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Géplu.
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Oui, pour le Grand Collège des Rites, ce n’est pas une célébration, mais un temps de d’études et de réflexions sur un événement qui, à tort ou à raison, est considéré aujourd’hui en France comme une étape dans l’histoire du REAA. Rappelons que le Grand Collège des Rites, qui était le correspondant traditionnel du Suprême Conseil de la Juridiction Sud en France, s’en est vu écarté à la suite de sa reconnaissance du Suprême Conseil de Louisiane. Un « casus belli » pour les Américains. L’habileté de cet homme exceptionnel qu’était Adolphe Crémieux a pu opérer une sorte de retournement d’alliance et faire du Suprême Conseil de France l’acteur central de cette tentative d’organisation internationale écossaise. Tentative qui a d’ailleurs, à l’époque, échoué puisque plusieurs des participants majeurs n’ont finalement pas souscrit à ses conclusions et puis sont retirés du projet.
Certes, le Suprême conseil écossais du Grand Orient est la seule véritable survivance du suprême conseil du 33e degré originel de 1804, puisque ses ateliers ont travaillé sans discontinuer dans la structure, même si elle a changé de nom.
Mais c’est quand même curieux d’organiser un colloque sur un convent de Lausanne auquel il n’avait pas participé.
Ceci dit, la structure représentant la France à ce convent, le SCDF, se présente comme celui de 1804 alors qu’il a été créé en 1821 et que ces ateliers minoritaires étaient léthargiques entre 1815 et 1821.
Autre curiosité : le suprême conseil du GODF reçoit en visite les membres des suprêmes conseils du DH, de la GLMF et depuis peu de la GLFF alors que de son côté, le SCDF reçoit les frères visiteurs de la GLAMF et de la GLTSO je crois.