Samuel Paty

Pour l’École républicaine : retrouver la force de l’institution

Publié par Charles Coutel

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mercredi 21 octobre 2020
  • 3
    Désap.
    22 octobre 2020 à 11h59 / Répondre

    Il manque à ce texte, que j’approuve, une dimension essentielle : l’autorité.
    Il faut rendre l’autorité aux professeurs.
    La discipline doit redevenir le point central du règlement intérieur de l’Ecole.
    L’intervention des parents dans le processus éducatif doit être réduit pratiquement à néant. Il est, par exemple, devenu presque impossible de faire redoubler un élève.
    C’est un peu comme si le patient remettait en cause le diagnostic du médecin.
    C’est la maladie des réseaux sociaux, où le t.d.c. de base est expert en tout, mais surtout de sa connerie.
    Et puis, d’une manière générale il est nécessaire de se guérir du néo-libéralisme anglo-saxon et revenir aux Valeurs Républicaines.
    « Quoi qu’il arrive, la flamme de la résistance française ne doit pas s’éteindre et ne s’éteindra pas. »
    Charles de Gaulle

  • 2
    Désap.
    22 octobre 2020 à 10h51 / Répondre

    Les humanités classiques, s’il fallait le préciser les philosophies grecque et gréco-romaine (le néoplatonisme) qui n’en font qu’une. C’est le viatique d’une pensée équilibrée menant au juste, où toute hypothèse est qualifiée de vérité lorsqu’elle est démontrée, vérifiée et vérifiable et dès lors peut être crue, où la transcendance n’est pas définie par une volonté (sentiment humain vis à vis duquel elle ne peut qu’être étrangère, pour des raisons précises, exposées et démontrées), où la transcendance n’est envisagée qu’au travers de ses propriétés, seul domaine accessible depuis la condition humaine, l’ensemble exposé et démontré, dont seule la compréhension est accessible et s’acquiert par la pratique des vertus qui guérissent des croyances, les humanités classiques qui engagent l’Homme à se cultiver, à cultiver son intellect, à cultiver le juste au détriment de l’erreur même lorsque celle-ci flatte ses intérêts, qui invitent à se débarrasser de l’égo, ce centre hors duquel nous sommes aveugles aux réalités, à la réalité, ces humanités qui nous libèrent de l’illusion.
    C’est la discipline intellectuelle décrite par le rituel maçonnique bleu.
    Celui-ci nous invite à nous dégager de toutes les contingences inhérentes à notre condition qui, bien qu’elle doivent être respectées parce que nécessaires à la vie, ne sont que propriétés matérielles incapables de satisfaire l’esprit si elles deviennent l’alpha et l’oméga de nos préoccupations.
    Le rituel bleu, la tenue maçonnique, nous invitent à nous dégager du Temps pour entrer dans le domaine des principes dont nous sommes issus et où se trouve la Vérité, celle qui n’est pas décrite par le Livre, pas même si celui-ci est envisagé d’un point de vue qualifié faussement d’ésotérique parce que ce Livre ne peut l’être d’aucune sorte parce qu’il n’est qu’une description anthropocentrique du monde, décrivant ainsi une croyance aveugle par essence.
    On n’oubliera pas que la Torah a pour fonction unique d’être la Loi du peuple qu’elle crée, très justement qualifié d’élu du dieu qui le gouverne.

  • 1
    MG RENAULT
    22 octobre 2020 à 10h04 / Répondre

    Respect et amour pour l’école républicaine et particulièrement pour ceux qui la font vivre.
    FRATERNITE

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