Le portrait d’Alain Bernheim

Publié par Jiri Pragman

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lundi 7 novembre 2011
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  • 29
    Jiri Pragman
    21 novembre 2011 à 18h00 / Répondre
  • 28
    Zorro
    20 novembre 2011 à 17h09 / Répondre

    Alain Bernheim a répondu à sa manière aux ignobles commentaires de  » rue du Persil « . Qui se sent morveux se mouche ; Bernheim remporte le prix d’Histoire, ce que le pseudo persilien n ‘a jamais ne fût-ce qu’approché. Voir les commentaires sur l’ouvrage de Berheim en début de ce site.

  • 27
    lighthouse
    11 novembre 2011 à 10h19 / Répondre

    merci de passer mon commentaire concernant AB, sinon nous allons sortir les dossiers sur ses méthodes de travail, de photocopillages, etc
    M. Pragman soyez impartial…Vous avez prêté serment serment co mme nous, sinon au SML 2011, « ça va ce savoir », c’est bien une émission TV de la RTBF ?

  • 26
    lighthouse
    10 novembre 2011 à 23h46 / Répondre

    cher « un observateur impartial » devons-nous comprendre qu’AB est un adepte du plagiat ??? Ou pire encore pour un maçon, utiliserait un « nègre ???

  • 25
    Un observateur impartial
    10 novembre 2011 à 12h13 / Répondre

    Dès que son intégrité est mise en cause, Monsieur Henri Amblaine alias Alain Bernheim se pose bien évidemment en victime. Il ne veut ou ne peut comprendre qu’il y a des attitudes dans la vie qu’un Honnête Homme, et encore moins un vrai Franc- Maçon, se se permet pas comme se présenter deux fois au même prix en utilisant un pseudonyme !
    Nous nous permettrons donc un simple comparaison. En 1975, le poète résistant Pierre Emmanuel menaça de démissionner de l’Académie française si celle- ci élisait le dramaturge belge Félicen Marceau parce qu’il avait collaboré jusqu’en 1942 à la radio de son pays contrôlée par l’occupant allemand. L’Académie passa outre : elle l’admit dans son sein et déplora le départ de Pierre Emmanuel.
    Au contraire, nous observons simplement que la majorité de la Quatuor Coronati s’est rangée aux arguments du Frère H et a rejeté la candidature de Monsieur Alain Bernheim alias Henri Amblaine et lui a imposé ensuite un lon purgatoire.
    Monsieur Henri Amblaine alias Henri Bernheim ne peut s’empêcher de jeter l’opprobre sur les autres historiens maçonniques dès qu’ils lui font de l’ombre. Ainsi, lors de sa récente conférence, « Les rapports franco- anglais » qi’il présenta le 19 février 2011 devant l’Académie maçonnique de la Grande Loge de France et à laquelle j’assistais, il omit curieusement de mentionner dans son exhaustive bibliographie l’excellent article de Michel Brodsky, Prestonian Lecturer 1994 et Passé Maître de la Quatuor Coronati où il a été élu dès 1987, sur le même sujet, « Les relations maçonniques entre l’Angleterre et la France » publié dans les « Travaux de Villard de Honnecourt » (n°67, 2007).
    Monsieur Alain Bernheim alias Henri Amblaine a conservé de son ancienne carrière de virtuose tous les tarvers d’une Diva. Près d’un demi- siècle de présence sur les colonnes ne lui ont pas apparemment pas suffi pour polir sa pierre et il demeure toujours un Tablier sans Maçon !

  • 24
    Patrick37
    10 novembre 2011 à 12h01 / Répondre

    Merci, cher Quén, je m’enquerrai de cet auteur; merci de cette info.
    Cordialement,

  • 23
    Quén affère à Lidje !
    10 novembre 2011 à 11h11 / Répondre

    @ Patrick37
    Je te conseille aussi vivement Roger Bongard et son « Manuel maçonnique du REAA ».
    (…)
    Marc

  • 22
    alain bernheim
    9 novembre 2011 à 23h01 / Répondre

    Quant à son appréciation « le remarquable historien belge dont il ne peuyt [sic] bien évidemment [re-sic] qu’apprécier les travaux : Michel Brodsky qui fut également Vénérable Maître de la « Quatuor » comme son compatriote Jacques Litvine », je me permets de le renvoyer à l’article publié en 1998 dans AQC 110, ‘That “Strict Observance” Paper’.

  • 21
    alain bernheim
    9 novembre 2011 à 22h43 / Répondre

    « Monsieur [sic] Henri Amblaine alias Alain Bernheim a une curieuse interprétation de la réalité ». Tiens, tiens, tiens… L’ “observateur impartial” s’étant pris les pieds dans le tapis — « un simple fait vérifiable » s’étant avéré pure imagination de sa part… que veut maintenant dire « une curieuse interprétation de la réalité » ? — son thème change.

    Il part dans une interprétation imaginaire : « S’il pouvait se présenter deux fois au même prix, pourquoi a-t’il utilisé alors un pseudonyme ?? Par modestie, c’est douteux ! Dans ce cas, la Quatuor aurait du l’admettre parmi ses membres après ce double succès […] ».

    Mon cher Frère, tu évoques des questions que tu ne connais pas. Tu me forces à revenir à ton message précédent dans lequel tu écrivais « Estimant que la prestigieuse Académie anglaise tardait à l’admettre parmi ses membres… ». Eh non ! Deux membres de la loge Quatuor Coronati, le Brigadier ACF Jackson et Frederick William Seal-Coon, m’avaient proposé en 1988 comme membre de la loge. Et je dois maintenant citer les Mémoires inédits de mon ami Jackson dont je possède un exemplaire.

    « It would seem that, for some reason unknown, there was a deliberate character assassination made in front of the whole committee with the intention of ensuring that he would not be elected a member of the Lodge. […] The ‘gang’ and I use the word deliberately seem to have been H., H., a newish member G., a masonic book seller, and, I regret, J. S. […] who, as I afterwards found out, refered to [A.] slanderoulsly as ‘that irregular little Frenchman’.

    Je ne cite que des initiales, mais je tiens à la disposition de chacun les noms en question que Cosby Jackson écrivit entièrement. Ma candidature fut présentée au mois de juin 1989. Le Frère H. (qui aujourd’hui ne fait plus partie de la loge sans qu’il ait présenté sa démission) « started the discussion by saying that he was opposed to Alain being elected. His chief reason was that he ‘was not satisfied that Alain was a regular Mason’ ». J’ai appris depuis qu’il avait aussi déclaré qu’aussi longtemps qu’il serait vivant, je ne ferai pas partie de la loge Quatuor Coronati. Sa prédiction ne s’est pas réalisée.

    Ceci devrait te faire comprendre, mon bien cher Frère “observateur impartial”, pourquoi en 1993 j’utilisai un pseudonyme. Ai-je besoin de te décrire la fureur des membres de la loge lorsqu’ils apprirent qu’ils avaient décerné pour la seconde fois le Norman B. Spencer Award à ce Frère français qu’ils voulaient éliminer ? Dois-je t’apprendre que le Brigadier Jackson qui fut le premier à recevoir le Norman B. Spencer Award, PM de la loge, en démissionna à la suite des évènements que je viens d’évoquer ?

    Je crois seulement que tu te rends un peu ridicule en parlant de ce que tu ne connais pas.

  • 20
    Un observateur impartial
    9 novembre 2011 à 19h50 / Répondre

    Monsieur Henri Amblaine alias Alain Bernheim a une curieuse interprétation de la réalité. S’il pouvait se présenter deux fois au même prix, pourquoi a-t’il utilisé alors un pseudonyme ??
    Par modestie, c’est douteux !
    Dans ce cas, la Quatuor aurait du l’admettre parmi ses membres après ce double succès et non le faire patienter jusqu’en 2010 sans en outre l’honorer de la Pestonian Lecture comme le remarquable historien belge dont il ne peuyt bien évidemment qu’apprécier les travaux : Michel Brodsky qui fut également Vénérable Maître de la « Quatuor » comme son compatriote Jacques Litvine.

  • 19
    Kalilooela
    9 novembre 2011 à 17h00 / Répondre

    Bon parfait, faut pas exagérer, c’est « à part moi » qu’il faut lire, les autres fautes d’orthographe participent, c’est entendu, de la licence poétique, c’est évident…

    mais malgré tout, crotte de bique 🙁

  • 18
    Kalilooela
    9 novembre 2011 à 16h09 / Répondre

    En même temps, Schopenhauer est connu pour avoir tapé sur une femme qui l’empêchait d’avoir commerce avec une prostituée (elle était sur le chemin et il voulait pas que ça se sache), Nietzsche embrassait des chevaux, Thoreau convoitait la femme d’Emerson et ne se privait pas de lui faire savoir, Rousseau abandonna ses enfants, Voltaire était partisan de l’éducation pour tous mais pas pour les paysans qui labouraient ses champs, Derida est décrit par des membres de sa famille comme quelqu’un de pas très sympathique, Lacan allait jusqu’à fouiller les poches de ses patients pour prendre le montant astronomique de ses consultations, et on pourrait continuer longtemps comme ça. A par moi, qui suis parfait comme chacun sait, TOUS les grands personnages (hommes ou femmes) émettent des pets quand ils siègent sur leurs toilettes.
    Tout ça n’enlève rien à leur contribution à l’humanité, alors une petite manœuvre vraiment pas méchante ne peut, de mon point de vue, entacher l’œuvre d’un homme.
    Donc je me suis rendu sur un des sites conseillés par Jiri, et j’ai découvert un personnage d’une rare érudition, dont je ne partage pas toutes les opinions, mais qui a l’élégance de ne pas mettre trop d’exclusive dans l’énoncé de celles-ci.
    En plus il a une bonne tête ce charmant vieux monsieur, et en définitive, j’engage tous les membres de ce blog a approuver son entrée dans le grand temple du progrès de l’humanité par une boule blanche 😀

    Cordialement,

    Kali

  • 17
    Jiri Pragman
    9 novembre 2011 à 15h32 / Répondre

    Un portrait d’Alain Bernheim (suivre le lien) figure dans le Blog Maçonnique depuis le 9 avril 2008. A se demander pourquoi le portrait de 24heures attire autant de commentaires! Est-ce la propre citation de Bernheim dans l’article même? Est-ce le caractère agressif du 1er commentaire?

  • 16
    Alain Bernheim
    9 novembre 2011 à 15h13 / Répondre

    « Un observateur impartial » (sic) est bien mal renseigné lorsqu’il écrit à mon propos : « violant les règles du prix qui ne peut être décerné qu’une fois » et qualifie fraternellement ma conduite de “duplicité”. Il lui aurait suffi de lire les règles en vigueur (publiées dans AQC 81, page 316, elles furent reproduites ensuite sans changement dans presque tous les convocations aux réunions de la loge) pour constater qu’elles ne comprenaient pas cette restriction jusque et y compris 1993. Par contre, en 1994, la première de ces règles reçut l’ajout suivant: « No one is eligible who has previously been awarded the Norman B. Spencer Prize or who has been invited to read a paper at any meeting of Quatuor Coronati Lodge. ». La non-rétroactivité des lois est un principe que l’observateur impartial semble ignorer.

  • 15
    Patrick37
    9 novembre 2011 à 11h03 / Répondre

    Bonjour à tous!

    j’ai non seulement lu, mais ETUDIE le dernier livre d’Alain B. et j’encourage tout le monde à en faire autant (je ne parle pas de ceux qui l’ont déjà fait!); ce Frère fait partie des historiens de la FM qui sont sortis des lieux communs, des idées éculées, des reprises d’anciens auteurs…bref: ils ont innové et ouvert de nouvelles pistes, quelquefois très originales; grâce leur en sdoit rendues (bon, j’exagère un peu, mai c’est parce que je suis de bonne humeur).

    Je ne connais pas le (…) Alain B. mais je sais qu’il a reçu le Prix Caroubi, attribué par le Suprême Conseil De France à un écrivain qui défend et fait connaître les valeurs de la Franc-Maçonnerie.

    Enfin, pour que vous ne pensiez pas (et lui non plus!) que j’en fais le panégyrique, lisez également, dans la même veine, les Patrick Négrier, Claude Guérillot, André Kervella et il y en a sûrement d’autres que je ne connais pas.Vous vous enrichirez énormément en retrouvant les sources de notre Ordre.

    Cordialement,

  • 14
    Un observateur impartial
    8 novembre 2011 à 23h02 / Répondre

    Alain Bernheim est un remarquable historien. Mais au delà des louanges de ses admirateurs inconditionnels et des attaques excessives de ses détracteurs, ce simple fait vérifiable vous en dira plus sur sa véritable personnalité.
    En 1986, la « Quatuor Coronati » lui décerna le prestigieux Norman Spencer Prize pour « The Dating of Masonic Records ». Estimant que la prestigieuse Académie anglaise tardait à l’admettre parmi ses membres et violant les règles du prix qui ne peut être décerné qu’une fois, il utilisa un pseudonyme (Comme Romain Gary le fit avec Emile Ajar pour décrocher 2 fois le Goncourt) : celui de Henri Amblaine pour se porter à nouveau candidat et put ainsi décrocher le prix en 1993 pour « Masonic Catechisms and Exposures (early English and French) ».
    Cette duplicité lui valut attendre 17 ans avant d’être enfin admis à la « Quatuor Coronati ».
    Ce n’est qu’un exemple mais suffisamment révélateur. S’il était un véritable Honnête Homme, Alain Bernheim aurait certainement été honoré comme il convenait par la République des Lettres : une Direction d’Etudes à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes comme jadis Paul Gourdot, la distinction de Commandeur des Lettres comme Alain Bauer.
    Quel gachis et quel rayonnement aurait été dans le milieu maçonnique français !!!

  • 13
    Jean-Claude Villant
    8 novembre 2011 à 20h22 / Répondre

    Pour ceux qui ne connaissent pas notre érudit, voici un site où vous pourrez le découvrir ainsi que d’autres historiens.
    http://www.freemasons-freemasonry.com/indexfrancaise.html
    Jean-Claude Villant jvillant@yahoo.fr

  • 12
    Mnésis
    8 novembre 2011 à 19h58 / Répondre

    Probablement qu’AB peut être qualifié de Diva… et il n’est pas le seul !
    N’en reste pas moins que sa rigueur est là !

    un exemple dans ce pdf

  • 11
    STOLKIN
    8 novembre 2011 à 18h55 / Répondre

    ====

  • 10
    Kalilooela
    8 novembre 2011 à 13h35 / Répondre

    Je ne connais pas Alain Bernheim, mais les insultes que lui dédie rue du persil m’incitent à voir ce que ce [par ailleurs définit comme] chercheur propose.

    Des fois, une vacherie bien crasse remplace avantageusement une publicité moyenne 🙂

  • 9
    Rethy
    8 novembre 2011 à 12h42 / Répondre

    C’est en dénigrant le caractère de l’autre que l’on affirme le mieux le sien propre.

  • 8
    Quén affère à Lidje !
    8 novembre 2011 à 11h48 / Répondre

    J’ai acheté il y a peu ce livre.
    Et de ce que j’en ai déjà parcouru, avec plaisir je l’avoue, je partage le point de vue de Jean-Claude Villant.
    Ouvrage intéressant et très riche à plus d’un titre. Ce n’est certes pas un Guérillot (que j’apprécie beaucoup), mais son approche et son érudition « valent le détour ».
    Evidemment, c’est une brique, comme on dit… mais y a-t-il là matière à s’en étonner… pour un maçon ? 😉

  • 7
    jean moutet
    8 novembre 2011 à 10h50 / Répondre

    @ « rue du persil » :

    je ne sais si Alain Bernheim est bien ce personnage peu sympathique que tu descends en 3 lignes … en fin connaisseur tu l’as sûrement approché de près …

    par contre ton « style » tranchant et définitif, plusieurs fois exprimé sur ce blog, permet de te « reconnaitre » à coup sûr ! …

    alors, jalousie de  » maçonologue régulier  » ???

    J.M.

  • 6
    Jean-Claude Villant
    8 novembre 2011 à 10h42 / Répondre

    Pour moi Alain Bernheim est l’érudit de la Franc-Maçonnerie en ce début de 3ème Millénaire. C’est un Maçon Authentique non inféodé à un système quelconque. C’est un frère de grande érudition qui parle et pense en plusieurs langues.
    C’est un des rares à répondre, non seulement à répondre mais à donner un maximum d’éléments à la question qu’on lui pose. Il n’a pas hésiter à me retraduire une Instruction d’un rituel allemand. Je suis admiratif de son organisation, je ne sais pas comment il peut faire pour répondre si rapidement en citant autant de sources.
    @ rue du persil. Alain est un cherchant et un chercheur qui ne se contente pas de répéter ce que des malades de la cordonite écrivent en dépit de la réalité historique. Un exemple le GODF et le GLDF 1728 alors que la vérité historique est 1773 1894. Il faut nier l’histoire elle gêne les gourous.
    Je suis d’accord avec Jérome.
    Avec quelques dizaines de Vrais franc-Maçons comme lui, on ne parlerai plus d’exclusion, mais de la construction de l’homme et d’amour..

    Jean-Claude Villant jvillant@yahoo.fr

  • 5
    De Sousa Pinto Jérôme
    8 novembre 2011 à 9h06 / Répondre

    (…). Rue du Persil (quel courage d’insulter sous un pseudo),

    Sais-tu pourquoi je ne parle jamais de mobylette ? Parce que je n’y connais rien, je ne comprends comment cela marche et je ne fais pas d’effort, cela ne m’intéresse pas. Tu devrais en faire autant à propos d’Alain Bernheim et de ses travaux, tu devrais te taire. De plus, tu confonds ton incapacité à le lire (ce qui n’est pas un mal en soi puisqu’il est vrai que c’est ardu) avec l’illisibilité d’un travail donné.
    Quant à son caractère, il est vrai qu’il est particulier, mais il faut faire l’effort de le connaître et se révélera son extrême gentillesse et sa générosité.
    Bref, tu parles en ignorant, tu es insultant,c ‘est indigne d’un F.M.

    (…)

  • 4
    Jiri Pragman
    8 novembre 2011 à 8h53 / Répondre

    La manière dont peut user un historien « régulier » pour anonymement critiquer méchamment (en faisant allusion à son âge) l’âge d’un collègue me sidère.

  • 3
    MERCADIER Alain
    8 novembre 2011 à 8h42 / Répondre

    On peut ne pas partager les opinions d’ A.Bernheim mais on doit respecter son travail d’historien de la maçonnerie toujours soucieux de ses sources.

    Bien entendu, si l’on ne s’intéresse pas à l’histoire maçonnique ou si l’on est ignare, autant se limiter à la lecture de Jules Boucher.

  • 2
    Jiri Pragman
    8 novembre 2011 à 6h54 / Répondre

    Voilà un commentaire bien fraternel.

  • 1
    rue du persil
    8 novembre 2011 à 0h16 / Répondre

    C’est un fait. Bernheim, chroniqueur sans imagination, est son pire ennemi, méprisant avec les « petits », obséquieux avec qui a accès aux media, ravi qu’on l’aime..
    Méticuleux jusqu’à l’ennui mortel, son dernier bouquin est illisible.
    A part cela, un vieillard quelconque comme il y en a plein..

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