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Géplu.
Beau texte. Lors de la Commune de Paris,il s’est trouvé des FM de bonne volonté des deux cotés. Certainement aussi ailleurs et dans d’autres circonstances. Cela ne fait que confirmer le peu de poids que la FM peut avoir dans les affaires des peuples.
Ce n’est certes pas une raison pour renoncer à faire entendre notre voix ou de réduire nos engagements mais nous commande par dessus tout d’être et de rester lucides.
Les autres circonstances sont illustrées notamment par la Bataille de la Butte-aux-Cailles. Elle a opposé, durant la nuit du 24 au 15 mai 1871, les forces fédérées aux forces versaillaises.
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Il faut lire le récit détaillé de cette bataille sur Internet , sous le titre : Bataille de la Butte- aux- Cailles.
Cet horrible et fratricide carnage permit aux Versaillais de s’emparer de toute la rive gauche de la Seine. Les Fédérés furent obligés de se replier sur les quartiers est de Paris où auront lieu les derniers combats du 26 au 28 mai 1871.
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Chaque année, l’association des Amis de la Commune de Paris commémore sur la Butte-aux-Cailles les événements de ces deux journées. En 1999, la place de la Commune de Paris est ainsi nommée en souvenir de la bataille.
Il y avait des Frères des deux côtés, dans chaque camp. Comme à Waterloo et en tant d’autres lieux.
Une loge maçonnique du G.O.B. porte fièrement le titre distinctif de La Butte-Aux-Cailles.
Faut-il aussi rappeler la loge « Le Temps des Cerises » si bien chantée, après Jean-Baptiste Clément, par notre F. Paul Louka ?