Cracovie 1

La photo maçonnique du dimanche 31 mars 2019

Publié par Géplu
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dimanche 31 mars 2019
  • 25
    Apicius
    16 avril 2019 à 3h16 / Répondre

    Bonjour, Il s’agit vraisemblablement du palais de la famille Wielopolski à Cracovie.
    Photos récentes ici : https://www.tripadvisor.com/Attraction_Review-g274772-d11925948-Reviews-Palace_of_Wielopolski_family-Krakow_Lesser_Poland_Province_Southern_Poland.html
    Pour les russophones : https://anonimusi.livejournal.com/562748.html
    Ce bâtiment, appartenant désormais à la municipalité, abrite des services municipaux et le bureau du maire de Cracovie.
    A propos de ce palais, la chronique locale rapporte une anecdote macabre : https://www.lepoint.fr/voyages/cracovie-des-legendes-04-03-2010-430400_44.php
    L’auteur des peintures est Mateusz Giełczyński.
    Merci Michel pour cette photo qui m’a fait passer un bon moment sur Internet.

  • 20
    LIONEL MAINE
    2 avril 2019 à 10h24 / Répondre

    Cher Yonnel,
    C’est , en tout cas,très pratique pour décrypter le … « Proctologue de Jean » !
    C’est bon; j’arrête.

  • 15
    Désap.
    31 mars 2019 à 23h00 / Répondre

    Quand j’ouvre entièrement la portière de ma voiture, elle se retrouve (pratiquement) à l’équerre par rapport à la caisse,
    maçonnique ?

    • 16
      lazare-lag
      31 mars 2019 à 23h38 / Répondre

      A propos de voiture, d’équerre, de compas, de règle, etc, ne pas hésiter à aller voir la publicité Panhard publiée ici même le 16 mars 2014
      Moi, j’aime bien.

      • 19
        Désap.
        2 avril 2019 à 9h32 / Répondre

        Moi aussi.
        Possible que les Sieurs Panhard et Levassor étaient maçons car le signe est bien plus probant que ce « blason » exclusivement religieux.
        Yonnel pourrait nous renseigner.

        • 22
          yonnel ghernaouti, YG
          3 avril 2019 à 20h43 / Répondre

          TCF,
          TC DÉSAP,

          En l’état actuel de mes recherches, bien que Messieurs Panhard et Levassor, tous deux issus de Centrale, grande école d’ingénieurs s’il en est, ont pu connaître une certaine fraternité d’anciens élèves (aujourd’hui, nous dirions réseaux…), je ne trouve aucune trace de leurs appartenances maçonniques.
          Quant la publicité Panhard de 1931, je pense qu’il est tout aussi intéressant de s’attacher au parcours des trois « signataires » à savoir :
          – Pour l’équerre : Louis Baudry de Saunier (1865-1938) journaliste écrivain, vulgarisateur scientifique spécialisé dans l’automobile,
          – Pour la règle : Charles Ernest Faroux (1872-1957), polytechnicien, ingénieur automobile et journaliste, créateur des 24 Heures du Mans en 1923,
          – Pour le compas : Henri Petit, polytechnicien lui aussi, rédacteur en chef de « La Technique Automobile ou Aérienne » qui a écrit notamment des ouvrages techniques sur l’automobile, comme Le moteur d’automobile (Dunod, 10e éd., 1947) ou de nombreux titres dans « La collection du chauffeur », toujours chez Dunod.
          Des pistes éventuellement à creuser…
          Concernant Panhard & Levassor, la revue trimestrielle publiée par les Éditions Depeyrot « Histoire & Histoires – Histoire Paris 13e et Paris 5e » leur consacre, dans son n°12 de 2013, un long article (pages 23 à 36) intitulé « Le 13e, berceau de l’industrie automobile ».

          • 24
            Désap.
            4 avril 2019 à 11h36 / Répondre

            Merci mon TCF Yonnel.
            Equerre, règle et compas, il pourrait donc s’agir des outils de la table à dessin visant à montrer le caractère ingénieux des voitures Panhard & Levassor.
            Dans l’automobile de collection d’un point de vue professionnel, je puis assurer que c’est le cas.

        • 26
          Sedetiam
          19 avril 2019 à 9h11 / Répondre

          Chez les Panhard, les concepts de véhicules étaient toujours sacerdotaux…

    • 21
      Sedetiam
      3 avril 2019 à 9h39 / Répondre

      Pas si vous êtes en habits sacerdotaux.

    • 23
      lazare-lag
      3 avril 2019 à 22h34 / Répondre

      Peut-être que les bouddhistes diraient aussi que ça dépend si l’on parle d’un grand ou d’un petit véhicule.

  • 14
    Youssouf Diallo
    31 mars 2019 à 22h03 / Répondre

    Monsieur Ghernaouti
    Vous nous avez fait l’historique entre l’église Polonaise et l’État. Vous n’avez rien dit sur la Pologne communiste, judqu’a Jaruzelski, d’où l’église n’avait aucune influence sur l’appareil d’État. C’est quand Jean Paul II est devenu Pape, après l’assassinat d’un prêtre que l’église à retrouvée ses forces dans la vie politique Polonaise. Vous n’avez rien révélé sur les 230 années d’existence de la Fran maçonnerie en Pologne, quel héritage elle va laisser, ou qu’elle laissera pour des nouvelles générations. Les religions ne peuvent rien contre la FM, car il y a des milliers de Fran maçons croyants. Les Polonais s’intéressaient beaucoup à leur église avec Jean Paul II et le syndicat des ouvriers avec Valesa. Le Pape est mort, le syndicat est devenu un parti politique. Quel rôle à l’église Polonaise aujourd’hui avec une union Eupéenne très laïque.

  • 12
    LIONEL MAINE
    31 mars 2019 à 19h01 / Répondre

    J’ai un pot de chambre avec un œil dans le fond; le Gadlu dans l’écu ?

    • 17
      yonnel ghernaouti, YG
      2 avril 2019 à 5h53 / Répondre

      Cher Lionel,
      Serais-tu devenu Pissadouphile ? En tout cas, tu ne manques pas de pot…
      C’est l’expression employée au pays de Pagnol le « pissadou » à propos du pot de chambre, du « pisse-pot », vase de nuit ou autre vase de commodité.
      Rappelons que ces « pisse-pots » pratiquent souvent un humour charmant, mais décalé. Ils s’accompagnent, généralement au XIXe siècle, de commentaires grivois, notamment les exemplaires destinés aux jeunes mariées, coutume fort prisée, notamment en Aveyron. Toutefois, les plus fantaisistes restent, sans doute, ceux décorés d’un œil ouvert, accompagné de l’inscription « je te vois ». Certains diront que la vérité est au fond du pot…

      • 18
        GépluAdministrateur
        2 avril 2019 à 9h09 / Répondre

        On appelle aussi ces pots de chambre des bourdalous.

  • 9
    Youssouf Diallo
    31 mars 2019 à 15h35 / Répondre

    La Pologne n’est pad la cause de l’extermination de la diaspora juive en Europe, mais le nazisme d’Hitler. Les juifs qui n’ont pas été dans les camps de concentration, sont parti pour les Amériques, d’autres aujourd’hui en Israël. Faire croire que les Polonais traquent les maçons, comme Hitler l’a fait est à vérifier. La Pologne est 100 fois mieux aujourd’hu quei la Hongrie néo-nazie du 21ème siècle.

  • 5
    Youssouf Diallo
    31 mars 2019 à 11h59 / Répondre

    La Pologne catholique à toujours été en harmonie avec les autres religions. Il y avais plus de juifs en polongne que dans beaucoup de pays en Europe.
    La Pologne a 230 ans de tradition maçonnique monsieur Pancerney. Cette figure ne peut être que maçonnique.

    • 6
      yonnel ghernaouti, YG
      31 mars 2019 à 13h13 / Répondre

      Cher ami,
      Pour avoir rencontré des Frères polonais, je puis vous assurer que, même s’ils maçonnent dans la plus grande discrétion et ne font pas l’objet d’actes ostensibles antimaçonniques, la vie d’un Maçon en Pologne, par les temps qui courent, n’est pas un long fleuve tranquille…
      Même s’il a été déjà rendu compte sur ce blog des 230 ans de Franc-Maçonnerie en Pologne, le 3 mars 2016.
      La Franc-Maçonnerie polonaise, tout au long du XXe siècle, a été quasiment inexistante, pour ne pas dire plongée dans le plus profond sommeil.
      La célébration de la création du Grand Orient de Pologne, mixte depuis, n’a eu lieu, a priori, que le 12 juillet 1997.
      Quant à la Grande Loge nationale de Pologne, reconnue par la Grande Loge Unie d’Angleterre, elle ne débuta ses Travaux qu’à compter du 9 septembre 2006…
      Et nous ne parlons même pas du nombre de présents sur les colonnes !

      • 10
        Brumaire
        31 mars 2019 à 17h27 / Répondre

        6- Merci de ne pas oublier la Fédération polonaise du DROIT HUMAIN, présente à Varsovie et Katowice, avec plusieurs loges bleues, et Ateliers de hts grades jusqu’au 30° degré compris.
        Pour la photo « maçonnique » du 31 mars, je mets maçonnique entre guillemets, car cet oeil est très souvent symbole visible dans les congrégations religieuses. Cracovie étant une ville de tradition très très catholique (le pape JP2 était évêque de Cracovie), pour moi, cette photo ne représente sans doute pas un symbole maçonnique.

      • 11
        Brumaire
        31 mars 2019 à 18h18 / Répondre

        6- Si le GODF a installé des loges en Pologne il serait plus judicieux de parler des Grands Orients de Pologne, après les scissions qui s’y sont passées.

    • 7
      lazare-lag
      31 mars 2019 à 13h42 / Répondre

      Je serai pour ma part beaucoup plus réservé, voire prudent, sur, d’une part, la supposée « harmonie avec les autres religions » de la Pologne et sur, d’autre part, le fait que « cette figure ne peut être que maçonnique ».
      Notre TCF Yonnel nous rappelle d’ailleurs opportunément, et avec exemples à l’appui, que le delta lumineux avec son oeil central a été, et est toujours, largement utilisé par les milieux religieux, en particulier catholiques, voire même utilisé par ceux qui aiment à brocarder tout ce qui est religieux, et encore une fois catholique (Cf. « Charlie Hebdo », que Yonnel cite également).
      Quant au fait qu’il y avait plus de juifs en Pologne que dans beaucoup d’autres pays en Europe, est-il vraiment nécessaire de rappeler les raisons pour lesquelles la présence juive dans les pays d’Europe centrale ou de l’Est, est désormais beaucoup moins importante, voire marginale comparé à il y a 100 ans seulement?
      En Pologne en particulier?

    • 13
      yonnel ghernaouti, YG
      31 mars 2019 à 20h48 / Répondre

      Cher ami,
      Pour vous donner quelques précisions quant à la situation des différentes religions en Pologne, il faut savoir, tout d’abord, dans quel cadre juridique elles s’inscrivent.
      Dans un premier temps, le préambule de la Constitution mentionne explicitement Dieu et l’héritage chrétien de la nation, tout en incluant ceux qui ne croient pas en Dieu mais respectent les valeurs universelles de la vérité, de la justice, du bien et de la beauté (on se croirait en Maçonnerie…)
      Ensuite, l’article 25 précise en outre les relations entre l’État et les groupes religieux. Il garantit l’égalité en droit de toutes les Églises et autres organisations confessionnelles et « l’autonomie et l’indépendance mutuelles » de l’Église et de l’État, avec la possibilité d’une coopération pour le bien de l’homme et le bien commun. Le même article mentionne aux alinéas 4 et 5 que l’État définit ses relations avec l’Église catholique romaine et les autres organisations confessionnelles par des accords bilatéraux.
      Ensuite, l’article 53 de la Constitution garantit la liberté de religion et de conscience en Pologne. Il permet les manifestations publiques du culte, tant que cela ne menace pas l’ordre public, la sécurité de l’État ou les libertés individuelles et les droits d’autrui.
      Pour mémoire, quelques chiffres. La Pologne est restée fidèle à Rome et à la Latinité depuis le Xe siècle. Avec environ 95 % de catholiques dont 80 % de pratiquants, sur un peu plus de 38 millions d’habitants, la Pologne est un des rares pays d’Europe où la religion occupe une grande place. L’Église catholique diffuse des émissions de radio et de télévision, et possède nombre d’hôpitaux, de maisons de retraite et d’établissements d’enseignement. Le pays compte 15 000 églises et chapelles, 9 990 paroisses et environ 28 000 clercs.
      De plus, l’article 196 du code pénal sanctionne pénalement le fait d’offenser publiquement les sentiments religieux.
      On ne peut donc nier la prédominance actuelle de la religion et de la culture catholique dans les mentalités et le quotidien des Polonais.
      Toutefois, aujourd’hui en Pologne cent trente-huit églises ou associations confessionnelles sont officiellement enregistrées. Les quatre rites catholiques (ukraino-byzantin, néo-uniate, arménien et romain) sont représentés.
      L’Église orthodoxe autocéphale polonaise est la seconde communauté par sa taille, avec environ 800 000 fidèles. Enfin la troisième confession chrétienne en Pologne est le protestantisme qui se divise en plusieurs branches et compte environ 100 000 fidèles avec l’Eglise évangélique de la confession d’Augsbourg, l’Église pentecôtiste ou l’Église adventiste du septième jour.
      La communauté musulmane représenterait environ 38 000 membres. Quant à la communauté juive, comme le disait notre cher Frère LAZARE-LAG et pour les raisons malheureusement que nous connaissons, elle compte de 3200 à 6000 membres ( données : North America Jewish Data Bank).
      Mais la Pologne doit tout à la religion chrétienne, car elle a été reconnue comme royaume en 966 par le baptême de son Prince Mieszko. Grâce à cela Mieszko a pris une stature internationale et le pays s’est organisé autour des structures importées par la religion : la hiérarchie administrative, la structure sociale, l’appareil législatif et l’organisation de l’éducation sont le résultat de la conversion du souverain.

  • 4
    yonnel ghernaouti, YG
    31 mars 2019 à 11h33 / Répondre

    La noblesse polonaise doit son origine aux clans guerriers qui, au Moyen Âge, étaient le support du roi, des princes ou des grands seigneurs. En tout cas, rien dans l’armorial de la noblesse polonaise-lithuanienne concernant ces armes.
    De plus, la forme de l’écu n’est même pas celui de l’écu classique polonais à échancrures multiples. Cet écu est un écu en accolade.
    La forme de cet écu, très répandu jusqu’au XIXe siècle, et inventé au XVIe par Hierosme de Bara (c. 1540-c. 1600) peintre verrier, orfèvre et armoriste, est jugé comme assez disgracieuse et est désavouée aujourd’hui par la plupart des héraldistes, qui lui préfèrent l’écu classique.

  • 3
    Youssouf Diallo
    31 mars 2019 à 10h53 / Répondre

    C’est très beau, très pathétique, c’est magnifique.
    Ça rend fier.
    Merci, encore merci Michel.

  • 2
    Pancernej
    31 mars 2019 à 9h43 / Répondre

    Bonjour à tous,

    Probablement rien de maçonnique dans ce delta que l’on trouve dans cette belle ville de Krakow. J’ai pris jadis la même photo de cette façade (je ne me souviens plus ce qu’abrite ce bâtiment).

    Ce type de delta est un symbole religieux avant que d’être maçonnique. On le retrouve en de très nombreux endroits en Pologne, terre catholique s’il en est (Cracovie, Varsovie en plusieurs endroits dans ou sur des édifices religieux notamment, etc.). Idem en France d’ailleurs…

    La franc-maçonnerie n’est pas franchement en odeur de sainteté en Pologne, si je puis m’exprimer ainsi. Elle se fait discrète et ne s’affiche pas ouvertement.

    Belle journée.

    Pancernej

  • 1
    yonnel ghernaouti, YG
    31 mars 2019 à 6h03 / Répondre

    Normal que ce sujet du delta lumineux et de l’œil qui voit tout revienne tel un marronnier. Sur Hiram.be, c’est la neuvième fois qu’il est abordé.
    Le poète, écrivain et critique du Grand Siècle Nicolas Boileau (1636-1711) ne disait-il pas « Cent fois sur le métier remettez votre ouvrage ! »
    Saisissons l’occasion pour préciser que l’origine du terme « marronnier » dans le journalisme provient de cet arbre fameux par sa précocité et dont toute la presse parisienne se fait l’écho. C’est une des légendes parisiennes populaires du XIXème siècle.
    Il s’agit, bien évidemment du célèbre marronnier dit du 20 mars du jardin des Tuileries. Le Figaro du 14 juillet 1885 nous disait qu’il s’agissait d’un épisode de la terreur en août 1792. Le 10 août, les Tuileries sont attaquées par les révolutionnaires. Les 950 gardes suisses fidèles au roi sont massacrés et enterrés sous les branches d’un marronnier. Les années suivantes, l’arbre fleurit prématurément.
    Et cela nous ramène à l’origine de la Loge « Le Centre des Amis », car après ce massacre, il ne pouvait plus être question pour les gardes suisses que leur Loge militaire « Guillaume Tell » continue à se réunir.
    Mais revenons à notre œil de la Providence ou l’œil omniscient qui est un symbole montrant un œil entouré par des rayons de lumière et habituellement dans la forme d’un triangle. Il est généralement interprété comme la représentation de l’œil de Dieu exerçant sa surveillance sur l’Humanité. Son symbole est repris dans plusieurs religions et/ou sociétés philosophiques.
    Il s’agit vraisemblablement, ici, d’un blason représentant l’œil de la Providence.
    D’après « L’Alphabet et figures de tous les termes du blason » (Paris, 1899) de L.-A. Duhoux Légier de La Tour l’œil, comme les autres parties du corps humain, est employé en armoiries et son usage est assez fréquent dans les armes parlantes ; il se figure de face, mais lorsque sa position est autre, on doit l’indiquer en blasonnant.
    En France, L’œil se retrouve sur les armoiries des familles Légier de la Tour (Île-de-France), Comitin (Champagne), de Vaucocour (Périgord).
    Dans son « Les blasons : Art et langage héraldiques » (Hachette Pratique, 2013) Pierre Jaillard nous indique que « les personnes spirituelles, mythiques ou historique sont identifiés par des attributs conventionnels. Dieu est symbolisé par la gloire, triangle chargeant souvent une nuée et le tout rayonnant, ou par une Providence sommée souvent d’une nuée. »
    A priori, donc, rien de maçonnique comme nous l’avons déjà lu sur Hiram.be :
    – Avec la photo du 9 décembre 2018, prise à la cathédrale Storkyrkan de Stockholm,
    – Avec l’article « SYMBOLE RELIGIEUX OU MAÇONNIQUE ? » du 24 août 2018,
    – Avec la photo du dimanche 11 février 2018 représentant la porte du collège St Michel à Fribourg, en Suisse (fondation Jésuite datant de 1580),
    – Avec la photo du dimanche 1er octobre 2017 et la porte du tabernacle de l’église de Teteghem, près de Dunkerque,
    – Avec l’article « LE DIEU DE CHARLIE EST-IL FRANC-MAÇON ? » du lundi 4 janvier 2016,
    – Avec la photo de la façade de l’église Saint-Vaast de Menin, petite ville à la frontière belge près de Lille, du 1er novembre 2015,
    – Avec celle encore du 20 juillet 2014 de l’intérieur du sommet de la coupole de l’église Santa Maria della Scala dans le quartier de Trastevere à Rome,
    – Enfin, avec la photo de vacances du mardi 31 juillet 2012 et de la chapelle latérale de l’église Sainte-Croix de Saint-Pourçain sur Sioule, dans l’Allier.

    • 8
      Sedetiam
      31 mars 2019 à 15h01 / Répondre

      Si tant est que le Grand Mickey, Suprêmissime Chamboultou de l’Univers soit des nôtres, quand bien même vous lui prêtez le nom de Dieu, il ne doit pas être « surveillant », comme vous le dites, mais à tout le moins bienveillant. L’omniscience, l’omnipotence et l’omniprésence offrant l’entière « Connaissance », passée, présente et avenir, la surveillance se veut, dès lors, inutile.
      Quand au delta et autre représentation de la sorte, il ne s’agit pas de rayons du soleil mais d’un flamboiement qui signifie bien au-delà de la simple lumière offerte par un astre: chez les chrétiens, la Gloire, le triangle symbolisant alors la Trinité…
      On en passe et de meilleures.

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