Je me demande bien pourquoi ce graffiti réalisé par un franc-maçon stuartiste, ne sachant déjà plus buriner proprement les mystères sublimes de l’Ordre, est le seul à être ainsi mis en valeur ? Pourquoi donc le silence règne-t-il sur l’une et l’autre des colonnes du château recouvertes de graffiti apparemment obscènes, de cœurs fléchés et de « Jacques aime Nana » qui sont en réalité autant de témoignages ésotériques de l’existence en ce lieu de la lutte multi-millénaire entre la secte des Fidèles d’Amour et celle des Adorateurs de la chair ? Hein, je vous le demande ? Encore un bénévole de l’Office de tourisme local qui est tombé dans le panneau… Décidément, « ils » sont partout !