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Les « Combats maçonniques » de Philippe Foussier

Publié par Géplu

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dimanche 28 avril 2019
  • 8
    Petitjean
    5 mai 2019 à 8h54 / Répondre

    Je partage tout a fait le point de vue de DESAP…un F.M. de Franche-Comté !Sauvons les libraires de proximityé…formé aux métiers du livre…contrairement aux  » exploités  » ouvriesr d’amazone

  • 6
    Fan club de la franc maçonnerie
    29 avril 2019 à 23h08 / Répondre

    Svp le livre coute combien ? Et c’est possible que je puisse l’avoir en Afrique ?

    • 7
      GépluAdministrateur
      30 avril 2019 à 9h14 / Répondre

      Tout en bas de l’article, cliques sur le site de l’éditeur ou celui d’Amazon, ou note le N° ISBN et demande à un libraire proche de chez toi s’il peut te le commander…

  • 5
    Désap.
    29 avril 2019 à 17h35 / Répondre

    Il me parait plus juste de parler d’univers spatio-intemporel de la loge.
    Si l’on insère la notion de temps, nous ne sommes plus dans la loge, nous sommes dans un endroit quand il s’agit d’être dans un envers au sens d’un lieu non seulement privilégié, mais aussi hors des contingences, ce qui distingue précisément un lieu profane de l’univers initiatique.
    Par ailleurs, j’ai toujours eu du mal avec cette notion d’amélioration de soi.
    C’est égal à la culpabilité dont nous accablent les religions et que l’on devrait passer une vie à nous faire pardonner, nous améliorer comme si nous étions de conception imparfaite, comme si nous avions choisi d’apparaître de notre propre chef, comme si nous n’avions pas été conditionné depuis notre plus jeune âge à ce mode de vie prédateur de nous-même et de ce qui nous entoure, ceci parfaitement valable aussi pour notre supposée première condition dans ledit jardin primordial alors que, dans mes souvenirs, je ne me rappelle pas d’avoir réclamé quoique ce soit ; comment aurai-je pu le faire d’ailleurs, depuis une condition dépourvue de connaissance et intégralement soumise à un despote prétendant faire mon bonheur, le ci-après dénommé YHVH, les religions suffisamment malignes pour lui choisir un nom imprononçable, rendant ainsi les reproches des plus complexes à établir le croyaient-elles, du moins, avant la (re)mise en lumière et la (re)diffusion de la maçonnerie, essence de l’Homme, science de l’Antiquité, qui le fit sortir des cavernes et lui fit comprendre ce qui le constitue par la projection des nécessités législatives conditionnant la construction de sa maison.
    Ceci serait comme valider l’égoïsme et l’incohérence de parents qui reprocheraient à leur progéniture d’être née.
    En lieu et place de l’éventualité d’une nécessaire amélioration, il me semble bien qu’il nous faut tout d’abord commencer par le commencement : comprendre !
    c’était bien la seule motivation de mon souhait d’entrer dans la loge, ça l’est toujours maintenant que je suis dans le temple, ne me sentant pas coupable de méfaits particuliers, sauf celui d’être ignorant de l’essentiel.
    Comprendre. Il s’agit avant tout, pour comprendre, de laisser à la porte de la loge les métaux.
    Quels métaux ? Bien plus importants que ceux inhérents au caractère financier, il s’agit bien de laisser à la porte, sans jamais les reprendre, tout ce qu’on nous a appris du point de vue consumériste et les sornettes cléricales, mais pas seulement, religieuses également pour les raisons principales évoquées plus haut.
    Le propre de l’initié est de ne pas garder de mémoire de toutes les subjectivités dont le nourrirent de bonnes âmes, de ne conserver que les valeurs de bons parents qu’il n’aura pas manqué de relativisé tout en constatant, à l’épreuve de son orgueil de jeune lion (oui, je préfère les lions aux loups, mon côté nostalgique de l’Egypte de Pharaon sans doute), qu’il eut bien tord.
    De ces valeurs, l’initié en saisira toute l’importance, il en approfondira le message ésotérique, et alors seulement les portes du Monde s’ouvriront et il pourra contempler la réalité et en comprendre l’essentiel.
    Tu sépareras la terre du feu, le subtil de l’épais doucement, avec grande industrie. Hermes.
    C’est ainsi que l’Homme pourra rétablir son comportement en conformité avec la justesse dont il était naturellement pourvu enfant, avant qu’on vienne le sermonner.
    La curiosité de tout, qui mène à l’interrogation sur tout, qui donne l’envie de comprendre, c’est le chemin vers la Connaissance, accompagné du viatique Rituel dont la seule ambition est de nous faire saisir toute l’importance de l’équilibre, essence de l’Univers.
    La maçonnerie est une libération des fers dans lesquels nous nous enfermons à force de chercher à nous améliorer. Il ne s’agit pas de nous améliorer, il s’agit de nous retrouver tel que nous sommes objectivement.

  • 1
    Brubsbeck
    28 avril 2019 à 8h39 / Répondre

    Bravo au rédacteur pour la mention « de préférence dans la librairie… » mais pourquoi continuer à faire la promotion avec un lien direct pour l’entreprise de l’homme le plus riche du monde qui, s’il contribue à la vente du livre, détruit le commerce à taille humaine tout comme le lien humain? Le lien éditorial et la mention sus-citée suffiraient bien ici.

    • 2
      Armand C
      29 avril 2019 à 9h09 / Répondre

      Peut-être parce que si Amazon existe et marche si fort, c’est qu’il répond à un besoin des consommateurs (vous et moi), nouveau, que ne couvrent pas les modes distribution plus anciens…
      Certains appellent ça « un progrès ». C’est en tout cas une évolution inéluctable. Plutôt que de pleurer et le regarder se développer, que fait-on ?

      • 3
        LIONEL MAINE
        29 avril 2019 à 9h36 / Répondre

        Tout à fait, et pour 39 euros par mois, « PRIME » vous offre une multitude de services intéressants. En son temps, GUTENBERG a dû, lui-aussi, être critiqué par le « lobby des copistes ». ALEXA vous salue bien !

      • 4
        Désap.
        29 avril 2019 à 10h16 / Répondre

        2 – On va voir son libraire, on discute avec lui de la pluie, du beau temps ou d’autre chose et on lui commande le livre s’il ne l’a pas.
        En d’autres termes, on fait preuve d’un peu de patience et on préfère les rapports humains à cette immédiateté consumériste, imbécile et vide de sens, plus à l’image de la caverne qu’à celle de la lumière ; ou encore, on résiste aux besoins artificiels que l’on nous crée qui me font penser à la religion qui nous accuse, sous la forme d’un procès d’intention, de crimes que l’on n’a ni commis, ni prévu de commettre un jour parce qu’on est éduqué, équilibré et sensé.

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