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Les derniers témoins de la vie de Mozart

Publié par Géplu
Dans Edition

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mercredi 17 avril 2019
  • 2
    JEAN VAN WIN
    19 avril 2019 à 10h05 / Répondre

    Ce qui constitue un « miracle », c’est le fait d’avoir retrouvé ces deux carnets en 1955, par le plus grand des hasards, alors qu’ils avaient été perdus, et donc ignorés, depuis 1829. Ils ne furent publiés pour la première fois qu’à cette date tardive de 1955. J’ai beaucoup correspondu avec Jean et Brigitte Massin, tant au sujet de leurs Marat, Robespierre et Danton, que de leurs Mozart, Beethoven et de leur incomparable Schubert. Leur Mozart fut publié en 1959, au Club français du livre, soit peu de temps (5 ans) après la première édition du Novello en langue anglaise. La bibliographie du gigantesque monument mozartien des Massin n’en fait aucune mention (voir pp. 1195 à 1202). On peut le regretter.

  • 1
    Brumaire
    18 avril 2019 à 19h51 / Répondre

    On aurait aimé l’avis de Jean et Brigitte Massin, mais ils sont tous les deux décédés.
    Est-ce un « miracle » comme le met Geplu entre guillemets, ou les traductions de ces carnets? Ces carnets sont-ils la vérité, ou seulement un reflet?

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