La photo maçonnique du dimanche 4 janvier

Publié par Géplu
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dimanche 4 janvier 2015
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  • 35
    Désap.
    19 août 2020 à 22h52 / Répondre

    Le profane « perle rare », tout le monde se l’arrache.
    Qui n’en veut de mon profane aux z’oeufs frais.
    C’est le mimi, c’ est le rara, c’est le miracle ; les Inconnus, Les Trois Frères, cent patates, ça dira qque chose à certains.
    Il est fort probable qu’un permis de construire soit en jeu
    ???

  • 33
    Jean-Michel Desbordes
    19 août 2020 à 11h45 / Répondre

    Bonjour à tous. Je ne me doutais pas que mon commentaire précédent susciterait autant de débats ! Je puis vous dire que j’apprécie grandement la qualité, le niveau des échanges qui signent une grande culture et le foisonnement des idées au sein d’une Loge. Comme dans toute communauté humaine, j’ai pu me rendre compte de la grande diversité des caractères et modes d’expression. J’ai pu relever certains antagonismes dans les approches et les mots pour les dire……….. Il y a de la tolérance et de l’intelligence du cœur, de l’écoute, de l’attention, de la bienveillance, de l’altruisme…….. Mais pas seulement. On retrouve les composantes de tout groupe humain… Et dans ma profession, que j’ai adorée, je retrouvais de tels paramètres… Je tiens à remercier chaleureusement un certain membre de votre docte assemblée, qui s’est fait spontanément mon avocat. Et pour clore mon commentaire, je vous précise que j’ai été « approché » par les représentants(es) de trois obédiences….

    • 34
      Lazare-lag
      19 août 2020 à 20h08 / Répondre

      « Que » trois obédiences pour se pencher sur le berceau du profane Jean-Michel?
      Si je puis me permettre (humour, je préfère ici le signaler), Gaspard, Melchior et Balthazar découvrent un berceau sur le parvis du Temple?
      Mais attention, aucun profane, fut-il candidat n’est le petit Jésus… D’ailleurs, quand on connaît la fin, mourir si jeune, persécuté et de mort violente, peu enviable ce destin…
      – – –
      Blague à part, le centre d’intérêt, le centre de l’union, le centre maçonnique est-il l’humain, au sens d’une unité parmi d’autres unités? Au sens d’un être singulier au milieu d’une collectivité plurielle? Chacun de nous est-il particule? N’est-il qu’une particule? Qu’est-ce qu’un individu? Ecole de modestie, la FM…
      – – –
      D’ailleurs s’agit-il ici de 3 obédiences? Trois loges plutôt…
      Et d’ailleurs je me demande s’il s’agit vraiment d’un privilège d’un cadeau, d’un avantage d’être ainsi « objet de convoitise »?
      Car maintenant, il va bien falloir choisir?
      Et « choisir, c’est renoncer » (en ai oublié l’auteur).
      Bon courage pour le choix… on va faire peut-être des déçus…
      Et, comme pour d’autres choses, ce n’est pas forcément la plus aguicheuse qui est la plus charmante… (si je puis le dire ainsi).

  • 25
    Gérard P.
    11 août 2020 à 12h12 / Répondre

    Amusant ce soudain afflux de commentaires sur ce vieil article, nés du commentaire N°7 du profane Jean-Michel qui disait que sollicité pour entrer en maçonnerie, il « résistait » encore. Ce qui lui avait valu un aussi péremptoire que profondément a-maçonnique « Continuez, on a déjà trop de monde » du bougon Désap.
    Pourtant, même si sur la forme le propos de Désap est déplacé, sur le fond il a raison. Dans ma Loge nous avons connu ces dix dernières années deux expériences malheureuses issues de situations comparables à celle de Jean-Michel. A quelques années de distances deux profanes ont été fortement sollicités pour nous rejoindre par des Frères de la loge qui les connaissaient bien. L’un comme l’autre n’étaient pas chaud au départ, mais se sont finalement laissé convaincre. Les deux admissions furent des échecs, ces deux Frères n’ayant jamais « accroché » et ont démissionné, l’un au grade de compagnon, l’autre tout jeune maître. Il ne faut jamais forcer la main d’un profane, quels que puissent être les sentiments des présentateurs à son égard. La demande doit venir d’une demande expresse et vérifiée sincère du demandeur, même s’il n’est pas interdit et même normal de présenter la franc-maçonnerie et proposer un parrainage à un tiers que l’on estime un candidat possible. Mais ensuite il faut lui laisser prendre sa décision seul, sans insister ni lui forcer la main.

    • 26
      yasfaloth
      11 août 2020 à 13h23 / Répondre

      Tu reprends, en gros les mêmes arguments que ceux que j’avançais en (12), je rajouterais simplement que les parrains ne sont pas toujours désintéressés. Il est fréquent, par exemple au sein d’une Mairie, d’une administration, d’une entreprise, que des frères « recrutent » à tout va, et ceci pour des raisons qui ne sont pas toujours purement « maçonniques ». Les profanes ainsi démarchés n’en ont pas toujours conscience, et la « réalité maçonnique » a parfois un rapport assez lointain avec ce qu’on leur avait fait miroiter…

      • 27
        Gérard P
        12 août 2020 à 11h23 / Répondre

        Tout à fait d’accord sur le fait qu’hélas de telles pratiques existent, moins sur le fait qu’elles soient courantes.
        La richesse d’une loge vient de la diversité des origines sociales et professionnelles et des âges de ses membres. Une loge qui ne coopte plus que des clones de ses membres s’appauvrit dangereusement, devenant une amicale ou pire un fraternelle…

  • 19
    Désap.
    10 août 2020 à 16h34 / Répondre

    A l’attention de toutes les personnes s’interrogeant à propos de la Franc-maçonnerie.
    Être franc-maçon consiste en La défense de valeurs, parmi lesquelles les plus importantes qui fondent la République Française et les démocraties modernes.
    Tout le reste, et notamment ce que l’on qualifie d’ésotérisme, trop rapidement et généralement sans savoir précisément ce que cela recouvre, n’est qu’exclusivement du domaine de l’estime de chacun et ne regarde que celui qui en entreprend la recherche et l’étude.

    • 20
      Anwen
      11 août 2020 à 6h26 / Répondre

      « consiste en La défense de valeurs, parmi lesquelles les plus importantes qui fondent la République Française et les démocraties modernes. »
      C’est justement cela qui est le problème des Sociétés dites modernes.
      D’une part, depuis les « Lumières victorieuses », la France est passée d’une monarchie qui avait pour contre-pouvoirs tous les corps intermédiaires, à une oligarchie financière dénuée de tout contre-pouvoirs, le tout sous le vocable trompeur de démocratie. La démocratie est le vêtement dont se pare le pouvoir sous le prétexte qu’existe une représentation populaire (pouvoir législatif). Mais cette représentation est, dans les faits, c’est-à-dire concrètement, catégorielle et non pas populaire parce que contrôlée par des partis politiques sous influence des puissances d’argent.
      D’autre part, toute élévation du type humain demande un régime aristocratique. La démocratie avilit en abaissant les bons, c’est une tyrannie qui s’exerce par un mouvement de traction morale, de bas en haut ; elle fait descendre, elle empêche les meilleurs de s’élever, elle abat les têtes qui dépassent le niveau des médiocres, empêchant ainsi l’éclosion des types supérieurs, elle supprime le respect et rend les petits insolents.
      René Guénon, à propos de la démocratie (La crise du monde moderne), dit : « il nous faut encore insister sur une conséquence immédiate de l’idée « démocratique » qui est la négation de l’élite entendue dans sa seule acception légitime ; ce n’est pas pour rien que « démocratie » s’oppose à « aristocratie », ce dernier mot désignant précisément, du moins lorsqu’il est pris dans son sens étymologique, le pouvoir de l’élite. Celle-ci, par définition en quelque sorte, ne peut être que le petit nombre, et son pouvoir, son autorité plutôt, qui ne vient que de sa supériorité intellectuelle, n’a rien de commun avec la force numérique sur laquelle repose la « démocratie », dont le caractère essentiel est de sacrifier la minorité à la majorité, et aussi, par là même, la qualité à la quantité, donc l’élite à la masse. La « démocratie », est intimement liée à la conception « égalitaire », c’est-à-dire à la négation de toute hiérarchie : le fond même de l’idée « démocratique » c’est qu’un individu quelconque en vaut un autre, parce qu’ils sont égaux numériquement, et bien qu’ils ne puissent jamais l’être que numériquement. Une élite véritable ne peut être qu’intellectuelle ; c’est pourquoi la « démocratie » ne peut s’instaurer que là où la pure intellectualité n’existe plus, ce qui est effectivement le cas du monde moderne. Seulement, comme l’égalité est impossible en fait, et comme on ne peut supprimer pratiquement toute différence entre les hommes, en dépit de tous les efforts de nivellement, on en arrive, par un curieux illogisme, à inventer de fausses élites, d’ailleurs multiples, qui prétendent se substituer à la seule élite réelle ; et ces fausses élites sont basées sur la considération de supériorités quelconques, éminemment relatives et contingentes, et toujours d’ordre purement matériel. On peut s’en apercevoir aisément en remarquant que la distinction sociale qui compte le plus, dans le présent état de choses, est celle qui se fonde sur la fortune, c’est-à-dire sur une supériorité tout extérieure et d’ordre exclusivement quantitatif, la seule en somme qui soit conciliable avec la « démocratie », parce qu’elle procède du même point de vue. »
      Et l’égalité c’est « tous dégénérés », « tous fous », tous égaux dans la bêtise ou dans la bassesse : rien de plus évident actuellement..

      • 22
        Désap.
        11 août 2020 à 10h42 / Répondre

        20 – Mais oui, où avais-je la tête !
        Grecs et Romains ont fondé autant d’Ecoles qu’il y avait de sujets à étudier. Les chrétiens les ont toutes détruites et remplacées par des universités dont le seul et unique objet était la justification du dogme.
        Résultat, de 529 au XVIè sc. inclus, une régression intellectuelle totale et la mythomanie d’un dieu capable d’intervenir dans les affaires humaines.
        Il faudra attendre les conséquences des Lumières françaises pour que se développent de nouveau des Écoles nommées Lycée, Facultés et Grandes Écoles sur le modèle antique de sorte que la compréhension du monde dépasse le délirium tremens religieux.

    • 21
      Luciole
      11 août 2020 à 9h03 / Répondre

      @19
      Sans doute mais il aura l’aide,l’appoint de tous ceux qui partagent ses goûts et intérêts pour diverses disciplines ou traditions anciennes,y compris la curiosité intelligente pour d’autres formes de pensée.Sinon autant s’inscrire dans un parti politique si seule compte la République française.Au passage, la FM est née au sein de monarchies.

      • 23
        Désap.
        11 août 2020 à 10h59 / Répondre

        21 – « la défense de valeurs, PARMI LESQUELLES … »
        Mais puisqu’il convient d’être précis, en réalité la franc- maçonnerie ne défend qu’une seule valeur qui les réunit toutes : la vérité.
        La vérité sur tout sujet, notamment historique parce qu’il faut commencer par le commencement tant il est nécessaire de partir de fondations solides.
        Cette vérité historique tant redoutée par les religions, les idéologies extrêmes et, malheureusement, une partie des maçons.
        C’est de cet établissement de la vérité que démarrera une saine édification de l’intellect au sens où l’entendaient les philosophes, et de là apparaîtra toute l’inutilité des systèmes fumeux basés sur les diverses croyances ayant eu pour seules conséquences de ce point de vue de nous faire perdre du temps.
        C’est mieux ? Je pensais que me lisant depuis un moment, cette précision était inutile.

        • 28
          Luciole
          12 août 2020 à 17h08 / Répondre

          @23 Et quelle est la Vérité en matière d’Art ou de culture? les études sur le symbolisme ou l’ésotérisme entre autres,qui ne sont pas des Systèmes de pouvoir peuvent rassembler et si le nouveau FM considère que c’est le plus important pour lui pourquoi le ramener à la vérité comme totem?

          • 29
            Désap.
            12 août 2020 à 18h17 / Répondre

            28 – Un téléphone trempé dans du goudron est-ce de l’art ? Fût-il trempé par Dali ?
            Une cacophonie est-ce de la musique ? Du son sûrement, mais de la musique ?
            Je pense que la vérité est partout, ou bien il s’agit d’accepter n’importe quoi.
            Je ne pense pas que l’ouverture d’esprit consiste à accepter n’importe quoi.
            Le symbole du compas est là pour nous le rappeler.

            • 31
              Luciole
              13 août 2020 à 10h55 / Répondre

              @29 Je ne viens pas sur Hiram.be pour le plaisir(?) de ferrailler avec toi Desap,simplement exprimer mon point de vue
              .Qui décide de ce qu’est la Vérité dans tous les domaines?
              Nous sommes tous deux d’une époque ou la culture était encore soumise à un effort de compréhension et un minimum de connaissances d’un sujet.
              Je considère Jeff Koons comme une incongruité (ce n’est pas le pire) et le Rap comme un bruit pénible mais je ne prétends pas avoir raison contre tous.
              C’est d’ailleurs pourquoi j’aime particulièrement l’Architecture,cette inclusion de l’intelligence humaine dans la Nature.
              Quand les constructeur de la Cathédrale de Sienne ont voulu uniquement surpasser en dimensions ceux de Florence pour flatter leur ego,leur construction s’est effondrée.Il y a des lois physiques.
              Malheureusement nous sommes loin en Musique du peuple du Moyen Age qui était capable d’apprécier des oeuvres vocales jusqu’à 40 voix différentes..

            • 32
              Désap.
              13 août 2020 à 15h30 / Répondre

              31 – Qui ferraille ?
              Je donne mon avis, comme toi.
              Faut juste supporter, c’est la base.

      • 24
        Anwen
        11 août 2020 à 11h11 / Répondre

        Solidarité malheureuse quand tu nous tiens !
        Reste plus qu’à savoir de quelle « Monarchie » on parle.
        N’oublions pas que la royauté, dans la forme masculine qu’on lui donne, n’a été établie qu’après le Xème siècle avant notre ère. C’est vers cette époque que sont faites les premières tentatives pour établir la royauté, mais elles ne réussirent pas, puisque cette royauté éphémère est abolie en Grèce en l’an 1092 et remplacée en 1068 par la création des Archontes, qui se disent chefs perpétuels, mais qui sont plus despotes que les rois.
        Rappelons que dans l’ancien système de gouvernement, la Femme régnait, mais elle avait des auxiliaires, qui l’aimaient et la respectaient. Un homme, près d’elle, était son lieutenant (tenant-lieu), il servait d’intermédiaire entre elle et le peuple et transmettait ses ordres.
        En Chaldée, on l’appelait Lou-gal (homme grand) ou Patesi.
        Chez les Hébreux se trouve celui qu’on appelle son Maléak, qui deviendra, plus tard, roi lui-même sous le nom de Mélek.
        A côté de la Voluspa, chez les Celtes de la Scandinavie, on trouve le Kang, qui deviendra le King (roi).
        Donc, si la FM émane d’une Monarchie, il ne s’agissait pas de celle, quasi systématiquement glorifiée, établie sur le pouvoir de la force et de l’audace ou du hasard de l’hérédité centralisée en une seule main, qui pouvait être despotique ou imbécile.

      • 30
        Désap.
        12 août 2020 à 18h54 / Répondre

        J’ajoute que « vérité » ne signifie pas « définition » ou «exactitude »

        • 37
          Emanuel
          21 août 2020 à 0h06 / Répondre

          Récemment entendu « La vérité est ce mensonge sur lequel tout le monde s’accorde ».

    • 36
      MarcosTestos
      20 août 2020 à 13h56 / Répondre

      19-Désap
      La FM ne peut être réduite à cette généralité vu à travers ta vision tronquée de notre institution. Merci de le préciser !

  • 18
    Luciole
    9 août 2020 à 14h53 / Répondre

    Si l’on résiste,après avoir tout de même pris, auparavant, le temps de se renseigner autrement que par une seule personne,
    C’est que la FM correspond à un attrait ,un intérêt,un manque à combler,un idéal,un besoin,une volonté d’action etc mais que l’on considère encore que l’information n’est pas suffisante. ou que l’on doute de soi.

    Donc on redoute la désillusion,l’inconnu,le regret en fin finale.C’est tout à fait normal.Qui peut affirmer n’avoir jamais connu aucune déception? Le risque est pourtant très mesuré.

    Si au bout d’un an (il faut quand même s’accorder un minimum de temps) on continue éventuellement à penser que ce n’était pas la bonne démarche,il suffit d’une lettre pour retourner à son état antérieur et même on conserve la possibilité de revenir,ailleurs si besoin.
    Hésiter sans fin ne fait que reculer une prise de décision.On ne vient pas pour faire plaisir à quelqu’un.

  • 17
    Emanuel
    8 août 2020 à 16h57 / Répondre

    Avec tous ces commentaires sur les états d’âme d’un profane nous sommes bien loin de la photo maçonnique présentée et moi aussi j’aimerais bien en savoir un peu plus sur cette maison?
    Pour revenir à la résistance du profane…. et si tout simplement les FF qui l’ont contacté n’apparaissaient pas assez crédibles à ses yeux???
    J’ai le souvenir de ma propre entrée en 1981 je n’ai pas hésité car j’avais une confiance absolue dans ceux qui m’ont approché. Ca ne m’a pas empêché de demander une délai pour des raisons qui me sont propres. Passé ce temps je me suis tourné vers celui qui allait devenir mon parrain pour lui dire que j’étais prêt à le suivre
    N’en déplaise à certains le Maître est passé il a dit « viens suis moi ». Ils se sont levés et l’ont suivi. Sauf un qui a hésité car trop attaché aux biens de ce monde. Offrons donc à ce profane et à tous les autres le visage du Maître. Le reste lui (leur) appartient.

  • 9
    Lazare-lag
    7 août 2020 à 16h14 / Répondre

    @ Jean-Michel (7):
    Je trouve pour le moins très troublante, pour ne pas dire très désagréable, cette réponse faite par Désap (8), frère de la GL-AMF à Jean-Michel, profane de son état
    Quasiment une fin de non recevoir à un profane qui s’interroge et qui est en recherche..
    Ce « on a déjà trop de monde » ressemble, de mon point de vue, en première lecture, à un « circulez, il n’y a rien à voir ».
    Et ce en suite d’un « Continuez [de résister] » qui sous-entend, toujours dans mon interprétation des propos de Désap: « Abstenez-vous ».
    C’est tout, sauf fraternel.
    C’est tout sauf chaleureux.
    C’est tout sauf solidaire.
    En tout cas, je serai profane et m’interrogeant encore sur la possibilité de poursuivre, c’est ainsi que je prendrai une telle remarque lapidaire.
    Lapidaire et non nuancée.
    Lapidaire et non explicitée.
    Lapidaire et non pédagogique.
    Lapidaire et décourageante.
    Jean-Michel, ne vous découragez pas.
    Et ne prenez-pas votre décision sur un coup de tête, ou au vu d’une réflexion brute de décoffrage que vous aurez lu ou entendu, ici ou là.
    Désap, comme moi-même d’ailleurs, ne savons absolument rien de vous, et il ne me viendrait pas à l’idée de vous assener une conduite à tenir, dans un sens ou dans un autre.
    Les quelques mots que vous nous dites de vous semblent démontrer une réflexion.
    Peut-être même une réflexion accompagnée (cf. votre « Je continue d’être sollicité ») par une voire plusieurs personnes.
    Prenez-le temps d’analyser, mais ne prenez pas que du temps.
    Prenez également du recul, ignorez les scories qui pourraient encrasser votre propre cheminement, et attardez-vous sur plus sérieux.
    Choisissez, quel que soit votre choix, en toute autonomie.
    Ne vous préoccupez que de votre propre engagement et de votre propre perception.
    Si je puis dire même, écoutez et n’écoutez pas votre éventuel futur parrain, à supposer que vous en ayez un.
    Il sait et il ne sait pas. Il est lui et il n’est pas vous.
    Et ne vous préoccupez pas du fait qu’il puisse y avoir (ou pas d’ailleurs, c’est un débat entier, pas une phrase de seulement sept mots à l’emporte-pièces), « trop de monde ».
    C’est la phrase typique qui dit tout et surtout ne dit rien.
    A votre niveau de profane qui s’interroge, à oublier au plus vite.
    Car c’est la phrase qui ne peut pas vous concerner. Et qui ne peut pas vous aider.
    Lorsqu’on est sur le parvis, qu’on s’interroge sur ce qui est au delà de la porte du Temple, ce n’est pas une question numérique qui doit venir vous embrumer l’esprit.
    C’est, paraphrasons un peu J-F. Kennedy, de se poser de la question de savoir ce que vous pouvez apporter à la Franc-Maçonnerie, et pas uniquement ce qu’elle peut vous apporter.
    Le nombre de Franc-Maçons n’est absolument pas votre problème immédiat, à votre niveau de réflexion sur la F.M., au niveau de perception que vous pouvez avoir de nous et de la F.M.
    De toute façon, quelle qu’elle soit, votre décision sera la bonne.
    – – –
    MTCF Désap, il va de soi que si mon interprétation de ton intervention ne t’allait pas tu viendras la corriger.
    Cependant, toute nouvelle explication de ta part aurait tendance à prouver que ton jet de sept mots adressé à notre profane était insuffisant, mal formulé dès le départ.
    Un simple premier jet.

    • 10
      Désap.
      7 août 2020 à 18h07 / Répondre

      9 – Mon cher Lazare, ce profane dit « je résiste », il ne nous dit pas « je m’interroge », les mots ont un sens.
      Nous n’avons pas besoin de ceux qui résistent à la FM, nous avons besoin de ceux qui s’engagent. Ceux qui le « sollicitent » ont dû l’informer.
      Tu condamnes ton F:. et tu ménages (voire te courbes devant) le profane qui résiste …
      C’est un choix, qui n’a jamais et ne sera jamais le mien.

      • 11
        Lazare-Lag
        7 août 2020 à 20h24 / Répondre

        Mon cher Desap, je suis tout à fait d’accord avec toi: les mots ont effectivement un sens. Notre profane Jean-Michel ne dit qu’il « resiste » mais qu’il « résiste encore ». C’est une nuance d’importance. Elle contient une hypothèse de penchant en notre faveur ce me semble. D’une certaine manière de résistance on pourrait aboutir à un ralliement. Il n’est donc absolument pas question ni de courbures ni de courbatures de ma part. Et comme écrit la décision est totalement et librement la sienne.

        • 13
          Lazare-lag
          8 août 2020 à 8h33 / Répondre

          MTCF Désap, juste un petit post scriptum à mon message 11 d’hier soir.
          Bien évidemment, je ne condamne pas un F:., j’exprime seulement un désaccord sur le manque total d’amabilité dans ta réponse faite à un profane..
          S’il y a condamnation quelque part, de mon point de vue, il me semble qu’elle réside dans la façon dont tu t’adresses à lui.
          Car c’est bien toi qui le condamne.
          Alors que, nous faisant comprendre qu’il « continue d’être sollicité », cela témoigne du fait qu’un ou plusieurs FF:., « continuant » leur approche, poursuivant leur démarche doivent voir en lui un potentiel intéressant. Non?
          Et toi, Désap 1er, roi de la Franc-maçonnerie, d’un revers d’un main, tu lui signifierais de passer son chemin?
          Ne vois-tu donc pas que ce profane hésite? Se pose des questions?
          Si on claque la porte au nez à tout profane qui hésite et se pose des questions, qui doute, est-on dans une démarche de fraternité?
          Face à l’adhésion à la Franc-Maçonnerie, n’as-tu, lorsque tu étais profane, jamais douté, jamais hésité? Tu as bien de la chance.
          Moi oui, et cela me semble assez normal lorsqu’on s’interroge sur un possible engagement à venir.
          Il n’est pas question d’accepter le premier venu ni le premier irréfléchi, mais s’il donne quelques éléments positifs de confiance (notamment ceux relatifs à une sollicitation avérée et persévérante de FF:. qui le connaissent vraisemblablement suffisamment pour s’avancer dans une démarche auprès de lui) est-ce ici le lieu et le moment de lui faire obstacle?
          Et sans ménagement.
          Je répète, je ne condamne pas un F:., au profit d’un profane, je souligne seulement ce qui me paraît être une erreur d’appréciation d’un F:; sur un profane.
          Voilà tout. A méditer.

      • 12
        yasfaloth
        8 août 2020 à 0h17 / Répondre

        Pour une fois je trouve que la remarque de Desap à du sens, même si dans la forme elle reste assez typique et témoigne de quelqu’un qui n’a manifestement pas trouvé en loge la sollicitude que l’on est en droit d’attendre d’un maçon accompli…
        .
        En effet quand je lis la phrase de notre certainement très estimable profane il est est clair que ce à quoi il résiste c’est aux sollicitations dont il fait l’objet… pour moi c’est le genre de situation et d’état d’esprit qui mène tout droit à la catastrophe en cas d’initiation effective.
        .
        En effet, je pense que les deux éléments clef d’une entrée réussie en maçonnerie sont l’humilité et le « désir », désir de changer profondément son rapport au monde, désir de se changer avec pour corollaire indispensable l’humilité de pouvoir se remettre en question, désir d’apprendre et d’accepter un enseignement, une ouverture vers une connaissance, dont la finalité paraitra forcément lointaine et peut être parfois un peu fumeuse !
        .
        Et non la satisfaction un peu narcissique d’avoir été démarché…
        .
        Ce n’est pas une « faveur » que l’on fait en la maçonnerie (et aux maçons qui vous « sollicitent »), en y adhérant, c’est la maçonnerie qui vous accorde sa confiance et qui croit en votre « désir »… tant que notre honorable profane n’aura pas ressenti au plus profond de lui même cette forme « d’appel », il fait effectivement bien, de mon point de vue, de « résister »…

        • 14
          Lazare-Lag
          8 août 2020 à 10h51 / Répondre

          MTCF Yasfaloth, ceci est un point de vue intéressant que j’ai peut-être sous-estimé. Toutefois, voilà un profane libre qui vient tout aussi librement sur ce site, y laisse un commentaire assez complet, autant sur la photo maçonnique elle-même que sur son actuelle « situation » par rapport à l’étrangeté, à l’inconnu que peut représenter la FM pour lui. Cette peur de l’inconnu, cette réserve peuvent constituer des freins, une réserve que, personnellement, je peux tout à fait comprendre. On ne se jette pas forcément dans ce type d’aventure sur un coup de foudre. Non?

          • 16
            Désap.
            8 août 2020 à 11h11 / Répondre

            14 – Écoute, demande ses coordonnées et parraine-le qu’on en parle plus, saint lazare.

        • 15
          Désap.
          8 août 2020 à 11h07 / Répondre

          12 – Très franchement, vous me cassez tous les pieds avec votre forme !
          Les mous du genou, les diplomates et les «tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil » m’ennuient, c’est comme ceci qu’on se retrouve avec des gens qui n’ont rien à faire dans nos rangs.
          Pour le reste, je suis évidemment d’accord avec toi mon cher Yasfaloth.

  • 7
    Jean-Michel Desbordes
    7 août 2020 à 10h58 / Répondre

    Je suis également passé devant cette maison lors d’une randonnée (GR67) et nous faisions étape dans une chambre d’hôtes tenue par les chasseurs. Nous y avions été reçus mieux que bien et gardons un excellent souvenir de cet endroit. J’ais pris en photo cet endroit, surpris d’y voir les symboles exposés au grand jour, ce qui est loin d’être le cas dans nombre de loges. Je continue d’être sollicité pour entrer dans la FM, mais je résiste encore.

    • 8
      Désap.
      7 août 2020 à 12h11 / Répondre

      7 – Continuez, on a déjà trop de monde.

  • 6
    Jean-luc
    5 janvier 2015 à 11h02 / Répondre

    Je suis gardois depuis 1970. J’ai beaucoup parcouru les Cévennes à cheval, avant que je ne sois F.M. En randonnée ce linteau m’avait intrigué mais, dans le flou des souvenirs je ne le localisait plus. Merci.
    Les tombeaux de F.M. en Gardonnenque sont volontiers décorés de symboles. Mon préféré est celui de Frédéric Desmons au cimetière de St Geniès de Malgloires.

  • 3
    F.
    4 janvier 2015 à 15h08 / Répondre

    C’est une maison de Barre-des-Cévennes (Lozère), effectivement, qui appartient à un particulier. Il est connu comme le mas du Grand Orient.

    Je présume que le propriétaire originaire faisait partie de ma loge, L’Union Lozérienne, fondée en 1878. Il faudrait que je vérifie dans les archives. Par contre, il n’y a pas eu, sauf erreur, d’activités maçonniques en ce lieu.

    En effet, L’Union Lozérienne du GODF s’est réunie dans un premier temps à Florac avant de rallier Mende en 1883 (je crois).

    « Au Grand Orient », c’était une façon d’annoncer la couleur dans cette terre camisarde, volontiers rebelle et libre-exaministe. C’est très local. On retrouve la même chose, plus bas, dans la Gardonnenque (plaine du Gardon), dans les cimetières. Les maçons mettaient sur leur caveau « GODF » ou « GLDF » avec des symboles maçonniques, des branches d’acacia, etc.

    Sinon pour ceux qui viennent pour des randonnées pédestres ou plus —> http://www.ul6013.fr

    • 4
      GépluAdministrateur
      4 janvier 2015 à 15h30 / Répondre

      Merci «F». Le fronton porte effectivement l’année 1878, ce qui peut être en relation avec la création de la Loge. Et les lettres L.H. ?
      Les initiales du propriétaire ?

      • 5
        F.
        4 janvier 2015 à 15h42 / Répondre

        Honnêtement, je l’ignore. Peut-être s’agit-il des initiales du frère ? Je vais regarder dans les archives.

  • 2
    Jean Mabuse
    4 janvier 2015 à 11h39 / Répondre

    Dire qu’aujourd’hui les maçons ont tendance à se cacher alors qu’à l’époque ils étaient fiers d’afficher leur appartenance jusqu’aux frontons de leurs locaux

  • 1
    Marc
    4 janvier 2015 à 9h20 / Répondre

    Cette photo est prise à Barre de Cévennes village Lozèrien où je suis souvent passé en randonnée pédestre. Par contre je serai ravi de connaître l’historique de cette maison

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