La franc-maçonnerie en Bretagne : Le compas et l’hermine

Publié par Géplu
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jeudi 5 décembre 2019
  • 4
    Cédric
    8 décembre 2019 à 11h22 / Répondre

    Passionnant merci !

  • 3
    Corinthien
    8 décembre 2019 à 11h07 / Répondre

    Très cher Anwen, que répondre ou commenter après un exposé aussi culturellement instructif.
    Notre Frère Kervella André, auteur de « Aux Origines de la Franc-maçonnerie Française » (1689-1750), ou bien François Labbé, auteur du livre « Les débuts de la Franc-Maconnerie en Bretagne » ainsi que Pierre Mollier au GODF doivent en rester cois…
    Il manque cependant, dans votre exposé, des explications attendues concernant les liens de la Franc-maçonnerie moderne bretonne avec les mystères de l’Atlantide ou la continuation du continent de Mu.
    Quant au passage sur Ptolémée et Strabon, il semble également exister une omission à propos d’Erathostene et Posidonius ainsi qu’une petite inflexion vers la fameuse carte dite d’Agrippa.
    A ma connaissance et celle de Wikipédia, mais peut être puis je me tromper ainsi que Wikipédia, l’étymologie de Valkyrie provient du vieux norrois valkyrja (Pluriel : valkyrur), des mots val (choisir) et kyrja (abattre) (littéralement, « qui choisit les abattus » ou « qui choisissent les morts »).
    En tous cas, merci pour ce moment en votre compagnie, il a égayé mon dimanche…

  • 2
    Désap.
    5 décembre 2019 à 11h52 / Répondre

    Proto-celtiques > âge de bronze tardif > Culture des champs d’urnes > Europe centrale > -1350
    Sumer > -4000
    Empire d’Akkad > -2400
    Veda > selon les occidentaux : -1500 > selon les auteurs indiens et appuyés sur des observations astronomiques présentes dans certains hymnes -5500.

  • 1
    Anwen
    5 décembre 2019 à 3h29 / Répondre

    Des Mystères de la celtide à la Franc-Maçonnerie en Bretagne, en passant par l’Asie.
    Dans un premier temps, rappelons que la Franc-Maçonnerie est d’origine hébraïque, tous les mots de passe sont des vocables hébreux, ses légendes sont tirées de l’histoire du peuple d’Israël.
    D’autre part, rappelons également que dans la Franc-Maçonnerie moderne existe un Rite dit d’Hérodom, qui est considéré comme la continuation directe du Rite qui a précédé tous les autres. On l’appelle aussi Rite de Kilwinning, et encore Rite ancien et de Perfection. On trouve son origine dans les (très) anciens Mystères de la celtide.
    L’histoire classique divise les Celtes en deux rameaux.
    Les Gaëls et les Gallois, appelés aussi Kymris ou Belges.
    Les Gaëls sont les peuples celtiques d’Irlande et d’Ecosse. Les Celtes d’Irlande et les Celtes d’Ecosse (Kaledoni/Calédoni – Kaldéens/Chaldéens).
    Le second rameau celtique, ce sont les Gallois (Galls, Galli, Galates, Galatæ). Il comprend deux grandes divisions :
    Les Kymris ou Belges, et les Gallois d’Armorique.
    Si nous suivons l’évolution sociale des Celtes, ou Keltes, nous voyons que, partis des bords de la Meuse, ils se répandent dans toute l’Europe et dans l’Asie.
    Wallen ou gallen (wallon) veut dire voyageur. « Les Atlantes, dit de Grave, passant pour être les inventeurs de la géographie, nous devons nous attendre à la voir rédigée en idiome du Bas-Rhin, la langue de la Belgique. »
    Précisons que les habitants des deux Bretagnes (la « Grande » et la Région)sont appelés Belges par Ptolémée et Strabon.
    Adolphe Pictet a écrit, en 1837, « de l’affinité des langues celtiques avec le sanscrit ». Ces affinités doivent, être nombreuses, et plus encore avec le zend, la langue de l’Avesta. Les Basques ont, aussi, un dialecte d’origine celtique.
    Non seulement, les langues d’Asie avaient été formées aux dépens d’idiomes celtiques, mais aussi le grec.
    Ce sont les Celtes d’Ecosse qui allèrent en Asie et donnèrent leur nom au peuple primitif qui habita la Kaldée (Chaldée), les Ak-Kad : (Ak signifie chef et Kad montagne). C’étaient les anciens montagnards écossais, qui étaient allés porter leur science et leur civilisation en Orient.
    Les Chaldéens, en relation avec les émigrés de l’Inde (les Israélites), leur communiquèrent la science des Celtes, en même temps que leur langue. Ils en font un dialecte qui est le fond de l’hébreu. Quand ils s’en vont en Egypte, ils y portent cette langue qui se mêle à l’ancien égyptien.
    Eburonis a fait hebrus ; hebrus a fait hébreu ; ce serait donc l’hébreu qui ressemblerait le plus au celte. Théophile-Malo de La Tour d’Auvergne a donné une liste de mots hébreux pris dans la langue celtique. Ce même auteur dit: « Les Celtes, peuple valeureux qui étendit la gloire de son nom jusqu’aux parties les plus reculées de l’Europe et de l’Asie et qui étonna l’univers » (Origines gauloises).
    Les Déesses Wallonnes, appelées Val-Kyries, laissent la trace de leur passage en Asie ; de leur nom Kyrie, on fait le Çri sanscrit qui est un titre de suprématie ; et de Wall on fait Wali qui signifie roi en sanscrit (validus en latin). Leur nom Valia (Gaule de l’est) indiquait la force, la puissance, la valeur.
    D’autre part, on trouve des mots sanscrits dans l’ancienne Celtide ; ainsi, de même que la Meuse signifie Muse, la Dive (de Dêvâ) est une rivière qui se jette dans la Manche près de la petite ville de Dives (Calvados).
    Dive ou duve signifie aussi colombe et Duveland veut dire île des colombes.
    La Franc-Maçonnerie a, dans son symbolisme, l’Etoile flamboyante, au milieu de laquelle se trouve la lettre G (Ghimel en hébreu). Le mot Queen, qui signifie reine en breton, n’est pas sans rapport avec ce symbole, bien au contraire.

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