIERE POUR LA PAIX
    28 avril 2011 à 19h00 / Répondre

    PRIERE POUR LA PAIX

    de Constant CHEVILLON

    ADONAÎ Ô ELOIM DES ELOIM, nous voulons la paix: la paix dans les familles, dans les cités, dans les nations, la paix sur toute la terre, le coeur des hommes fait pour aimer et non pour haïr, envoyez à tous la bonté, la mansuétude et l’amour.
    Eloignez d’eux à jamais le désir des guerres impies et fratricides, donnez-leur la soif inextinguible de la Paix. Déchaînez dans le monde une vague d’Amour et de Fraternité. Nous vous en supplions par le Verbe incréé, expression de votre amour infini; donnez-nous la Paix universelle.
    Que la Paix étende partout sa sérénité et sa justice, mais surtout sur les peuples qui sont menacés dans leur vie, dans leur liberté, dans leurs idées et dans leur conscience humaine.
    Faîtes, Adonaï et vous, puissance de la Lumière, que les intérêts particuliers s’effacent toujours devant l’intérêt général de l’Humanité et que celui-ci se hausse sur le plan spirituel de la Fraternité et de l’Amour pour juguler à jamais la colère, l’envie et la haine!
    Donnez aux riches de la terre un coeur sensible et généreux, aux pauvres l’intelligence du royaume de la lumière avec la tempérance des désirs, aux puissants qui gouvernent le monde le sens de l’équité dans la prudence et la sagesse, aux gouvernés le respect de la hiérarchie juste et légitime; à tous les hommes l’humilité dans la Foi, l’Espérance et la Charité. Amen! Amen! Amen!

  • 135
    Dieu créa
    28 avril 2011 à 18h30 / Répondre

    Dieu créa…

    Dieu créa l’univers et il vit que c’était beau.

    Dieu créa la Terre et il vit que c’était beau.

    Dieu créa la nature et il vit que c’était beau.

    Dieu créa les animaux et il vit que c’était beau.

    Dieu créa l’homme et il vit que c’était beau.

    Dieu créa la femme et il se dit : Bof… Elle se maquillera…

    Ensuite Dieu créa Lanterne et il se dit : Mon Dieu…

  • 134
    Menas
    28 avril 2011 à 17h58 / Répondre

    Que dire de plus… nous reconnaissons, avec les posts de Personne, La Vérité, Pierris, tout l’élégance, la finesse et la noblesse de ces individus qui ont érigé le dénigrement, la grossièreté, l’inculture et l’insulte comme le fondement unique de leur argumentaire. Vous le leur retirez et ils fondent comme neige au soleil.

    Quelle belle image ils auront donnée de leur obédience et de leur Grand Hiérophante, chez nous on pourrait les comparer avec un Gilles, mais ils sont moins amusants. mes Frères ne savez-vous donc pas vous exprimer autrement que par la grossièreté et l’agressivité ? ne savez-vous donc pas répondre aux questions ? Mais peut être que je me trompe lourdement et qu’ils sont de très grands talmudistes. En effet lors des disputes dans les yéshivhas ils ont pour habitude de répondre à une question par une autre question… mais eux restent corrects !
    Vous devriez repartir sur la colonne du Nord, le calme, la réflexion et l’introspection vous feront le plus grand bien.

    Il reste que je plains ces individus ils restent et resteront comme des amuseurs qui ne seront et qui ne pourront jamais être pris au sérieux, même s’ils se pavanent en 97e 98e 99e, voire 101e… je pense que JC, ayant déjà modifiée l’échelle des grades de MM, ne sera pas en peine de créer un 101e qui alliera le CBCS, le 66e, le SIGI et la classe secrète de Cerneau… et j’en oublie certainement.

    Il y a un monde entre avoir reçu et pouvoir retransmettre. Lorsque l’on reçoit une « initiation » dirais-je, c’est un dépôt qui nous est confié et dont on a le devoir de faire fructifier, pas en revendant ni en monnayant ce dépôt… , mais en le travaillant initiatiquement parlant. Il faut avoir une certaine humilité, un sens du respect de nos anciens, et malgré tout quelques connaissances maçonniques, hermétiques, alchimiques….

    Tout ce qui fait défaut à JC et à ses acolytes et sicaires partisans du pal. Les lisant et découvrant ce « profond attachement » qu’ils portent à leur Grand Hiérophante je comprends maintenant pourquoi ils en ont fait leur « fondement » de commerce.

  • 133
    Rite Écossais Primitif et Philosophique
    28 avril 2011 à 17h54 / Répondre

    Rite Écossais Primitif et Philosophique.

    Institué à Paris en 1776 par l’hermétiste Boileau, élève de Dom Pernéty. Loge « Contrat Social » puis « Saint Lazare.

    En 12 Grades : 1er à 3ème Degré : Chevalier de l’Ai ale Noir ou rose-croix d’Hérédom de la Tour. (Divisé en 3 parties ). 4ème Degré : Chevalier du Phénix. 5ème Degré : Chevalier du Soleil. 6ème Degré : Chevalier de l’Iris. 7ème Degré : Vrai Maçon. 8ème Degré : Chevalier des Argonautes. 9ème Degré : Chevalier de la Toison d’Or. 10ème Degré : Grand Inspecteur Parfait Initié. 11ème Degré : Grand Inspecteur Parfait Initié. 12ème Degré : Sublime Maître de l’Anneau Lumineux.

    Le 12ème Degré vient du Rite des Négociates, académie des Sublimes Maîtres de l’Anneau Lumineux qui fut absorbé en 1784 par le Rite Écossais Philosophique et par l’Atelier de Douai : La Parfaite Union.

    Plusieurs membres étaient détenteurs des derniers degrés de Misraïm.

    Les Frères : Meallet, Esline, Bazot, Richard et Ragon 90ème Degré.

    Le Rite Écossais Philosophique devint en 1817. Le Rite des Nicotiniates en 4 Degrés.

    1 : Ecouteur ou Akousmatikos. 2 : Pyrophores. 3 : Adeptes. 4 : Élus.

    Reste alors une Maçonnerie parallèle des Hauts Grades.

    La Pyramide.

    Les trois premiers degrés de notre Rite sont calqués sur la Tradition Egyptienne.

    Les rituels sont de Memphis, pour le premier grade.

    De Misraïm, pour le deuxième grade, qui revient ainsi à la Tradition.

    De Memphis avec des apports de Misraïm, pour le troisième grade.

    Ces degrés vous sont bien connus et aucun commentaire n’est ici nécessaire.

    Notre Suprême Conseil qui gère les 4ème au 33ème Degré, délivre l’enseignement traditionnel de l’Ecossisme.

    Tous les rituels sont dits : Ecossais.

    Mais il faut savoir que tous ces rituels sont formés par la juxtaposition de « Voies Initiatiques ».
    Chacune d’elles pouvant être considérée comme une école initiatique autonome.

    Pour notre part « Chevalier du Soleil » fondé par la Loge Mère de Marseille est notre contribution à cet ensemble.

    Pour ces 33 Degré, c’est un enseignement à travers toutes les Traditions que va entreprendre le Néophyte.

    La Loge de Perfection (4ème au 14ème) reprend et développe l’enseignement initiatique de quatre thèmes :

    • Le Temple Universel.
    • Le Sacrifice Rituel.
    • La Palingénésie. (Retour à la vie, successions de cycles).
    • La parole perdue.

    Suivent les Grades Capitulaires du 15ème au 18ème Degré. Leurs enseignements initiati¬ques vont : De la queste spirituelle à l’œuvre au rouge Déjà l’Alchimie pointe son oreille.

    Puis vient les Aréopages du 19ème au 30ème degré.

    Je vous propose une petite phrase définissant l’enseignement initiatique de chacun de ces degrés.

    Définition rapide, petites phrases qui misent bout à bout, proposent le chemin :

    • De la Nouvelle Jérusalem.
    • Des 29 vertus d’un authentique Franc Maçon.
    • De la Symbolique des Nombres.
    • Du Premier Ciel.
    • De l’Arbre de Vie et de l’Arbre de la Science.
    • L’Arche d’Alliance.
    • La Foi.
    • L’exode ou les Mystères Egyptiens.
    • Le Grand Oeuvre Alchimique.
    • Des Chevaliers Teutoniques.
    • Mystères de l’Antiquité.
    • Mithra.
    • L’Ordre du Temple.
    • La Transcendance.

    Puis suivent 3 grades dits : « Administratifs ».

    • 31ème degré : Notion de Justice.
    • 32ème degré : Armée Maçonnique.
    • 33ème degré : Les Grands Devoirs, pour finir les grades du Suprême Conseil.

    Mais comme vous le savez déjà notre pyramide ne s’arrête pas là. Les spécificités particulières de notre Rite commencent.

    Tout d’abord notre 66ème grade, qui précède les Arcana Arcanorum. Car il est certain que la mise en action d’une Théurgie doit être complétée par une initiation sacerdotale préalable.

    Il faut savoir que ce grade peut être donné soit par transmission, soit par initiation. C’est ce degré qui vous donnera l’explication des violettes de Parme.

    Nous voici arrivé aux derniers grades initiatiques de notre pyramide. Arcana Arcanorum Régime de Naples. – 87ème 88ème 89ème 90ème degrés.
    Ils constituent un enseignement secret qui concerne une Théurgie, mais aussi une Voie Alchimique fermée, qui est un Neitan, Voie interne. Ils se rapportent à la constitution occulte de l’Homme, à son destin posthume, à l’existence d’un monde astral et aux rapports permanents, existant entre l’Etre Suprême et le Monde.

    Le 87ème degré reprend la légende traditionnelle de formation du cosmos en 3 stades.

    Le 88ème degré insiste sur la floraison des formes de la vie dans le monde.

    Le 89ème degré précise la place de l’Homme dans l’Univers et comment relier le Ciel à la Terre.

    Le 90ème degré confère à l’Initié une espèce de sagesse cosmique pour remplir ainsi une sorte de royauté sociale consciente.

    Ainsi le Feu Sacré brûle en permanence dans toute la pyramide.

    Arcana Arcanorum. Secrets Hermétiques de notre Rite.

    Il reste, le Haut de notre Pyramide. Les degrés dits : Officiels. Ils donnent à certains (Sœurs et Frères) des responsabilités et surtout des charges de travail, quelquefois très lourdes.

    95ème Degré du Souverain Sanctuaire.
    96ème Degré des Grands Maîtres Nationaux Adjoints.
    97ème Degré des Grands Maîtres Nationaux.
    98ème Degré du Substitut Grand Maître Mondial.
    99ème Degré Apanage du Président du Souverain Sanctuaire International, Grand Maître Mondial.

    Et sans doute, l’illumination finale de la pointe extrême de la pyramide.

    Non nous ne parlerons pas, du Nombre 100. L’Ordre Maçonnique est porteur de promesses.

    La Loge Maçonnique est une espérance. Dans sa plénitude elle prépare l’Etre, par la voie de l’initiation, à assumer son devenir.

  • 132
    Rite Écossais Primitif et Philosophique
    28 avril 2011 à 17h54 / Répondre

    Rite Écossais Primitif et Philosophique.

    Institué à Paris en 1776 par l’hermétiste Boileau, élève de Dom Pernéty. Loge « Contrat Social » puis « Saint Lazare.

    En 12 Grades : 1er à 3ème Degré : Chevalier de l’Ai ale Noir ou rose-croix d’Hérédom de la Tour. (Divisé en 3 parties ). 4ème Degré : Chevalier du Phénix. 5ème Degré : Chevalier du Soleil. 6ème Degré : Chevalier de l’Iris. 7ème Degré : Vrai Maçon. 8ème Degré : Chevalier des Argonautes. 9ème Degré : Chevalier de la Toison d’Or. 10ème Degré : Grand Inspecteur Parfait Initié. 11ème Degré : Grand Inspecteur Parfait Initié. 12ème Degré : Sublime Maître de l’Anneau Lumineux.

    Le 12ème Degré vient du Rite des Négociates, académie des Sublimes Maîtres de l’Anneau Lumineux qui fut absorbé en 1784 par le Rite Écossais Philosophique et par l’Atelier de Douai : La Parfaite Union.

    Plusieurs membres étaient détenteurs des derniers degrés de Misraïm.

    Les Frères : Meallet, Esline, Bazot, Richard et Ragon 90ème Degré.

    Le Rite Écossais Philosophique devint en 1817. Le Rite des Nicotiniates en 4 Degrés.

    1 : Ecouteur ou Akousmatikos. 2 : Pyrophores. 3 : Adeptes. 4 : Élus.

    Reste alors une Maçonnerie parallèle des Hauts Grades.

    La Pyramide.

    Les trois premiers degrés de notre Rite sont calqués sur la Tradition Egyptienne.

    Les rituels sont de Memphis, pour le premier grade.

    De Misraïm, pour le deuxième grade, qui revient ainsi à la Tradition.

    De Memphis avec des apports de Misraïm, pour le troisième grade.

    Ces degrés vous sont bien connus et aucun commentaire n’est ici nécessaire.

    Notre Suprême Conseil qui gère les 4ème au 33ème Degré, délivre l’enseignement traditionnel de l’Ecossisme.

    Tous les rituels sont dits : Ecossais.

    Mais il faut savoir que tous ces rituels sont formés par la juxtaposition de « Voies Initiatiques ».
    Chacune d’elles pouvant être considérée comme une école initiatique autonome.

    Pour notre part « Chevalier du Soleil » fondé par la Loge Mère de Marseille est notre contribution à cet ensemble.

    Pour ces 33 Degré, c’est un enseignement à travers toutes les Traditions que va entreprendre le Néophyte.

    La Loge de Perfection (4ème au 14ème) reprend et développe l’enseignement initiatique de quatre thèmes :

    • Le Temple Universel.
    • Le Sacrifice Rituel.
    • La Palingénésie. (Retour à la vie, successions de cycles).
    • La parole perdue.

    Suivent les Grades Capitulaires du 15ème au 18ème Degré. Leurs enseignements initiati¬ques vont : De la queste spirituelle à l’œuvre au rouge Déjà l’Alchimie pointe son oreille.

    Puis vient les Aréopages du 19ème au 30ème degré.

    Je vous propose une petite phrase définissant l’enseignement initiatique de chacun de ces degrés.

    Définition rapide, petites phrases qui misent bout à bout, proposent le chemin :

    • De la Nouvelle Jérusalem.
    • Des 29 vertus d’un authentique Franc Maçon.
    • De la Symbolique des Nombres.
    • Du Premier Ciel.
    • De l’Arbre de Vie et de l’Arbre de la Science.
    • L’Arche d’Alliance.
    • La Foi.
    • L’exode ou les Mystères Egyptiens.
    • Le Grand Oeuvre Alchimique.
    • Des Chevaliers Teutoniques.
    • Mystères de l’Antiquité.
    • Mithra.
    • L’Ordre du Temple.
    • La Transcendance.

    Puis suivent 3 grades dits : « Administratifs ».

    • 31ème degré : Notion de Justice.
    • 32ème degré : Armée Maçonnique.
    • 33ème degré : Les Grands Devoirs, pour finir les grades du Suprême Conseil.

    Mais comme vous le savez déjà notre pyramide ne s’arrête pas là. Les spécificités particulières de notre Rite commencent.

    Tout d’abord notre 66ème grade, qui précède les Arcana Arcanorum. Car il est certain que la mise en action d’une Théurgie doit être complétée par une initiation sacerdotale préalable.

    Il faut savoir que ce grade peut être donné soit par transmission, soit par initiation. C’est ce degré qui vous donnera l’explication des violettes de Parme.

    Nous voici arrivé aux derniers grades initiatiques de notre pyramide. Arcana Arcanorum Régime de Naples. – 87ème 88ème 89ème 90ème degrés.
    Ils constituent un enseignement secret qui concerne une Théurgie, mais aussi une Voie Alchimique fermée, qui est un Neitan, Voie interne. Ils se rapportent à la constitution occulte de l’Homme, à son destin posthume, à l’existence d’un monde astral et aux rapports permanents, existant entre l’Etre Suprême et le Monde.

    Le 87ème degré reprend la légende traditionnelle de formation du cosmos en 3 stades.

    Le 88ème degré insiste sur la floraison des formes de la vie dans le monde.

    Le 89ème degré précise la place de l’Homme dans l’Univers et comment relier le Ciel à la Terre.

    Le 90ème degré confère à l’Initié une espèce de sagesse cosmique pour remplir ainsi une sorte de royauté sociale consciente.

    Ainsi le Feu Sacré brûle en permanence dans toute la pyramide.

    Arcana Arcanorum. Secrets Hermétiques de notre Rite.

    Il reste, le Haut de notre Pyramide. Les degrés dits : Officiels. Ils donnent à certains (Sœurs et Frères) des responsabilités et surtout des charges de travail, quelquefois très lourdes.

    95ème Degré du Souverain Sanctuaire.
    96ème Degré des Grands Maîtres Nationaux Adjoints.
    97ème Degré des Grands Maîtres Nationaux.
    98ème Degré du Substitut Grand Maître Mondial.
    99ème Degré Apanage du Président du Souverain Sanctuaire International, Grand Maître Mondial.

    Et sans doute, l’illumination finale de la pointe extrême de la pyramide.

    Non nous ne parlerons pas, du Nombre 100. L’Ordre Maçonnique est porteur de promesses.

    La Loge Maçonnique est une espérance. Dans sa plénitude elle prépare l’Etre, par la voie de l’initiation, à assumer son devenir.

  • 131
    LIVRE JAUNE
    28 avril 2011 à 17h22 / Répondre

    Le 20 Mars 1913, le Grand Hiérophante John YARKER 97ème passe à l’Orient éternel.

    Le Souverain Grand Sanctuaire constitué de Théodore REUSS, Aleister CROWLEY 95ème, Henry QUILLIAM 95ème, Léon ENGERS-KENNEDY 95ème se réunit à Londres le 30 Juin 1913 et à l’unanimité le F. Henry MEYER fut nommé Souverain Grand Maître Général 96ème et Théodore REUSS 97ème, Souverain Grand Maître Général ad vitam pour l’empire germanique et Grand Inspecteur Général participait à cette réunion. Après le passage à l’Orient Éternel du Frère John YARKER 97ème, le Souverain Conseil Universel, siégeant à Naples, considérant la désignation faite par le Frère John YARKER et aussi pour contrer les menées du « serviteur du KEISER », le Frère Théodore REUSS (qui cherchait à se faire élire au sommet de la hiérarchie pour offrir cet honneur à l’Allemagne), donna le titre de Grand Hiérophante Général au F. Eduardo FROSINI (Membre du Souverain Sanctuaire de Venise et initié dès 1900 au 33ème 90ème 95ème et au 96ème du Rite Écossais Primitif par les Frères John YARKER et Vilarino DEL VILAR).

    Le Frère Théodore REUSS, lui, s’autoproclama 97ème, pour frapper Venise et se venger des Italiens et du Frère Giuseppe GARIBALDI 97ème (le diable pour les Allemands), il alla contre le Congrès de Rome de 1881 et, lâchement, donna une patente au Sanctuaire de Memphis de Palerme qui avait, un temps, adhéré aux Rites Unis, comme Sanctuaire du seul Memphis.

    Voilà comment Théodore REUSS trahissait la vie unifiée des Rites Unis pour mener à bien ses propres buts de basses vengeances.

    Le Frère Eduardo FROSINI devint le légitime et régulier Grand Hiérophante Général 97ème, fonda ensuite le Rite Philosophique Italien (qui, sur son ordre, en 1921 se fondra avec le Rite Écossais).

    Plus tard, il remit le tout entre les mains du Frère Marco Egidio ALLEGRI 96ème, de Venise, Membre du Grand Sublime Sanctuaire et du Souverain Conseil Universel.

    L’Ordre Oriental Ancien et Primitif de Memphis et Misraïm fut la voie et la souche sur laquelle fut bâti le Grand Orient d’Italie.

    Le 25 octobre 1916, PAPUS 96ème, Grand Maître de France passe à l’Orient Éternel, suites d’une maladie contractée aux armées. Le Frère TEDER (Charles DETRE) devient Grand Maître des Rites Unis.

    Le 25 septembre 1918, Charles DETRE (TEDER) passe lui aussi à l’Orient éternel, il nomme, oralement à son chevet, Jean BRICAUD pour lui succéder.

  • 130
    Personne
    28 avril 2011 à 17h14 / Répondre

    @ Danièle, pour une ex tireuse de cartes tu la fous mal comme on dit à Bordeaux, car personne n’avait besoin de réduction sur ses jeans, tu faisais plus fort sur le sexe … des futurs nés
    @Veilleuse, un début de vérité sauf que GK ne s’était pas retiré de chez JC
    @Edmond le Lyonnais, t’as tout faux demande à Jir : La Vérité n’est à Personne et personne ne la détient? JC n’a plus à prouver quoique ce soit, mais votre haine prouve que vous ne voulez pas lâcher vos hochets

    Maintenant je pense que continuer à se canarder derrière des pseudos ne sert à rien, on est à peu prés tous d’accord sur la Transmission de Kloppel à Castelli donc je le répète encore une fois ceux qui s’en réclament bienvenue, les autres retournez dans vos pyramides !

  • 129
    Danièle Fortin
    28 avril 2011 à 16h59 / Répondre

    Hou a écrit :

    Ne cherche pas, La vérité et Personne ne sont qu’un seul et même individu, a mon avis c’est J.C

    Côté « inspiration », je pense, mais pas pour l’écriture ; JC est comment dire, beaucoup moins « primesautier », moins « humoureux » même si c’est de l’humour à la manque, ce n’est pas son style d’écriture.
    Il semble avoir un ou deux « nègres ».
    Il aurait du leur faire relire le livre, car à ce propos page 101 il y a un 96eme du Rite Ecossais Primitif !

  • 128
    Hou
    28 avril 2011 à 15h58 / Répondre

    Menas bonjour,
    Ne cherche pas, La vérité et Personne ne sont qu’un seul et même individu, a mon avis c’est J.C.
    Il envoi ses dernières cartouches dans le cadre que tu as si bien expliqué, il n’est plus rien en Maçonnerie, tout est clair, il n’est même pas capable de se référer à une seule loge, sauf information contraire prouvée, mais j’en doute.
    Nous le connaissons, même enterré il continuera à dire qu’il est le seul à tous détenir, je rejoins l’indication du post 103 : Son « royaume » n’est déjà plus de ce monde.
    En quelque sorte, il est, pour la Maçonnerie déjà mort.
    Mais soyons clair, il y a et aura toujours des gogos pour le suivre, afin de récupérer, par exemple, un beau 98ème avant de se faire destituer, comme un autre J.C.
    Tout cela n’est que tristesse et pitreries.
    Mais, comme le dit Lanterne, seul le travail dans nos loges compte.

  • 127
    lanterne
    28 avril 2011 à 15h37 / Répondre

    post 112 de personne :

    Nous possédons un document où tu as écrit avoir participé à une réunion avec 8 autres personnes chez Gérard Kloppel, juste avant sa mort, aux fins de déstabiliser celui-ci pour qu’il destitue Joseph Castelli !

    Toi, tu le sais et tu ne peux pas demander de le produire, tes complices non plus et pour cause !

    Que peux-tu répondre à cela ?

    très facile de répondre à cela, ta preuve, c’est moi qui l’ai donné par mail à castelli, un mail dans lequel je lui explique comment il s’en est tiré de justesse, tu parles d’un scoop !!!!

    seulement moi quand je ne peux pas prouver les choses par des faits non trafiqués je reste silencieux. Pourtant je pourrais faire comme vous, et expliquer comment le départ de Gérard a sauvé les fesses de castelli in extremis…mais comme il n’y a pas d’écrit pour le prouver je n’irai pas plus loin…
    cela dit chacun pourra se rapeller que kloppel s’était retiré de l’obédience de castelli…comprendra qui voudra

  • 126
    apprenti
    28 avril 2011 à 14h02 / Répondre

    Des compléments d’informations à celles et ceux que ça intéresse.
    Là encore foison de documents.

    A cette adresse

  • 125
    Personne
    28 avril 2011 à 13h54 / Répondre

    @Max la Menas

    Alors heureuse ?!
    Et pourtant c’est peu de choses, on passera au pal ( la moindre des choses, pour un sicaire ) tu verras, ça commence très bien, mais ça finit très mal…
    Je te retourne donc tes compliments, tu es à l’image de personne, tu ne ressembles à rien…
    Et personne ne peut répondre à rien…

    @Lanterne
    Tu n’as pas répondu au post 112, c’est grave et tu devrais au moins te défendre car ne rien dire c’est en accepter les conséquences !

  • 124
    Daniele Fortin
    28 avril 2011 à 13h34 / Répondre

    Oui, Hou, ce document est bon pour Mai 2008 et mois suivants hormi certaines démissions et radiations sur le seul vouloir de JC.
    Car moi aussi j’ai des documents, beaucoup de documents ( en 30 ans, j’ai eu le temps !) mais j’ai la pudeur de ne pas les mettre sur la place publique.

    Personnellemnt, je me suis mise d’abord en retrait puis j’ai demissionné avant le Convent de la GLEDF (ancienne formule) de toutes mes charges et fonctions dans toutes les strates, en désaccord complet avec GK et JC dont je ne partageais plus la vision, les objectifs ainsi que certaines contre-vérités que me refusais de cautionner.

    Le chant des sirènes ne rentre pas dans mes conceptions. Il n’y avait pas assez de travail dans l’initiatique, uniquement des distributions de « papelards », des hochets à tout va, et l’on voit bien à ce jour à quoi cela a mené.

    Sur tous les noms de ce SSI, qu’il lève le doigt celui qui reste avec JC à ce jour. Qu’elle lève le doigt ou du moins le pose sur son clavier la personne qui est toujours avec lui à 3 ans de ce raout bordelais ( 28 et 29 juin 2008) où nous avons vu le vrai visage de GK et de JC, ce dernier insultant tout le monde.
    Et ne me dites pas que je mens, il y avait plus de 60 témoins !
    Alors quand  » Personne » nous parle de son copain de 45 ans, généreux ( il lui faisait des réductions sur ses jeans ?) et tout le toutim, je me demande s’il est question de la même personne.

    Quant à la reconnaissance du ventre, pour l’instant financièrement il m’est toujours du plus de 900 EUROS, j’ai perdu beaucoup de temps et spirituellement il ne m’ a rien été transmis. Donc n’inversons pas les problèmes.

    Et puis, @Menas, c’est qui ce « personne » qui ose te demander qui tu es? Il etait où ce « personne » durant toutes ces années, chantre à présent de la virginité de JC ?

    En définitive quel est le but de JC ? que tout le monde se prosterne en lui demanant une Patente ? C’est le GODF qui va être content) Viens chez moi poupoule, viens….et pour quoi faire puisque lui même n’a aucune méthode de travail à donner vu qu’il n’ a rien compris, lui qui ose créer une classe secrète dans son Cerneau (REAA) qui est en fait le 66eme du RAPMM.

    Rappellons-nous les écrits de Kloppel sur le temps de travail qu’il fallait pour assimiler « la Grande Hiérophanie »..
    GK etait un opératif, tout le monde l »admet. Qu’en est il de JC ?
    Qu’il réponde déjà ( lui et non ses sbires, quoi que….) au but essentiel de ce rite : doù je viens, qui je suis, où je vais…

    Contrairement à ce que vous pourriez penser, je n’ai rien contre JC en lui même, mais contre tous ceux qui donnent dans la contre_initation. Et là, on est en plein dedans.
    Mais ce n’est que mon avis et il ne compte pas, sauf pour certain(e)s

    @ Jiri, avec tous ces écrits sur ton blog, depuis des années, tu pourrais nous faire un livre ou bien déléguer cette fonction. Les égyptiens ou du moins certains ayant vraiment la mémoire courte ce serait un bon rappel.
    DF

  • 123
    Menas
    28 avril 2011 à 13h15 / Répondre

    Je suis heureux du post 116 de Personne, (le Bien-Nommé), il ne fait que confirmer ce que je dis :

    — impossibilité, intellectuelle, peut-être, de pouvoir répondre à la moindre question, même simple,
    — agressivité et insultes permanentes, comblant ainsi un manque de représentativité,
    — solitude extrême et donc attaques et diffamations permanentes…

    Et c’est ça l’image que donne les aficionados, les sicaires du Grand Hiérophante ! qui se ressemblent s’assemblent.

    Et après ils osent prétendre se réclamer de la filiation d’Ambelain ? Quelle farce, quelle honte !

  • 122
    Personne
    28 avril 2011 à 13h04 / Répondre

    @Max la Menas, ma question va être encore plus simple :
    De quoi tu te mêles et es-tu seulement Franc Maçon ?
    Est ce qu’on te demande si ta grand mère fait du vélo ou si tu as un penchant pour les films de gladiateurs ?! Non ! Alors vas te reposer et marche à l’ombre !

  • 121
    Personne
    28 avril 2011 à 12h47 / Répondre

    @ Edmond le Lyonnais alias Hou

    Le document dont tu parles est caduc, nous ne pouvons que répéter et « que ceux qui ont des oreilles entendent » :
    Légataire des transmissions Ambellain-Kloppel, il appartient à Joseph Castelli et à lui seul, de prendre toute décision qu’il jugera utile !
    Un premier décret a été mis à votre disposition, un autre suivra prochainement, je précise, pour ceux qui se réclameraient de la même filiation !
    Pour les autres imposteurs, Tartuffes et falsificateurs, Marne la Vallée vous attend et met à votre disposition toute attraction qui vous paraîtra utile…

  • 120
    lanterne
    28 avril 2011 à 12h43 / Répondre

    oui moi aussi j’y suis retourné, castelli en prend plein la tête, pour une fois je suis spectateur
    ça me repose….

    il semble bien etre pris encore une fois en flagrant délit de rédaction de faux !!

    et comme nous sommes nombreux à avoir ce bouquin par pdf, chacun pourra mesurer les énormités qu’il contient (sans la page 212 certe, serait-ce un faux livre de castelli ? mdr )

    sur ce bon appétit

  • 119
    Menas
    28 avril 2011 à 12h35 / Répondre

    Pour répondre au post 110 de Personne.

    « Personne » oublie aussi qu’il poste sous un pseudo. Mais la question n’est pas là et je comprends que la vraie question, celle de ses Loges Bleues et Hauts Grades, dérange les aficionados de JC. Ils ont pris l’habitude d’être agressifs et insultants dès qu’ils sont dans l’incapacité de répondre aux questions simples et logiques que des Frères et Soeurs leurs posent ici.

    La question est pourtant des plus simple : où sont vos Loges Bleues et Hauts Grades, où et quand vous réunissez-vous ?

    Toute obédience digne de ce nom peut répondre, et d’ailleurs doit répondre, à cette simple question. Ne pas y répondre deviendrait suspect. Une obédience que l’on ne peut pas visiter, qui n’est pas visible, qui reste cachée, voire secrète, ne peut que légitimement inquiéter le Paysage Maçonnique Français.

    Maintenant en quoi ce Livre Jaune me dérange… Personnellement en rien. J’ai lu comme beaucoup le PDF qui circule sur le net, je doute que son contenu affligeant sur bien des points : historique, orthographique, « littéraire » et instructif, m’incite à l’acheter…

    Voici ce qui me dérange :
    — ce sont ces éternelles attaques, d’une agressivité et d’une vulgarité totale (voir les posts de Pierris…),
    — ce manque « maçonnique » de dialogue, ces non réponses systématiques à des questions simples,
    — cette méconnaissance abyssale de l’histoire, et plus particulièrement de son propre rite, dont on se veut être le Grand Hiérophante Cosmo-Planétaire, il suffit de voir l’échelle des grades proposée dans le livre,
    — ce déni constant et récurant des « autres » systèmes de Memphis-Misraïm : « je suis le seul et l’unique » !
    — cette simonie des grades et des fonctions établie en système, même l’ennemi de JC, Lanterne, aurait eu des propositions de diplômes ou de titres de la part de JC,

    Ce que je demande : JC et tous vos acolytes, enfin les trois ou quatre personnes qui vous divinisent, fichez-nous la paix ! Allez vous costumer et vous faire prendre en photos chez les Papous. Enfin attention parce que les Papous pourraient vous en apprendre sur l’initiation…

    Laissez les Frères et Soeurs travailler tranquillement et initiatiquement à l’ombre des palmiers d’Egypte.

  • 118
    Personne
    28 avril 2011 à 12h31 / Répondre

    Lanterne, ta mèche s’auto-consume à une allure folle : à ce rythme, qui et quoi vas-tu prétendre pourvoir, longtemps encore, éclairer ? En effet, tu poses sans relâche un tas de questions à tout le monde, tu retournes les réponses sans cesse pour que ce soit l’interpellé qui amène la preuve (habile mais primaire on apprenait ça au stage Cegos dans les années soixante-dix).

    Alors, cette fois, c’est moi qui te poses la question (et nous avons la preuve) :

    Nous possédons un document où tu as écrit avoir participé à une réunion avec 8 autres personnes chez Gérard Kloppel, juste avant sa mort, aux fins de déstabiliser celui-ci pour qu’il destitue Joseph Castelli !

    Toi, tu le sais et tu ne peux pas demander de le produire, tes complices non plus et pour cause !

    Que peux-tu répondre à cela ?

    Quel crédit tes « souteneurs » peuvent-ils t’apporter dorénavant ?

  • 117
    Hou
    28 avril 2011 à 12h05 / Répondre

    Bonjour,
    Je viens de retourner sur : http://www.gledf.fr/infos.html (Analyse Livre Jaune).
    J’y ai trouvé Une mention particulière soit :
    Membres du SSI le 3 janvier 2009 : sans ajout (Spécial Maranatha 81/83 et Personne 93).
    Suivant les indications de Maranatha et de Personne, le document devient donc authentique, puisque n’ayant plus de surcharge.
    Merci d’avance à la G.L.E.D.F., de ne pas trop tarder pour les points 3 et 4 indiqués comme, en cours de rédaction.

  • 116
    Personne
    28 avril 2011 à 9h51 / Répondre

    Mais Max nous n’en attendons pas moins de toi : qui es tu et que représentes-tu à part un pseudo derrière lequel tu te caches ?! Et surtout la grande question, en quoi ce Livre jaune te concerne ?

    Merci par avance

  • 115
    Menas
    28 avril 2011 à 9h42 / Répondre

    Mais tout le monde s’affole, il faudrait peut être revenir à des fondamentaux plus terre à terre.

    Je souhaiterais savoir ce que représente JC (Castelli, ne confondons pas) en terme de Loges de Chapitres, d’Aréopgages ? Certes il ne faut pas tomber dans « combien de divisions , ».

    Avec tout ce bruit, toute cette fureur autour de la personnalité de JC, je me demande combien de Frères et de Soeurs il rassemble autour de lui ? je n’ai pas entendu parler de la moindre Loge de son système en France, à moins que cela soit des Loges « timbre poste », 3 à 4 personnes, y compris JC.

    Pourrait-on nous éclairer tous ici, et non pas de manière confidentielle, sur ce point, en évitant, pour une fois, la langue de bois. Comme toute obédience « normale » il est de coutume de dire où se trouvent ses ateliers ‘Bleus ou Supérieurs », quand ils se réunissent…

    Merci par avance

  • 114
    apprenti
    28 avril 2011 à 9h14 / Répondre

    Rien à dire de plus.
    Je voulais juste qu’il y ai un 108è commentaire, pour nous rappeler notre pavé mosaïque.
    (A ceux qui se demanderait de quoi je parle, dans notre rite le pavé fait 9 cases sur 12)

    Je vais essayé d’y puiser l’image de nos divergences
    et pourtant la force de leurs assemblage en un seul et unique symbole.

  • 113
    Cavalier Seul
    28 avril 2011 à 2h43 / Répondre

    Chaque soir m’apporte son lot, ici, je ne risque pas de m’ennuyer.
    De même que citer très haut une page (qu’on n’a pas parce que le livre n’est pas encore sorti des presses) est un effet facile et invérifiable, de même accuser les dorures des décors de 95me d’être des dorures est illogique : comment s’habiller autrement? Ceux/celles qui sont sensibles aux dorures des autres les envient peut-être… Ceux/celles qui les portent savent le sang et les larmes qu’ils ont coûté (du moins si reçus légitimement) et y tiennent non pas pour se faire mousser mais comme héritage.
    Les rites égyptiens sont un fabuleux héritage. Et on croit voir ici les fils de Charlemagne dépeçant ses empire, sous les yeux alarmés de l’héritier qui, volé, harcelé, finit par écrire, et comment lui en vouloir, puisque la Maçonnerie n’utilise que des mots comme outil, comme pierre, comme ciment et comme dissolvant?
    Les interventions à visage découvert sont extrêmement dignes de respect, déjà pour ce seul motif, et ensuite par la sincérité de leur démarche, des deux côtés (enfin il y en a plus que deux, mais j’abrège), mais sincérité ne veut pas dire vérité objective.
    je suis heureux de n’être pas juge en cette affaire, même si Castelli me paraît davantage digne de foi jusqu’à présent.
    Un mot aux profanes – aux non-membres qui peuvent être initiés en d’autres domaines – pour leur dire que c’est peut-être parce qu’on aime la profonde beauté de ce rite à la passion qu’on se combat passionnément, mis à part les qurelles de vanité suscitées par certains dont les actes, eux, sont plus proche du tribunal que de l’échange d’idées. Pour leur dire que quand ils auront franchi l’Entrée du temple ils visiteront des rites égyptiens et là ils comprendront.
    Vu de dehors, une bataille de famille est scandaleuse ou comique.
    Ou triste.
    Vu du dedans, elle est très triste.

  • 112
    lanterne
    27 avril 2011 à 22h37 / Répondre

    oh ce post 103 est génialissime, je le recopie parcequ’à part chez raël, j’avais jamais lu un truc génial comme ça !

    Vous avez du mal à comprendre mon admiration sans faille aussi je vais vous répondre : je connais JC depuis 45 ans et j’estime le connaître et l’estimer à sa juste valeur. Le défaut de ce Frère est une générosité sans mesure et un sens de l’honneur inestimable, vous reconnaissez et je vous en suis gré, qu’il a reçu les transmissions de ses Maîtres… Vous faites état de photos prises par des Frères « admiratifs », il n »a jamais cherché les vains honneurs car il n’est que le vecteur des pouvoirs qu’il possède, doit-il pour cela être piétiné par les malfaisants et les indignes ? En maçonnerie quiconque aurait ses attributs en deviendrait une idole réclamant un culte à sa personne, il n’en est rien ! Son « royaume » n’est déjà plus de ce monde, mais nous sommes quelques uns qui assumeront la défense de son honneur au mépris de notre égo

    ah ouais c’est du lourd ça, Hey JC c’est toi le King ! rael n’a qu’a bien se tenir !

  • 111
    Personne
    27 avril 2011 à 21h44 / Répondre

    Oh le Lyonnais ne cherche pas trop Gilles tu finirais par le rencontrer, surtout si tu dis qu’il fait de la musique pour le Front National ! Car ce n’est pas le genre à supporter qu’on le salisse…
    Enfin tous ces houx et ces guis ne sont pas de saisons, ce sont des parasites et des poisons, il faudrait penser au muguet, laissez nous vous sonner les clochettes, cela sentira meilleur !

  • 110
    Hou
    27 avril 2011 à 21h29 / Répondre

    Beaucoup de belles paroles, mais pas beaucoup d’actes.
    Je cherche toujours qui est Gilles PELLEGRINI.
    Mes recherches internet me dirigent vers un musicien membre du front national.
    J’espère que ce n’est pas le cas.
    Si ce l’était, il faudrait peu être revoir nos valeurs.

  • 109
    Personne
    27 avril 2011 à 21h22 / Répondre

    Vous avez du mal à comprendre mon admiration sans faille aussi je vais vous répondre : je connais JC depuis 45 ans et j’estime le connaître et l’estimer à sa juste valeur. Le défaut de ce Frère est une générosité sans mesure et un sens de l’honneur inestimable, vous reconnaissez et je vous en suis gré, qu’il a reçu les transmissions de ses Maîtres… Vous faites état de photos prises par des Frères « admiratifs », il n »a jamais cherché les vains honneurs car il n’est que le vecteur des pouvoirs qu’il possède, doit-il pour cela être piétiné par les malfaisants et les indignes ? En maçonnerie quiconque aurait ses attributs en deviendrait une idole réclamant un culte à sa personne, il n’en est rien ! Son « royaume » n’est déjà plus de ce monde, mais nous sommes quelques uns qui assumeront la défense de son honneur au mépris de notre égo.

  • 108
    Guy
    27 avril 2011 à 20h42 / Répondre

    Ça ne me fait pas tant rire que ça, « Personne »… Quand on sait que l’auteur s’estime, par les « Rites confédérés », dépositaire du RER, du Rite Ecossais Primitif et j’en passe… il y a de quoi s’effrayer sur la connaissance qu’il peut en avoir. Incontestablement, il a reçu des transmissions essentielles de GK. Pour autant, le commerce qu’il en fait aujourd’hui ne lui ouvre pas les portes d’une sanctification éternelle, et j’ai beaucoup de mal à comprendre votre admiration sans faille. J’ai plutôt le sentiment qu’un dépositaire authentique se contenterait de la plus grande retenue, ferait bénéficier de son influence spirituelle quelques intimes, sans aucune publicité ni étalage de ses titres, ne pourrait se rabaisser à publier un ouvrage polémique, et ne se pavanerait pas sur des sites roumains enguirlandé comme un sapin de noël (sautoir de memphis sur cape CBCS sur tenue martiniste… il ne manquait que la mitre !!! ). Les dépositaires se devinent à leur discrétion.

  • 107
    Personne
    27 avril 2011 à 20h14 / Répondre

    Arrête Monsieur l’apprenti, tu ne dis que des bêtises, dixit Monsieur Max la Ménas !
    « Comment une telle bourde a-t-elle pu passer ? Une erreur d’Apprenti ! « … je le cite

    Pour en revenir au RéR, la méthode qui consiste à sortir une phrase de son contexte pour la critiquer est éculée !
    Castelli parle dans toute son introduction de la naissance de la maçonnerie, en France, citant au passage le REP des Loges militaires qui donnera son « caractère » à la SOT et enfin le RéR…

    Mais le gagnant de ce Blog est Kaktee qui vient d’éditer le 100ème post !!!
    Il a droit à la question piège ; « Qu’est ce que la Rectification ? »

  • 106
    Kaktee
    27 avril 2011 à 19h35 / Répondre

    Personne a écrit :

    PS: pour Hou, Gilles c’est le 33.66909597 ème qui a acheté le livre ! Elle est bien bonne !

    Non, ça j’ai pensé que c’était son numéro de téléphone. j’ai bien essayé de l’appeler, mais il n’y avait personne, même pas de répondeur !
    K

  • 105
    apprenti
    27 avril 2011 à 19h23 / Répondre

    Finalement, je suis en train de me dire, que monsieur Castelli a peut-être bien fait d’écrire ce livre.
    Les gens pourront finalement juger sur pièce. Se faire une idée sur du concret.

    Tel est pris…

  • 104
    Personne
    27 avril 2011 à 19h07 / Répondre

    Oh Gay merci pour le fou rire ! t’es génial ! Enfin un comique ! On parle du rite égyptien et tu viens nous faire rire avec le RéR c’est super …Du coup Max la Ménas nous met le doute sur les compétences de Yonnel ! C’est fort de café !
    Cherche encore, on veut rire encore : allez devinette, la frangine de Willermoz; elle avait quel grade ?

    PS: pour Hou, Gilles c’est le 33.66909597 ème qui a acheté le livre ! Elle est bien bonne !

  • 103
    Ménas
    27 avril 2011 à 18h09 / Répondre

    Je viens de lire avec stupéfaction le post de Guy, (enfin un qui a lréellement lu ce livre, concernant le rite Ecossais rectifié. Comment une telle bourde a-t-elle pu passer ? Une erreur d’Apprenti !

    Comment cela a pu être écrit alors que la conclusion de ce Livre Jaune est réalisée par Yonnel Ghernaouti, qui est « l’Ancien VM de la Loge Nationale d’Instruction « Jean de Turckheim » (RER) de la G.L.N.F. ! Vous avez bien lu, la « Loge Nationale d’Instruction » de la GLNF, celle qui donne le la, le ton, à tout le RER au sein de la GLNF….

    Je me pose deux questions, a soir si Yonnel Ghernaouti a lu le livre avant de faire la conclusion :

    1 – si oui, cela me laisse perplexe sur sa connaissance du rite Ecossais Rectifié, comment a-t-il pu être VM d’une Loge Nationale d’Instruction ? On peut se poser des questions alors sur l’état de la connaissance de ce rite, fondateur en 1913, de la GLNF !

    2 – si le livre n’a pas été lu et qu’une conclusion a été faite « comme ça », dans l’ignorance du contenu du Livre Jaune n°1, alors tout cela est d’une grande tristesse et d’une réelle pauvreté intellectuelle.

    Il aurait peut être fallu appeler ce Livre Jaune : le Livre de la Vacuité !

  • 102
    Hou
    27 avril 2011 à 18h08 / Répondre

    Une simple question.

    Qui est Gilles PELLEGRINI 33.66.90.95.97ème, signataire de la 3ème préface ?

  • 101
    Jiri Pragman
    27 avril 2011 à 17h39 / Répondre

    @Guy

    Tiens, j’avais toujours cru (!) que le RER « dérivait » de la SOT. Aurais-je de mauvaises lectures ? Ou ma mémoire me joue-t-elle des tours ?

  • 100
    Guy
    27 avril 2011 à 16h56 / Répondre

    Bonjour à tous,
    Je voudrais simplement partager avec vous un vrai fou-rire dont je me remets à peine, après avoir lu, page 15 du Livre Jaune du Sublimissime Grand Guide la Maçonnerie Pharaonique et Intergalactique :
    « Le Rite Ecossais Rectifié, fondé à Lyon en 1778 par un Convent organisé par J-B. Willermoz, ne fut que la rectification mêlée de Martinézisme du Rite Ecossais Primitif (Early Grand Scottish) pratiqué par ces anciennes loges militaires dès 1688 à Saint-Germain-en-Laye. »
    Génial, non ???

  • 99
    Personne
    27 avril 2011 à 15h28 / Répondre

    Ben voila ce qu’on appelle ne pas avoir la reconnaissance du ventre ( je précise : pas du bas-ventre) !

    Désolé, mais je dois te contredire, ne peuvent être considéré comme vrais que les documents ne comportant aucunes ratures ou modifications surtout manuscrites qui ne sont pas relevées en fin de textes et certifiées par un paraphe ou une signature en bout de ligne et en fin de chaque page s’il y en a plusieurs, donc tout ce qui est rayé modifié etc peut être considéré comme nul et non avenu !

    Le document signé par Castelli et Kloppel est seul authentique !

    Concernant les écrits ou document interne ou pas ayant caractère officiel puisque lié au profane par la loi 1901 entre dans le domaine public puisqu’il peut s’agir de preuves juridiques !

    La volonté et l’ivresse d’une émancipation d’une femme d’un GH peut parfois lui faire perdre raison…

  • 98
    Daniele Fortin
    27 avril 2011 à 13h39 / Répondre

    Bonjour à toutes et tous

    je suis désolée d’être obligée d’intervenir. Monsieur malifer, vous êtes peut-être de bonne foi, mais j’atteste par le présente que le document présenté par GH est le bon document.
    J’ai le même compte tenu de ma fonction de l’époque, et j’atteste que les noms des membres sont les vrais et le « couplet sur l’association aussi.
    je rajoute que sur clic, le document a été créé le 15/05/2008 à 13h47.39 puis modifié le 15/05/2008 à 13h49
    Application Konoka minolta Twain vers2.
    réfé SSIDRU n° 080515.
    S’il y avait eu un SSI 085150001, il me semble quand même que j’aurais été au courant.
    je rajoute que JC était le seul signataire et que le paraphe de GK n’y figurait pas…. D’ailleurs on ne voit pas pourquoi il y aurait figuré
    Je ne sors pas de ma réserve pour aider GH car nous avons différents éléments qui nous opposent, mais uniquement pour rectifier ce que JC voudrait nous faire croire.

    Par ailleurs, la lettre figurant sur le pavé jaune que j’ai faite à l’encontre de Willy Raemackers, document purement interne dont JC se gargarise ne devrait pas figurer sur le livre, pas plus que des documents internes de différentes obédiences. Ce sont des atteintes à la vie privée.
    Lorsque j’ai quitté le groupe Castelli, j’ai d’ailleurs pris contact avec Willy Raemackers pour lui présenter mes excuses qu’il a, avec mansuétude, acceptées. Effectivement je regrette infiniement de m’être laissée bernée, à la fois par GK comme par JC.
    Je ne souhaite plus travailler sous l’égide d’un GH ( est ce que vraiment cela se justifie ?), mais si l’on parle de lignée, je suis désolée pour certains mais pour moi, c’est WR qui a la transmission d’Ambelain.

    D’ailleurs, côté lettre afin que l’on soit bien d’accord sur ce que je pense de JC voici la lettre que je lui avais envoyée il y a tout juste un an.
    Danièle Fortin

    le 22 avril 2010
    Au Fr.°. Joseph Castelli

    Le Passage à l’Or.°. Et.°.. du Frère XXXXX Maçon, Evêque, Martiniste et détenteur de bien d’autres Initiations, homme de cœur et d’espérance, m’a effectivement affectée.
    XXXX était aussi pour moi un ami de plus de 20 ans, je l’ai connu bien avant qu’il ne rentre en Maçonnerie. J’ai été avisée de son décès par sa famille dont je suis très proche.
    Ce décès a été aussi pour moi un détonateur, suite à ton e.mail de me remémorer ces deux jours des 28 et 29 juin 2008 et de ton comportement, envers toute l’assistance d’abord et envers XXXXX qui étaient venus avec toute leur gentillesse et leur matériel, gracieusement, dans un but d’aide.
    Cela faisait aussi suite aussi hier à des ragots remontant du Sud de la France et descendant du Nord, et qui n’allaient pas dans le sens de la discrétion où ta pseudo position devrait te cantonner.
    Le Silence, tu connais ? Le Signe Guttural, tu connais ? Les principes de base de la Franc-Maçonnerie en permanence bafoués pour nourrir un ego plus que boursouflé. J’en ai assez de temporiser et d’essayer de modérer tes impulsions à l’emporte pièce.
    J’ai démissionné de la GLEDF par LRAR en 2008 et il sera inutile de faire un Bref de radiation rétroactif lorsque tu auras fini de lire cette lettre.
    Tu as la mémoire aussi courte que la vue, et malgré tes efforts ( ???) tu ne me feras jamais prendre des vessies pour des lanternes.
    J’ai donc pris la décision suivante :
    Si je n’ai jamais rien reçu de toi car , j’avais déjà tous les Degrés, je n’étais rentrée à la GLEDF qu’uniquement pour les AA de GK, je vais mettre les points sur les I et les barres sur les T
    Je ne veux rien recevoir de toi.
    Je ne veux aucune initiation, aucune onction, aucune transmission quelles que soient les filiations initiatiques dont tu te prévaux.
    Il y a un adage simple : on ne peut retransmettre que ce que l’on est capable de recevoir, et il faut aussi la volonté de celui qui donne et la volonté de celui qui reçoit, et moi je ne veux rien, du moins pas par toi.
    Je suis indépendante, je ne fais pas partie de tes valets, nous n’avons ni les mêmes valeurs, ni les mêmes conceptions de l’Initiatique.
    Je n’approuve ni les bidouillages des Rituels, ni les oublis volontaires de la vérité.
    Je veux aussi rompre toutes relations tant téléphoniques que scripturales, ni relations commerciales.
    Tu ne comprends pas ? Ce n’est pas grave.. je te laisse à tes réflexions.
    Pour être certaine que mes propos ne seront pas déformés, j’envoie un double de cette lettre en e.mails cachés, ce jour, à différents correspondants.
    Il est vraiment dommage que tu n’aies rien compris, mais bon, c’est ton affaire et je n’ai plus
    de temps à perdre avec tout ça !

    Alors, si JC ne connaît que peu les rites égyptiens et leur histoire ainsi que les ordres satellittes, Il y a un domaine où il est formidabelemnt doué, c’est l’informatique !

    DFP

  • 97
    Serge Malifer
    27 avril 2011 à 12h31 / Répondre

    Flûte et Zut, j’ai oublié le principal !
    Ce document est co-signé par Gérard Kloppel et J.C
    Celui présenté est différent, on a superposé une sorte de bandeau qui ne reprend que la signature de J.C. Pas de chance : l’intitulé est différent, un petit manque d’attention je pense, ou de précipitation.

  • 96
    Serge Malifer
    27 avril 2011 à 12h08 / Répondre

    Me voici obligé de revenir sur ce blog-forum, tant l’affaire que vous soulevez est grotesque :
    Je lis, de Hou : Je viens de trouver des éléments d’information complémentaires, relativement au livre Jaune.
    http://www.gledf.fr/infos.html
    qt[
    Monsieur HOU, cherchez ailleurs ! Il se trouve que je détiens le scan du pdf de l’original, Décret Magistral N° 080515001 (et non 080515). Vous devinez la suite sans que je vous pousse, je suppose ? Le document sur lequel vous vous référez pour vous forger une opinion (que vous répercutez sur le net en invitant à le consulter) est un montage grossier (bien visible d’ailleurs si vous faites un aggrandissement) et sur lequel est rajouté le couplet sur le statut « association »‘ de l’Orumm, ainsi qu’une liste de membres du S.S. différente de l’original.
    Je prends bien garde à ne pas le qualifier de faux, je proclame foi qu’il s’agit d’un document très différent élaboré à partir d’éléments contenus… dans l’original;
    Vous remarquerez que j’ai utilisé le vocable « monsieur » (ce n’est pas péjoratif) et que je n’ai pas utilisé les abréviations maçonniques, car nous sommes sur internet, qui n’est pas un espace maçonnique que je sache. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle il est inutile de me demander de publier la reproduction de l’original de ce document. Son possesseur est seul maître dans ce domaine.
    Je me limite juste à vous donner cette précision : ce pdf est daté du 16.05.2008, 11:19:02
    Surtout Monsieur HOU, ne perdez pas votre précieux temps à me répondre : vous m’avez obligé à sortir du silence que je m’étais promis d’observer, j’y retourne sans tarder !

  • 95
    lanterne
    27 avril 2011 à 10h09 / Répondre

    bonjour,

    en complément de lecture :

    Rose-croix et néo-chevalerie Gérard Galtier
    Les Rites Maçonniques de Misraïm et de Memphis Gastone Ventura
    ainsi que les autres ouvrages de caillet sur le sujet

  • 94
    apprenti
    27 avril 2011 à 9h44 / Répondre

    Voilà, voilà.
    Tout ça vire au n’importe quoi.

    Bon et bien à toutes celles et tous ceux qui voudraient entreprendre une étude sérieuse sur les dates et les événements qui ont marqués l’histoire des rites égyptiens. Et sans vouloir encenser ni minimiser aucun ouvrage au détriment d’un autre, je voulais juste vous rappeler quelques livres. Quelques livres que le cherchant sincère mettra en corrélation les uns avec les autres, y compris le livre jaune pourquoi pas.

    Puisque la mise en perspective semble être la seule manière d’appréhender les choses. Donc pour tout ceux qui ne connaissent pas ou qui n’entendent rien à la maçonnerie égyptienne :

    • « Les notes historiques sur le rite ancien et primitif de Memphis-Misraïm » de Jean Bricaud

    • « La franc-maçonnerie égyptienne de Memphis-Misraïm » de Serge Caillet

    et dans une approche un peu plus contemporaine, ou qui concerne un peu plus les dernières années,

    • « Les héritiers de la Franc-Maçonnerie égyptienne de Memphis-Misraïm » de Joseph Tsang Mang Kin

    C’est un échantillon très restreint. Ceux la ont la particularité d’être plus portés sur les dates et la chronologie. Et évidement beaucoup d’autres livres existent.

    J’espère simplement que les échanges auxquels vous avez assisté ne forgeront pas chez vous une opinion trop tranchée et définitive sur nos magnifiques rites égyptiens. Ils ne représentent pas du tout « l’esprit » de nos rites. Et ne reflètent absolument pas le sérieux, le calme et la sérénité que vous trouverez dans nos temples. Nous n’avons pas rendu hommage à nos traditions et n’avons pas été à la hauteur de leurs enseignements dans ces querelles de chapelles. Je m’en rend compte et je m’en excuse. Nous devrions être dépassionnés.

    Remarquez si nous cherchions à ne pas être prosélytes, ou à décourager les futurs impétrants de venir rejoindre la maçonnerie égyptienne, là je crois qu’on a fait le grand ménage.

  • 93
    Maranatha
    27 avril 2011 à 9h16 / Répondre

    @Hou
    Merci Edmond, c »est en effet pitoyable, que tu puisses même en faire état…

  • 92
    Hou
    26 avril 2011 à 21h42 / Répondre

    Dans cette diatribe, complétement opposée à l’iconoclasme.
    Maranatha signifie : « Notre Seigneur, viens! »
    Pour sourire un peu, je vous propose de faire la plus grande attention.
    En effet, ce serait impitoyable de confondre J.C. et J.C.
    Horreur, malheur, à ceux qui choisissent le mauvais.

  • 91
    Grand Orient National d'Egypte
    26 avril 2011 à 21h33 / Répondre

    le Grand Orient National d’Egypte a repris officiellement ses activités depuis le départ de Hosni Moubarak et il déplore les assertions fantaisistes
    d’une fausse Franc Maconnerie Arabe sans fondements et simple et nouvelle association francaise comme il rappelle que R. Ambelain a jeté dehors Kloppel et consorts branches hybrides de Memphis et de Misraim.
    Il déplore également la mystification d’une auto nommée grande loge mondiale de Misraim. Ainsi la lucidité des Macons et celle des Profanes est mise à profits. Dr. Karl von Wisserens cerumo@orange.fr

  • 90
    Hou
    26 avril 2011 à 20h07 / Répondre

    Dans la mythologie égyptienne, Hou est le verbe créateur. Dans cette cosmogonie memphite, il est associé au démiurge Ptah.
    Dans la mythologie égyptienne, Ptah (Celui qui ouvre) est le démiurge de Memphis, dieu des artisans et des architectes. Dans la triade de Memphis, il est l’époux de Sekhmet et le père de Néfertoum.
    Nous sommes dans un contexte Égyptien, alors, merci Wikipédia.
    Un proverbe disait, regarde plus loin que le bout de ton nez, c’est ce que j’essaie de faire tous les jours.
    Bonne soirée.

  • 89
    Maranatha
    26 avril 2011 à 20h06 / Répondre

    Dont acte :

    Tout document qui serait utilisé en qualité de preuve et qui n’est pas original doit être considéré comme susceptible d’être falsifié, il est donc inutile d’en faire état sur ce blog comme ailleurs…

  • 88
    Jiri Pragman
    26 avril 2011 à 19h50 / Répondre

    Il existe des règles élémentaires non seulement en Franc-Maçonnerie mais aussi en ce qui concerne l’e-écriture. Ecrire en majuscules, c’est hurler! Et c’est extrêmement grossier. Les commentaires en majuscules ne seront plus validés.

  • 87
    Maranatha
    26 avril 2011 à 19h35 / Répondre

    HOU : le cri d’un fantôme, Il effrayait les enfants en criant « hou hou » d’aprés la définition du Wiktionnaire…
    Encore un qui veut nous faire prendre …une vessie pour une lanterne !
    TOUT CE QUI N’EST PAS DOCUMENT ORIGINAL EST FALSIFIE !!!

  • 86
    Hou
    26 avril 2011 à 19h17 / Répondre

    Je viens de trouver des éléments d’information complémentaires, relativement au livre Jaune.
    http://www.gledf.fr/infos.html

  • 85
    Jiri Pragman
    26 avril 2011 à 12h22 / Répondre

    @Serge Malifer – commentaire 78

    Je modère, c’est mon travail et je n’ai pas l’habitude de suspendre des commentaires sous prétexte que cela me prend du temps ou que cela n’en vaut pas la peine.

    Aurais-je dû passer sous silence la sortie de ce livre jaune sous prétexte que cela n’intéressera pas grand monde (les Maçons de Memphis-Misraïm ne représentant pas 1% des Maçons en Belgique; qu’en est-il en France?)? Devrais-je allors ne pas dépasser un quoto de maximum 1% des articles pour ce qui concerne Memphis-Misraïm? Aurais-je du le présenter avec complaisance alors que je sais qu’il y a un « problème »?

    L’habile rappel des scores passés consiste aussi à fournir les rétroactes d’une information.

    Il n’est pas question de « modestie » mais de réalisme. Une recherche en français sur un terme maçonnique, quel qu’il soit, mène généralement au Blog Maçonnique. Si l’on ne connaît pas le Blog Maçonnique, c’est qu’on ne pratique pas ce type de recherche (mais je connais effectivement des Maçons qui ne font jamais de recherches sur le web et s’en portent très bien).

    Ce n’est pas de l’angélisme que de considérer que la plupart des visiteurs, Maçons ou non, sont passés à autre chose. C’est la réalité; ces discussions n’intéressent qu’un pourcentage extrêmement minime de Maçons.

  • 84
    Serge Malifer
    26 avril 2011 à 12h08 / Répondre

    @ Jiri : Tu dois être allergique à une mouche du Nil qui t’a piqué (mais pas celle du Koch) !
    Je ne peux que répéter que ce site est un blog et non un forum.: Nous sommes tous d’accords avec toi, mais ce n’est pas ce qui se produit dans la réalité. Il y a un monde parfois entre ce que l’on croit faire honnêtement et la manière dont cette même chose est perçue ! A preuve les 75 posts…Ne t’en prends pas à ceux qui viennent de visiter 1700 à 3000 fois par jour ! On ne confond pas articles et commentaires, c’est précisément dans la présentation manichéenneqt[ du Livre jaune que tu as provoqué – pour la 3° fois – cette avalanche. Je cite : Pavé jaune dans la marre, microcosme, habile rappel des scores passés, etc N’ajoutes pas non plus de l’angélisme en dénonçant que la majorité de tes lecteurs est passée à autre chose ! Curieux alors de consacrer autant de temps et d’énergie à modérer… Mieux vaut fermer l’accès aux commentaires – quoique tu penses de cette solution – que d’encourager passivement le vice au détriment de la vertu. D’autres blogs plus ou moins célèbres que le tien ne s’y sont pas attaché et sois… un peu plus modeste : Il y a surement des millions de frères et de profanes qui vont sur la toile et ignore ton blog. Ceci dit, (sauf quand tu te complais à remettre 5 € dans ce bastringue sur M.M.) je ne méconnais pas ton travail, je le reconnais et le trouve même excellent dans son ensemble.
    Avec ta bénédiction donc, je vais passer à autre chose et m’abstenir à l’avenir de tout nouveau commentaire sur le sujet. Que les lanternes obscures et autres apprentis-pyromanes ne viennent pas dire : c’est facile de se dérober ! Moi, je n’ai allumé aucun feu, je suis donc libre de circuler plus loin.

  • 83
    Mercure
    26 avril 2011 à 11h19 / Répondre
    La majorité des visiteurs du Blog Maçonnique sont sans doute passés à autre chose.

    Et ils ont bien raison…

  • 82
    Jiri Pragman
    26 avril 2011 à 10h46 / Répondre

    @Serge Malifer – commentaire 75

    • Je ne peux que répéter que ce site est un blog et non un forum.
    • Le Blog Maçonnique a reçu ce dernier mois entre 1.700 et un peu plus de 3.000 visites par jour mais, effectivement, des personnes peuvent ne pas le connaître (cela signifie simplement qu’elles n’effectuent jamais de recherche sur le web autour de la Franc-Maçonnerie).
    • Evoquer la façon manichéenne dont ce blog est géré à la lecture des commentaires d’un seul article, c’est d’une part méconnaître le travail fait à propos de ce blog et confondre les commentaires et les articles. Laisons cela sur le compte d’une méconnaissance du web.
    • Si l’on veut lire de simple copié-collé ou la seule version d’une partie présentée comme la vérité, il y a d’autres blogs pour cela.
    • Chaque partie dénonce l’autre qui ne serait composée que de quelques personnes utilisant de divers pseudos. En réalité, ceci n’intéresse qu’un nombre extrêmement réduit de personnes. La majorité des visiteurs du Blog Maçonnique sont sans doute passés à autre chose.
  • 81
    Maranatha
    26 avril 2011 à 10h32 / Répondre

    EN VOILA ASSEZ !
    Le Livre Jaune va être enfin distribué et chacun pourra LE LIRE et s’y conformer !
    TOUT ce qui a été écrit jusqu’à présent est nul et non avenu
    Les ORIGINAUX des documents sont en main du SEUL Castelli, le reste ne peut être que COPIES soumises à falsification
    Castelli ayant eu la TRANSMISSION de AMBELAIN via KLOPPEL est leur seul légataire.
    IL REPRESENTE DONC ET AD VITAM LE RITE, IL EN POSSEDE LA CHARGE ET LES PREROGATIVES
    Désormais et ceci est un avertissement solennel : tout commentaire sur CES VERITES seront autant d’atteintes graves à LA MEMOIRE DE NOS MAÎTRES PASSES et seront retenues par leur Juge Suprême !
    Je dis QU’IL EN SOIT AINSI !!!

  • 80
    Serge Malifer
    26 avril 2011 à 10h19 / Répondre

    Je viens d’avoir Xavier Cuvelier-Roy au téléphone. Je l’avais appelé hier pour lui signaler qu’il était cité dans un post (le N° 60). Il s’en est trouvé étonné, ne connaissant pas ce forum (sic révélateur). Voici – avec son autorisation – un résumé aussi fidèle que possible de ses réflexions.
    Il est effaré d’un tel déchainement sur la simple annonce de parution à venir d’un livre (donc par définition pas encore lu) et se désole des débordements constatés : J’ai pris connaissance des 64 commentaires en une seule lecture, c’est instructif sur la façon manichéenne dont ce blog est géré, de l’évidente stratégie d’une groupe de deux ou trois personnes qui au gré des pseudos entrainent à petits pas leurs interlocuteurs là où ils doivent se garder d’aller. Mieux vaut rester sur la voie du milieu que de s’égarer sur les plates-bandes, on risque de tomber dans le fossé !
    Ce témoignage est fort intéressant à mon goût, car il confirme ce que nous dénonçons en vain : manipulations et désinformations de la part d’une poignée de gens haineux, attardés, rancuniers d’avoir été écartés ou exclus.
    Xavier Cuvelier-Roy poursuit (enregistrement) : Je dois d’abord remercier Monsieur Menas pour l’agréable compliment à mon adresse, puis le rassurer. Oui, bien entendu, j’ai lu ce livre (qui comprend plus de 200 pages) en avant première. N’étant pas historien mais connaissant son auteur depuis plus de 20 ans, je lui fais donc confiance. Je l’ai co-préfacé en témoignage d’une fidélité ininterrompue en dépit des heurts et malheurs du rite, et en gage d’amitié personnelle. Qui pourrait me le reprocher ? Certainement pas la majorité de ses détracteurs qui manifestement ont la mémoire singulièrement ébréchée. D’autres sont probablement sincères, mais fourvoyés. N’entendant pas entrer dans ce débat, je te remercie Serge, d’avoir attiré mon attention et accepté de faire connaître ma mise au point.
    (…)

    qt[

  • 79
    Mercure
    26 avril 2011 à 10h15 / Répondre

    Et moi qui pensais que les rites égyptiens allaient pouvoir travailler tranquille….

    Je n’ai pas lu ce petit LIVRE JAUNE mais j’en subodore le contenu eu égard aux précédentes publications.

    Jusque quand cela va t’il durer ? Nous pouvons nous étriper durant de longues années à discuter des prétentions des uns et des autres au titre suprême (et néanmoins fantasmagorique) de Grand Hiérophante.

    J’invite tous ceux que cela intéresse à découvrir l’histoire des rites de Memphis-Misraïm, de Papus à nos jours, les prétendues filiations ne manque pas. Je remarque que personne ne se préoccupe réellement du contenu de ces mêmes rites et de leur efficacité.

    La seule chose valable dans un rite maçonnique est sa capacité à aider le profane qui entre à se changer lui même par son travail personnel (notion un peu oubliée lorsque l’on passe un profane au troisième degré en quelques mois…)

    Un grand secret c’est que : un grand Maître, s’il est nécessaire pour assurer une cohérence administrative, ne sert à rien dans le domaine initiatique, qui est une affaire personnel qui se joue entre l’individu et le rite.

    A ceci, se limitera mon intervention sur le sujet, je prie les pro et anti JC de me laisser en dehors du débat.

    Ayant été, un temps, »animateur de débat » sur le même sujet, je pourrai écrire un petit livre noir de la FM égyptienne et renvoyer tout le monde à la case départ…

    Bonne journée à tous

  • 78
    Kaktee
    26 avril 2011 à 10h10 / Répondre

    Réponse à Maranatha, réponse au trépigneur

    Allelluia! le nouveau St PAUL

    Première Epitre de Paul aux Corinthiens :
    « Si quelqu’un n’aime pas le Seigneur, qu’il soit maudit ! Maranatha !
    Et c’est qui le seigneur ? en minuscule bien sur ….

    Mais ce n’est pas la peine de distribuer le livre vu qu »aux dires de certains, il n’y a que la page 212 qui compte. Il suffit de faire un tract.
    Comme beaucoup ici, j’ai aussi lu en PDF cette ébauche (farce ou pas, je ne sais), mais si ce livre parait ainsi, il risque d’y avoir de « l’atteinte à la vie privée ».
    Qu’on se le dise aussi !

  • 77
    lanterne
    26 avril 2011 à 10h07 / Répondre

    j’adore le post 70 de ramanatha ! j’en fait le copié collé car ça vaut vraiment son pesant de cacahuettes :

    Maranatha:

    EN VOILA ASSEZ !
    Le Livre Jaune va être enfin distribué et chacun pourra LE LIRE et s’y conformer !
    TOUT ce qui a été écrit jusqu’à présent est nul et non avenu
    Les ORIGINAUX des documents sont en main du SEUL Castelli, le reste ne peut être que COPIES soumises à falsification
    Castelli ayant eu la TRANSMISSION de AMBELAIN via KLOPPEL est leur seul légataire.
    IL REPRESENTE DONC ET AD VITAM LE RITE, IL EN POSSEDE LA CHARGE ET LES PREROGATIVES
    Désormais et ceci est un avertissement solennel : tout commentaire sur CES VERITES seront autant d’atteintes graves à LA MEMOIRE DE NOS MAÎTRES PASSES et seront retenues par leur Juge Suprême !
    Je dis QU’IL EN SOIT AINSI !!!

    excellent !!! et le gars y dit ça sans rire en plus !!

  • 76
    apprenti
    26 avril 2011 à 9h42 / Répondre

    @ la vérité (réponse au post 68)

    Supprimer la GH c’est un bon début, mais hélas ça ne suffit pas. Le problème va plus loin que la simple Grande Hierophanie. C’est l’idée même d’une Grande maîtrise mondiale et d’un souverain sanctuaire international qui pose également problème.

    Il n’existait pas de SSI avant Ambelain. Et cela a toujours été rejeté par les lignées Belges et surtout Italiennes. Qui ont toujours eu du mal (et on peut le comprendre) à voir le rite être accaparé par les français. Ils y voient « un instrument de domination néo-coloniale créé et inventé par le souverain sanctuaire de France afin de coloniser les autres souverains sanctuaires Nationaux. »

    Donc la question d’une grande maîtrise mondiale n’est pas réglée puisque non acceptée (elle est juste pour l’instant un délire franco-français). Le problème va beaucoup plus loin que ce cher monsieur Castelli. Et quand bien même, avant de pouvoir prétendre à la Grande Maîtrise Mondiale, il faudrait déjà être Grand Maître National. Et ça aussi c’est loin d’être gagné, puisque comme vous l’aurez tous compris plusieurs lignes, plusieurs écoles s’affrontent. Toutes ont des arguments et toutes ont des vérités à faire valoir.

    Donc vous comprendrez que lorsqu’on voit surgir un manifeste invalidant tous les hauts grades au nom d’un prétendu pouvoir. Pouvoir qui se justifie lui-même par un livre. Livre qui s’appuie sur sa propre cohérence pour auto-justifier le pouvoir de son auteur… on puisse écarquiller les yeux et que tout cela nous laisse pour le moins perplexe.

    Donc voilà la situation, aujourd’hui il y a plusieurs souverains sanctuaires nationaux. Dirigés par des Grands Conservateurs du rite. Ils sont tous valides et valables. Tous avec des sensibilités et des approches différentes. Voilà où nous en sommes. Et alors ?

    Je ne sais pas où se trouve la solution (si il y a lieu d’en trouver une d’ailleurs), mais je sais où elle n’est pas. Elle n’est pas d’en le fait de radier à tour de bras tous les gens qui dérangent votre ascension. On rassemble ce qui est épars en assemblant les pierres au vue d’une édification, pas en les fracassant.

  • 75
    Maranatha
    26 avril 2011 à 9h28 / Répondre

    EN VOILA ASSEZ !
    Le Livre Jaune va être enfin distribué et chacun pourra LE LIRE et s’y conformer !
    TOUT ce qui a été écrit jusqu’à présent est nul et non avenu
    Les ORIGINAUX des documents sont en main du SEUL Castelli, le reste ne peut être que COPIES soumises à falsification
    Castelli ayant eu la TRANSMISSION de AMBELAIN via KLOPPEL est leur seul légataire.
    IL REPRESENTE DONC ET AD VITAM LE RITE, IL EN POSSEDE LA CHARGE ET LES PREROGATIVES
    Désormais et ceci est un avertissement solennel : tout commentaire sur CES VERITES seront autant d’atteintes graves à LA MEMOIRE DE NOS MAÎTRES PASSES et seront retenues par leur Juge Suprême !
    Je dis QU’IL EN SOIT AINSI !!!

  • 74
    la vérité
    26 avril 2011 à 8h40 / Répondre

    Pour repondre a lanterne sur certains faux documents.

    Les FAUX documents de la GLDF sont surement l’œuvre du faussaire HAREL, pour arranger ses affaires.

  • 73
    la vérité
    26 avril 2011 à 8h31 / Répondre

    Pour repondre a lanterne sur certains faux documents.

    Les FAUX documents de la GLDF sont surement l’œuvre du (modéré) HAREL, pour arranger ses affaires.

  • 72
    la vérité
    26 avril 2011 à 8h22 / Répondre

    UN EXTRAIT DU LIVRE JAUNE page 72

    ABOLITION DE LA GRANDE HIÉROPHANIE

    La Grande Hiérophanie, est une expression « PLÉONASTIQUE » puisque le Grand Hiérophante est le Grand Maître Mondial.

    Si le Grand Hiérophante abandonne sa Grande Hiérophanie à une tierce personne, le nouveau Grand Hiérophante, n’aura aucun pouvoir initiatique, ni aucune autorité pour octroyer, des patentes des Rites de « Misraïm », « Memphis », « Memphis & Misraïm » et du « Rite Ancien et Primitif de Memphis-Misraïm », s’il ne devient pas lui-même, Grand Maître Mondial et Président du Suprême Conseil des Rites Confédérés.

    Le nouveau Grand Hiérophante, s’il ne devient pas Grand Maître Mondial et Président du Suprême Conseil des Rites Confédérés, aura droit aux honneurs, qui lui sont dus. S’il entre en conflit avec le Grand Maître Mondial et Président du Suprême Conseil des Rites Confédérés, le Grand Maître Mondial pourra destituer le nouveau Grand Hiérophante, et abolir la Grande Hiérophanie.

    Le Grand Maître Mondial et Président du Suprême Conseil des Rites Confédérés actuel, en accord avec les membres composant le Souverain Sanctuaire International des Rites Unis, ont décidé à l’unanimité par décret d’abolir la qualité et le titre distinctif « Grand Hiérophante » ainsi que la « Grande Hiérophanie ».

  • 71
    Cavalier Seul
    26 avril 2011 à 8h02 / Répondre

    @ In Rosis : le pouvoir vient du système ad vitam du GM.
    La structure ad vitam était courante au XVIII° siècle (stricte observance templière, etc) mais c’est aggravé par le problème de la Grande Hiérophanie. Un peu long à expliquer, mais disons pour faire bref qu’il devait y avoir UN SEUL Hiérophante pour TOUTES les obédiences ou Loges indépendantes pratiquant les rites égyptiens quels qu’ils soient. On est loin du compte……………………. Personnellement j’en connais trois, vivants, qui cohabitent sur cette planète mais s’excommunient avec vigueur, on croirait les antipapes du Moyen-Age. Sur le plan de l’eggrégore de l’Ordre cela trouble le travail sérieux. Sur le plan de l’extériorisation ils passent pour des rigolos. En plus le Hiérophante n’a aucun pouvoir sur les Loges, en théorie. Mais en pratique, le Grand-maître élu temporairement n’est qu’une marionnette, et le Grand-Maître ad vitam ronge le bois du pied du trône du Hiérophante………
    A travers cela, le rite se maintient, et c’est un beau miracle……….

  • 70
    lanterne
    26 avril 2011 à 7h40 / Répondre

    on a prouvé mainte fois le contraire, et en guise de démonstration nous n’avons eu que menaces et insultes, en fait ce qui dérange ce sont les questions posées à castelli auxquelles il ne sait pas répondre.

    commencez par répondre à cette question :

    pourquoi aux même dates n’y a t’il pas les même documents ?

    PS:(vous ne trouvez pas qu’il y a beaucoup de pseudos qui se ressemblent ?)

  • 69
    In Rosis
    26 avril 2011 à 3h37 / Répondre

    Bonjour aux survivants.
    Je débarque dans la bataille et je vois, une fois de plus, que ce magnifique rite égyptien, si ancien et si riche, rend fou tous ceux qui en dirigent une partie. Le livre de Castelli aura, au moins, le mérite de mettre au clair ce qui se dit dans les couloirs. Mais il n’est même pas en librairie, ni posté par les Editions, que déjà on s’égorge à son sujet.
    Une telle rage à le démolir avant lecture, ou plus exactement avant que LES AUTRES n’aient pu le lire, une telle attaque ad hominem qui vous a un parfum de règlement de compte ancien, me porte à penser que Castelli dérange, et s’il dérange c’est qu’il n’a pas tort.
    Déjà de son vivant Robert Ambelain n’a pas eu de répit, en cela la filiation avec Castelli est évidente : il est plus facile d’insulter qu’argumenter, et peut-être c’est… parce qu’il n’y a pas d’argument en face sauf l’insulte.
    Les filiations égyptiennes partent de Cagliostro et de Garibaldi. Ces fondateurs oubliés (voir livres de Denis Labouré, de Patrick Négrier, entre autres) seraient ahuris de voir ces guerres fratricides causées uniquement par la soif de pouvoir. Car « lavérité » parle de Harel, mais j’ai bien d’autres noms de Frères ravagés par cette passion funeste qui, peut-être, sont dans le livre (mais je ne l’ai pas lu).
    Pour ma part, j’ai l’attitude de Descartes: « croire une chose vraie tant qu’on ne m’a pas prouvé qu’elle est fausse. »
    Depuis des années je crois, sur preuves et sur vécu, que Castelli a raison.
    Prouvez-moi le contraire.
    J’attends.

  • 68
    la vérité
    25 avril 2011 à 22h07 / Répondre

    Il est normal que ce livre jaune ne vous plaise pas car il ne vous arrange pas, tous les documents sont des originaux.
    Pour les faux allez voir ceux qui ne peuvent pas faire autrement.

    UN EXTRAIT DU LIVRE JAUNE

    Le putschiste Gérard HAREL, Suite à l’exclusion à perpétuité de Gérard HAREL de la GLISRU, celui-ci avait caché la vérité lors de son admission au sein de de la Grande Loge Égyptienne de France fin 2007. Au convent du 25 novembre 2008 il se débrouilla pour se faire élire Grand Maître National, avec le 96ème degré administratif de sa fonction. Le 8 janvier 2009 suite à un complot organisé par Gérard HAREL, avec la complicité d’autres Frères qui furent radiés à vie. (Voir les brefs de radiations originaux, pages 200/201/202). Celui-ci déclare dans son site internet que les radiations le concernant, largement diffusés sur internet ne sont pas valables car les fichiers PDF datent du 24 février 2009 et non pas du 8 janvier 2009 date de la signature . (Seule la date de signature d’un document compte. La création d’un fichier PDF est considérée comme une archive pratique et peut être réalisée à une date ultérieure.)

    Récemment encore laissait apparaître sur le site web de la pseudo Grande Loge Égyptienne de France, en qualité de Grand Maître un Frère condamné par la justice à 6 mois de prison ferme et dix-huit mois avec sursis.

    Depuis Gérard HAREL est redevenu GM en répudiant ce dernier.

    Mais il est vrai qu’il a l’habitude des mauvaises fréquentations. N’a-t-il pas été chercher, au Brésil, un autre repris de justice comme compagnon de route ?

    La justice de la République, en qui chaque citoyen et plus encore, chaque maçon, doit placer toute sa confiance, est passée par là.

    Il en est de même concernant la captation à son seul profit de l’Ordre des Rites Unis de Memphis-Misraïm, l’ORUMM.

    Gérard HAREL, secrétaire autoproclamé, a établi une convocation fantaisiste datée du 10 janvier 2008, pour une assemblée générale ordinaire qui serait tenue le 10 février 2009 à Deville les Rouen, à son domicile.

    Au terme d’une réunion virtuelle où Gérard HAREL était manifestement seul, il est établi un simulacre de compte-rendu d’assemblée générale ordinaire datée du 10 février 2009.

    Muni de ce pseudo procès-verbal d’assemblée générale ordinaire daté du 10 février 2009, Gérard HAREL déposait auprès de la Préfecture de Seine-Maritime, une déclaration de changement des statuts de l’association, une liste des personnes nouvellement chargées de son administration. Simple, encore fallait-il avoir l’esprit assez tortueux pour y penser. Et mais surtout pour le faire.

    Depuis le 7 août 2010, l’association ORUMM a fait l’objet d’une fusion avec l’association Confédération Internationale Franc-maçonnique, puis d’une dissolution enregistrée à la Préfecture du Vaucluse le 12 août 2010.

    Pauvre HAREL

  • 67
    Hou
    25 avril 2011 à 21h23 / Répondre

    J’ai relevé sur le site de la GLEDF, lien : http://www.gledf.fr/infos/89.html , Un paragraphe qui me convient bien.

    Plutôt que de parler « De la Vérité sur l’Ordre et le Désordre du Rite de Memphis-Misraïm », il serait préférable d’utiliser le terme : b[Intox sur l’Ordre et le Désordre du Rite de Memphis-Misraïm.]b

    Quelle tristesse ce livre, son auteur pensait peut être se grandir par son biais, mais d’après ce que j’ai pu lire au niveau des posts, c’est ratté.

    Maçons de la Vieille Égypte, pensons plutôt à travailler tous ensemble comme proposé par CLIOME ÉGYPTE http://www.facebook.com/home.php://

  • 66
    lanterne
    25 avril 2011 à 20h56 / Répondre

    menas tu as tout dit !!!

    quand à toi « vérité » dont je devine parfaitement l’identité tu peux toujours te contorsionner derrière ton clavier, tapper du pied par terre pour récupérer ta sucette, on ne te laissera pas dire n’importe quoi sur ce rite, tant qu’il y aura des « vérité » il y aura des « lanternes », enfin quand tu me menaces je me réjouis car les menaces sont l’arme des faibles d’esprit ça veux dire qu’on te dérange avec nos questions et que tu ne sais pas y répondre, j’attends donc avec impatience …

    Cela dit j’attend avec encore plus d’impatience, comme tous les lecteurs de ce blog, de voir tes explications aux documents de la GLEDF !!! comment se fait il qu’ils ont les même que toi mais pas avec le même texte ?

    C’est vrai ça au fait, tu t’en prend à moi qui ne suis qu’une pauvre petite loupiote, alors que ce n’est pas moi qui éclaire les falsifications de JC avec des documents…

    On attend les démonstrations vite vite !!!

  • 65
    Personne
    25 avril 2011 à 20h51 / Répondre

    Bla Bla Bla Bla !!! On va pas encore écrire et perdre son temps ! Droit au but ! Comme l’O.M !
    Ménas dis moi ce que tu lis en fin de page 212 ?
    Si tu ne peux répondre c’est que tu es un menteur, et que tu n’as pas lu le Livre jaune !
    Shame sur toi !

  • 64
    yonnel ghernaouti
    25 avril 2011 à 20h41 / Répondre

    @ lanterne
    Comme il est loin le temps où tu t’adressais à Joseph Castelli en maçon où presque.
    Alors, maintenant, pourquoi le traiter de la sorte. Parce qu’il ne t’a pas donné le hochet que tu lui demandais ?
    En fait pas si loin, lis :

    « lanterne
    Ven 19
    Déc – 2008 -19:44
    bonsoir jo »

    Nouvel extrait :

    « je peux t’assurer que la mort de gérard est « normale », c’est à dire n’est pas du à un acte meurtrier. «
    Autre extrait :
    « revenons à GDS…as tu une stratégie ?
    si je devais avoir raison, et si tu ne sais pas comment t’y prendre le moment venu..recontacte moi
    A bientot JL.M »

    T’en souviens –tu « lanterne, pas magique du tout ?
    Tu vois, nous savons qui se cache derrière ce pseudo.
    Alors, « lanterne » arrête de parasiter ce magnifique blog et laisse les SS & FF travailler les rites égyptiens.
    Tu risques, comme l’écris un précédent intervenant, de finir, après la rhubarbe, a manger que des oranges… C’est bon pour la Santé.
    YG

  • 63
    Ménas
    25 avril 2011 à 20h21 / Répondre

    A lire les derniers posts, je n’en crois pas mes yeux !

    C’est pas vrai ? De quoi ou de qui parle-ton ? C’est cela le Grand Hiérophante et ses sbires, ils n’ont qu’insultes et menaces à la bouche, ils hurlent après tous ceux, qui avec un minimum de raison, tente de discuter. Ils menacent, intimident…. mais ce sont des Ayatollahs de Memphis-Misraïm, enfin de ce que peut représenter JC.

    Nous sommes dans le monde à l’envers. Voici qu’un certain Frère de la GLNF, celui-là même qui donne des leçons au Grand Maître de la GLNF en signant un « appel solennel des Grands Officiers » et qui nous donne aussi des leçons de maçonnerie, tout en étant à la GLNF il est aussi dans la structure maçonnique de Castelli. A-t-il oublié qu’en agissant ainsi il a rompu allègrement tous ses engagements auprès de la GLNF. Et il ose venir donner des leçons aux autres Maçons ?

    J’ai eu en PDF, comme Lanterne, le fameux LIVRE JAUNE n°1. Moi je ne suis pas d’accord avec lui. Je trouve ce livre des plus représentatifs de JC. Il éclaire de façon saisissante notre univers maçonnique. Il ressemble aux livres du Génie des Carpates, la Lumière du Danube l’ancien dictateur Caucescu. Mais peut-être que cette promiscuité littéraire est dûe à ses nombreux contacts roumains ?
    A la lecture de ce livre il n’y a rien dedans qui soit plausible.

    Historiquement c’est bourré d’erreurs, d’approximations, de mélanges et de méconnaissance, tant de la Maçonnerie que de Memphis-Misraïm. Un exemple j’ai été surpris de voir la nouvelle présentation des grades de MM… D’où cela sort-il ?
    Comment a-t-on pu préfacer un tel livre ? Comment ces préfaciers de talents, enfin un préfacier de talent, je parle pour Xavier Cuvelier-Roy, animateurs de blogs internet sérieux a-t-il pu se commettre à cela ? ? ? A-t-il au moins lu ce livre avant de le préfacer ? Autrement ce n’est pas possible.

    Ce livre est un pur chef-d’oeuvre de mégalomanie et de copié-collé.

    Mais je me trompe peut-être, il se peut que le PDF que j’ai eu est un fake, une blague, une erreur, une désinformation… parce que c’est tout sauf un livre.

    On a beaucoup de peine à y comprendre quelque chose, il n’y a pas de chronologie des faits, pas d’explication, pas de dénonciations… Il y a une déclaration de Bour. sur la GLMMM, on se demande ce que cela fait là, une explication sur l’initiation, prise à un vieil auteur..

    Par contre nous y trouvons une profusion de diplômes, de chartes, de réintégration, de radiations… on n’y comprends rien ! Maintenant, suivant ce que Lanterne soulève, il faut voir qui de la GLEDF et de JC fait des faux, je n’ai pas vérifier…

    Peut être qu’il faut être initié à ces rouages pour y saisir quelque chose, peut être que la clé sera dans le second tome. C’est à espérer.

    En attendant cela n’est que la représentation, et une bonne représentation, d’une démarche « incohérente », et là je pèse mes mots.

    Depuis l’apparition de Castelli, de Dutron sur la scène Maçonnique, nous n’avons jamais eu de leur part, autant de débats haineux, malveillants, grossiers, menaçants. C’est une véritable honte, c’est consternant, quelle image !

    Ménas

  • 62
    Hou
    25 avril 2011 à 19h41 / Répondre

    De retour de weekend je viens de prendre le temps d’aller voir le lien indiqué par lanterne.
    http://www.gledf.fr/infos/89.html://
    Cela est vraiment très intéressant.
    Merci

  • 61
    la vérité
    25 avril 2011 à 19h01 / Répondre

    lanterne

    tu est malade de la ciboulette, les vrais documents se trouvent dans le livre jaune.
    bientot tu mangera des oranges, voir le post 52.

  • 60
    lanterne
    25 avril 2011 à 17h53 / Répondre

    tout cela ne répond pas à la question…

    comment se fait il que les documents produits sur le site de la GLEDF et signés par castelli ont changé entre temps ?
    Monsieur Castelli ne devrait il pas également attaquer en justice pour ces faux ?

    qui a fait des faux dans cette histoire ? La Vérité si je mens !!

  • 59
    EDDH
    25 avril 2011 à 17h16 / Répondre

    Et bah 55 commentaires !!! Il y a pas à dire Memphis Misraïm fait « vendre » lol. Et ça s’étripe joyeusement en toute fraternité bien sur.
    Dans le top des engueulades par commentaires interposés je crois qu’on peux faire le classement suivant :
    1/ Memphis / Misraïm et ses problèmes de succession.
    2/ GLNF / FMR et gestion Stifanienne (ou Stifaneste ?).
    3/ GODF / Opposants internes et Mixité.

    Toute cela donne une vision pleine de Sagesse, où les arguments sont assénés avec Force et l’insulte maniée avec une certaine Beauté de la FM en général.
    Merci les amis vraiment : plus besoin d’adeptes du complot maçonnique on se décridibilise très bien tout seuls.
    Bon si je peux donner un conseil aux profanes qui seraient (malgré tout) intéressés par la démarche : il y a encore plein d’obédiences en France et Belgique (ou même en Suisse et partout ailleurs) où on maçonne tranquille et même dans les obédiences susnommées l’exposition médiatique (négative) ne vaux pas réalité.

  • 58
    la vérité
    25 avril 2011 à 15h21 / Répondre

    Tribunal de Grande Instance Valence OJ 13.01.2011
    Première chambre
    RG N° 09/03449

    CONCLUSIONS RECAPITULATIVES 3

    POUR :

    Monsieur Joseph CASTELLI
    Né le 3 mai 1948 à Vittorio Venetto (Italie)
    De nationalité française
    Demeurant 8 allée du Douanier ROUSSEAU 26200 MONTÉLIMAR.

    Maître Olivier JULIEN
    SCP BALSAN GOURRET JULIEN
    Avocats au Barreau de Valence

    CONTRE :

    Monsieur Gérard HAREL
    De nationalité française
    Né le 12 septembre 1948 à Deauville
    Profession : consultant
    Demeurant 26 rue Saint Siméon
    76250 DEVILLE LES ROUEN (Seine-Maritime)

    Maître Jean-Marie RIVOIRE
    Cabinet FOLLET & RIVOIRE
    Avocats au Barreau de Valence

    PLAISE AU TRIBUNAL

    RAPPEL DES FAITS ET DES PRETENTIONS DU DEMANDEUR :

    Monsieur Joseph CASTELLI est le président fondateur d’une association régie par le Loi du 1er juillet 1901, ayant pour titre : « Ordre des rites unis de Memphis & Misraïm » (ORUMM).

    Aux termes d’une assemblée générale irrégulière, Monsieur Gérard HAREL a réussi le tour de force d’évincer le président et son bureau, de modifier les statuts et de transférer le siège social de l’association.

    ***

    Précisons tout d’abord que les statuts de l’association ORUMM ont été régulièrement déclarés en sous-préfecture de Nyons (Drôme) le 23 septembre 2007.

    Sur la qualité de membre de l’association :

    Aux termes des statuts, il est énoncé que les membres de l’association sont les personnes physiques et les associations confédérées dont la candidature est admise sur dossier, et qui ont acquitté un droit d’entrée, et qui ont acquitté leur cotisation annuelle.

    Sur l’administration de l’association :

    L’association ORUMM est dirigée par un bureau composé par un président, un vice-président, un trésorier, un secrétaire.

    Sur la tenue de l’assemblée générale :

    L’assemblée générale ordinaire comprend les présidents des associations confédérées à jour de cotisation. Elle se réunit une fois l’an en mars aux jour et heure fixés par le bureau. Elle est convoquée par courrier individuel simple adressé par le secrétaire.

    L’assemblée générale extraordinaire est convoquée par le président à la demande de la moitié plus un des membres actifs et pour examiner un ordre du jour déterminé.

    ***

    Sur les raisons du procès :

    Gérard HAREL, secrétaire autoproclamé, a établi une convocation fantaisiste datée du 10 janvier 2008, pour une assemblée générale ordinaire qui serait tenue le 10 février 2009 à Deville les Rouen, domicile du requis.

    Au terme d’une réunion virtuelle où Gérard HAREL était manifestement seul, il est établi un simulacre de compte-rendu d’assemblée générale ordinaire datée du 10 février 2009.

    Muni de ce pseudo procès-verbal d’assemblée générale ordinaire datée du 10 février 2009, Gérard HAREL déposait auprès de la Préfecture de Seine-Maritime, une déclaration de changement des statuts de l’association, une liste des personnes nouvellement chargées de son administration.

    Interrogé sur ce changement par courrier de Maître BOIN Avocat, en date du 26 mai 2009, le Préfet de la Seine-Maritime confirmait que l’autorité administrative à laquelle est faite une déclaration des changements intervenus dans l’administration ou la direction d’une association est tenue d’en délivrer récépissé, dès lors qu’elle est accompagnée de l’ensemble des pièces prévues par le décret du 16 août 1901. La loi ne confère pas à l’administration, le pouvoir d’apprécier la régularité des modifications ainsi déclarées.

    C’est ainsi que Gérard HAREL a réussi l’extraordinaire tour de force de s’emparer de la présidence de l’association ORUMM.

    ***

    La situation décrite ci-dessus met en évidence bon nombre d’irrégularités comme autant de violations des règles statutaires et légales de l’association :

    1°) Aucune convocation à l’assemblée générale litigieuse du 10 février 2009 n’a été adressée aux membres composant l’association ;

    2°) Aucun ordre du jour n’a été communiqué.

    3°) Il ne pouvait y avoir d’assemblée générale ordinaire à la date du 10 février 2009, puisque les statuts prévoient, qu’elle ait lieu en mars de chaque année.

    4°) Il ne pouvait pas y avoir d’assemblée générale extraordinaire, puisqu’elle est réunie par le président, en l’occurrence Monsieur CASTELLI, à la demande de la moitié plus un des membres. Il n’y avait donc pas le quorum.

    5°) L’assemblée générale ne pouvait être tenue qu’au lieu, jour et heure déterminés par le bureau, et en aucun cas au domicile de Gérard HAREL. Elle ne pouvait valablement délibérer qu’en présence de 50 % des membres actifs à jour de leur cotisation.

    6°) Il n’y a pas eu à proprement parlé d’assemblée générale, puisque seul Monsieur HAREL était présent à la réunion du 10 février 2009 ; ce qui est la moindre des choses compte tenu que cette réunion avait lieu chez lui. Aucune de ces personnes énumérées dans le compte rendu, n’était pas membre de l’association.

    7°) Contrairement à ce qu’il y a de mentionner dans le document intitulé « compte-rendu de l’assemblée générale du 10 février 2009 », Monsieur CASTELLI n’a pas démissionné de la présidence ; la démission d’un mandat ne pouvant jamais être présumé en application de l’article 2007 du code civil.

    ***

    En droit :

    Les litiges qui naissent à propos d’élections au sein d’organes de direction d’une association ou au sein de son assemblée générale relèvent de la compétence du tribunal de grande instance du lieu du siège de l’association. Tout membre d’une association peut ainsi exercer une action devant le tribunal, s’il estime les élections au sein des instances dirigeantes ou les conditions de leur déroulement irrégulières pour obtenir la nullité.

    Il y a urgence à statuer sur l’action engagée par Monsieur CASTELLI, dans la mesure où les manœuvres orchestrées par Gérard HAREL ont pour résultat d’entraver le fonctionnement régulier de l’association et, de compromettre les intérêts de celle-ci.

    Par conséquent, il est demandé au Tribunal d’annuler l’assemblée générale du 10 février 2009, dans toutes délibérations.

    En outre, Monsieur CASTELLI connaît un préjudice moral à se voir ainsi évincer de manière totalement irrégulière et autoritaire de l’association ORUMM ; qu’il sera équitable d’indemniser à hauteur de 5 000 €, en application de l’article 1382 du Code civil.

    SUR LES CONCLUSIONS DE Monsieur HAREL du 23 février 2010.

    Monsieur HAREL retrace un historique très personnel de l’association, qui est constellé d’erreurs et inexactitudes, mais qui en réalité présente que relativement peu d’intérêt puisque Monsieur HAREL n’en tire aucun argument en droit, en dehors d’opposer aux demandes de Monsieur CASTELLI, une fin de non recevoir.

    Il conviendrait d’ailleurs que Monsieur HARREL précise comment sa demande reconventionnelle pourrait prospérer si, une fin de recevoir de l’action introduite par Monsieur CASTELLI devait être accueillie par le Tribunal.

    ***

    Monsieur HAREL allègue le défaut d’assemblée générale en 2008 ; c’est faux, une assemblée générale a eu lieu le 7 avril 2008.

    Il est ensuite indiqué que Monsieur CASTELLI a pris l’initiative le 9 décembre 2009 d’adhérer à la Grande Loge Nationale de Française, démissionnant de fait du poste de Président de l’association ORUMM.(page 4 paragraphe 5 conclusions adverses)

    Rappelons simplement ici que la démission d’un mandat quel qu’il soit, ne se présume jamais, et qu’il est de surcroît mal aisé de concevoir en quoi, les règlements maçonniques conditionneraient la présidence d’un association régie par la loi de 1901 ; mais, Monsieur HARREL ne s’embarrasse pas de contradiction.

    Contrairement, à ce qui est affirmé par Monsieur HAREL, Messieurs LABRY, RODEF et BUISINE ne sont pas membres de l’association ORUMM.

    Les statuts de l’association ORUMM ne prévoient pas que les membres composant l’association, (à supposer qu’ils le soient) tiennent de leur propre initiative, une assemblée générale ordinaire ou même extraordinaire. (page 5 paragraphe 5 conclusions adverses).

    Contrairement à ce que fait conclure Monsieur HAREL (page 5 paragraphe 6), le siége social n’est pas le domicile de Monsieur CASTELLI, mais la Bastide du parc n°9, 26220 DIEULEFIT (cf. notre pièce n° 2).

    Sur la fin de non recevoir :

    Monsieur HAREL prétend que Monsieur CASTELLI serait dénué de qualité et d’intérêt pour agir, par application de l’article 122 du code de procédure civile.

    Il a semble-t-il échappé à Monsieur HAREL, que Monsieur CASTELLI s’est vu régulièrement confié un mandat de président de l’association ORUMM.

    Ce mandat a été révoqué par une assemblée générale illégale, puisqu’il n’était pas démissionnaire.

    L’action en nullité d’une assemblée générale peut être exercée par un membre de l’association, ou par un tiers qui y aurait un intérêt.

    Monsieur CASTELLI dispose incontestablement d’une qualité et d’un intérêt à agir contre l’assemblée générale qui a prononcé sa révocation du mandat de président, dans la mesure où cette décision lui fait grief.

    La fin de non recevoir par Monsieur HAREL sera donc rejetée.

    Sur la demande reconventionnelle de Monsieur HAREL :

    Il est utile que le tribunal sache que Monsieur HAREL s’est déjà distingué pour avoir tenté d’autres coups de force du même style.

    Les attestations versées aux débats démontrent le machiavélisme de Monsieur HAREL, et ses agissements frauduleux.

    Monsieur HAREL n’hésite pas à fabriquer de faux documents comme en témoigne notamment Monsieur Guy LABRY (pièce n° 26).

    Monsieur HAREL sera débouté de l’ensemble de ses conclusions.

    Depuis le 7 août 2010, l’association ORUMM a fait l’objet d’une fusion avec l’association Confédération Internationale Franc-maçonnique, puis une dissolution enregistrée à la Préfecture du Vaucluse le 12 août 2010.

    Par conséquent, compte tenu de ces derniers éléments, il est demandé au Tribunal de constater la dissolution de l’ORUMM, par procès verbal du 7 août 2010.

    Il n’en demeure pas moins que Monsieur HAREL a occasionné un préjudice à Monsieur CASTELLI par une violation des statuts de l’association, et une campagne de dénigrement systématique à son encontre par le truchement d’un site internet, dans lequel, Monsieur HAREL usurpe un titre et des qualités, diffame Monsieur CASTELLI.

    Ceci justifiera la condamnation de Monsieur HAREL à payer la somme de 15.000 € de dommages et intérêts, sur le fondement de l’article 1382 du Code civil.

    PAR CES MOTIFS :

    Il est demandé au Tribunal :

    De constater l’irrégularité de l’assemblée générale du 10 février 2009.

    De prononcer la nullité de cette assemblée générale et de l’ensemble de ses délibérations.

    De constater la dissolution de l’association ORUMM en date du 7 août 2010.

    De condamner Monsieur Gérard HAREL à payer à Monsieur Joseph CASTELLI la somme de 15. 000 euros à titre de dommages et intérêts.

    D’interdire à Monsieur Gérard HAREL de faire usage des noms « ORUMM et Ordre des rites unis de Memphis et Misraïm », et, au besoin le condamner à 1500 € d’amende civile par infraction constatée par huissier de justice.

    D’ordonner l’exécution provisoire du jugement afin d’éviter tout recours dilatoire ou abusif.

    De condamner le même à 3000 euros par application de l’article 700 du code de procédure civile ainsi qu’aux entiers dépens dont distraction aux offres de droit de Me JULIEN en application de l’article 699 du code de procédure civile.

    SOUS TOUTES RESERVES.

    Liste des pièces produites :

    1. Statuts originels de l’association ORUMM
    2. Déclaration en sous-préfecture de Nyons du 23 septembre 2007.
    3. Convocation irrégulière par M. HAREL du 10 janvier 2008
    4. Compte-rendu de l’assemblée générale litigieuse du 10 février 2009
    5. Tenue de l’assemblée générale litigieuse
    6. Déclaration en Préfecture de Seine-Maritime
    7. Statuts modifiés
    8. Courrier de HAREL à CASTELLI
    9. Courrier de Me BOIN
    10. Réponse de HAREL
    11. Courriers de Me BOIN à la Préfecture
    12. Réponse de la Préfecture
    13. attestation Danièle FORTIN PROTIN
    14. attestation VERDIER
    15. courrier électronique de M. PONCEAU
    16. main courante de M. PARRAL
    17. main courante de M. OPTH
    18. courrier de M. ROCHER
    19. courrier de M. PARRAL
    20. courrier de M. ORTH
    21. procès verbal d’AG exceptionnelle de la Confédération Internationale Franc-maçonnique du 7 août 2010
    22. procès verbal d’AG exceptionnelle de l’ORUMM du 7 août 2010
    23. récépissé de déclaration de modification de la CIFM
    24. récépissé de déclaration de dissolution de l’ORUMM
    25. Attestation de Monsieur Jacques COURTOIS.
    26. Attestation de Monsieur Guy LABRY

    Pièce nouvelle en copie jointe :

    27. site internet GLEDF créé par Monsieur HAREL

    L’AN DEUX MILLE onze
    et le :
    requis par la SCP GOURRET-JULIEN
    ai notifié copie à Me J.M. RIVOIRE
    Avocat en son Cabinet
    RG n°09/03449 – 1ère Chambre
    où étant et parlant à un employé
    Coût : 0,96 e

  • 57
    lanterne
    25 avril 2011 à 15h05 / Répondre

    c’est bien ce que je disais, incapable de répondre…

  • 56
    apprenti
    25 avril 2011 à 15h00 / Répondre

    Bon et bien sur ces bonnes paroles, j’en reste là.
    Merci à tous pour vos points de vue.

  • 55
    Jiri Pragman
    25 avril 2011 à 14h58 / Répondre

    @Personne

    Je cite: Personne possède un document authentique et inédit qui prouverait que certains ont des choses à se reprocher dans la mort de Kloppel, ceci expliquerait cela… Concrètement, qu’est-ce que cela veut dire? Une accusation de meurtre maçonnique maintenant?

  • 54
    Personne
    25 avril 2011 à 14h54 / Répondre

    @ Lanterne
    Personne ne te dit quelque chose mais écoute quand même :
    Tu ne veux pas admettre la réalité, tu en as le droit, personne ne t’oblige à reconnaître Castelli comme ton Maître
    Tu dis qu’il n’y a que toi et tes adeptes qui savent pratiquer le rite, personne ne te contredit
    Tu me dirais que tu as marché sur la lune, personne te croirait
    Personne te donne raison à 100%, que te faut-il de plus ?
    @apprenti
    Personne ne peut prétendre être comique troupier en contredisant apprenti
    Personne possède un document authentique et inédit qui prouverait que certains ont des choses à se reprocher dans la mort de Kloppel, ceci expliquerait cela…

  • 53
    lanterne
    25 avril 2011 à 14h47 / Répondre

    Personne tu sembles ne pas comprendre c’est pas moi qui prétend être grand maître et grand hiérophante, on s’en fou de ma transmission, de mes grades ou que sais-je d’autre encore..

    et dans quel camp je me place ? dans celui qui travail normalement, tu devrais essayer.

    Mais plutôt que de vous demander où je travail et avec qui, j’aimerais plutôt que tu expliques tous ces documents falsifiés sur le site de la GLEDF ?

    déjà que ceux là ne valaient pas grand chose, mais alors là c’est encore mieux ! si en plus Castelli fait des faux de ses propres documents !

    allez ne répond pas à coté, argumente concrètement sans esquiver, pourquoi la GLEDF n’a pas les même documents que vous ? pourtant il s’agit des même évènements et transmissions ? allez qui ment JC ou GH ?

    apparemment GH peut fournir les même documents que ceux du bouquin de JC mais modifié, ils proposent d’ailleurs à qui les voudra de les envoyer, on ne peut être plus clair !

    bye

  • 52
    apprenti
    25 avril 2011 à 14h00 / Répondre

    La révolution des Lilas ? Enfin, personne, tu pourrais t’exprimer autrement que par le verbiage haut en couleur du comique troupier ? Ai-je insulté qui que ce soit ? Puis-je exprimer une opinion sans me faire traiter de horde sauvage ?

    Bon sang je n’invente rien. Tu crois que l’idée vient de moi ?
    De l’aveu même de G. Kloppel, la Grande Maitrise Mondiale est devenue caduque.

    A la fin il conclura lui-même : « … un grand Maître international n’a plus sa raison d’être. » Il propose de le remplacer par de « petits groupes d’adeptes, mieux aptes à favoriser la nouvelle évolution, tâche essentielle pour toute Maçonnerie qui se veut authentique et spiritualiste. »

    Il propose ni plus ni moins que la suppression de toutes les dispositions des GCRG touchant à la fonction et aux pouvoirs du GMM. Voilà, ca ne vient pas de moi mais de la bouche même de celui qui à t’écouter aurait transmis la Grande maîtrise mondial à monsieur Castelli.

    Tu avoueras franchement…

  • 51
    MAÎTRE DE UNAL
    25 avril 2011 à 13h51 / Répondre

    J’ai souvent rêvé de l’Atlantide qui fut ensevelie dans la nuit des temps et qui durant des millénaires éclaira l’obscurité de tous ses feux. C’est là que vécu HORLET le Seigneur qui régna sur la terre de toutes les créatures grâce à son pouvoir fabuleux.
    De son temple le MAÎTRE DE UNAL était le Rois des nations, le Sage parmi les sages, la Lumière de SUNTAL, le Gardien de la voie et la Lumière de la terre durant l’époque de l’Atlantide. Le maître HORLET provenait d’un autre plan. Bien qu’il se soit incarné dans un corps d’homme il les dépassait tous par son savoir. Il fut le Soleil de son époque.
    Détenteur de la Sagesse universelle, il enseigna aux hommes la voie de la Lumière et de la réalisation. Il maîtrisa l’obscurité et conduisit l’âme des hommes vers des sommets qui étaient Un avec la lumière.
    Avec le pouvoir de YTOLAN il savait condenser l’ETHER pour constituer une substance palpable qui prenait la forme qu’il concevait avec son esprit.
    D’une couleur noire sans être noire, obscure comme l’espace-temps, cette substance était L’ESSENCE DE LA LUMIÈRE.
    Il divisa la terre en dix royaumes qu’il confia au gouvernement des hommes et dans le onzième l’habitant de UNAL construisit un temple fabuleux grâce au pouvoir de son Logos qui moulait et formait l’Ether selon son vouloir. Espace après espace, ce temple se mit à grandir et s’étendit sur une superficie de plusieurs lieux jusqu’à couvrir l’île de ses splendeurs.

  • 50
    MAÎTRE DE UNAL
    25 avril 2011 à 13h41 / Répondre

    J’ai souvent rêvé de l’Atlantide qui fut ensevelie dans la nuit des temps et qui durant des millénaires éclaira l’obscurité de tous ses feux. C’est là que vécu HORLET le Seigneur qui régna sur la terre de toutes les créatures grâce à son pouvoir fabuleux.
    De son temple le MAÎTRE DE UNAL était le Rois des nations, le Sage parmi les sages, la Lumière de SUNTAL, le Gardien de la voie et la Lumière de la terre durant l’époque de l’Atlantide. Le maître HORLET provenait d’un autre plan. Bien qu’il se soit incarné dans un corps d’homme il les dépassait tous par son savoir. Il fut le Soleil de son époque.
    Détenteur de la Sagesse universelle, il enseigna aux hommes la voie de la Lumière et de la réalisation. Il maîtrisa l’obscurité et conduisit l’âme des hommes vers des sommets qui étaient Un avec la lumière.
    Avec le pouvoir de YTOLAN il savait condenser l’ETHER pour constituer une substance palpable qui prenait la forme qu’il concevait avec son esprit.
    D’une couleur noire sans être noire, obscure comme l’espace-temps, cette substance était L’ESSENCE DE LA LUMIÈRE.
    Il divisa la terre en dix royaumes qu’il confia au gouvernement des hommes et dans le onzième l’habitant de UNAL construisit un temple fabuleux grâce au pouvoir de son Logos qui moulait et formait l’Ether selon son vouloir. Espace après espace, ce temple se mit à grandir et s’étendit sur une superficie de plusieurs lieux jusqu’à couvrir l’île de ses splendeurs.

  • 49
    Personne
    25 avril 2011 à 13h26 / Répondre

    Bon, passons au disco, car là c’est la fièvre jaune du samedi soir,
    car si :
    « Ambelain Kloppel Chevillon Bricaud Lagrèze, tous ont triché »
    D’où et de qui vient la transmission de Lanterne ?!
    Et si
     » il y a deux camps : ceux qui font n’importe quoi.. et les autres »
    Dans quel camp se place Lanterne ?!

    Avec Lanterne cela devient la danse du canard, c’est n’importe quoi !

  • 48
    Personne
    25 avril 2011 à 12h19 / Répondre

    Enfin, une éclaircie dans cette brume !
    Oui Danièle nous savons que gesticuler n’est pas travailler et que des Frères et Soeurs pratiquent dans le calme et avec d’autres filiations…
    Mais de grâce, comprenez que si Castelli n’intervient pas, cela montre bien que tout ce qui se dit ici n’est pas parole d’Evangile…

  • 47
    lanterne
    25 avril 2011 à 12h14 / Répondre

    jiri tu dis :

    Puisqu’il s’agirait d’épiphénomènes, pourrait-on nous dire où se trouve la maçonnerie égyptienne. Plus clairement, les articles sur la Grande Loge Egyptienne de France mais aussi sur la Grande Loge Mixte de Memphis-Misraïm ont entraîné de vives réactions, où travaillerait-on de manière incontestable au Rite de Memphis-Misraïm?
    https://www.hiram.be

    JIRI l’arbre qui tombe fait toujours plus de bruit que la forêt qui pousse, par conséquent si tu souhaites connaître des obédiences Egyptiennes qui travaillent normalement ou même depuis très longtemps bien avant l’arrivée du messie JC (lol), il te suffira de demander un peu autour de toi, tu verras qu’en général quelques obédiences reviennent sur le tapis….

    encore une fois jiri c’est facile quand tout va bien, mais imaginons une grosse obédience qui se couperait en deux et qui revendiquerait la légitimité, à votre avis sur quoi vont-ils argumenter ? Règlements, transmissions, histoire, bref exactement ce qui se passe en ce moment dans les rites égyptien.
    Mais maintenant on a un peu d’avance…on a tous tellement cherché dans l’histoire pour tenter de valider notre position, pour dire que notre filiation est mieux que l’autre, qu’on a tous sortis des de la lecture de l’histoire des wagons d’incohérences et de mensonges, on se rend compte que les hiérophanies n’existent sur aucun documents, que les grands maîtres se refilent les grades derrières le poel; que ce soit Ambelain Kloppel Chevillon Bricaud Lagrèze, tous ont triché et fermé les yeux sur beaucoup de choses pour tenter soit de s’approprier des choses, soit pour le bien du rite, mais tous ont triché ou tourné la tête sur des « irrégularités » et parfois très grossières. Ce qui fait qu’en pratique tout le monde est techniquement sur le même pied d’égalité.
    Mais il ne faudrait pas croire que tout cela ne concerne que nous, les grosses obédiences ont su s’en tirer, pas Memphis Misraïm, c’est là la seule différence, car toutes les obédiences ont leur lot de mensonges et de zones d’ombre, les historiens le savent bien .
    ou est la différence alors dans les Rites Egyptiens ?
    elle se situe finalement dans la pratique du rite, car tout le monde ne fait pas la même chose et là il y a deux camps : ceux qui pratiquent le rite et respectent des règles minimum de passage et de transmissions, et ceux qui font n’importe quoi.. suivez mon regard; A partir de là et sans établir de règles hyper précises, il devient facile de voir avec qui on peut discuter…
    Il s’agit pour nous, toutes obédiences confondues, de rompre avec ces pratiques, ce sont des stratégies de perdant qui n’apportent que le trouble, et c’est en s’imposant des règles simples et lucides qu’il sera possible aux uns et aux autres de se retrouver…

  • 46
    Serge Malifer
    25 avril 2011 à 12h12 / Répondre

    Quand Apprenti écrit (enfin) des choses justes, il serait loyal de les relever et même de l’en féliciter :
    je ne dénigre absolument pas la qualité maçonnique de monsieur Castelli, et il se peut fort bien que lors des tenues qu’il anime, il y ai un très bon travail qui soit fait
    Note : par dénigrer, je pense qu’il faut lire contester.

  • 45
    Personne
    25 avril 2011 à 11h40 / Répondre

    Ouf ! J’ai enfin tout compris grâce à apprenti : « Plus de 99 ni de GH » voilà c’est la révolution des lilas, on est en Egypte non ?!

    Problème on s’arrête à quel grade ? Et la succession d’Ambelain-Kloppel ?
    On procède comment tirage au sort, vote à la majorité, révolte mexicaine ?
    J’apprends aussi que le maçon est un rebelle ! Attention Castelli n’est pas non plus Kadhafi !…

    Je rappelle au passage que si « La horde sauvage » qui dénigre, insulte et traite de menteur Castelli, refuse son autorité, il se garde bien de vouloir s’imposer !
    IL N’EN VEUT PAS !
    Prions mes Frères pour ces malades atteints de la fièvre jaune !

  • 44
    Kaktee
    25 avril 2011 à 11h06 / Répondre

    Mais Jiri, le GODF a aussi des loges qui travaillent au Rite ancien et primitif de Memphis misraim. Il en est de même de quelques autres obédiences multirites.
    Le problème n’est pas le rite ou plutôt les rites egyptiens en eux-mêmes, le problème c’est la volonté d’appropriation et la main mise que veulent faire certains sur ces rites.
    C’est vrai que c’est assez houleux, mais dans le calme des loges, il y a des frères et des soeurs qui travaillent , sans dorures et sans flonflons, et pour qui les gesticulations resteront lettre morte.
    Et d’ailleurs,il n’y a pas que la filiation dite d’Ambelain, il y en a aussi d’autres plus discrètes mais tout aussi valables.

  • 43
    apprenti
    25 avril 2011 à 11h00 / Répondre

    Je ne tire rien vers ma barque, je ne désinforme rien. Je fais juste valoir mon droit de ne pas être d’accord.
    Joseph Castelli ne peux pas être GM 99. C’est tout. Après il a bien entendu le droit d’écrire ce qu’il veut.
    Mais libre a tout un chacun de le suivre ou pas.

    Le fait de ne pas accepter une autorité usurpée ne constitue en rien une chaussure que je pourrais enfiler.
    C’est juste un droit. Que j’exerce…

  • 42
    apprenti
    25 avril 2011 à 10h53 / Répondre

    Personne à dit « pour toi apprenti c’est le faire hors normes et dans l’anarchie..et refuser tout effort de conformité et de régularité … « 

    Mais oui justement, c’est l’essence même de la maçonnerie égyptienne et du travail hermétique.
    Comme le disais Rémi Boyer :  » L’initié demeure un rebelle, un guerrier pacifique, un sage fou, un poète muet. »

  • 41
    Serge Malifer
    25 avril 2011 à 10h46 / Répondre

    D’apprenti : Tous les frères et sœurs égyptiens dans leur ensemble, et je dit bien dans leur ensemble, ne se sentent absolument pas concernés par monsieur Castelli. Comme le disait Lanterne il n’est reconnu nul part.
    Jiri, dans sa note sur ce commentaire, à parfaitement raison.
    Mais 370 commentaires et 98 pour deux articles précédents, est-ce bien raisonnable… Lanterne, Apprenti et consorts trouvent-là chaussures à leur pied, désinforment même, puisque la dite GLEDF ne fait pas une étude comparative du livre (qu’elle ne possède pas) mais de documents mille fois publiés et détournés sur le net.
    Jusqu’où veut-on aller ? Je remarque à l’analyse, que tous ces p(r)êcheurs après avoir étrillé J. Castelli, s’empressent (par message subliminal…) de tirer le filet vers leur barque, mine de rien, alors…
    Je ne suis pas à l’aise avec ces échanges, ces invectives et sous-entendus (mal étayés, jamais prouvés car qui peut se targuer d’avoir le document authentique sinon le réel possesseur qui peut, lui, non promettre mais produire).
    Je préfère ne plus intervenir et me plonger dans une seconde lecture du Livre jaune car je l’ai, moi, et pas en pdf… Effectivement, il révèle, à qui sait lire et écrire !

  • 40
    apprenti
    25 avril 2011 à 10h45 / Répondre

    C’est toute la difficulté, en effet.

    Mais comprenons nous bien, je ne dénigre absolument pas la qualité maçonnique de monsieur Castelli, et il se peut fort bien que lors des tenues qu’il anime, il y ai un très bon travail qui soit fait. Ce que je réfute c’est l’idée qu’il puisse imposer ses vues et son autorité à l’ensemble des maçons égyptiens.

    Il ne peut en aucun cas le faire.

    Quand à choisir un Atelier, vous pouvez vous orienter vers n’importe quelle obédience possédant la patente d’un souverain sanctuaire dirigé par un patriarche grand conservateur de l’ordre. Ils sont tous aussi bien les uns que les autres. Castelli y compris. Mais sans être GM 99 ou GH.

  • 39
    Jiri Pragman
    25 avril 2011 à 10h35 / Répondre

    Je pense aux profanes qui voudraient poser leur candidature. Ne devraient-ils pas s’enfuir lorsqu’on leur propose de rejoindre une Loge égyptienne ? Quelle garantie de sérieux peuvent-ils avoir ? Si l’important, c’est la Loge, au moins lorsqu’ils sont contactés en France par un membre du GODF, de la GLDF, de la GLNF, de OITAR, ils peuvent à peu près savoir où ils tombent ? Quid de MM ?

  • 38
    Personne
    25 avril 2011 à 10h32 / Répondre

    Travailler au rite Egyptien implique en accepter les structures, pour toi apprenti c’est le faire hors normes et dans l’anarchie..et refuser tout effort de conformité et de régularité … effectivement il vaut mieux pendre ses jambes à son cou !

    L’Histoire se construit avec les histoires, Castelli n’a pas parlé d’un « pavé dans la marre » mais d’un livre qui ferait le point de l’Histoire du rite, essayer d’ordonner et de rassembler ne peut que plaire aux maçons…

  • 37
    apprenti
    25 avril 2011 à 10h29 / Répondre

    La réponse est partout et nul part. Là encore tout dépend de la Loge. La réalité de la maçonnerie c’est la Loge pas l’obédience. Et la réalité de la Loge ce sont les maçons qui la compose.

    Mais si tu trouves une seule obédience (égyptienne ou non) reconnaissant la qualité in extenso de GM de monsieur Castelli, ou bien même seulement ses grades, je t’en pris fais le nous savoir.

    Il n’y a rien de péremptoire, simplement je n’en connais pas.

  • 36
    Jiri Pragman
    25 avril 2011 à 10h21 / Répondre

    Si je réponds à un commentateur qu’il n’a pas tout vu (des propos qui tenaient de la diffamation, d’autres quelque peu délirants et hors sujet, des copies d’articles,… ), c’est qu’il ne pouvait les voir parce qu’ils ont été bloqués puisque que cela relève de la responsabilité de l’éditeur.

    Le devoir d’information fait que la sortie de ce « livre jaune » doit être signalée. Je ne l’ai pas qualifiée d’évènement. Par ailleurs déclarer Tous les frères et sœurs égyptiens dans leur ensemble, et je dit bien dans leur ensemble, ne se sentent absolument pas concernés par monsieur Castelli comme le fait Apprenti me paraît aussi péremptoire que les affirmations deux qui se réclament de Castelli.

    Puisqu’il s’agirait d’épiphénomènes, pourrait-on nous dire où se trouve la maçonnerie égyptienne. Plus clairement, les articles sur la Grande Loge Egyptienne de France mais aussi sur la Grande Loge Mixte de Memphis-Misraïm ont entraîné de vives réactions, où travaillerait-on de manière incontestable au Rite de Memphis-Misraïm?

  • 35
    apprenti
    25 avril 2011 à 10h04 / Répondre

    C’est difficile Jiri,

    Tu vilipendes sans arrêt les dérives de la maçonnerie égyptienne. Et tu te sers pour appuyer tes dires, des agissements de personnes ou de groupes qui n’ont rien à voir avec la maçonnerie égyptienne. Il ne faut pas s’étonner de la montée au créneaux de celles et ceux qui ne se reconnaissent pas dans ces épiphénomènes.

    Pourquoi nous reprocher après coup nos commentaires contradictoires (et pas insultants, je ne me souviens pas avoir jamais insulté) ? Si tu mets en avant une « info » pour qu’elle ne puisse subir aucune contestation, ce n’est plus de l’info c’est de la propagande. Ou alors c’est de la provoque, lancer un pavé dans la mare comme tu le dit si bien pour te délecter ensuite des commentaires outrés, qui fatalement conforteront ton opinion à notre endroit.

    Tout le problème est là. Tu nous présente ce manifeste égyptien et ce livre jaune comme un événement de la maçonnerie égyptienne. Or il n’en est rien. Tous les frères et sœurs égyptiens dans leur ensemble, et je dit bien dans leur ensemble, ne se sentent absolument pas concernés par monsieur Castelli. Comme le disait Lanterne il n’est reconnu nul part.

    Pour répondre à Christophe dans son commentaire n°28,

    Oui c’est vrai, et il y a deux choses que j’aimerais dire à ce sujet.

    Premièrement la franc-maçonnerie égyptienne n’est pas à proprement parlé prosélyte. Elle ne cherche pas à recruter ou à gonfler ses rangs. Le travail sous tendu par les rites égyptiens s’accommode mieux de petites structures et d’ateliers de taille réduite.

    Deuxièmement, si malgré tout, quelqu’un souhaitait rejoindre la maçonnerie égyptienne et réussissait à traverser les filtres des bêtises que beaucoup racontent sur elle, je ne lui donnerais qu’un seul conseil. Celui que donnait Denis Labouré dans un entretien à France spiritualité quand on lui demandait comment éviter de se fourvoyer en entrant dans la FM égyptienne : « Si l’obédience dans laquelle cette personne demande à entrer se considère comme la seule valable, comme détentrice d’une vérité non partagée, d’une filiation exclusive, la réaction la plus saine est de prendre ses jambes à son cou. »

    C’est le meilleur conseil que l’on puisse donner.

  • 34
    Personne
    25 avril 2011 à 9h51 / Répondre

    Analyser un livre sans le lire, relève du paranormal, quant à affirmer pouvoir fournir des originaux sans le faire, me fait penser à la célèbre formule de Francis Blanche « il peut lé faire »…notre Frère Pierre Dac lui, faisait le voyant !
    Ainsi se présente un fatras d’affirmations évidemment, non signés, d’une Grande Loge Française Egyptienne…heu, pardon Egyptienne Française ! Décidément ce livre dérange avant même de pouvoir être lu, c’est la bousculade dans la pyramide, la malédiction de la momie !

  • 33
    lanterne
    25 avril 2011 à 7h53 / Répondre

    Au fait certains voulais des démonstrations des falsifications permanentes de Castelli ? alors voyez plutôt cette analyse de leurs anciens amis sur ce site, il y est question d’un début d’analyse du livre jaune, d’un coté le texte original de l’autre les modif de castelli. à la fin il est précisé qu’ils peuvent fournir les originaux

    http://www.gledf.fr/infos/89.html

    bonne lecture

  • 32
    lanterne
    25 avril 2011 à 7h49 / Répondre

    Bonjour à tous,

    oui vous avez raison, mais devons nous rester silentieux lorsque le débat est amené volontairement sur internet ? Joseph castelli à l’époque avait investi le web par ses sites, devions nous nous laisser dépouiller de notre rite sans rien dire ? regardez ce qui se passe à la glnf avec les blogs FMR et MYOSOTIS, pensez vous vraiment qu’ils auraient pu obtenir le même résultat sans internet ? et cela en fait il des non maçons ? les choses sont toujours plus simple lorsqu’on est à l’abri des turbulences, il nous est effectivement possible d’adopter sans risque une position « traditionnelle » et de l’affirmer, mais lorsque le vent souffle il faut s’adapter. En l’occurence, même si au fond je suis d’accord avec vous, je pense que nous n’avions pas le choix, et pas le droit de rester silentieux devant ce qui se passait…

    à bientôt

  • 31
    Jiri Pragman
    25 avril 2011 à 6h08 / Répondre

    D’accord avec Christophe (même si ceci est un espace de commentaires – en lien avec un article – et non un forum). Et il n’a pas tout vu : des propos qui tenaient de la diffamation, d’autres quelque peu délirants et hors sujet, des copies d’articles,…

  • 30
    Christophe
    24 avril 2011 à 22h38 / Répondre

    Et bien dites-moi…

    Si ceux qui s’expriment ci-dessus sont bien ce qu’ils prétendent être, s’ils ont effectivement vécu l’initiation maçonnique dans le rite égyptien, s’ils la connaissent aussi bien qu’ils le prétendent, tout profane qui tombera sur cet échange en tirera immédiatement la seule conclusion logique possible: Mieux vaut fuir au plus vite ces pseudo-initiés qui passent leur temps à s’invectiver et à se donner mutuellement des leçons dans les forums publics.

  • 29
    Personne
    24 avril 2011 à 21h31 / Répondre

    Cela tourne à la parano mon pauvre Frère, je ne sais pas pourquoi tu détestes à ce point Castelli mais s’acharner à ce point est indigne d’un maçon.
    Je ne sais pas quels sont tes intérêts ou tes prétentions qui te font oublier toute décence, tu oublies que la liberté d’expression est un droit que nous devons faire respecter, ainsi que celle à la différence…
    Respecte ton Frère et ainsi tes Frères !

  • 28
    sowilo
    24 avril 2011 à 20h31 / Répondre

    Compte tenu de ton comportement, à ton avis, de quel côté penchera la balance au moment de la métempsychose ?
    Depuis qu’il y a des fils sur les rites egyptiens, j’en ai lu de belles, mais c’est la première fois que je ris autant…Nous sommes avec les pères fouetards moralisateurs sur la transmigration de nos âmes….!!!

    mon pov’ lanterne, si tu contraries, comme moi d’ailleurs, l’unique, le grand, le glorieux, l’ensoleillé à ta prochaine réincarnation, nous risquons de nous retrouver toi, moi et d’autres, va savoir, en une pierre pour bâtir le futur temple, en pauvre vermisseau ou en bantou dans une forêt vierge !.
    Heureusement que le droit de vie ou de mort n’existe pas en Europe car ils feraient appel au Frère Guillotin.
    Z’ont oublié Maat et le coeur de ma mère, et d’ailleurs, est ce qu’ils les ont connus ?
    Z’ont rien compris non plus aux AA, s’ils les ont reçus autrement qu’en bout de papier et surtout travaillés…?

    Tiens, j’ai oui dire aussi, que JC redonnerait des diplomes à certains ( qu’il avait déjà donnés mais les avait retirés) moyennant de belles enveloppes …mais ça doit encore être des ragots j’en suis certain, il ne ferait quand même pas ça.
    Ha ! le monde est tellement méchant.

  • 27
    lanterne
    24 avril 2011 à 20h17 / Répondre

    Bonjour mon cher Yonnel,

    n’as tu donc pas d’autres chats à fouetter à la GLNF que tu t’en prenne à cette pauvre lanterne, je suis un simple lecteur assidu des forums qui donne son avis un point c’est tout, et vous pourrez taper du pied ça ne me fera pas changé d’avis, j’ai lu le livre de castelli et je réitère ce que je dis depuis trois ans,
    il ne cherche que son intérêt personnel,
    il ne connait pas le rite,
    il ne connait pas l’histoire,
    et il la déforme à son avantage.

    En bref il est complètement hors jeu.

    Castelli à des prétentions farfelues, c’est mon droit de lui contester, j’ai assez expliqué pourquoi quand et comment, je ne vais pas me répéter sans cesse tu n’a qu’à relire depuis le début des échanges sur ce même blog… une discussions honnête intellectuellement est strictement impossible avec castelli, ça se transforme en insultes et en menaces systématiquement.

    la reconnaissance ça se mérite, c’est pas un bout de papier signé à l’apéro qui fait l’initié.

    enfin pour la page 212 je regrette j’ai vraiment jeté le bouquin, je ne sais pas ce que ça dit..

  • 26
    Personne
    24 avril 2011 à 20h15 / Répondre

    Ma lanterne,

    Il ne te reste plus qu’à te faire allumer ailleurs, va manger de la rhubarbe, ta laxophobie castellinienne te donne les yeux bridés par les souffrances, là, où tu devrais trouver l’aisance, tu es un fichu menteur, on ne t’a rien envoyé…

  • 25
    soeur rhubarbe
    24 avril 2011 à 19h53 / Répondre

    Permettez à la sœur que je suis de trouver l’intervention de notre frère Yonnel fort pertinente.
    Au moins, lui, ne se cache pas et je le connais depuis plus de trente cinq ans. Son grand père déjà était Compagnon des Devoirs Unis et il a dans sa famille une tradition compagnonnique.
    Spéculatif, il prend la relève avec la franc-maçonnerie.
    Son conseil sur la rhubarbe est excellent
    En voici, en trois points, une petite histoire sur la rhubarbe, ce qui nous changera des propos lassant de lanterne et autre sowilo
    Sowilo est la Rune du Soleil.
    Personne a raison. Utiliser ce genre de symbole ou pseudo relève d’une tendance mytho maniaque, nostalgique d’un temps qui ne fait plus fureur.
    Il était une fois la rhubarbe :
    • Bienfaits

    La rhubarbe a l’avantage d’être très peu calorique (15 kcal/100 g), mais son acidité étant très prononcée, on a tendance à la préparer avec beaucoup de sucre. Essayez donc d’avoir la main légère.
    Elle est, en outre, très laxative grâce à sa richesse en fibres ; en particulier en compote, elle parvient à réveiller tout en douceur les transits les plus paresseux.Elle mérite donc d’être plus fréquente au menu d’autant que son apport enminéraux est très important, notamment en potassium et en phosphore. Elle apporte aussi une quantité intéressante de magnésium et de calcium.

    Bien pourvue en vitamine C (12 mg/100 g), elle a de ce fait des propriétés toniques et antianémiques.Dans l’armoire à pharmacie, elle a par ailleurs sa juste place en tant qu’anti-inflammatoire pour les muqueuses buccales. La substance que sécrète sa racine est, elle, appréciée pour son actionantiseptique sur les problèmes de foie.

    • Dégustation
    Choisissez-la avec un pétiole épais, bien ferme et plein, dépourvu de tâches et de flétrissures. Il doit être bien vert avec des bordures rosées. Ses extrémités doivent être fraîchement coupées. Brisez la tige : la cassure est nette et la sève s’écoule.

    Conservez-la dans le bac à légumes de votre réfrigérateur, pas plus de quelques jours car elle devient rapidement molle. Par contre, elle se congèle très bien. Il suffit pour cela de la laver, de l’essuyer, de la couper en tronçons à glisser dans un sac de congélation. Il est inutile de la peler, sauf si elle s’avère très dure et filandreuse.

    Consommez-la cuite, c’est ainsi qu’on la connaît le mieux. En compote, en confiture, elle se prête également à la préparation de chutneys. Elle fait aussi d’excellentes tartes, meringuées comme en Belgique, ou garnies d’un appareil crémeux version alsacienne. Crumbles, crèmes et mousses, tous lesdesserts lui vont bien, qu’elle soit seule ou en duo avec la fraise ou avec la pomme.
    Vous n’avez plus de citron à la maison, qui rehausse si bien son goût? Qu’à cela ne tienne ! Cherchez dans votre placard, vous avez forcément une des épices qui lui sied à ravir : vanille, cannelle, gingembre, badiane, graines de fenouil…

    Crue aussi, la rhubarbe est excellente. Coupée en tronçon, trempez-la dans du sucre, voire même dans du sel. Il ne faut pas oublier en effet que les botanistes la classent dans les légumes, et qu’elle est délicieuse consommée comme tel.

    Elle est cousine avec l’oseille, alors servez-vous de cette ressemblance et osez la lui substituer. Les plats de viandes (volaille et canard) et de poissons se trouvent sublimés, accompagnés de ses tronçons tout simplement revenus dans un peu d’huile.
    Son utilisation salée est réputée par delà les frontières. Omniprésente dans la gastronomie britannique, on la retrouve aussi en Pologne, dans une préparation à base de pommes de terre, en Afghanistan avec des épinards, en Iran dans un ragoût d’agneau…

    La rhubarbe est également à la base de boissons rafraîchissantes et de sorbets. Elle est aussi consommée en thé et fournit un vin fruité. En Italie, elle sert à préparer une liqueur très appréciée, leRabarbaro Zucca, réputée autrefois pour ses bienfaits sur le foi

    • Histoire
    Plante vivace de la famille des polygonacées, mesurant jusqu’à un mètre de hauteur, la rhubarbe estoriginaire d’Asie. Les Chinois et les Russes (« Rha » en russe signifie rivière Volga) l’utilisent depuis près de 5 000 ans pour ses propriétés curatives. Elle n’a franchi les frontières européennes qu’au 18ème siècle, les Anglais furent les premiers à oser se servir dans leur cuisine de cette belle plante d’ornement.Officiellement classée parmi les fruits par la Direction des Douanes de New York en 1947 à cause de son utilisation sucrée, elle n’en demeure pas moins légume dans les livres de botaniques.

    Seules ses tiges (appelées pétioles) sont comestibles, ses feuilles sont, elles, très riche en acide oxalique, une substance très toxique qui peut être mortelle.

    On distingue plusieurs variétés, selon leur couleur, le goût restant sensiblement le même :
    – les plus ou moins vertes, comme la Victoria
    – les rougeâtres, la Canada Red ou la Macdonald par exemple.

    Elle est cultivée partout en France, notamment en Picardie et en Alsace, où elle est récoltée d’avril à juillet. L’hiver, elle nous arrive tout droit des Pays-Bas. La Grande-Bretagne en produit des variétés très subtiles.

    Sœur Rhubarbe
    Info trouvée sur : http://cuisine.journaldesfemmes.com/encyclopedie/fiche_composant/152/rhubarbe.shtml

  • 24
    yonnel ghernaouti
    24 avril 2011 à 19h32 / Répondre

    Merci lanterne car tes propos ne peuvent qu’aiguiser la curiosité des Soeurs & Frères et leurs donner envie d’acheter et surtout de lire le « Livre Jaune ».
    Toutefois, tu ne nous feras pas « prendre des vessies pour des lanternes »
    J’ai analysé ton texte, lanterne, et j’ai noté qu’il y en a au moins de trois sortes (symbolique ???) différentes. Seriez-vous donc plusieurs à vous complaire dans l’anonymat ???
    Pourquoi tant de haine ? Je conçois que « où il y a de l »homme, il y a de l’hommerie », et tu en es un exemple vivant, mais non vivifiant. Tu sembles être en guerre ouverte avec Joseph Castelli.
    Abandonne, c’est un conseil de sagesse que je te donne.
    D’ailleurs, serais-tu prêt à un face à face avec Joseph Castelli ? Non pas a en débattre, il y a le mot battre, mais a dialoguer, a échanger comme deux Frères. Simplement, en honnête homme et maçon.
    Réponds, lanterne !!!
    lanterne, as-tu seulement lu cet ouvrage ? Si tel est le cas, résume nous donc la page 212.
    Et tu voudrais déjà avoir le tome 2…
    JC ne travaille que les hauts grades et a avec lui bon nombre de Frères de la GLNF. Comme quoi son passage à la GLNF a été fructueux et il en est sorti dignement et la tête haute, contrairement à d’autres qui ont été radiés.
    Il n’est pas de ceux qui annulent ou remettent leurs tenue faute de combattant (je pense à GdS et à son ancien ami JL C, chacun à la tête d’une nouvelle et micro structure)
    Compte tenu de ton comportement, à ton avis, de quel côté penchera la balance au moment de la métempsychose ?
    Si tu étais fier de tes qualités maçonniques, tu ne te cacherais pas derrière un pseudo.
    Le mieux est de retourner au silence des apprentis et plus spécialement, pour toi, je te donne un autre conseil : mange de la rhubarbe.
    YG

  • 23
    lanterne
    24 avril 2011 à 19h26 / Répondre

    la page 212 ? désolé j’ai supprimé le pdf…

    Ne t’embetse pas à faire un copié collé ça n’est pas intéressant..

  • 22
    Personne
    24 avril 2011 à 18h56 / Répondre

    Bonsoir Mon Frère,

    C’est d’un comique délirant en effet, faire croire qu’il vend un bouquin, comme s’il existait, c’est un peu comme moi qui ne suis rien de moins que personne !…
    Dis, Mon Frère pour continuer de rire, dis moi ce que tu lis en fin de page 212, tu comprends que là, se trouve la preuve par l’oeuf (ça détend) pardon, par 9 ! Le novénaire…

    à tout de suite
    PS au fait, je te plais, beau masque ?

  • 21
    St. traduagedsegaluos
    24 avril 2011 à 18h50 / Répondre

    C’est égyptologuement fou ce que ce LIVRE JAUNE fait couler d’encre alors que presque Personne ne l’a lu.
    Il semble évident que cet ouvrage va REmettre les pendules à l’heure du Caire (et de l’équerre).
    FIN & BASTA;
    Mes soeurs et frères qui joués les kakous avec vos faux diplômes et filiations mais vrais décors (histoire d’en mettre plein la vue), il va falloir vous rendre à l’évidence : la vrai filiation est celle de : R. Ambelain, G. Kloppel et J. Castelli !!!
    Béni soit le GADLU de rendre à César ce qui est à César.
    J’attends déjà le tome 2, en 2012 ???

  • 20
    lanterne
    24 avril 2011 à 18h33 / Répondre

    bonjour personne,

    oui c’est vrai JC est un farceur, vendre un bouquin pour tenter de convaincre qu’il est quelque chose c’est vrai que ça ne manque pas d’humour ! et pis moi en bon public j’attendais la chute, mais rien, que neni !! j’attends donc le nr 2 avec impatience…

    Pour l’annuaire, c’est vrai que j’aurais préféré car ça au moins c’est utile…

    à bientôt

    PS: au fait personne, ton pseudo te va à merveille.

  • 19
    Fox7ans
    24 avril 2011 à 18h17 / Répondre

    Sur certains sites, il existe des « bacs à sable » pour tester les fonctionnalités.
    A ce point, je me demande si Jiri n’aurait pas intérêt à installer à « ring à troll » quelque part sur son blog et les laisser s’ébrouer en paix.

    Que le sublime architecte des mondes apaisent les intervenants parce qu’en arriver aux menaces quasi ad-hominem en 18 commentaires, c’est une performance fort peu maçonnique…

  • 18
    Personne
    24 avril 2011 à 17h27 / Répondre

    @ Sowilo

    (…) méfies toi de ton pseudo il fait assez : rune de la victoire et Sieg Heil ! me rappelle des choses, ce qui fait mal comprendre que tu traites le livre jaune de rouge et de livre de Mao, fais-tu partie de ces fantaisistes dont tu parles ?!
    Par contre, tu fais une mauvaise citation avec « Ici Paris » car il y a un Frangin bien placé qui n’apprécie pas ton allusion et qui risque de t’en parler prochainement, tu vois qui ?!…
    En ce qui concerne Lionel, je le laisse t’expliquer ce que tu n’as pas l’air de comprendre…

    @ Lanterne

    (…) change d’éclairage car tu sembles rester dans l’obscurité la plus Oh Pâques ( ça détend )
    En effet tu sembles tout vouloir expliquer par ce que JC t’a fait parvenir ?!
    Quel farceur ce Joseph, t’envoyer l’annuaire des pages jaunes pour te piéger et tu marches !… C’est pas maçonnique ça ! Tu passes pour quoi maintenant ? Il ne manquerait plus que tu te fâche et rougisse ! Une lanterne rouge ce serait du plus mauvais goût, pour un justicier (masqué) !

  • 17
    sowilo
    24 avril 2011 à 16h17 / Répondre

    Il y a une chose que je ne comprends pas très bien.
    Yonnel Ghernaouti signe l’appel du 14 avril 2011 comme grand oficier de la GLNF sur le blog « le myosotis »

    http://myosotis-albi-quercy-rouergue.over-blog.com/article-et-voila-la-suite-ouvrons-nos-yeux-71788406.html

    et il est Très sublime frère 33.66-90.95° chez Castelli ?
    Qu’il soit journaliste ok, mais il n’y a pas des serments à la GLNF ?
    C’était avant qu’il ne rentre à la GLNF ?

    je suis d’accord avec Lanterne. Des erreurs notables dans l’historique. Ses explications sur la scission de 98 entre autres, ( ce n’est pourtant pas loin et il y a encore des vivants) sont tout à fait fantaisistes.
    Quant à publier des documents internes d’obédiences qui ne sont pas la sienne, on se demande si on ne rêve pas, enfin que l’on ne cauchemardesque pas..

    Ce n’est pas le livre jaune que ce truc aurait du s’appeler ( Felix lui fera t-il un procès ?), c’est le « petit livre rouge », car dans les idées on est très près de Mao…
    Pour le reste, « ici paris » n’a qu’à bien se tenir et si un jour il est au chomage, il a ses chances sur leurs colonnes.

    Que le grand architecte de l’univers leur prête vie, la fantaisie de ce grand pontife et de son entourrage est quand même un peu inhabituelle et atypique dans notre univers maçonnique très codifié.
    Sowilo

  • 16
    Pierre-Jean
    24 avril 2011 à 15h56 / Répondre

    Merci Lanterne pour ce commentaire qui s’il exprime une opinion présente tout de même l’intérêt de venir Dun lecteur éclairé de l’ouvrage. J’espère que d’autres lecteurs éclairés partageront leurs impressions.

  • 15
    Personne
    24 avril 2011 à 15h56 / Répondre

    A la Lanterne !…

    « Véritas odium parit » ou : La franchise engendre la haine ! Tout est dit !

    C’est une lapidation à coup de pavés justement et digne des enrubannés barbus, Castelli dénoue l’écheveau difficile de l’histoire rocambolesque des manipulateurs du rite et toi, Mon Frère tu lui reproches justement l’aspect enchevêtré de l’histoire, il montre la vérité et tu l’accuses que ce soit sa vérité, il montre des documents et tu le lui reproches car ils ne sont plus dans leur contexte !

    Le comble est atteint par ce passage, oh combien flagrant à la GLNF ! Elle lui reconnait SA régularité en essayant de lui dérober sa filiation à son profit et tu oses déclarer qu’il veut fuir…. alors qu’il apporte là, l’ultime preuve de LA vérité ( chacun comprendra que ce faisant, il en faisait bénéficier tous les siens, c’est tellement évident…sauf pour toi ! )

    Petite question : il insulte qui dans son livre ou ailleurs ? Eclaire moi Lanterne, je n’ai point lu jusqu’à présent de tels propos de Castelli… Heureusement que tu laisses fraternellement la liberté de penser à ceux qui liront son ouvrage et je t’en remercie !

    L’Histoire a déjà parlé, les histoires ce sont les imposteurs qui les font.

    Lisez et  » Que la Lumière soit !  » et uniquement « Ad majorem Dei Gloriam ! »

  • 14
    lanterne
    24 avril 2011 à 14h49 / Répondre

    Bon allez je me lance…j’espérais que personne n’allait lancer le pavé justement… mais puisque c’est fait…

    J’ai donc reçu ce livre, gratuitement en pdf par internet de JC lui-même, je l’ai lu en entier. Par ou vais-je commencer ?

    Absolument aucune surprise sur le contenu qui ne vise très exactement qu’à justifier la position de Castelli ( on s’en doutais d’ailleurs); outre les interprétations particulières et arrangées, Castelli prend beaucoup de liberté avec l’histoire des 100 dernières années qu’il ne connait vraisemblablement pas d’ailleurs, il réinvente les filiations au gré de ses besoins pour bien sur finir par justifier sa prétendue filiation…

    Par exemple j’ai particulièrement aimé comment castelli interprète la nomination de cheikna sylla, il ne recule devant aucune contorsion pour justifier sa position, c’est comme ça d’un bout à l’autre du livre.

    Mais le plus gênant dans ce livre c’est qu’il il n’y a aucune référence documentaire hormis ses propres décrets et quelques lettres sorties de leur contexte, il n’y a aucun travail de recherche historique aucune référence aux bibliothèques auxquelles Castelli auraient dû faire référence (pour ça il aurait fallu qu’il y aille), il n’y a donc dans ce livre que l’histoire partiale de la gueguerre à laquelle nous avons pu assister sur internet depuis 3 ans. Il en ressort que Castelli ne connaît pas ce rite, il ne connaît pas son histoire, mieux il ne connait des grades de ce rite que ce qu’il a retapé dans ses bouquins pour en faire la vente.

    En somme ce livre est d’un inintérêt absolu, Castelli est à bout d’arguments, il n’est reconnu nul part, persona non grata dans toutes les obédiences de Memphis ou presque, je n’ai pas compté mais en trois ans il y a eu au moins 10 grands maîtres nommés par Castelli à coup de décret, bref qui pourrait le prendre au sérieux !?

    En dehors de l’histoire déjà rocambolesque en soi, Il n’aura de toute façon échappé à personne les changements réguliers de sites, les nominations infinies de grades, les décrets de radiations. Egalement chacun aura pu lire sur internet que Castelli, maçon de la maçonnerie « irrégulière », prêta serment de ne plus reconnaître la maçonnerie irrégulière en entrant à la GLNF, laissant sans rien dire une petite poignée de Sœurs et de Frères qui n’avaient rien demandé et qui eurent le bonheur d’apprendre son affiliation à la GLNF par internet.

    Bien plus que l’histoire, je trouve que c’est le personnage qui pose problème, il a démontré mainte fois par ses agissements, par ses insultes réitérées, qu’il n’avait définitivement aucune des qualités qu’on serait en droit d’attendre d’un grand maître et/ou d’un hiérophante, et cela clos pour moi définitivement la question Castelli. Chacun est libre d’en penser ce qu’il voudra

    Bref pour terminer sur le livre faite comme moi : « click droit » –  » supprimer  » –  » vider la corbeille « 

    à bientôt (après les insultes et les menaces)

  • 13
    apprenti
    24 avril 2011 à 12h41 / Répondre

    C’est bien la raison pour laquelle j’ai dit que j’allais le lire.

  • 12
    Serge Malifer
    24 avril 2011 à 12h40 / Répondre

    D’Apprenti : Toutes ces coteries comme tu dis, je ne les vois même plus.
    Les gesticulations de certains ne peuvent plus tellement nous troubler.
    Le rite est magnifique, il ne mérite pas d’être réduit à quelques trublions.

    Alors, pourquoi ne pas simplement t’abstenir si tu es aussi serein, confiant, assuré ?
    Je me retire pour méditer ton affirmation : J’essaye d’être cohérent avec mes convictions.

  • 11
    Serge Malifer
    24 avril 2011 à 12h26 / Répondre

    Je vous approuve, Personne. On ne peut rien face à l’attitude de ce genre d’individus qui tiennent et ne tiennent que par ce fonds de commerce sans lequel ils n’existeraient pas. Ils peuvent rabâcher les mêmes arguments, sans attendre de prendre connaissance : ILS SAVENT ! Mais écouter les aspirations de leurs consciences, celles qui répondent aux désirs de leur coeurs, c’est une autre affaire ! Certes, l’histoire de Memphis-Misraïm est pour le moins mouvementée, personne ne le conteste et surement pas Joseph Castelli. Mais la richesse de cette maçonnerie (quelle qu’en soit l’échelle de sa représentation… cela n’a aucun sens à l’heure ou fleurissent et se multiplient les Loges Libres, et les fédérations de Loges) cette richesse de la maçonnerie égyptienne disais-je, apporte à tous ceux qui veulent comprendre, un enseignement initiatique authentique, réel. Plaise-donc que cinq ou six grincheux, cumulant à eux-seuls, une douzaine de pseudos usés, se ruinent dans le dénigrement, l’invective ou l’anathème, ils continueront à tourner en rond dans la forêt des erreurs sous la menace du dragon, perdus dans le labyrinthe qu’ils ont eux-même tracés, incapables de s’en échapper car ils ont – tous – oublié l’essentiel :que le bandeau qui couvre leurs yeux est le symbole de leur aveuglement, dominés par leurs passions, et qu’ainsi, ils sont donc condamnés à rester plongés dans l’ignorance !
    Plusieurs fois, j’ai tenté de leur tendre la main, rien n’y fait ! Sans doute suis-je un utopiste !
    Pour les rares personnes qui ont lu jusqu’à aujourd’hui LE LIVRE JAUNE, mais surtout à l’attention de ceux qui vont le lire, fasse que la Raison soit plus forte que la passion, qu’elle nous inspire de prendre avec nous, ce qui est Lumière dans les ténèbres, armés de l’épée de la Sagesse et du bouclier de la Confiance !

  • 10
    Personne
    24 avril 2011 à 12h19 / Répondre

    Mon Frère, je me garderais de te donner des leçons, je ne suis même pas digne de te lacer tes sandales, mais je te parle avec la sincérité de mon coeur, si tu essaies d’être cohérent avec tes convictions, considère que l’homme ne peut s’en prévaloir car il est la victime de ses pulsions…
    Un corps sans tête n’existe pas, le rite aussi, si JC se prévaut de ce titre et qu’il l’écrive en se justifiant serait grave s’il n’en avait la transmission et le droit sacré qu’elle confère…
    Sans doute t’égares-tu, sois prudent dans tes affirmations car tu entretiens une climat délétère dans le sacré…

    PS Ton pseudo t’honores Mon Frère

  • 9
    Christophe
    24 avril 2011 à 12h04 / Répondre

    C’est toujours une excellente chose pour les chercheurs que l’un des principaux intéressés d’une controverse publie une synthèse complète de ses arguments et de ses documents.

    Espérons simplement que l’ouvrage remplisse bien l’objectif énoncé et qu’il ne s’agisse pas au contraire d’une n-ième relance du même mauvais feuilleton usé jusqu’à la trame, ce que la curieuse mention « n°1 », dans le titre, pourrait laisser craindre.

  • 8
    apprenti
    24 avril 2011 à 11h52 / Répondre

    Monsieur c’est péjoratif ?

    JC est un frère, je lui reconnais cet attribut. Mais ce n’est pas en qualité de frère qu’il signe ce livre mais en qualité de GM 99. Attribut que je ne lui reconnais pas.

    J’essaye d’être cohérent avec mes convictions.

    Quand à apprenti c’est un pseudo.

  • 7
    apprenti
    24 avril 2011 à 11h45 / Répondre

    Je suis d’accord avec tes deux arguments.

    Toutes ces coteries comme tu dis, je ne les vois même plus.
    Aujourd’hui j’ai le sentiment que la vielle égypte est au travail.
    Que les loges retrouvent leur sérénité.
    D’autres frères et sœurs égyptiens viendront peut être confirmer cet état de fait.

    Les gesticulations de certains ne peuvent plus tellement nous troubler.
    Nous avons déjà vécus tout ce qui pouvait mal se passer.

    Ne voudrais-tu pas donner une chance à la maçonnerie égyptienne qui œuvre dans le calme, se tenant éloignée de toutes ces turpitudes ? Le rite est magnifique, il ne mérite pas d’être réduit à quelques trublions. Ne prenons la partie pour le tout.

    C’est tout ce que je demande.

  • 6
    Personne
    24 avril 2011 à 11h42 / Répondre

    @ apprenti

    Ce « Monsieur » est un Frère, pourquoi garder ce comportement profane alors même que tu t’honores du titre d’Apprenti ?! De mon temps et à ton âge, si c’est bien celui que tu revendiques et qui est le plus beau de la Maçonnerie, je n’aurais jamais osé procéder de même !

  • 5
    Jiri Pragman
    24 avril 2011 à 11h33 / Répondre

    Lorsque j’étais Apprenti, je me suis rendu avec les autres membres de ma promotion à une Initiation égyptienne et j’avais apprécié ce moment. A mon tour, je comptais emmener mon filleul à une Initiation dans une Loge de Memphis-Misraïm mais son emploi du temps ne le permettra pas. C’est donc partie remise.

    En utilisant les termes évoqués plus haut (encore que j’ai évité les allusions aux combats entre hippopotames et crocodiles dans la boue du Nil), je veux juste ramener les choses à leurs justes proportions. La Franc-Maçonnerie égyptienne ne représente numériquement pas grand chose à l’échelle de la Franc-Maçonnerie dans le monde ou même de la Franc-Maçonnerie française, belge, suisse. Par contre, elle fait beaucoup de bruit sur le web.

    2 choses me gênent dans ce type de Maçonnerie:

    • le fait que certains confondent mythe et histoire (la Franc-Maçonnerie égyptienne ne remonte pas plus aux pyramides que la Franc-Maçonnerie classique ne découle des bâtisseurs de cathédrales)
    • les systèmes de Grands Maîtres à vie et de transmission qui ont abouti à toutes ces coteries.
  • 4
    apprenti
    24 avril 2011 à 11h10 / Répondre

    Et bien.
    « mare égyptienne » « microcosme égyptien » « inversement proportionnel à l’importance de cette maçonnerie »
    Dire mon cher Jiri, que tu as de l’inimitié pour la maçonnerie Egyptienne est un euphémisme.

    Quand à ce livre jaune, ma foi. Plutôt qu’un pavé dans la « mare » égyptienne, j’ai bien peur qu’il ne soit qu’une nouvelle pierre à l’édifice que ce monsieur cherche à se construire. Les maçons égyptiens franchirons cette vaguelette avec sérénité, se sentant aussi détaché des problèmes que ce livre voudrait soulever que son auteur leur est étranger.

    Je lirais par acquis de conscience. Même si la perspective de lui donner de l’argent ne m’enchante pas.

  • 3
    Personne
    24 avril 2011 à 11h05 / Répondre

    Qui n’a un jour assisté à une tenue dite Egyptienne, sans éprouver une grande sérénité, un éblouissement dans son âme ?!… Protéger l’essence même de ce rite, le préserver des remous profanes, le guider vers des eaux paisibles ( ! ) , le conduire sur les sentiers de la justice, c’est chose faite… sans haine ni violence, dans la sérénité du sanctuaire, merci !

  • 2
    Serge Malifer
    24 avril 2011 à 10h05 / Répondre

    L’ayant reçu en Service de Presse, j’ai eu le privilège de le lire en avant-première et je puis certifier de la qualité et de la probité du contenu. Étrillé durant des années par nombre d’anonymes ou de pseudos, Castelli apporte des réponses avec clarté, précision et produit ses preuves, et c’est d’une autre valeur que le faux attribué à Robert Ambelain, qui comme par hasard, resurgit depuis quelques jours sur un blog dit « d’observation… » Les préfaciers et l’auteur des conclusions signent de leur patronyme (on les trouve tous sur le net) et ne se commettent ni dans la complaisance, ni dans la croisade-revancharde. Qu’on aime ou qu’on n’aime pas la maçonnerie égyptienne, voici donc un pavé qui provoquera des ondes circulaires sur la surface mais sans éclabousser inconséquemment.

  • 1
    Néfertiti
    24 avril 2011 à 7h52 / Répondre

    Nous attendons avec impatience ce « Livre Jaune », disponible sur Internet aux Editions maçonniques.
    D’autant plus que j’ai constaté que les conclusions sont de Yonnel Ghernaouti, chroniqueur littéraire qui a déjà « commis » une vingtaine d’ouvrages.
    Son analyse est toujours pertinente et juste.
    Quand il écrivait dans « Initiations Magazine », sa plume ne laissait jamais indifférent et retenait déjà l’attention de nombreux Soeurs et Frères. Il a l’habitude de dire les choses comme elles doivent être dites.
    De plus, je crois savoir qu’il travaille aussi sur Baglis TV où il a animé quelques débats. Toujours passionnants.

La rédaction de commentaires est réservée aux abonnés. Si vous souhaitez rédiger des commentaires, vous devez :

Déjà inscrit(e) ? Connectez-vous