Mondanités à la GLDF

Publié par Jiri Pragman

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dimanche 22 septembre 2013
  • 12
    Yasfaloth
    24 septembre 2013 à 19h37 / Répondre

    @Jiri

    Ce qui m’importe c’est que les idéaux de progrès, de tolérance, de qualité d’être, de fraternité, etc… que véhicule la maçonnerie en général et la Grande Loge de France en particulier, diffusent à tous les échelons de notre société.

    Il ne se passe quasiment pas une semaine sans que tu annonces dans tes colonnes une de nos conférences. L’accès en est libre et ouvert à tous y compris aux plus humbles.

    L’exercice que tu trouves mondain s’inscrit à mon avis, une fois par an, dans cette logique; et utilise ici effectivement le véhicule traditionnel de l’apparat sans doute perçu comme nécessaire pour le « ‘public » (et l’impact médiatique) visé.

    S’y rajoute une nette volonté œcuménique matérialisée notamment par la présence de Daniel Keller, qui prouve que malgré les invectives récentes, « les » maçonneries continuent de se fréquenter (ce que reflète absolument la réalité des loges).

    Quand à l’extrême droite, sa vrai victoire aurait été que Mr Jupé se soit abstenu…

    Cordialement

  • 11
    Jiri Pragman
    24 septembre 2013 à 17h39 / Répondre

    A vrai dire, l’organisation de dîners par une Obédience maçonnique (ou une Loge) ne me dérange pas, même si le prix demandé est élevé dans la mesure où, généralement, celui qui veut s’inscrire le fait et sait que le bénéfice de la soirée ira à une oeuvre.

    Toute autre chose est l’organisation d’un dîner « select » avec des invités triés sur le volet (!) avec pour conséquence un renforcement de l’idée de lobby tentaculaire (ici une certaine extrême droite en a déduit que Jupé « courtise » les Francs-Maçons).

    Par ailleurs, j’ai effectivement ironisé sur la forme que prenaient les 2 relations de ce dîner où j’avais l’impression de me trouver dans certaines pages de Paris Match avec les noms des invités prestigieux en grasses, les photos,… Une seule chose manquait : on ne sait pas par qui était habillé Marc Henry (toujours élégant, je le concède).

  • 10
    Rethy
    23 septembre 2013 à 23h21 / Répondre

    Ah oui le prestige qui situe si bien l’individu entre l’être et le paraitre.

  • 9
    Yasfaloth
    23 septembre 2013 à 21h44 / Répondre

    Bonsoir

    Je crois que nous n’avons malheureusement pas d’autre choix que de laisser les gens comme Rethy à leur forme de bien pensance si largement répandue chez ceux qui « n’en sont pas » mais qui aimeraient peut être bien en être… et qui ne vont néanmoins pas manquer de se goinfrer lors des fêtes de fin d’année qui arrivent…

    Partout dans le monde ce genre de manifestation, où un certain éclectisme le dispute à la variété et la qualité des invités sont considérées comme un signe de bonne santé et même d’un certain prestige de la part de ceux qui l’organisent…

    Je comprends assez la griserie de Jean-Laurent Turbet, que j’ai d’ailleurs préféré ne pas citer dans mon premier post sur ce sujet, car il faut s’y faire, ici, la pensée positive n’a pas bonne presse…

    Cordialement

  • 8
    eMeReK
    23 septembre 2013 à 20h45 / Répondre

    A chaque fois c’est la même chose, pour dénigrer l’autre certains pisse-vinaigres sont prêts à toutes contorsions et tous raccourcis….tellement prévisibles….désir mimétique?

  • 7
    Rethy
    23 septembre 2013 à 20h03 / Répondre

    Oui mais alors il ne faut pas recruter au nom d’une fraternité universelle et prétendre qu’on travaille sur soi-même.

  • 6
    Fox7ans
    23 septembre 2013 à 19h27 / Répondre

    @Rethy
    C’est sympa ça de traiter des Frère d’affameurs. Très fraternel même…
    Faudrait arrêter de tout caricaturer pour servir sa « cause » parce que ça en devient franchement ridicule.

    D’ailleurs, à ce compte là, se réunir en décors en se proclamant « réguliers » quand un tiers de la population crève de faim, c’est plus que pathétique…

  • 5
    Jiri Pragman
    23 septembre 2013 à 18h32 / Répondre

    L’évènement est aussi traité par Jean-Laurent Turbet sur le mode zélateur qu’il adopte dès qu’il est question de la GLDF.

  • 4
    Rethy
    23 septembre 2013 à 14h42 / Répondre

    Ben oui… Quand un tiers de la population mondiale crève de faim.

  • 3
    Yasfaloth
    23 septembre 2013 à 13h59 / Répondre

    Bonjour

    Je ne doutes pas que c’est là le genre de commentaires qui doivent ravir notre cher « ami » François Koch dans son article pas du tout orienté…

    Personnellement il ne me choque pas du tout que la Gldf fasse, une fois par an, œuvre de communication envers la société civile à travers un diner d’apparat… tant qu’elle n’en est pas l’otage !

    Cela fait aussi partie des grandes traditions de notre pays…

    Amusant au passage de voir un Marc Henry barbichu !

    Cordialement

  • 2
    Rethy
    23 septembre 2013 à 13h14 / Répondre

    Bravo Jiri d’avoir publier cet article en même temps que celui sur la philanthropie des schriners. voilà toute la différence entre les deux maçonneries certains s’empiffrent et d’autres travaillent.

  • 1
    Bleu-Ciel
    23 septembre 2013 à 11h30 / Répondre

    En bout de chaîne,c’est toujours le franc-maçon de base qui paiera directement ou indirectement,toutes ces mondanités!
    Qu’attend-on en retour?….ce n’est pas pour cela que je suis entré en franc-maçonnerie!!!
    Qu’ils restent donc à Paris et nous laissent travailler loin de ces turbulences dans nos loges!

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