La Franc-Maçonnerie mixte au XXIe siècle, quel avenir ?

Publié par Jiri Pragman

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lundi 13 octobre 2008
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  • 2
    Seiller
    27 octobre 2008 à 13h39 / Répondre

    Je réponds puisqu’on m’a demandé de le faire, étant conseiller technique en construction.
    – Evitez de flanquer des pierres au hasard sinon l’édifice va s’ébranler comme la tour de Nemrod.
    D’après ce que j’ai vu, les fondations sont vieilles mais toujours aussi bonnes.

  • 1
    padi
    23 octobre 2008 à 20h45 / Répondre

    Ou plutôt : quel débat !
    Certains commentaires me font penser à l’Académie française, porte-drapeau des opposants à la féminisation (bien que l’Académie n’est pas nécessairement l’ensemble des académiciens qui la composent) parce que les membres sont hostiles à la féminisation (des fonctions, non des métiers…)
    Cette  » mixtion » n’ayant rien de systématique, on ne peut qu’envisager son « futur » de manière approximative ?
    Si la féminisation est une volonté politique, les raisons remontent a quelques décennies : Les femmes ayent pris le pouvoir donc enfoncé une porte ou l’ont poussée alors qu’elle venait de s’entrouvrir est un détail.
    Donc je raisonne. Mais, n’accorder de la valeur qu’à la raison équivaudrait à faire preuve d’un idéalisme intransigeant. Vu sous cet angle, cette forme de rationalisme ne serait qu’une doctrine cynique. Le rationalisme laïc a selon moi tendance se cloîtrer dans son propre système alors que des problèmes nouveaux devraient plutôt l’inciter à en sortir. Ne faut-il pas « penser » non seulement hors des dogmes de la religion mais aussi de la science, de la politique, et du noyau dur de la rationalité ?
    Personnellement, je dis oui à la mixité !
    Je m’explique – du moins j’essaye : l’épais brouillard qui planait depuis si longtemps sur nos idéologies s’est transformé en chape de béton. Désormais, tout repère destiné à nous permettre de comprendre notre propre situation sociale ou philosophique ne pouvait que se perdre dans la confusion. Plus rien n’est correctement défini. Les systèmes qui en découlent n’expriment donc aucune réalité et vont même jusqu’à donner une interprétation erronée de notre environnement et des problèmes qui en découlent. L’analyse sociologique se perd en concepts et en théories vagues. Ne s’agit-il pas d’empirisme ?
    Marxisme, humanisme, existentialisme, socialisme, conservatisme, nationalisme, riment désormais avec confusionnisme.
    Ne faut-il pas faire confiance à l’avenir et….espérer ?

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