La Franc-Maçonnerie mixte au XXIe siècle

Publié par Jiri Pragman

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vendredi 29 juin 2007
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  • 6
    Philippe
    4 juillet 2007 à 17h25 / Répondre

    Allons à la source sur le site public de cette obédience :
    http://www.glmf.fr/quisommesnous3.php
    Puis :
    « La Grande Loge Mixte de France, ses particularités »
    Il y est expliqué : (extrait)
    « En février 1973, trois loges du Droit Humain, “Lucie Delong”, “Marie Bonnevial” et “Le Devoir ”, suivies d’une centaine de membres abandonnent la rue Jules Breton et fondent une nouvelle obédience, la Grande Loge Mixte Universelle. Les causes de cette scission sont les mêmes que celles de 1913 : la trop grande importance du Suprême Conseil. La direction de ce groupe est prise pas la Sœur Eliane Brault et le Frère Raymond Jalu.

    La Grande Loge Mixte Universelle fait sienne l’article premier de la constitution du Grand Orient de France. Elle adopte un règlement général copié sur celui du Grand Orient de France, et déclare n’administrer que les grades symboliques. Entre 1973 et 1981 l’obédience progressera sensiblement. Elle compte au Convent de 1981, vingt-quatre loges et cinq cent cinquante membres actifs. Mais entre ceux qui veulent créer pour les membres de l’obédience des structures indépendantes de hauts grades, les fervents du Rite Français et ceux du Rite Ecossais, les partisans d’une maçonnerie engagée et ceux d’une maçonnerie plus orientée vers le perfectionnement individuel de ses membres, les dissensions s’installent très vite.

    Au Convent de 1981, le rapport moral du Grand Maître sortant est rejeté à une faible majorité.

    Dès lors l’unité de l’obédience n’est plus assurée. Les frères et les sœurs qui, pour des raisons diverses, se sentent mal à l’aise dans l’obédience s’organisent. Ils ont l’intelligence d’œuvrer discrètement.
    Ils obtiennent le soutien efficace du Grand Orient de France et créent en 1982 la Grande Loge Mixte de France.

  • 5
    Pierre-Jean
    4 juillet 2007 à 16h21 / Répondre

    L’histoire des obédiences est toujours un peu compliquée, mais je vais faire simple.
    La GLMF est une obédience mixte dans laquelle on trouve des ateliers masculins, mixtes ou féminins. Elle est née en 1982 d’un schisme au sein de la Fédération Française du Droit Humain, certaines loges s’opposant à la synarchie de fait du Droit Humain.

  • 4
    Stéphane
    3 juillet 2007 à 17h43 / Répondre

    Je vais sans doute passer pour un ignare, mais qu’est-ce que la Grande Loge mixte de France ? L’équivalent du Droit Humain en Belgique ? Autre chose ?

  • 3
    Philippe
    3 juillet 2007 à 14h44 / Répondre

    OUI mais qu’y a-t-il derrière le mot « choix » ?

    Chacun choisit en fonction de ses possibilités, dont notre héritage génétique notre apprentissage culturel etc … augmentent ou diminuent le nombre …
    Qui peut le plus peut le moins mais l’inverse n’est pas possible !!! hélas

  • 2
    Jacques Cécius
    3 juillet 2007 à 13h00 / Répondre

    Ce n’est pas la mienne. Mais toutes deux sont, je pense, respectables.
    Je me souviens d’Aragon qui a bercé mes vingt ans : « la femme est l’avenir de l’homme »…
    A propos : combien de maçonnes ont-elles été impliquées dans les quelques scandales qui ont, hélas, porté un certain discrédit sur une institution par ailleurs remarquable et qui regroupe, toutes obédiences confondues, des femmes et des hommes moralement impeccables.

  • 1
    Philippe Benhamou
    3 juillet 2007 à 9h52 / Répondre

    Pourquoi la franc-maçonnerie devrait-elle être à l’image de la société ? je ne vois pas en quoi la mixité est une chance pour la franc-maçonnerie, ni son avenir, c’est une option, un choix, ni plus, ni moins.. enfin telle est mon opinion…

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