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Un Temple vandalisé à Madrid

Publié par Géplu
Dans Divers

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samedi 20 avril 2024
  • 5
    Bernard DUBLANCHE
    21 avril 2024 à 16h49 / Répondre

    Dans ° »Le temps de Franco » (Fayard, 2008), Michel del Castillo nous dit que le père du « caudillo » était franc-maçon.;Ce dernier libre-penseur, bon vivant et coureur de jupons abandonna sa bigote de femmes et ses enfants pour refaire sa vie avec une autre femme. De plus il considérait que Francisco était le plus stupide de ses enfants. Franco, particulièrement conservateur et bigot, fera toujours le lien entre son père et son appartenance maçonnique. Pour le dictateur, son père étant franc-maçon, « la franc-maçonnerie était le mal absolu qui a ruiné l’Espagne, ruiné la famille, qui ruine l’honneur »..

  • 4
    Jean van Win
    21 avril 2024 à 12h49 / Répondre

    Durant la guerre de 1940-1945, il y eut une exposition antimaçonnique qui fut organisée à Bruxelles, dans les locaux du GOB occupés rue de Laeken par les sbires du Dr Ouwerx, collabo notoire.
    On a aussi voulu la rendre effrayante. Surtout avec force cadavres, squelettes et têtes de mort…
    Le résultat fut que, au lendemain de la guerre, un bon nombre de candidatures « spontanées » furent enregistrées au GOB, car le public n’est pas aussi sot qu’on ne le pense parfois.

  • 2
    Yonnel Ghernaouti
    20 avril 2024 à 11h10 / Répondre

    En Espagne, l’antimaçonnisme a des racines profondes et est souvent lié à des mouvements conservateurs et religieux (Opus Dei).
    Historiquement, la franc-maçonnerie a été associée à des idées libérales et progressistes, ce qui a entraîné des conflits avec les structures conservatrices et catholiques du pays.
    Pendant la dictature de Franco en Espagne, la franc-maçonnerie était interdite et activement réprimée. Franco et son régime considéraient la franc-maçonnerie comme une menace sérieuse à l’ordre et la stabilité de l’État espagnol, en grande partie parce qu’ils associaient les maçons avec des mouvements républicains et anticléricaux. La loi de 1940 sur la répression de la franc-maçonnerie et du communisme en est un exemple, où les francs-maçons pouvaient être emprisonnés et leurs biens confisqués.
    L’antimaçonnisme en Espagne, tout comme dans d’autres parties du monde, s’appuie souvent sur des théories du complot et une méfiance envers les élites perçues comme opaques ou secrètes. Cette méfiance persiste, bien que dans une moindre mesure, même après la transition de l’Espagne vers la démocratie.

    • 3
      Yvan d’Alpha
      20 avril 2024 à 12h26 / Répondre

      A l’Université de Salamanque, il y a une reconstitution de l’exposition antimaçonnique de l’époque franquiste. Ça fait peur…

  • 1
    flint
    20 avril 2024 à 10h12 / Répondre

    Ils sont partout…Hélas….

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