Clemens episcopus
La première page de la bulle "In eminenti" du pape Clement XII

Le secret de Polichinelle et celui du cœur

Publié par Jean-Luc Maxence

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lundi 20 juillet 2015
  • 5
    willermoz 59
    21 juillet 2015 à 12h52 / Répondre

    Beau texte, « Ne la dites à personne. Incarnez-le » , comme ça fait du bien de lire des choses comme ça simples et vraies… c’est tellement plus juste que  » d’être leader en matière de tradition initiatique… »
    d’un côté un appel à une démarche authentique personnelle, de l’autre la « gestion d’une marque » et le souci toujours d’une légitimité ou légitimation supplémentaire qui ne suffira jamais… après quoi faut-il courir en FM…. mais peut-on échapper à son temps et à ses stigmates…?

  • 3
    Pierre-Philippe Baudel
    20 juillet 2015 à 14h13 / Répondre

    Que sont les formes quand il n’y a point de fond ? Juste quelques écrits, mais assurément pas la raison d’être de la Franc-maçonnerie. Autrement dit, de croire qu’il n’y a pas ou plus de secret en Maçonnerie ne saurait relevé que d’un parcours dans une voie non initiatique. Tandis que nous accorderons bien volontiers, puisqu’il le demande, le pardon à l’auteur ci-dessus, pour ces manques. Fraternellement.

    • 6
      Blazing star
      21 juillet 2015 à 17h46 / Répondre

      Quand on est amoureux on ne le crie pas sur les toits, c’est intime, personnel.L’initiation qui est progressive provoque un changement dans le rapport avec nous même et avec les autres. Conscience d’abord confuse, inracontable, personnelle, comme le sentiment amoureux. C’est le secret maçonnique qu’on acquiert un peu a la fois et qui est inracontable car intime.

  • 2
    Lionel MAINE
    20 juillet 2015 à 10h58 / Répondre

    Il ne viendrait plus à l’idée de personne, par respect pour son choix de vie, d’appeler le boxeur Muhammad Ali par son Nom de naissance.
    Pourquoi, concernant le fugace franc-maçon Abd al-Wâhid Yahyâ, s’obstine-t-on à occidentaliser son Nom ?

    • 4
      Lhermitte
      20 juillet 2015 à 15h14 / Répondre

      Peut-être parce que René Guénon a toujours publié sous son nom de René Guénon et qu’il n’avait jamais changé de nom ?

  • 1
    AJ Lacot
    20 juillet 2015 à 9h29 / Répondre

    Parmi les milliers de bouquins sur l’Art Royal vient d’en paraître un sur les relations entre compagnonnage et franc-maçonnerie: Les enfants de Salomon ». Ce pavé dans la mare aux fantasmes est du à la plume érudite et documentée de deux cherchants autant que chercheurs, Hugues Berton et Christelle Imbert.
    Il a le poids d’un thriller de vacances (935 pages) et se lit comme un roman, bien que ce soit une très sérieuse approche historiques des liens entre maçonnerie opérative et spéculative et entre celles-ci avec le compagnonnage. C’est magistral et cela vient de paraitre chez Dervy.
    https://www.hiram.be/les-enfants-de-salomon/

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