Les jeudis maçonniques parfois un peu moqueurs, 27

Publié par Géplu
Dans Humour

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jeudi 3 septembre 2020
  • 14
    réboussié
    6 septembre 2020 à 14h17 / Répondre

    la nature ayant horreur du vide , la soutane a été remplacée par la burka …..et le croa croa par ???? l’ostensoir par la Kalachnikov ? ce n’est que de l’humour bien sur , soyons et surtout restons Charlie ..mais je n’ai pas oublié cet abbé d’il y a près de 70 ans qui faisait le centre aéré le jeudi dans mon village , en soutane mais oui …cinéma par mauvais temps , sorties et jeux quand le ciel le permettait ( difficile de le louper celui là ! ) , et bizarrement je n’ai aucun souvenir qu’il nous ait parlé de Dieu , juste du plaisir et de la nécessité de partager le repas , nos agapes du jour .. et je n’ai compris que plus tard pourquoi ma musette était si pleine , nous avions un grand jardin , poules , lapins ….et il y avait un « quartier » déjà , et la couleur ou la religion ???? c’était mieux avant ? non , mais c’était bien …car au centre aéré , on retrouvait les copains de l’école dite libre d’à coté ….et un copain qui partait au bled de temps en temps et qui m’envoyait des cartes de son beau pays , mais c’était avant …..

  • 11
    Désap.
    4 septembre 2020 à 20h49 / Répondre

    Ce qui est plus comique encore que cette série de dessins, ce sont tous ces commentaires qui s’attachent à ce pauvre curé en soutane, simple représentation humoristique. Jissey corrigera au besoin (je soupçonne qu’il se marre ??)
    Le zénith est atteint par l’anti-maçon de service.

  • 10
    Xiep
    4 septembre 2020 à 19h06 / Répondre

    Dessin désépoqué, montrant que les FM en sont resté à 1905. 115 ans de retard. Les curés ne portent plus la barette depuis 1950, même à Saint-Nicolas-du-Chardonnet. Seuls les prêtres sédévacantistes la porte encore. C’est comme si on représentait un africain en pagne et os dans le nez…

    • 12
      ERGIEF
      5 septembre 2020 à 9h03 / Répondre

      A l’image de l’humour cul cul de Jisey.

      • 13
        Luciole
        6 septembre 2020 à 13h16 / Répondre

        Il faut sérieusement manquer du sens de l’humour pour ne pas voir que cette représentation situe le personnage plus rapidement que s’il était en complet veston et que l’anachronisme (supposé) en fait
        un adepte du passé de l’église.
        Jissey,pardonne leurs, ils ne savent pas ce qu’ils écrivent.

  • 7
    Lazare-lag
    4 septembre 2020 à 11h54 / Répondre

    @ Michel (4):
    Il me semble qu’il s’agit ici plutôt de Saint Nicolas du Chardonnet….
    Je serai moi-même chardonneret je porterai plainte pour offense grave, voire outrage, ne souhaitant pas être confondu avec cette église terreau d’une certaine extrême-droite, courant radical de Mgr Lefebvre et où, semble-t-il les Le Pen ont leurs habitudes, il se dit même que les enfants de MLP y ont été baptisés.
    – – –
    Le provincial que je suis a été curieusement surpris le jour où il s’est rendu compte que la Maison de la Mutualité en était l’immédiate voisine….
    J’ai appris depuis que la Mutualité avait été construite sur l’emplacement de l’ancien séminaire de l’église voisine, a priori fermé sous le Ministère du petit Père Combes, puis détruit pour devenir l’actuelle Mutualité, un bâtiment bien lié à la gauche, voire la gauche la plus extrême.
    Curieuse ironie de l’histoire que ce rapprochement géographique parisien.
    – – –
    Il en est d’autres:
    La première adresse de la GL-AMF, (elle est je crois bien désormais à Clichy), n’était-elle pas rue de Chabrol?
    Au n°49 de la rue, alors qu’au n°51, juste à côté, il y avait eu la fameuse affaire du « Fort Chabrol », en 1899.
    Laquelle adresse de ce fait pas tout à fait divers était, ne l’oublions pas, le siège d’un éphémère « Grand Occident de France », une ligue antisémite, antimaçonnique et antidreyfusarde; rien que ça pour 1899.
    – – –
    Autre curiosité de la géographie parisienne, l’attentat contre Charlie Hebdo, dont on reparle ces jours derniers, et jusque sur les présentes colonnes, se situait rue Nicolas Appert, leur adresse de l’époque.
    Et qui était Nicolas Appert?
    Le créateur de la boîte métallique de conservation alimentaire.
    Quand, à longueur de parution hebdomadaire, on se targue de faire de la mise en boîte systématique, c’était difficile pour Charlie Hebdo de trouver meilleure adresse….
    Mais connaissant les évènements qui ont contraint Charlie Hebdo a quitté ces lieux, on ne poursuivra pas davantage dans l’ironie.

  • 5
    Branir
    3 septembre 2020 à 23h06 / Répondre

    Ayant visité Rome (et donc le Vatican) il y a quelques temps, j’ai eu la surprise de me retrouver plongé en plein Don Camillo. Je doute que le folkorique était particulièrement visé par les « figurants » mais ça n’a pas manqué de me faire sourire dans ce cadre spécifique

  • 4
    michel
    3 septembre 2020 à 20h51 / Répondre

    C’est vrai qu’ils sont rares les prêtres en soutane, vous pouvez en croiser du coté de Saint georges à Lyon ou Saint Nicolas du Chardonneret..la réforme de Vatican II est passé par là…

  • 3
    Romèga
    3 septembre 2020 à 19h22 / Répondre

    Dans mon secteur du Cantal, il n’y a plus guère de curés et encore moins en soutane. Par contre c’est des moines « enrobés » de gris qui ont pris la relève.

  • 1
    pierre noel
    3 septembre 2020 à 12h51 / Répondre

    je lis toujours avec énormément de plaisir les jeudis un peu moqueurs de Jissey.
    Cela ne m’empêche de me demander combien sont les lecteurs d’Hiram qui ont jamais vu « en vrai » un curé en soutane et barrette sur le chef ?
    Lors d’une rétrospective Fernandel peut-être ?

    • 2
      GépluAdministrateur
      3 septembre 2020 à 14h37 / Répondre

      Je m’étais fait exactement la même réflexion en mettant en page ce dessin. ?

    • 6
      Brumaire
      4 septembre 2020 à 10h17 / Répondre

      Mes FF Pierre Noël et Géplu, il y a quelques années, j’étais « maçonniquement » au Puy en Velay, la ville, actuelle de M. Vauquiez, mais surtout, à l’époque, celle d’un archevêque intégriste. Du coup, j’ai vu ces prêtres en soutane non loin de la cathédrale (magnifique). Dans le même temps, cet archevêque a tout fait pour interdire de publicité une conférence maçonnique sur la laïcité, un horrible mot pour ce personnage.
      Je ne sais pas s’il est toujours en poste, s’il continue à « tenir » la ville et si on rencontre encore des prêtres en soutane dans cette ville du Puy en Velay, par ailleurs si attirante, et pas seulement par sa cathédrale et ses dentelles.

      • 8
        pierre noel
        4 septembre 2020 à 12h08 / Répondre

        Vous ne semblez pas vous souvenir du spectacle de nos villes (en F, en B et au L) avant 1962
        Des curés en soutane et des bonnes soeurs en cornette, il y en avait partout, dans les églises, les trams, les écoles, les universités, les hôpitaux, les hospices … et pas comme aujourd’hui dans quelques rares quartiers intégristes comme St-Nicolas (ou autour du Vatican bien sûr).
        Etre anticlérical avait un sens à cette époque. Le GOB que j’ai connu ne s’en privait pas (il n’a guère changé d’ailleurs). !

        • 9
          Emanuel
          4 septembre 2020 à 15h41 / Répondre

          Eh oui et moi dans ces années d’avant 60 je me souviens avoir assisté la police pour régler la circulation en grand uniforme des Scouts de France lors des différentes processions publiques qui rythmaient l’année catholique. On y exposait le saint sacrement sous un dais, les prêtres étaient en soutane, surplis, chasuble accompagnés des enfants de choeur en soutane et surplis…. Les enfants de Marie étaient en corsage et chaussettes blancs… Le tout suivi d’une foule en prière ou chantant des hymnes. Parfois on entendait un « croa, croa » mais ça n’allait pas plus loin.
          Beaucoup de gens se découvraient au passage su saint sacrement dans son ostensoir d’or.
          Et c’était au coeur de l’ancienne S&O devenue 9.3 banlieue rouge s’il en était à l’époque. Lorsque le vieux curé est mort l’harmonie municipale (communiste) est venue au cimetière pour jouer en sourdine le Chant des Adieux.
          Adversaires politiques mais dans le respect des hommes.
          Aujourd’hui…. je suis bien content de mes 82 ans…. pour la suite….

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