Acacia

A Limoges, Espoir et Espérance pour les chrétiens et les francs-maçons

Publié par Géplu

Ce contenu est réservé aux abonnés.Pour accéder à cet article, vous pouvez choisir de :

*Vous pouvez déverrouiller jusqu’à 3 articles gratuitement.
samedi 14 novembre 2015
  • 3
    Lavarenne
    19 avril 2018 à 20h34 / Répondre

    Bonjour,
    serait-il encore possible, dans mon précédent message en attente de validation, de supprimer la phrase suivante :

    Je n’ai pas encore réussi à savoir si c’est seulement pour cette raison que M. Michel Laguionie mentionne dans un de ses livres « l’Espéranto, langue internationale imaginée par le frère Zamenhof ». (« Histoire des Francs-Maçons à Limoges », Limoges : Editions Lucien Souny, 1986, p. 222) ou s’il a eu accès à une source qui nous reste inconnue.

    Et d’ajouter, à la parenthèse

    (mais je suis preneur de tout document authentique qui le montrerait indubitablement),

    la note suivante :

    * M. Michel Laguionie, qui avait mentionné dans un de ses livres « l’Espéranto, langue internationale imaginée par le frère Zamenhof » (« Histoire des Francs-Maçons à Limoges », Limoges : Editions Lucien Souny, 1986, p. 222), vient de me confirmer par téléphone qu’en fait il n’y a jusqu’à présent aucun document connu attestant que Zamenhof ait été initié. (Et il a été d’accord avec moi et des sources concordantes, en particulier espérantistes, pour le considérer comme un « maçon sans tablier », c’est-à-dire seulement de coeur, ou un sympathisant ayant fréquenté de nombreux francs-maçons ; et collaboré avec eux puisqu’une de ses brochures a été éditée en 1913 par une association espagnole alors d’obédience maçonnique.)

  • 2
    Lavarenne
    19 avril 2018 à 18h53 / Répondre

    Bonjour, Je regrette de ne l’avoir pas su à l’époque car le thème fait bien sûr immédiatement penser aussi à l’espéranto. Son auteur, L. Zamenhof, qui n’était pas chrétien mais juif, il est vrai, avait signé le premier manuel de cette langue du pseudonyme « Doktoro esperanto » (« le Docteur espérant »), nom qui a fini par passer de l’auteur à la langue elle-même. Et s’il n’était sans doute pas lui-même franc-maçon au sens strict (mais je suis preneur de tout document authentique qui le montrerait indubitablement), il a souvent été considéré comme tel et a fréquenté de nombreux francs-maçons (de plusieurs pays) devenus espérantistes ; dont, à Limoges, Léon Berland avec lequel il a correspondu en espéranto en 1907, lui écrivant entre autres (ma traduction) :
    « Si le conseil municipal de votre ville désire donner à l’une des rues le nom de ‘Louis Zamenhof’, je donne volontiers ma permission et je [le] remercie cordialement de cet honneur que me fait la ville. »
    Il est donc bien au moins un « franc-maçon sans tablier », comme le conclut l’espérantiste Jean AMOUROUX (« Ĉu Zamenhof estis framasono ? », in Franca Esperantisto n° 464, mai 1995, p. 73-75), reprenant et faisant sienne la réponse d’un article (anonyme ?) antérieur : « Filatelo kaj framasonismo », in Le Monde des Philatélistes, avril 1991.
    Je n’ai pas encore réussi à savoir si c’est seulement pour cette raison que M. Michel Laguionie mentionne dans un de ses livres « l’Espéranto, langue internationale imaginée par le frère Zamenhof ». (« Histoire des Francs-Maçons à Limoges », Limoges : Editions Lucien Souny, 1986, p. 222) ou s’il a eu accès à une source qui nous reste inconnue.
    Amike (= « amicalement », en espéranto)
    Christian Lavarenne (chlavarenne@gmail.com)
    docteur en histoire (thèse sur l’Idée interne de l’espéranto,
    soutenue à l’Université Paris 13 en 2012, avec félicitations)

  • 1
    Chicon
    14 novembre 2015 à 9h36 / Répondre

    Un vent de sagesse souffle sur Limoges, on se croirait en 1723 à Londres….

La rédaction de commentaires est réservée aux abonnés. Si vous souhaitez rédiger des commentaires, vous devez :

Déjà inscrit(e) ? Connectez-vous