Oscar Peterson, musicien et Franc-Maçon

Publié par Jiri Pragman

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mardi 25 décembre 2007
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  • 5
    René
    29 décembre 2007 à 2h57 / Répondre

    Oscar Peterson était bien un FM. On m’a confirmé qu’il fut un visiteur occasionnel de loges montréalaises de la GLQ.

    Et pour ceux qui préfèrent les documents officiels, je n’ai malheureusement pas son certificat maçonnique, 😉 mais vous pourrez consulter la notice bibliographique de l’Université de Toronto à son sujet. A moins bien sûr que l’Université de Toronto ne soit pas une référence acceptable…

    http://www.utpress.utoronto.ca/cgi-bin/cw2w3.cgi?p=peter&t=29602&d=2227

    Pour ceux que cela intéresse j’essaierai d’obtenir plus de détails sur son parcours maçonnique…

    René

  • 4
    Serial-Ripper
    28 décembre 2007 à 11h37 / Répondre

    De toute façon il n’a jamais composé d’oeuvres maçonniques…et qu’il soit ou non maçon ne change rien à ses talents jazzistiques.
    Dans ce cas de figure faudrait inclure les autres artistes…les maçons n’ont pas le monopole de la création, loin de là…. 😀

    Led Zep sont-ils maçons? lol

  • 3
    jb.bienvenue
    27 décembre 2007 à 16h00 / Répondre

    Il faut toujours se méfier des affirmations d' »appartenance maçonnique » qui ne sont pas documentées – particulièrement quand il s’agit de contemporains, pour lesquels, si des preuves documentaires existent, elles devraient facilement pouvoir être présentées.
    Et le fait qu’une information figure sur plusieurs sites n’a rien de convaincant, puisque les sites se copient souvent l’un l’autre sans vérification. Exemple : innombrables sont les sites qui évoquent l’appartenance maçonnique de Puccini, complètement imaginaire et résultant d’une confusion avec Piccinni (voir
    http://musicmac.ifrance.com/docs/piccinni.html ).

  • 2
    Serial-Ripper
    25 décembre 2007 à 17h50 / Répondre

    Encore un grand Monsieur qui s’en va…qu’il soit maçon ou non ne change rien à sa « verve pianistique », au sens de sa rectitude jazzistique.
    Il était un musicien des plus productif de l’histoire du jazz.
    Fidèle à l’esprit du bop dont il ne s’est jamais séparé je ne peux que lui rendre cet éloge en quattre lettres:
    JOIE… et étincelles multiples à jamais éternelles.

  • 1
    Gunga Din
    25 décembre 2007 à 14h02 / Répondre

    Ils doivent se régaler, à l’Orient Eternel.

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