Le Grand Maître du GOB vu par le Christ-Roi

Publié par Jiri Pragman

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jeudi 3 avril 2008
  • 13
    Etoile
    7 avril 2008 à 7h03 / Répondre

    Merci à vous tous de m’avoir répondu.

    J’en déduis donc qu’il n’y a pas de Vérité imposée (ce qui me rassure beaucoup) et qu’il n’y a qu’une croyance en la perfectibilité de l’Homme (ce qui tombe bien, j’y crois aussi).

    Etoile

    P.S.Merci à Jacques Cécius pour ce résumé d’histoire.

  • 12
    Connais-toi toi-même
    6 avril 2008 à 14h14 / Répondre

    C’est vrais Flupke, et je crois vraiment que la majorité des maçons sont des utopistes sincères. Que ferions nous en Loge sinon ? Nous savons que nous ne savons rien, qu’il y a chemin à parcourir vers la connaissance et que ce chemin n’a pas de fin…

    Je pense que nous sommes adeptes de la remise en cause et de la compréhension de soi, de façon a aboutir à un meilleur discernement en ce qui concerne l’autre. Mais pour quoi faire ? Peut-être pour mieux communiquer, mieux s’écouter, mieux parler et peut-être réunir ce qui est épars ?

  • 11
    Flupke
    5 avril 2008 à 16h50 / Répondre

    pour la profonde réflexion de neo et d’autres

    reformulons, le franc maçon a une utopie :

    « celle de la possibilité d’améliorer l’Homme, à commencer par lui-même »

    ou reformulons encore :

    le franc-maçon a un mythe :
     » celui de la possibilité d’améliorer l’Homme, à commencer par lui-même »

  • 10
    Jacques Cécius
    5 avril 2008 à 15h36 / Répondre

    C’est vrai Stéphane, entre la maçonnerie et le communisme il y a un monde. Je dis commùunisme et non pas marxisme, car le communisme fut l »application déviante du marxisme. Celà étant plusieurs membres de ma famille ont payé le prix fort pour leur appartenance au Parti communiste, durant la dernikère guerre. J’ai une photo de Julien Lahaut dans mon bureau (j’allais écrire « bordel »!). L’idéal communiste, au départ fut noble, comme le nôtre. Mais très vitela maçonnerie fut considérée comme bourgeoise et proi-capitaliste par la IIIe Internationale. D’où l’interdiction pour un communiste d’y appartenir (Marcel Cachin, choisit le PC, Ludovic Oscar Frossard la f-m). Plus tard des leaders communistes furent maçons : Jean Terfve en Belgique. Quant au féminisme des communistes, souvenons-nous de ce que dit Jeanette Vermeesh au Palais Bourbon, lors du débat sur la contraception : « les ouvrières ne sont pas des prostituées! ». Alors le féminisme du Parti communiste de l’époque…

  • 9
    Stéphane
    5 avril 2008 à 13h19 / Répondre

    Néo,
    Vos propos sont élusifs. Vous affirmez d’abord que le Maçon « croit savoir la vérité » puis vous passez sur le mode « le Maçon a une croyance ».

    Pour ce qui est de la similitude entre les combats des communistes et ceux des Maçons, je vous avoue que votre argumentaire me semble flou, voire confus. Jamais la Maçonnerie n’a poursuivi le moindre but d’hégémonie mondialiste, n’en déplaise aux fervents amateurs de complots.

    Quant au lieu entre révolution française et révolution bolchévique, c’était de l’ironie.

  • 8
    neo
    4 avril 2008 à 22h49 / Répondre

    Etoile: oui le maçon a une croyance! Il n’y a pas de mal à croire en l’Homme, mais il est nécessaire de reconnaitre cette croyance comme telle, au même titre qu’une autre qui place Dieu comme supérieur à l’homme.

    Stéphane:
    Lorsque j’évoque le communisme, ce n’est pas une insulte: les combats du communisme sont, je dis bien à l’origine, les mêmes que ceux des maçons: hostilité aux formes de la religion, féminisme, antiracisme, un certain « mondialisme » (que l’on nomme cela « nouvel ordre » ou altermondialisme), etc., etc. Vous faites vous-même le lien entre révolution française et révolution bolchévique, je n’ai pas dit cela.

    Ensuite, je ne parle pas de l’application de tous les préceptes maçonniques par les communistes, mais des idéaux qui leur sont communs (par exemple les bolchéviques étaient féministes, mais pour stabiliser leur régime ils ont bien dû revaloriser la famille « classique »).

  • 7
    Jacques Cécius
    4 avril 2008 à 14h58 / Répondre

    Le maçon ne croit pas détenir la vérité. Il l’a cherche toute sa vie, car LA vérité restera toujours inaccessible à nos intelligences humaines.
    Le communisme fils de la maçonnerie? Alors pourquoi, dans les 21 critères imposés par la IIIe Internationale pour devenir communiste, était-il spécifié, dans les années 1920, « ne pas être maçon » ?

  • 6
    Etoile
    4 avril 2008 à 6h58 / Répondre

    « Le maçon croit savoir la Vérité » ? Je ne suis pas sûre d’avoir compris ce que vous voulez dire, neo.
    S’il croit savoir la vérité, c’est donc qu’il croit qu’il y a une Vérité… et tous les maçons sont censés croire à la même Vérité ? Il y aurait un dogme, là dessous (différent de celui de l’ECAR, ça j’ai bien compris) ? Un dogme n’est pas forcément religieux…
    J’ai deux questions :
    Une pour Neo : est-ce que j’ai bien compris vos propos (je ne voudrais pas les avoir déformés bien malgré moi)
    Une pour les francs-maçons de ce site : rassurez-moi, vous ne croyez pas tous savoir la Vérité ? Enfin, ce que vous pensez individuellement m’est indifférent, mais il n’y a pas de dogme imposé ?

    Etoile,

  • 5
    Stéphane
    4 avril 2008 à 5h23 / Répondre

    A neo,
    La catholicisme, ennemi numéro 1 des fils de la Veuve ? Disons plutôt un certain catholicisme, ennemi de tout ce qui n’est pas lui-même.

    J’ignorais que le communiste fut le « fils préféré » du Maçon. Après la Révolution française, la Révolution bolchévique ?

    Quant à dire que le Maçon « croit savoir la Vérité », je dirais plutôt qu’il la recherche.

  • 4
    Stéphane
    3 avril 2008 à 20h44 / Répondre

    Moui, quoi qu’en regardant le site, ce serai plutôt des simples d’esprit… Enfin, heureux soient-ils, le Royaume des Cieux leur appartient, paraît-il.

  • 3
    neo
    3 avril 2008 à 18h57 / Répondre

    @ Stéphane:
    le catholicisme reste l’ennemi numéro 1 des fils de la veuve, dans la mesure où il croit en une Vérité, mais il sait qu’il croit. Tandis que le maçon (comme le communiste, son fils préféré) croit savoir la Vérité. Petite nuance

  • 2
    yvca
    3 avril 2008 à 13h51 / Répondre

    C’est le propre des esprits simples ; avoir des « Certitudes ».

  • 1
    Stéphane
    3 avril 2008 à 9h07 / Répondre

    Halala, cette absolue nécessité pour certains d’être les seuls tenants de la « Vérité »…

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