Hiram SFERE

Hiram et les autres Hiram

Publié par Géplu
Dans Divers

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mardi 9 avril 2019
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  • 12
    ABIBALA
    14 avril 2019 à 12h11 / Répondre

    Toutes ces lignes résumées dans lesquelles l’exégèse excelle, et qui sont à acheter si l’on veut en lire l’intégralité, sont très intéressantes à lire.
    Les récits sont proches de ceux que j’écoutais dans les années 60 sur radio Luxembourg le dimanche matin . Jean YANN nous racontait alors les paroles échangées entre BOSSUET et son bedeau MARCEL.
    L’utilisation de la pensée analogique qui est partie intégrante de la franc-maçonnerie m’oblige à lire les récits HIRAM – Franc-maçonnerie comme analogues aux paroles de BOSSUET et son bedeau MARCEL.
    Expliquer les rituels, c’est faire du BOSSUET – MARCEL!

    A partir du moment où la science, la vérité, l’histoire revue par BRAUDEL, CITRON… la sociologie, l’ethnologie ( LEVIS STRAUSS -GODELIER…tout l’ EHESS) … ne sont pas utilisées, alors tout peut s’écrire, se dire , se « conférencer » se « philomathiquiser » devant une assistance acquise aux propos.

    A QUAND UNE ETHNOLOGIE (VRAIE ET SÉRIEUSE) DE LA franc-maçonnerie?

    Pouvoir tout dire et écrire doctement sur n’importe quoi et inversement, sans déclencher une polémique EST LA RAISON SUPRÊME DE L’EXISTENCE DE LA franc-maçonnerie. Le « cause toujours tu m’intéresses » est un élément sublime de la franc-maçonnerie qui nous permet de rester fraternellement ensemble quoi qu’il arrive!

    Vive la liberté sans la bible, Vive la pensée qu’il faut oser et l’esprit qu’il faut construire, Vive la loge (qui heureusement n’est pas une école doctorale!!!) où l’on peut fraterniser, se taper sur le ventre, partager idées et agapes (avant on pouvait fumer la pipe!) et même se respecter, et où l’on se fout d’Hiram, Myriam, Saint-Jean, de la Vierge Marie, du mystère de l’immaculée conception, de tout ce qui se récite en ordres et degrés de sagesse ou supérieur… du moment que l’on s’apprécie et que l’on s’aime en passant de bons moments ensemble arrosés avec modération et parcimonie.

    Seul le livre de notre TEMPS qui s’est ouvert il y a peut-être 13.8 milliards d’années nous est imposé.

    • 13
      Maxime
      14 avril 2019 à 13h18 / Répondre

      Certes.
      Mais une élucubration reste une élucubration.
      Comme, par exemple, pour faire croire qu’on sait de quoi on parle, traduire « AbiBaal » par Abibalé, Abibalc ou Abibalq (j’ai vu pire) et pour finir par Abibala.
      Mais ce que j’en dis …

  • 11
    Adéle
    14 avril 2019 à 10h54 / Répondre

    Allons mes Frères il ne faut pas que l’arbre cache la forêt. Un avis d’une Sœur n’est pas nécessairement celui des autres. ?

  • 2
    Maxime
    9 avril 2019 à 9h55 / Répondre

    Quand on boit un coup, on fait de l’ety(mo)logie de comptoir.

    • 4
      yasfaloth
      9 avril 2019 à 11h25 / Répondre

      Moi je trouve que c’est une (autre) jolie histoire, je déplore juste, une fois de plus, que les apprentis ou les compagnons qui vont la lire ici risquent de se priver d’une partie de l’essence du moment de leur future exaltation au grade de Maitre…

      • 6
        altec
        9 avril 2019 à 17h39 / Répondre

        étaler la connaissance sans prudence

        • 8
          Désap.
          9 avril 2019 à 21h10 / Répondre

          4 / 6 – Je vous en prie, aucune étude archéologique ne confirme ce délire féministe qui ne correspond pas plus à quoique ce soit d’initiatique.
          D’ailleurs, y voir un quelconque dévoilement de l’exaltation est un peu … comment dire … romantique :))

  • 1
    Anwen
    9 avril 2019 à 5h55 / Répondre

    Hiram, Myriam, Saint-Jean, la Vierge Marie et le mystère de l’immaculée conception
    Commençons par préciser au sujet d’Hiram que nous n’avons à tenir aucun compte des récits de la Bible, puisque c’est un livre profane, destiné à cacher le rôle de la Femme. Rappelons seulement qu’elle fait d’Hiram un roi de Tyr, en réalité une Reine.
    Cette reine de Tyr, dont le prénom était Elissar, eut une puissance considérable dont l’histoire classique ne nous rend pas compte, mais dont les traditions occultes nous font entrevoir l’importance. C’est à elle, cachée sous le nom d’Hiram, qu’on donne le plus grand rôle dans la construction du Temple, c’est elle qui en aurait fourni les matériaux qui furent envoyés de Tyr.
    Quant à sa puissance morale, elle est résumée, dans les rituels maçonniques. Il suffit de les rappeler pour qu’on en juge. Nous y lisons ceci :
    « Quel était cet homme ? D’où venait-il ? Son passé était un mystère. » Or c’est toujours ainsi qu’on parle des personnages qui ont subi la substitution de sexe.
    « Hiram est aussi étrange que sublime. Son génie audacieux le place au-dessus de tous les hommes. Son esprit échappe à l’humanité (masculine) et chacun s’incline devant sa volonté et sa mystérieuse influence. »
    C’est du nom de cette reine Elissar que semble venir le nom donné au lieu où régnaient la Vérité, le bonheur et la paix : les Champs-Elysées, séjour des âmes heureuses, qui n’aurait été qu’une représentation de la vie des initiés.
    Quoi qu’il en soit, la légende d’Hiram contient un fait de la plus haute importance : c’est l’existence d’une force inconnue qui s’ignore elle-même : c’est la force morale de la Femme.
    C’est là le grand secret du Monde ; c’est en le découvrant qu’on arrive à comprendre les motifs de l’éternelle lutte entre le Bien et le Mal, de la guerre implacable de la haine, de l’hypocrisie et de l’ignorance contre le génie, contre le travail, contre la Sagesse et l’Amour.
    C’est dans la cérémonie d’initiation au 3e degré des Mystères de Jérusalem qu’on faisait l’histoire de Myriam et qu’on disait : « Notre grande Maîtresse innocente était née pour être heureuse, pour jouir en toute plénitude de tous ses droits sans exception, mais elle est tombée sous les coups de trois assassins. »
    Nous savons qu’en vérité le nom d’ « Hiram » doit se lire de droite à gauche comme lisent les Hébreux et non de gauche à droite suivant L’usage des Européens : Hiram alors devient Maria. Le heth final se prononce A.
    C’est l’antique nom de Myriam qui, en passant de l’égyptien à l’hébreu des temps postérieurs, est devenu Maria.
    Plutard, les siècles qui avaient brillé du premier et vrai Christianisme, celui de Johanna (devenu Saint Jean depuis qu’on a masculinisé le nom de cette femme) avaient remis en lumière la grande Myriam, et le culte de cette personnalité, entourée du prestige des choses lointaines, s’était répandu dans tout l’Orient.
    Lorsque, après la conversion de Constantin, on chercha à introduire la religion nouvelle en Gaule, c’est-à-dire le faux christianisme de Paul, on comprit qu’il faudrait des siècles pour détruire le culte de la Nature, qui y régnait, et la glorification de Marie (Myriam), l’antique Déesse égyptienne. L’Église aima mieux faire des concessions ; elle rendit un culte à Marie à cause de sa rivalité avec les Johannites, bien plus puissants qu’elle, à cette époque, malgré les persécutions. Ce fut une surenchère : l’Eglise s’appropria la Sainte et l’exalta avec exagération, tout en l’incorporant dans sa légende, pendant que les Fraternités qui, dans les Loges de saint Jean, lisaient son nom à l’envers et en faisaient « Hiram », la cachaient de plus en plus ; et c’est par cette ruse que les Catholiques ont dominé le monde et que les Johannites ont disparu.
    Cordialement.

    • 3
      Désap.
      9 avril 2019 à 11h24 / Répondre

      1 – Si ce n’est que les principes maçonniques et les légendes qui s’y rapportent sont parfaitement androgynes, le sex ou genre étant une contingence source d’erreurs, ainsi inutile à la réflexion.
      Le féminin et le masculin sont des principes qui, du point de vue métaphysique, seul valable en l’espèce, sont à la fois égaux et complémentaires, de même que négatif positif, noir blanc, etc.
      Les six directions de l’Espace procèdent du centre qui est partout, leur étendue est infinie et non indéfinie.
      Le crime n’est pas celui d’un homme, ou d’une femme, il est celui de la vérité exécutée par le dogme, d’un domaine qui dépasse singulièrement le genre humain, lui-même contingent.
      Lorsque vous serez fatiguée de nous donner des leçons, eh bien vous vous re-poserez comme le fit le démiurge le septième jour.
      Mes amitiés.

      • 5
        Désap.
        9 avril 2019 à 11h42 / Répondre

        En complément :
        depuis ce jour bénit des dieux nous travaillons, nous ne sommes plus oisifs à contempler sans comprendre et à subir les fantasmes de prophètes à l’imagination fertile.

      • 7
        lazare-lag
        9 avril 2019 à 20h48 / Répondre

        Sans prétention aucune,je propose un petit moment de détente, ou de sourire, ou de décalage, ça m’est juste venu après avoir lu le mot « fatiguée ».
        L’anagramme de Anwen ne pourrait-il pas être… « vannée »?
        (désolé, si je m’amuse de vraiment peu)

    • 9
      ERGIEF
      9 avril 2019 à 23h03 / Répondre

      Quel sac de noeuds!

    • 10
      Jean_de_Mazargues
      12 avril 2019 à 14h27 / Répondre

      Quand les bornes sont dépassées, il n’y a plus de limites. On comprend mieux à lire ce texte délirant le choix des FF qui demeurent dans une obédience masculine …

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