puzzle-obediences

Crise d’identité et multiplication des obédiences

Ce contenu est réservé aux abonnés.Pour accéder à cet article, vous pouvez choisir de :

*Vous pouvez déverrouiller jusqu’à 3 articles gratuitement.
mercredi 2 novembre 2016
  • 27
    réboussié
    13 novembre 2016 à 16h23 / Répondre

    rassembler ce qui est épars ? dans un rituel ? dans une spiritualité ? un espoir d’humanisme ,de respect ,de paix et de fraternité ? ou le petit , tout petit bout de la lorgnette , une seule obédience , avec un vrai chef , qui en a ( des beaux cordons ) ? je trouve marrant cet aspect du rassemblement , éventuellement comme l’UMPS ? principe du tiers exclu ? avec primaires pour s’assurer de la défaite du troisième ? ça représentera, les trois réunis, avec beaucoup de générosité un peu moins de la moitié des citoyens ? nous savons bien ou ça pose problème , c’est pas au travail ou sur le chantier c’est juste quand il faut ( pourquoi ? ) choisir un président , nommez le « animateur » comme celui du groupe de gamins en colonie de vacances ..avec rémunération art 2 de la CC de l’animation socio culturelle …..

  • 26
    Jérôme B
    8 novembre 2016 à 9h56 / Répondre

    Si les obédiences se démultiplient actuellement comme des pépins de grenade, mes FF.: , on peut en attendre mécaniquement quelque chose de fort : la poussée d’un nouvel arbre, d’un irrésistible courant de rassemblement, d’un nouvel « axis mundi » intellectuel et… spirituel, qui redonnera une colonne vertébrale à notre monde maçonnique.
    La dernière fois que c’est arrivé : EN ANGLETERRE, LE 27/12/1813. Des courants aussi opposés que « Ancients » et « Moderns » ont été assemblés (« veuille ou veuille pas », comme on dit chez moi) pour créer la G.L.U.A., qui a régné sur le monde maçonnique comme vous les savez pendant les 2 siècles suivants.
    Contexte nécessaire pour arriver à un tel résultat (et c’est ce qui nous intéresse ici ) : un environnement menaçant, comme la Grande Armée guerroyant partout en Europe et menaçant les intérêts britanniques, et peut-être un George IV, roi mal aimé, mais qui a au moins su rassembler les intérêts maçonniques de son pays.

    • 28
      Condorcet
      13 novembre 2016 à 17h33 / Répondre

      Le contexte était peut être plus politique et moins spirituel. Il y avait eu la campagne de Russie et surtout la bataille des nations à Leipzig. Il fallait profiter de la situation pour en finir avec le régime Napoléonien, et construire la sainte alliance. La GLUA créée sur ordre par l’unification des antiens et les moderns n’avait d’autre but que d’en finir avec les reliquats des acquis de la révolution française par le retour du religieux. La spiritualité supra religieuse d’Anderson était terminée à partir de cette date.

  • 24
    Jean Silence
    2 novembre 2016 à 16h51 / Répondre

    Pour continuer sur le questionnement que soulève Emerek, quel membre, par exemple de la GLMF pourrait-il dire (hors l’histoire circonstancielle de l’obédience, pour ne pas dire anecdotique) ce qui le différencie d’un membre de la GLMU ? Et du DH ? Qui peut dire ce qui distingue, profondément, les membres de la GLISRU, de la GLCS voire de la GLTF ?
    Qu’il y ait cinq pôles différents dans la franc-maçonnerie en France, n’est-ce pas suffisant? Qu’est-ce qui justifie qu’il y en ait 17 voire 20 sinon des différences artificielles, superficielles et pour tout dire « mondaines » et profanes, sans aucune justification maçonnique.

    • 25
      Pierre-Philippe Baudel
      2 novembre 2016 à 18h11 / Répondre

      1. La qualité accordée au mot « initiation »; 2. Les comportements, qui diffèrent selon la manière dont est vécue l’initiation par iceux. Qu’elle ait lieu au sein de la GL-AMF, de la GLMU, du DH, à la GLMM ou à la GLISRU et même de la GLTF, pour reprendre tes exemples, importe peu.

  • 23
    willermoz 59
    2 novembre 2016 à 16h45 / Répondre

    Une nouvelle fois un beau texte de Emerek Le Fol qui pose des questions essentielles notamment :
    « De surcroît, dans quelle mesure les frères et sœurs, à quelque degré de leur progression qu’ils soient dans le rite de tel ou tel obédience, sont-ils vraiment influencés par le contenu idéologique, philosophique, spirituel sous-tendus par les rituels qu’ils pratiquent ? ».
    Cette question je me la pose aussi d’abord pour moi même ….
    Parfois en FM on peut se payer de mots (planches savoureuses et séduisantes) ou de déclarations, mais constitue-t-elle pour autant, dans notre pratique, une réelle discipline ?
    En tout cas merci pour ce propos partagé.

  • 21
    Pierre-Philippe Baudel
    2 novembre 2016 à 14h33 / Répondre

    Quoi répondre à Jules ? A ses écrits, où sont mêlées confusément toutes sortes d’arguments disparates. S’abstenir eut sans doute été le mieux mais aussi pas très fraternel. Tandis qu’il nous éloigne du sujet de réflexion proposé par Emerek.

  • 17
    Pierre-Philippe Baudel
    2 novembre 2016 à 13h25 / Répondre

    Bien Cher Jules, Il ne servirai à rien de désigner l’une ou l’autre obédience, car toutes ont leurs bonnes ou moins bonnes raisons d’être. Quant au comportement, il est celui attendu chez tout Maçon, a priori convenablement initié. Dans le cas contraire, nous pouvons toujours le reconnaître comme Maçon mais pas comme un initié, moins encore comme GM.

    • 18
      jules
      2 novembre 2016 à 13h43 / Répondre

      Je comprend pas ta réponse. Des allusions, mais on se défile quand on demande d’être plus précis. Ce n’est pas trsè maçonnique tout cela…
      Un rien faux cul même.
      Tu me sembles là parfaitement incarner le « ici, mieux qu’en face  » d’Emerek « sans d’ailleurs apporter aucun argument rationnel, ni publicitaire d’ailleurs, à cette affirmation. » comme continue Emerek.

      • 22
        Perpétuel Initié
        2 novembre 2016 à 15h32 / Répondre

        Jules, si je peux vous aider…..
        Un initié est une personne adulte qui a compris que le doute était une bonne étape du questionnement et que la maïeutique et l’échange avec les autres sont les meilleurs voix vers la lumière. Or, si la peur du doute est dépassée, il n’y a plus de raisons d’avoir peur des positions qui ne sont pas les nôtres, donc plus aucunes raisons de se montrer, nous hommes maçons, comme un animal, aboyant sans cesse sur le premier qui passe (qui parle).
        .
        Je pense que votre réaction ne résonne pas bien (pour le coup !) avec le bon fruit d’une initiation.
        .
        Et si un tel ou un tel ne souhaite pas vous répondre, commencez par vous dire que vous vous y prenez mal, vous aurez déjà plus l’air d’un maçon.
        .
        D’ailleurs ce sujet de cibler les obédiences est particulièrement mal venu lorsqu’on connait des FF qui eux sont très bien et non rien demandé pour être dans la situation dans laquelle leurs obédiences les ont amenés. Et non rien avoir avec leurs Chefs. Confer : GLAMF (content ?!? je l’ai cité !). Moi j’ai de la peine pour ces frangins qui sont proches de moi d’un point de vue initiatique, ayant pris naissance dans la même bergerie. Mais peut etre que vous ne connaissez pas ces maçons là ?
        .
        Donc deux conseils : gagnez en humilité et lisez les « 4 accords toltèques » pour éviter de « dealer » votre poison sur hiram.be !

  • 14
    tartuf_rit
    2 novembre 2016 à 12h59 / Répondre

    Arrêtons cette tarte à la crème c’est une constante de la société française depuis 1789.
    Aujourd’hui un monde français que j’ai particulièrement bien connu, le syndical est morcelé d’une manière indicible alors qu’il est celui d’Europe qui a, je ne parle même pas de militants, d’adhérents. Les raisons sont simples c’est une pratique issue du centralisme français. Quant je ne suis pas d’accord je créé ma propre structure je suis aussi intelligent et capable, voire plus, que les autres et les jeux d’orientation politique n’arrangent pas les choses. Regardez les choix de certains des GM sont-ils symboliques ou profanes. Et étonnez vous sue les L.’. se replient sur elles-mêmes. Soyez assurés que si les participations aux Convents n’étaient pas obligatoires et les absences sanctionnées il n’y aurait pas foule. Et que dire du désir d’ambitieux, persuadés d’être, de passer leur temps à essaimer….. Avant de parler du monde actuel penchons nous plutôt sur les raisons qui ont mis ce monde ainsi. C’est bien la prétendue démocratie française qui interdit, par exemple, le syndicalisme jusque dans les années 1884. D’où la politisation le second syndicat, le chrétien, n’apparaissant qu’en 1900.
    Alors remettons les vérités là ou elles sont et les responsables là où elles devraient être. J’ai dit

  • 12
    Benjamin Rathery
    2 novembre 2016 à 12h35 / Répondre

    Dans un entretien récent, Christophe Habas, le GM du GODF, répondait à Geplu qui lui demandait à quoi sert la FM au 21 ième siècle : C’est un lieu de sociabilité où s’incarne une réflexion avec le temps nécessaire qui n’est pas celui de l’immédiateté. Soit !
    Mais qu’en est-il concrètement de « rassembler ce qui est épars en vue de préparer la concorde et la fraternité universelles » ? Ne faut-il pas commencer par tenter de réunir, d’une manière ou d’une autre, la myriade d’obédiences qu’il y a en France ? Qu’en pensent les 36 Conseillers de l’Ordre du GODF ? Mènent-ils une réflexion en ce sens ? Ce thème est-il soumis à la réflexion des loges ?
    Au lieu de prétendre donner des leçons à la société profane, les obédiences ne doivent-elles pas commencer à balayer devant leur porte ? Que font les exécutifs des obédiences, à part des discours incantatoires où l’on en appelle d’autant plus à la fraternité que cela les exonère d’avoir à la pratiquer ?

  • 10
    Pierre-Philippe Baudel
    2 novembre 2016 à 12h00 / Répondre

    Saluons l’analyse, qui a déjà le mérite d’exister, ensuite d’être regrettablement juste et dont on pourra sans doute partager la plupart des observations. Une réflexion pour ajouter au débat : distinguons peut-être la Maçonnerie initiatique de celle qui ne l’est pas, voire contre-initiatique. La première est synonyme d’un certain art de vivre et tout au long d’un comportement, la seconde est synonyme d’un art de vivre et tout au long d’un autre comportement. . .

    • 11
      jules
      2 novembre 2016 à 12h27 / Répondre

      à P.P. Baudel
      Tu pourrais être un peu plus précis et nous dire qui est pour toi, quelles sont les obédiences qui incarnent la maçonnerie initiatique et quelles sont celles qui ne le sont pas, voir qui sont contre initiatiques ?…
      Et quels sont les deux « comportements » non précisés non plus. Là, on voit pas ce que tu veux dire.

      • 15
        Condorcet
        2 novembre 2016 à 13h05 / Répondre

        Je ne suis pas Baudel, mais pour moi l’obédience initiatique est celle qui met en concordance ses discours avec ses pratiques, et la non initiatique c’est celle qui tient un discours et fait le contraire dans la pratique. Exemple des obédiences parlent d’universalisme, de rassembler ce qui est épars, mais dans la pratique n’arrêtent pas de taper sur les autres obédiences, voire se targuent d’un complexe de supériorité sur les autres institutions, de quel droit ? A quel Titre ? Bref, le triomphe de la médiocrité en quelque sorte.

        • 19
          jules
          2 novembre 2016 à 13h44 / Répondre

          Tu n’es pas plus clair que Baudel, Condorcet. De qui parles-tu ?…

          • 20
            Condorcet
            2 novembre 2016 à 13h57 / Répondre

            Mon Cher Jules..Rendre à Cesar ce qui est à Cesar et à Jules ce qui est à Jules. Je plaisante.
            Le complexe de supériorité lié à l’affaire de Bâle et qui s’est terminé par un fiasco. Tu vois ce que je veux dire. Une obédience a profité qu’une autre avait un genou à terre tout en prenant ses distances avec les autres dans l’espérance d’une reconnaissance illusoire en raison de ses liens avec un Suprême et sous couvert d’une régularité que les autres n’auraient pas…
            Ai je été clair?

  • 9
    Mg RENAULT
    2 novembre 2016 à 11h51 / Répondre

    Merci à Emerek Le Fol pour cette très belle contribution.
    Chaque époque a ses défis à surmonter.
    Il convient de porter haut et fort les idéaux de la République.
    FRATERNITE

    • 13
      Benjamin Rathery
      2 novembre 2016 à 12h46 / Répondre

      Le chevalier Ramsay en appelait déjà à une « République universelle ». Faut-il rappeler que celle-ci n’est pas « seulement » la démocratie ? La démocratie, constatant l’existence des communautés se contentent de les réguler. La République a un niveau d’idéal plus élevé, qui vise à faire de chaque individu un être émancipé, dans une visée universaliste. C’est l’idéal de la République, c’est aussi celui de la FM. Allons expliquer cela aux socialistes qui ont oublié qu’ils étaient d’abord républicains avant de se convertir à la démocratie anglo-saxonne. Et il n’est même plus la peine d’aller essayer d’expliquer cela au parti « les républicains » qui usurpent ce nom. Quant aux francs-maçons, il serait temps qu’ils relisent, en y réfléchissant, à leurs textes fondateurs …

      • 16
        Mg RENAULT
        2 novembre 2016 à 13h13 / Répondre

        Merci pour ces précisions utiles à tous.Bonne journée

  • 8
    Emmanuel
    2 novembre 2016 à 11h00 / Répondre

    Je crois qu’il faut distinguer la base maçonnique où la fraternité se vit au quotidien et les hiérarchies maçonniques qui de « suprêmes en conseils machins » clivent et oublient qu’avant d’être hiérarques (souvent à la petite semaine) ils sont avant tout au service des frères et de la fraternité qui est notre valeur commune. Comme dans la vie profane les logiques d’appareils sont excluantes plutôt que rassembleuses.

  • 6
    joab'n
    2 novembre 2016 à 10h42 / Répondre

    Etonnant et bien dans le sujet qui est d’évidence irritant et pourtant toujours sous-jacent, même chez les plus impliqués à défendre l’intérêt d’ « obediences ».
    Pourtant, il conviendrait d’examiner cette question sans passion, colère.
    Ainsi la multiplication d’obédiences est une réalité incontestable, par simple constatation.
    Et, c’est là que le bât blesse cette constatation est immédiatement péjorative.
    Sans que l’on se soit posé la question de fond sur le pourquoi ce serait « mal » !
    En fait, l’article d’emerek permet de mieux comprendre :
    Beaucoup estiment que ce serait à l’obédience de définir les fondements, valeurs de la FM. Et là nous tombons dans le profane.
    – Ces valeurs sont celles de la FM depuis 3 siècles. Se les approprier, totalement ou partiellement quand ce n’est pas en créer d’autres, crée division, et peu importe la taille de l’obédience. Le cas typique est la tarte à la crème de la « régularité » auquel d’autres répondent par « liberal », « adogmatique ». (baratin de division et segmentation de « marché »)
    – L’obédience est AU SERVICE des loges qui elles sont en charge d’appliquer les principes de la FM au travers de leurs rituels.
    L’obédience est là pour faciliter ce processus, fournir des rituels, former, transmettre, faciliter l’échange.
    Dans la mesure où l’obédience renonce à ses vélleités profanes d’imposer, obliger, soumettre, jusqu’à s’approprier (GLNF) les loges, les problèmes tombent.
    Les FM dans leurs rapports maçonniques se désintéressent de l’obedience. Et c’est très bien.
    Mais ca ne fait pas l’affaire de dirigeants qui tiennent à maintenir des rapports profanes de soumission plutôt qu’adhésion. D’où des discours sans fin et peu argumentés utilisant des methodes profanes de com.
    Il ne faut pas s’etonner non plus que des maçons conscients du faible service apportés par des obediences choisissent des structures autres ou pas de structure du tout.
    Ceci, au lieu de s’en émouvoir et crier au scandale de « sauvages » devrait interpeller les dirigeants de grandes obediences … et leurs militants. Et ce n’est pas en jouant les dédaigneux, toisant d’autres FM du haut de leur organisation profane qu’ils « réuniront ce qui est épars ». Si leur volonté est de réunir, ils doivent s’effacer de là où ils n’auraient jamais dû aller.
    Les FM se réunissent certainement pas autour d’obédience(la preuve) mais autour de principes maçonniques qui traversent toute la FM. En effet rien ne sépare les FM …. sauf les obédiences envahissantes dont c’est le business !

  • 1
    Condorcet
    2 novembre 2016 à 8h59 / Répondre

    Votre texte: « La société française est, depuis quelques décennies, traversée par ce qu’il est convenu d’appeler une « crise d’identité » qui fait que l’ensemble de la population ne se reconnait plus dans les valeurs et principes qui la fondent ni dans les quelques « mythes fondateurs » dans lesquels se forgeait la volonté d’un « vivre-ensemble » plus ou moins harmonieux.
    Est ce la population qui ne se reconnait plus dans les valeurs de la République ou est ce que ce sont pas les élites qui les ont abandonnées et qui divisent pour mieux régner?
    C’est peut être parce que les élites ont abandonné les dites valeurs que la société se délite. Tout est bon pour y arriver: mondialisation économique, construction d’une europe anti-démocratique, monnaie sans souveraineté populaire, non respect du résultat d’un référendum, et on pourrait allonger la liste aussi il ne faut pas s’étonner du résultat. Le statut quo de toute société n’est pas pensable car toute société évolue naturellement, mais l’évolution d’une société sans le peuple et son avis ne l’est pas non plus
    Quant aux obédiences maçonniques elles ne sont que le reflet de la société. Pour les unes un figisme mortifère, pour d’autres la recherche de pouvoirs en manipulant la démocratie au sein des obédiences.
    Décidément triste époque.

    • 2
      Bertrand Comminges
      2 novembre 2016 à 10h03 / Répondre

      « Quant aux obédiences, elles ne sont que le reflet de la société ». Triste constat, malheureusement juste. Mais dans ce cas on peut légitimement poser la question : à quoi sert encore la fm si elle est aussi fragmentée que la société ? Son projet initial n’était-il pas de regrouper, par-delà les différences, des hommes (et des femmes) de bonne volonté se réunissant dans un cadre préfigurant la société fraternelle à laquelle elle aspire ? Est-ce en pratiquant des scissions permanentes qu’elle oeuvre à rassembler ce qui est épars ? Quelle crédibilité peut-elle avoir aux yeux de la société profane si elle reproduit les pires de ses travers ?

      • 4
        Condorcet
        2 novembre 2016 à 10h24 / Répondre

        Bonne question….Peut être qu’il faudra que la base s’en mêle avec des députés des loges que ne soient pas des buvards mais fassent leur boulot de député en défendant la liberté des loges et des FF et SS. C’est l’absence de liberté accordée aux loges qui a engendré la création de nombreuses obédiences.

      • 7
        Maxime
        2 novembre 2016 à 10h46 / Répondre

        Bonne question. La direction d’une Obédience est un pouvoir comme un autre et ceux qui l’ont essayent de le garder ou de le transmettre à un petit groupe « élitiste ». D’où la complicité entre CO et CSJM, procès de type stalinien, confiscation des décisions du Convent ou « interprétation » imposée par la méthode incantatoire.
        Ce n’est plus de la Maçonnerie. Hélas !

    • 3
      Chicon
      2 novembre 2016 à 10h18 / Répondre

      Que la FM soit en décalque de la societe française, c’est très bien observé. Pour etre chef m’a-t-on dit quand j’étais petit, il faut connaître le travail et etre irréprochable. Tout cela est démodé, ringard, et la FM « alimentaire » ressemble a la politique « alimentaire » comme une décalcomanie. Compétence et honnêteté ne sont plus évoquées dans le leçons de morale.

    • 5
      Alfred Molle
      2 novembre 2016 à 10h40 / Répondre

      Analyse parfaitement exacte de ce qui se passe, à mon grand désespoir ! Ou est passée la (vraie) démocratie ?

La rédaction de commentaires est réservée aux abonnés. Si vous souhaitez rédiger des commentaires, vous devez :

Déjà inscrit(e) ? Connectez-vous