Mylene Farmer

Mylène Farmer, Grande Architecte de la Franc-Maçonnerie gay friendly

Publié par Géplu

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samedi 28 avril 2018
  • 12
    ERGIEF
    29 avril 2018 à 21h39 / Répondre

    La pratique initiatique que dévoile cette photographie me plait bien. C’est quel rite? Quelle loge? Est-ce qu’on peut visiter? Adorerais h explorer les profondeurs de l’âme humaine….

  • 10
    Peter Bu
    29 avril 2018 à 15h08 / Répondre

    J’ai regardé d’autre textes de l’Araignée du désert. Je suis déçu, il n’écrit pas si bien que cela et il est souvent confus et pathétique.
    Mais, contrairement ce que l’on pourrait croire après avoir lu l’article sur Farmer, il défend l’homosexualité, n’a rien contre la laïcité, participe à des « soirées fraternelles », polémique avec l’église catholique :
    « En ce moment, l’affaire du petit Alfie Evans agite la cathosphère et les pro-Vie. Même le Pape s’en mêle. Ils s’y prennent comme des pieds puisqu’ils pratiquent ce qu’ils dénoncent.(…) Car il faut être aveugle pour ne pas voir que le « mariage gay », la GPA, l’euthanasie, sont défendus au nom de « l’amour » (homo) par des personnes gays friendly voire homos, et même si ces dernières se disent catholiques et de droite (Jean-Luc Romero, Caroline Mécary, Anthony Hayden, Erwann Binet, Emmanuel Macron, etc.). »
    N’en jetez plus !

  • 9
    Peter Bu
    29 avril 2018 à 14h50 / Répondre

    Il ne faut pas se priver de la conclusion de cette analyse, très poussée quoique délirante, de Mylène Farmer:
    « On peut rigoler tant qu’on voudra du caractère insensé, grandiloquent et narcissique des paroles des chansons de Mylène. On peut s’agacer ou tourner en dérision le caractère anodin, sur-esthétisé et barré de son « univers ». Mais soyons sûr d’une chose : Mylène Farmer se prend vraiment pour la Bête de l’Apocalypse et veut transformer ses fans en bêtes, dans tous les sens du terme « bête » : en consommateurs abrutis et en démons. Tenez-vous-le pour dit. Ce n’est pas que « léger » d’aimer Mylène Farmer. C’est dangereux. C’est un rituel satanique et maçonnique. »
    Ce n’est pas encore du Leo Taxil mais Philippe Ariño il a la plume et l’humour. Qui sait, s’il n’est pas sérieux et persiste…

  • 7
    jean-Michel Borello
    29 avril 2018 à 11h07 / Répondre

    Il faut aussi savoir que le nom mylene farmer comporte deux fois 6 lettres, soit 4 fois le chiffre 3, le plus important de la numérologie maçonnique et que c’est aussi le commencement du chiffre de la bête, 666…
    On voit donc bien que la sulfureuse Mylene Farmer est bien l’ambassadrice de la maçonnerie sataniste.
    Merci à l’araignée-du- désert d’ouvrir ainsi les yeux de tous les esprits arachnéens de notre pauvre monde.

    • 8
      lazare-lag
      29 avril 2018 à 11h37 / Répondre

      Pour ma part j’observe que le nom Borello est composé de 7 lettres, le 7 étant également un chiffre symbolique et que les prénoms jean et michel sont rassemblés, réunis, par un trait d’union. Façon de rassembler ce qui est épars? Façon d’évoquer quelque improbable chaîne d’union?
      C’était là quelques réflexions d’un esprit arachnéant, euh pardon, d’un esprit arachnéen de notre pauvre monde!
      Esprit dont on aura repéré l’humour, j’espère.

  • 5
    CORINE
    28 avril 2018 à 15h22 / Répondre

    une branche qui recrute de nos jours vu les aberrations sur le net la PSYCHIATRIE

    • 6
      Aumont
      28 avril 2018 à 20h40 / Répondre

      Tu as raison, c’est même assez grave : la francmaçonnerie mène à la folie.

  • 3
    lazare-lag
    28 avril 2018 à 14h44 / Répondre

    Si on m’avait dit qu’un jour je lirai le mot « arachnéen » sur le blog d’Hiram.be……
    Très vraisemblablement la première fois qu’il doit y apparaître.
    Et tout ça grâce à Mylène Farmer. Qui l’eut cru?
    Celà dit, on en a vu d’autres.
    Personnellement je m’amuse toujours (enfin, pas toujours…) quand je vois ici ou là quelques spécimens qui fleurent bon le jargon spécifique à certains cercles bien circonscrits.
    « Paradigme » et « doxa » par exemple.
    Et quasiment chaque fois employés sans souci de vulgarisation, mais plutôt d’élitisme. Donc sans fraternité aucune, même involontairement. Pour tout dire quand je les vois sous certaines plumes, je crains le pire.
    Et je vous fais grâce du verbe dédier dont se sont emparés depuis moins de dix ans autant les salles de rédaction, les cabinets de hauts-fonctionnaires, les salons parisiens, et maintenant les publicitaires, et qui l’utilisent à tort et à travers, avec faute de syntaxe en prime quasiment à chaque fois.
    Ce qui irrite autant l’oeil à l’écrit que l’oreille à l’oral.
    Dans ces cas là, un seul remède, se relire une bonne page de français bien écrite.
    Je préconise pour ma part et par exmple une chronique d’Alexandre Vialatte tous les soirs avant de se coucher.
    Après une journée de boulot, ça dispense de tout cachet soporifique.
    Pour qui ne connaitrait pas Vialatte, un petit extrait, c’est cadeau, issu de « Chronique des rues, des statuts et des chats » (La Montagne, 31/08/1965) ».
    Il y évoque ainsi la mémoire de Jacques Audiberti, quasiment oublié aujourd’hui, (mais quand même popularisé par une chanson de Claude Nougaro):
    « On a donné son nom à Antibes à la place du Marché aux fleurs. Je n’aime pas tellement qu’on donne à des rues des noms de gens que j’ai connus vivants. C’est une façon de les faire mourir une deuxième fois. (…) Le bronze les fige et les situe. Il est délégué au souvenir. Il se souvient à la place des autres. Je n’aime pas qu’on se souvienne pour moi. (…) Il faut bien qu’il y ait des statues. Mais j’aime mieux celles de gens que je n’ai jamais connus.
    On a aimé quelqu’un, on a ri avec lui, on a bu, la vie était belle parce qu’on savait qu’on le retrouverait le lendemain. Un beau jour il n’est plus qu’un nom sur une plaque bleue pour désigner l’espace entre deux murs sur une longueur de cinquante mètres. D’un boulevard à une rue déserte. Entre des portes et des persiennes fermées. Avec un chat qui passe lentement dans le grand soleil.
    C’est une idée insupportable.
    (…) Que peut savoir un chat d’un homme qui a donné son nom à une rue? »
    (Publié in « Chroniques de « La Montagne », 1962 – 1971″, Coll. Bouquins, Ed. Robert LAFFONT, 2011, ISBN: 978-2-221-09042-8).
    Bref, une langue simple; un sujet, un verbe, un complément. Que du bonheur.

    • 4
      lazare-lag
      28 avril 2018 à 14h49 / Répondre

      Et on m’excusera d’avoir écrit « Chronique des rues des statuts et des chats » là où il faut bien entendu lire: » des rues, des statues et des chats »!!!!

    • 11
      Corinthien
      29 avril 2018 à 17h16 / Répondre

      @ Lazare-lag : Maxime Le Forestier evoque aussi Audiberti dans sa chanson de 1974 « Fontenay aux Roses ».
      « Monsieur Audiberti
      Vous parle d’inconnus,
      Vous êtes déjà loin »…

      • 13
        lazare-lag
        29 avril 2018 à 22h54 / Répondre

        Merci Corinthien pour l’info concernant Le Forestier. Il est vrai qu’ayant des origines toulousaines, Nougaro m’arrive plus naturellement.

  • 2
    Eusèbe Vrayt
    28 avril 2018 à 10h09 / Répondre

    Délire à savourer en effet 🙂 La dimension arachnéenne de la Franc-Maçonnerie m’avait totalement échappé – naïveté coupable que la mienne, qui n’avais pas pris la dimension de la « toile » …

    Attention, cela dit, aux abus de délire : le plus inquiétant, je trouve, est que ce zinzin est enseignant !

    http://www.araigneedudesert.fr/category/portrait/biographie/

  • 1
    Victor
    28 avril 2018 à 9h58 / Répondre

    C’est vraie qu’en la regardant bien et en l’ecoutant avec attention…

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