« l’Affaire » Sandillon

J’ai le plaisir – et l’honneur – de connaître un peu Henri Sandillon. Cela fait du bien de lire un article qui fait la distinction entre les faits et les attaques, largement infondées, merci Géplu.
Merci aussi à toi, Pierre Mollier, je partage tes propos.
Le Frère Henri Sandillon a, enfin, réagi comme il aurait dû le faire depuis le début: en laissant la justice profane faire sereinement son travail, avec dignité.

J’apprécie les commentaires de Cécile Revauger et de Pierre Mollier…

– Les faits : « Face à la cour criminelle du Morbihan le 16 mai 2025, Sandillon a nié avoir eu connaissance de la condamnation de Le Scouarnec pour consultation d’images pédopornographiques avant son embauche, alors qu’il avait dit l’inverse aux gendarmes lors d’une audition au début de l’affaire en 2017. »
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– La motivation du courrier en date du 19/05/2025 du frère Sandillon au GM du GODF : « Comme tu le sais je suis actuellement dans une situation délicate à la suite de ma déposition, vendredi 16 mai, au tribunal de Vannes. »
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– La déclaration du frère Sandillon ici au commentaire nº5 : « Le gendarme qui m’a entendu m’a informé de la première condamnation du Docteur LE SCOUARNEC pour pédophilie ».
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Soit le frère Sandillon s’exprime mal, soit il faut qu’il explique ce qu’il entend par « vérité ».

Il y a la question juridique, judiciaire mais face aux faits et la condamnnation de le Scouarnec de 2017 , les déclarations faites aux gendarmes et en mai devant la chambre criminelle , il y a la question morale et éthique .

Sur l’aspect juridique c’est en effet la directrice de Jonzac qui prend la décision , et elle a elle m^me reconnu qu’elle était informée de la situation de le Scouarnec .
Henri Sandillon dit lui même en 5 , qu’il s’est exclamé devant les gendarmes :  » le con , il a récidivé « …..

D’autre part le Scouarnec a menti plusieurs fois .

Mieux vaut tard que jamais ,mais c’est quand même tard de prendre les décisions ( cf saisine loge de recherche ) . il y avait en effet le feu et il fallait agir .

La suspension à titre conservatoire était une nécessité .

Que la justice fasse son travail et j’ai vu qu’en cas de mise en examen Henri Sandillon demandait l’aplication de l’article 93 du RI du GODF .

La lecture de l’article et les commentaires qui sont fait, me conforte le fait d’être franc maçon. La réponse de notre frère Henri est convaincante. Quand il dit aux gendarmes le con il a récidivé , ce n’est pas la preuve qu’Henri était au courant. Il a eu cette exclamation au regard des « bêtises » que lui avait dit Le Scouarnec. Comme il le dit, son rôle était de valider son professionnalisme de chirurgien.

Laissons la justice profane agir et arrêtons ces polémiques stériles.

Si à chaque fois qu’un franc-maçon est interrogé ou inquiété par la justice vous hurlez à l’injustice, vous faites le jeu des complotistes.
Être franc-maçon n’a jamais été un gage de quoique ce soit.
En l’espèce, le besoin a depassé la prudence, et même dirais-je les obligations de la fonction de la présidence exercée.
Qu’on lise bien le texte de Géplu et les déclarations du frère en question, c’est limpide.
La probité et la clairvoyance sont en revanche bien représentées par son retrait des instances du GODF.

Merci pour cet article qui clarifie bien les choses pour celles et ceux qui ne connaissent pas Henri.
Tout a été dit dans les commentaires précédents.
Au delà de toutes autres considérations : Rappelons qu’en France il y a la présomption d’innocence et ce battage va à l’encontre de ce principe.
Enfin a ce jour Henri, et cela me parait normal, n’est l’objet d’aucune action judiciaire bien heureusement. Donc dans tous les cas ce battage médiatique est infondé sauf à vouloir nuire.

Merci pour cet article Geplu ;
Je voudrais préciser certains aspects, à la fin du premier paragraphe :
je n’ai pris conscience de la gravité des faits qui lui étaient reprochés qu’après son arrestation, au moment de mon audition à la gendarmerie.
Le gendarme qui m’a entendu m’a informé de la première condamnation du Docteur LE SCOUARNEC pour pédophilie et c’est à ce moment-là que je me suis exclamé « le c*** il a récidivé ».

Notre frère Henri a eu l’élégance de se mettre en retrait de ses responsabilités au GODF alors qu’il n’était pas mis en examen. Pourquoi des
Francs maçons se laissent ils influencer par le lynchage médiatique ? Tout mon soutien au Frère Sandillon. Merci Hiram.be pour cette excellente mise au point.

Je rajoute qu il serait équitable de ne pas suspendre notre F Henri tant qu il n est pas mis en examen.

Le procureur avait pour obligation d informer le conseil de l ordre des médecins qui aurait traduit Le Scouarnec en chambre de discipline. Notre F conseiller de l ordre n était pas l employeur qui par ailleurs aurait dû interroger les précédents employeurs en toute illégalité.

Si, à l’époque, Joël Le Scouarnec était indigne d’exercer sa profession de chirurgien, c’était à la justice de le dire et de l’écarter… Elle ne l’a pas fait et maintenant, on cherche des boucs émissaires… alors quand, en plus, ils sont francs-maçons, c’est du « pain béni ». Tout mon soutien à notre Frère Henri qui fait l’objet d’un véritable lynchage médiatique. Accusé d’une responsabilité qui n’était pas la sienne sans même pouvoir se faire entendre.