lamaconne Tarbes

Peut-on laisser dire n’importe quoi?

Publié par Géplu
Dans Divers

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lundi 27 novembre 2017
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  • 19
    lazare-lag
    4 décembre 2017 à 23h28 / Répondre

    Et sur les haricots tarbais, tasto mounjetos et autres noirs de bigorre, rien à dire?
    En guise de prélude aux banquets des solstices d’hiver?
    Servis avec un verre de Jurançon, vendanges tardives, ça ne se refuse pas.
    C’était un intermède pour les agapes mais pour l’agapé aussi.

  • 13
    Hep
    28 novembre 2017 à 11h55 / Répondre

    Si j’étais mauvais langue, je dirais que voilà où mène la mixité #Balancetamixité 🙂

    Mais bon, je ferai juste la liste des # qui vont monter :

    #Balancetonfauxfrère
    #Balancetonvénérable
    #BalancetonGOshTarbé
    # ….

    🙂

  • 12
    Peter Bu
    28 novembre 2017 à 10h55 / Répondre

    Je souscris à deux mains à tout ce qui contribue à défendre les femmes contre les violences. (Je ne souscrits évidemment pas aux excès qui déservent leur cause.)

    En lisant un site féministe, j’apprends que l’ONU a décrété « Journée mondiale du droit à l’avortement – 28 septembre 2017 », « Journée Mondiale des Droits de l’Enfant – 20 novembre 2017 », « La journée Internationale de la Paix – 21 septembre 2017 ». Cette dernière a été adoptée et déclarée par l’ONU en 1981.

    Prions pour la Paix dont les ambassadeurs principaux sont devenus des enfants ( voir http://www.un.org/fr/events/peaceday/ )

    Mais ne manque-t-il pas la « Journée contre les armes nucléaires »? (Accessoirement : ne serait-il pas plus utile de parler de cela que de polémiquer les uns avec les autres?)

    Curieusement, ces armes ne figurent même pas dans le registre des armes de l’ONU, pas plus que les armes chimiques et bactériologiques : https://unstats.un.org/unsd/cr/registry/regcs.asp?Cl=14&Lg=2&Co=891.29 . Elles sont englobées dans le terme « bombes et autres munitions », à côté des fusils de chasse et des chevrotines. Pourtant, ces armes nucléaires, chimiques et bactériologiques mériteraient un traitement à part, elles représentent un « saut qualitatif » énorme par rapport aux armes classiques.

    Depuis 1981, les munitions à charge nucléaire, appelées pudiquement « obus à uranium appauvri », sont utilisées par plusieurs États dans la guerre d’Afghanistan, les conflits de l’ex-Yougoslavie et dans plusieurs guerres du Moyen Orient. Elles sont enrichies par le plutonium, élément qui n’existe pas dans la nature et est extrêmement meurtrier. Un millième de gramme suffit pour tuer un homme. Ces obus empoisonnent la planète entière par des poussières qu’elles soulèvent.

    Défendre les femmes est indispensable mais je regrette que la lutte contre les violences guerrières et pour le désarmement nucléaire ne suscite pas le même intérêt.

  • 11
    Peter Bu
    28 novembre 2017 à 10h53 / Répondre

    Biobrute 27 novembre 2017 à 11:00 écrit: « Toujours est-il que la mise a mal du respect de la présomption d’innocence est une réaction à l’omerta passée sur les violences faites aux femmes, comme un retour de bâton en quelque sorte.  » En lisant ces échanges, je ne suis pas sûr que l »omerta » soit « passée ».

    Si vous avez des doutes sur les violences faites aux femmes et la nécessité, pour elles, de se défendre, lisez les articles et la revue de presse de l’excellent site québécois http://sisyphe.org/spip.php?

    Rien qu’un exemple (tiré de Paris Match): « L’histoire de Cyntoia Brown date de 2004 mais une enquête réalisée par une chaîne américaine a remis en avant cette affaire autrefois passée inaperçue. Esclave sexuelle à Nasvhille, elle a tué l’homme qui la retenait. » (…) « Alors qu’elle est au lit avec lui, Cyntoia le tue d’une balle dans la tête. Elle avoue rapidement le meurtre et explique avoir été prise de panique. Quelques mois plus tard, l’adolescente est condamnée à la prison à vie pour meurtre et prostitution. » Notez le second motif de sa condamnation, consternant!

  • 9
    Pierre-Philippe Baudel
    27 novembre 2017 à 16h56 / Répondre

    A mon humble avis, mon Cher Géplu, cette affaire n’est ni à prendre avec des « pincettes » comme tu dis, ni d’une quelconque autre manière ensuite, pour la bonne et simple raison qu’elle est d’ordre privé, et n’intéresse en rien les buts de la Franc-maçonnerie. Au surplus, puisque débordant le cadre des loges concernées, que leurs Vénérables en tirent les conclusions impartiales qui s’imposent , sans bruit, avant que la montagne n’accouche en effet d’une souris.

  • 8
    Benjamin Rathery
    27 novembre 2017 à 15h52 / Répondre

    « La Maçonne » est aussi objective et nuancée dans son « journalisme d’investigation » qu’Edwy Plenel, c’est dire !
    Quant à François Koch, récent invité au diner de la GLDF, (le jour où les FM auront compris que François Koch anime un site anti-maçon, ils auront fait un grand pas vers la lumière!), on peut espérer que le siège de l’Express (rue de Chateaudun, à coté du GODF) venant de déménager, il fréquentera moins les bars de la rue Cadet pour recueillir les ragots que des FF « bien informés » lui refilaient pour lui montrer qu’ils étaient dans le secret des dieux.
    Vanitas vanitatum omnia vanitas !

    • 10
      Peter Bu
      28 novembre 2017 à 10h23 / Répondre

      Un petit détour relatif au journal L’Express :

      François Koch est libre de penser ce qu’il veut et ses informations peuvent, parfois, attirer utilement l’attention sur les faiblesses de dirigeants des obédiences. Mais je n’apprécie pas la facilité avec laquelle il censure les contributions sur son site. Dès le moindre ombre de soupçon que l’on critique ses écrits un autre employé de l’Express, Philippe Laurent, manie les ciseaux d’Anastasie encore plus aisément – et son rédacteur en chef ne s’en émeut même pas. Ces journalistes ne semblent pas connaître la devise de Beaumarchais « La liberté ne s’use que si on ne s’en sert pas ».

  • 7
    yasfaloth
    27 novembre 2017 à 11h49 / Répondre

    Oui, bon, c’est la maçonne quoi… je comprend ta colère, mais ton article, Geplu, ne fait que lui faire de la pub et lui apporter du clic… et… les « caniches » vont forcément se ranger de son côté…
    .
    Et sur le fond : non, non, les femmes ne se comportent jamais comme des furies quand elles perdent leurs nerfs, ne font jamais preuve de perversité vis à vis des hommes qui les ont (à juste titre ou non) déçus, et le fait que 3 loges dont une loge féminine émette des réserves sur la présentation des faits tels que présentés par la maçonne n’est qu’un exemple supplémentaire de collusion maçonnique !
    .
    On est dans un moment particulier : il faut laisser passer l’orage…

    • 14
      un correspondant
      28 novembre 2017 à 18h01 / Répondre

      Yasfa, regardes-tu les courriels adressés à ton adresse yasfaloth ?

    • 16
      Luciole
      30 novembre 2017 à 19h59 / Répondre

      Méfie toi Yasfa,la dérision est parfois prise au sens premier (je n’ose dire au premier degré). Coluche et Desproges disaient les applaudissements frénétiques lors de propos outrancièrement racistes pris tels quels.

      • 17
        yasfaloth
        1 décembre 2017 à 10h22 / Répondre

        Même si j’en avais pris le ton, je n’étais, hélas pas dans la dérision sur ce commentaire. Des femmes physiquement violentes,malheureusement cela existe, et beaucoup plus qu’on ne l’imagine.
        .
        Tout le monde n’a pas le contrôle de soi qui permette « d’encaisser » leur violence sans qu’elles en porte la marque… je sais de quoi je parle… et je ne suis hélas pas le seul :
        .
        http://357.hautetfort.com/archive/2015/11/25/l-homme-battu.html

        • 18
          357
          1 décembre 2017 à 20h11 / Répondre

          Effectivement !

  • 5
    Tartuf_rit
    27 novembre 2017 à 11h18 / Répondre

    Désolé sil’on est face à ce type d’agression on sort son…. Code Pénal pour faire condamner le/ la coupable. Ne pas le faire c’est quelque part entériner la chose et laisser planer le doute c’est prêter le flanc à l’adage « qui ne dit mot consent »

  • 4
    patrox
    27 novembre 2017 à 11h04 / Répondre

    comme éléments factuels, la maçonne affirme avoir vu deux constats de médecins annonçant des traces de strangulation…

    à propos du style « hystéro-dramatique » adopté, il faut reconnaître que d’une part ces derniers temps le romantisme « Zorro » a gagné les femmes ( cf Cash Investigation ) et d’autre part que les Zorros se sentent toujours autorisés à toutes les agressivités et aux instructions à charge uniquement…mais, comme dit ma compagne :  » faut choquer un peu pour que les choses bougent » .

    • 6
      André C.
      27 novembre 2017 à 11h26 / Répondre

      Attention. Un constat médical constate des traces sur le corps, qu’il peut attribuer à des coups, et éventuellement les dater. Rien de plus. Le médecin n’est pas un policier, et sauf s’il a assisté à la scène ce n’est pas à lui de dire qui est l’auteur des hématomes constatés. Comment le pourrait-il d’ailleurs.
      Un constat médical de coups n’est donc pas une preuve de culpabilité de qui que ce soit. A la police de vérifier la réalité des accusations du ou de la plaignante. Il faut toujours être très prudent dans ces affaires où la colère et les rancœurs prennent vite le dessus sur la raison.

  • 2
    André C.
    27 novembre 2017 à 9h26 / Répondre

    Il y a des silences coupables. Ne pas dénoncer cet article scandaleux en aurait été un.

    • 3
      Biobrute
      27 novembre 2017 à 11h00 / Répondre

      La maçonne surfe sur la vague du « #Balancetonporc ». Le fait-elle par conviction ou par souci de nombre de visites de son site ? Toujours est-il que la mise a mal du respect de la présomption d’innocence est une réaction à l’omerta passée sur les violences faites aux femmes, comme un retour de bâton en quelque sorte. La routourne a tourné comme aurait pu dire un grand philosophe contemporain…

  • 1
    Stella-Matina
    27 novembre 2017 à 7h41 / Répondre

    Effectivement après lecture de l’article en question on espère que « la maçonne » n’intégrera jamais la magistrature, tant son jugement est tranché et peu objectif. Chacun sa place et sa fonction ! Les tribunaux sont suffisamment compétents pour gérer cette histoire qui est d’une banalité quotidienne au vu des affaires qui dorment sur là bureaux des Procureurs. Je ne minimise pas les faits potentiellements accomplis, mais il faut raison garder. Nous n’avons certainement pas besoin de justiciers à 2 sous qui jugent uniquement par conviction et sans faits. « J’ai appris que… », « on m’a dit que… ». Moi on m’a appris la prudence et la tempérance en Loge… et surtout à ne jamais juger et condamner mes Frères et Sœurs ! La justice profane s’en chargera.

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