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Géplu.
Mes très chers frères et très chères soeurs,
Merci de l’intérêt porté aux griffonnades conventuelles. Effectivement, c’est sur le vif, dans leurs contextes avec, pour seul objectif, d’avoir le plaisir de te voir sourire, réagir, acquiescer ou déplorer.
C’est ce qui prouve que nous sommes bien vivants !
Bien Fraternellement
Nabla
Quel était le genre du président du Convent ? Humour j’ai cru voir un crâne un peu dégarni !!!
Absent de cette « Grand Messe » annuelle, il me semble que les dessins de Nabla donnent une certaine vision, certes parfois fluctuante, des évènements qui se sont déroulés à Lille et celle-ci se rapproche très souvent de la réalité vécue ou ressentie. Encore merci pour cette année de donner cette représentation de nos Travaux : les problèmes de prostate des uns, une nouvelle commission, la question des zapettes et le sempiternel défilé des Orateurs d’un jour qui prêchent depuis si longtemps les mêmes antiennes que cela en devient plus que lassant,… Pas de nouvelles de notre nouveau Grand Maître pour quelques mois depuis le premier communiqué de presse vantant ses qualités ( pas ses défauts ) mais c’est au pied du mûr que l’on voit le Maçon : attendons les actes avec sérénité et reprenons, dans les Loges, nos Travaux. Et, comme dit Robert, « de bonne augure pour la suite » !!!!!
Si je puis me permettre, et je ne sais pas si c’était volontaire ou non de ta part, mais faire voisiner ainsi « les problèmes de prostate » et « une nouvelle commission », peut orienter ton lecteur davantage vers la scatologie que vers l’eschatologie….
Blague à part, ou plutôt blague encore, tous les participants à ce Convent se souviendront de ce commentateur au lutrin qui, à propos d’un vote sur une nouvelle commission à venir, nous a interpellé en nous demandant si nous souhaitions un petite ou une grosse commission.
Je ne me souviens pas si les votes lui ont ensuite été favorable, en tout cas il s’est au moins mis les rieurs de son côté.
En fait le secret maçonnique sert essentiellement à cela: à ne pas faire connaître à l’extérieur qu’il nous arrive de nous comporter en véritables gamins; parfois.
1-Lazare, ton commentaire rejoint ce que j’ai vécu naguère dans les congrès de ma région où un frère commentait chaque demi- journée par des dessins faits avec talent et avec son propre ressenti. Il voyait des choses que certains ne soupçonnaient pas toujours, et son ressenti n’a pas toujours été le mien.
La vérité de ce qu’on perçoit, sans majuscule, est donc à géométrie variable.
Quant à la Vérité, je ne sais pas ce que ce mot recouvre. Je trouve que les incantations qui ont cours en maçonnerie, du genre » nous travaillons à sa recherche en sachant que nous ne la trouverons jamais », et ce que vous dites au début de vos tenues au GODF si mes souvenirs de visites sont bons, tous ces poncifs maçonniques donc, ne sont que des mots qui dédoinent pas mal de monde.
J’ai déjà mis dans un post ici, il y a quelques mois, ce que j’en pensais, et ta dernière phrase ne me déplaît pas!
Du coup, Lazare est dans le coup ! x3 🙂
Du coup 👊, suis-je tenu à un gage? Tant que ce n’est pas de payer ma tournée de bière 🍻 aux 1500 congressistes, ou devrais je dire 1500 conventuels de Lille, alors ça va…
Je suis rentré de ce convent hier soir tard.
Il me semble que certains de ces dessins ne peuvent être compris que par les seuls participants. Ce qui se conçoit aisément.
Un convent, dans sa forme et dans son organisation, avec 1400 ou 1500 personnes c’est une tenue mais surmultipliée, puissance je ne sais combien. Mais c’est cependant une tenue.
Et pour peu que le dessinateur y mette son grain de sel, son humour ou son sentiment personnel, le dessin peut alors agir comme un miroir déformant.
C’est comme cela que je ressens les choses. C’est d’ailleurs assez curieux car du coup j’ai deux perceptions.
Jusqu’à hier, étant au front si je puis dire, je les ai perçu en étant dans l’ambiance de l’événement, au milieu des autres acteurs (les dessins étaient affichés sur les parvis sur un panneau réservé à cet effet, nous les découvrirons au moment des pauses)
Retourné maintenant à l’arrière, loin du front donc, ma perception differe déjà un peu. Ce n’est plus celle de l’instant présent en situation, c’est celle du lecteur d’Hiram.be habituel, à son domicile.
Je disais plus haut que le dessin, et donc le dessinateur pouvait agir comme un miroir déformant.
Je dis maintenant que la perception d’un même dessin peut varier chez un même observateur selon la position où il se trouve par rapport à l’événement figuré dans le dessin, et au dessin lui-même.
Du coup où est la vérité? Dans l’événement, dans le dessin, dans la perception? Mais laquelle?
Du coup c’est quoi la recherche de la Vérité?