GLNF. Mise en examen de la directrice de Franc-Maçonnerie Magazine

Publié par Jiri Pragman
Dans Divers

Ce contenu est réservé aux abonnés.Pour accéder à cet article, vous pouvez choisir de :

*Vous pouvez déverrouiller jusqu’à 3 articles gratuitement.
vendredi 7 octobre 2011
  • 2
    Ronan
    9 octobre 2011 à 14h28 / Répondre

    Une simple affirmation comme « Les Frères de la GLNF ne se reconnaissent plus en François Stifani. » dans la bouche d’HC suffit pour justifier la mise en examen au titre de la diffamation.

    Par ailleurs, en tant que Directrice de la publication, c’est HC qui porte la co-responsabilité des propos tenus par JP, dont elle a assuré la diffusion dans son magazine.

    Mais il convient de rappeler que la mise en examen, très facile à obtenir contre une publication de presse au titre de la diffamation, ne signifie en rien culpabilité: FS devra argumenter et convaincre le tribunal et là, ce n’est pas gagné.

    Cela dit, je pense qu’il s’en contrefous, puisque:
    1) ce n’est pas lui mais l’argent des « contribuables » de la GLNF qui financera son avocat. Pour qu’il ait à souffrir personnellement de l’opération, il faudrait que le tribunal s’accorde sur le fait que ce n’est pas en tant que GM qu’il se prétend offensé, mais en tant qu’homme seulement, et que, en conséquence, il ne peut faire financer sa défense par l’obédience et doit règler seul d’éventuels dommages, au titre de l’Article 700 par exemple, s’il était condamné. Il y a d’ailleurs une insupportable asymétrie dans ce genre de procès, puisqu’un journaliste poursuivi pour des propos tenus dans un article de presse doit se défendre seul, à titre personnel, en assumant les frais de justice… Ici, HC étant mise en cause en tant que Directrice de la publication et non en tant qu’intervieveuse, n’aura vraisemblablement pas cette contrainte et il est probable que les honoraires de JMQ seront adaptés!:=))
    Et 2) entre temps, FS aura pu clamer haut et fort qu’il « traînera devant les tribunaux tous ceux qui oseront mettre sa bonne foi et son intégrité d’homme et de maçon en doute ». Avec pour effet d’impressionner ceux qui croient que mise en examen (ou même plainte déposée) vaut culpabilité, et peut-être même de faire reculer les moins audacieux par crainte de devoir affronter la Justice. De fait, si on sait dans quel état on se présente devant un tribunal, on ne peut jamais présager du résultat final.

    Enfin, il est amusant de prendre JMQ, pour qui j’ai par ailleurs la plus grande estime, comme avocat. Mais dans une affaire de cette nature, j’aurais plutôt recours à un avocat spécialisé dans le droit de la presse comme Maîtres Malka ou Kiejman.

  • 1
    drXu
    8 octobre 2011 à 21h39 / Répondre

    Rien dans le texte publié ne justifie une mise en examen!
    Je ne comprends pas les motifs du juge.

La rédaction de commentaires est réservée aux abonnés. Si vous souhaitez rédiger des commentaires, vous devez :

Déjà inscrit(e) ? Connectez-vous