Un portrait de Guillotin

Publié par Jiri Pragman

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lundi 25 octobre 2010
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    Koopa Troopa
    27 octobre 2010 à 10h43 / Répondre

    Badinter humaniste… Jamais la moindre compassion pour les victimes de ses amis les assassins si utiles pour les basses besognes politiques. Et puis, quand on essaye d’extrader les dissidents dans des pays où ils sont condamnés à mort en collaborant avec la Securitate de Ceaucescu (fondée par l’oncle d’Alexandre Adler et dirigée alors par son cousin, gendre officieux du dit Ceaucescu pour qui Anne Sinclair eut des yeux de Chimène quand elle l’invita à 7/7)

    Et on sait par sa fille que l’humanisme des Badinter s’arrêtait à la porte de la maison familiale..

  • 3
    EMEREK
    26 octobre 2010 à 20h54 / Répondre

    Après Guillotin……
    Certes Guillotin peut-être traité d’humaniste…
    Au royaume des aveugles, les borgnes sont rois…
    La machine permettra de couper plus de têtes( près de 3000) plus rapidement (sans user « les glaives de Justice » sic …C. H. Sanson ).
    Je ne vois donc pas le progrès humaniste …si ce n’est (?)qualitatif grâce à une seule coupe plus nette ..!!!
    Le vrai humaniste c’est Badinter…avez-vous vu l’exposition(certes relativemment médiocre en soi) qu’il a coorganisé récemment à Paris au musée d’Orsay sur « crimes et châtiments  » où l’on pouvait voir exposer « la veuve » drapée de noir….Frissons garantis….Horreur absolue!
    L’exécution publique,meurtre expiatoire de la société,immolation en série de l’Homme par l’Homme est une tache indélébile dans l’époque finissante des « lumières ».
    On aurait pu espérer mieux de ces intellos,parfois Franc-Macs, gavés de principes totalitaires……!!!

    Je suis « fils de la veuve » mais pas de celle-là…. !!!

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    Pilou
    26 octobre 2010 à 12h04 / Répondre

    La guillotine, inspirée d’une machine déjà connue en Italie, a été en fait conçue par le chirurgien Antoine Louis, secrétaire perpétuel de l’Académie de chirurgie.
    Elle a été présentée en novembre 1789 par le docteur Joseph Guillotin aux députés de l’Assemblée constituante.

    Pauvre chevalier de la Barre victime de l’intolérance religieuse et qui fut à tort condamné malgré des défenseurs comme Voltaire dont le dictionnaire philosophique fut brûlé…

  • 1
    Flupke
    25 octobre 2010 à 20h26 / Répondre

    avant Guillotin

    ou mourir à 20 ans, un extrait de wikipedia

    « Le chevalier de La Barre est donc condamné, à subir la torture ordinaire et extraordinaire pour dénoncer ses complices, à avoir le poing et la langue coupés, à être décapité et brûlé avec l’exemplaire du Dictionnaire philosophique cloué sur le torse. Cette sentence pour blasphème est exécutée le 1er juillet 1766 à Abbeville par cinq bourreaux spécialement envoyés de Paris (dont le bourreau Sanson qui lui tranchera la tête). « Je ne croyais pas qu’on pût faire mourir un gentilhomme pour si peu de chose » auraient été ses dernières paroles. »

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