Du décor maçonnique au monde médiéval

Publié par Jiri Pragman

Ce contenu est réservé aux abonnés.Pour accéder à cet article, vous pouvez choisir de :

*Vous pouvez déverrouiller jusqu’à 3 articles gratuitement.
samedi 21 juin 2008
  • 9
    y rame
    28 juin 2008 à 21h11 / Répondre

    à Jacques,

    comme promis :

    Le port de l’épée en Loge avait dans la « société d’ordres » » du XVIII e siècle, une signification qui n’est plus immédiatement perceptible aujourd’hui.
    L’épée est dans le monde profane la marque de la noblesse, son port en loge par des Frères tant nobles que roturiers, était un signe très fort de l’égalité maçonnique, égalité par le haut et non par le bas.

    L’égalité dans une condition élevée étant un des caractères les plus importants attachés à la qualité de Maçon, l’usage du port de l’épée en vertu du symbole précité, est maintenu au Rite Français.

    « Que l’on soit gentilhomme ou non, on est toujours annoncé pour tel parmi les Francs-Maçons: la qualité de Frères qu’ils se donnent entre eux les met tous de niveau pour la condition » abbé Perreau (1744)

    souhaitant avoir apporté une pierre à ton édifice,
    excellent week end Jacques

    PS:
    « un rituel qui dure plus de 10′ m’emMMMMM « 

    La Maçonnerie est aussi une école de patience. Les longs rituels nous inviteraient ils à exercer cette vertu ?

  • 8
    Jacques Cécius
    24 juin 2008 à 10h13 / Répondre

    Merci d’avance, y rame.
    J’y suis allé un peu fort, mais je ne suis pas symboliste, et un rituel qui dure plus de 10′ m’emMMMMM ! On pourra donc me reprocher d’être grossier, mais pas mon manque de franchise.

  • 7
    y rame
    23 juin 2008 à 19h17 / Répondre

    à Jacques

    Le temps me manque cette semaine, je reviendrai ici expliquer pourquoi l’épée. Cela n’a rien de belliqueux dans le symbole;
    Bonne semaine

    à bientôt

  • 6
    Jacques Cécius
    23 juin 2008 à 15h30 / Répondre

    Mille et plates excuses aux Frères et Soeurs qui ont été horrifiés de mes propos que je ne renie pas : je suis maçon campioniste (de Léo Campion, auquel je ne n’aurais pas l’audace de me comparer). Il a eu assez d’audace que pour se faire photographier tout nu dans ‘J’ai réussi ma vie’ (ed. du Borrego,’ 1985), mais revêtu de son baudrier et de ses gants. Je considère que ces vêtures sont amplement suffisantes, mais j’accepte que d’autres veuillent se munir d’une épée. Campion était pacifiste et ne l’aurait jamais fait ! Gloire aux maçons qui ne se prennent pas au sérieux !
    Jiri je ne veux nullement imposer ma vision de la maçonnerie. J’aime trop la liberté, comme toi d’ailleurs je le sais et l’ai constaté.

  • 5
    franc macon decors
    22 juin 2008 à 22h56 / Répondre

    désolé d’avoir créé un conflit de manière bien involontaire sur le port de l’épée en FM par certains frères
    il est vrai qu’il conviendrait d’expliquer à certain la symbolique de l’épée qui semble échapper à jacques cécius
    nonobstant tout celà merci Jiri de cette petite annonce sur l’ouverture de mon nouveau site internet en espérant qu’elle procure plus de passion positive que de débat inutile.
    pour y rame je te remercie de cette précision concernant le port de l’épée à la GLNF mais il est vrai qu’il nous est difficile de savoir ce qui se fait dans une obédience qui nous refuse toujours l’accès aux membres des autres obediences francaises ce qui est bien triste d’ailleurs (je recois souvent en toute discretion des membres de la GLNF on les nomme les … invisibles…)

  • 4
    Jiri Pragman
    22 juin 2008 à 11h38 / Répondre

    Effectivement, comme « y rame », je ne vois pas pourquoi il faudrait grossièrement imposer sa vision minimaliste de la Franc-Maçonnerie.

  • 3
    y rame
    22 juin 2008 à 11h23 / Répondre

    à Jacques Cécius

    Le ton inutilement méprisant ne m’incite pas à exposer la symbolique que revêt le port de l’épée.
    Si les rituels et la vêture ne te conviennent pas ou plus, libre à toi d’adhérer à d’autre « clubs ». Encore que le port de la cravate et du costume recommandé par certains clubs…..
    Quant à moi, je continuerai à porter l’épée.

    Salutations

  • 2
    Jacques Cécius
    22 juin 2008 à 10h36 / Répondre

    Et pourquoi pas l’arbalète, la lance, et, pour courronner le tout : des castagnettes et une plume dans le c… ?
    Quand donc reviendrons nous à plus de simplicité ? Tant dans la vêture que dans les rituels parfois interminables.

  • 1
    y rame
    21 juin 2008 à 19h50 / Répondre

    pratiquant le rite français à la GLNF, je précise que l’épée est également portée.

La rédaction de commentaires est réservée aux abonnés. Si vous souhaitez rédiger des commentaires, vous devez :

Déjà inscrit(e) ? Connectez-vous