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Bernard-Henry Lévy à la GLNF le 18 octobre

Publié par Géplu

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vendredi 28 septembre 2018
  • 12
    Richard C.
    1 octobre 2018 à 1h52 / Répondre

    L’auteur de l’Hôtel Europe a semé le printemps arabe et nous récoltons l’hiver islamique.
    Il est nuisible aux Juifs, aux esprits libres, aux européens par son fanatisme européiste et sa pensée unique.
    Je suis vraiment déçu que la Maçonnerie invite cet individu!

    • 14
      Désap.
      1 octobre 2018 à 9h59 / Répondre

      « Hôtel Europe » qui est une connerie sans nom, une supplique pleurnicharde vide du moindre sens où Weber est allé se perdre on se demande bien pourquoi.

    • 15
      lazare-lag
      1 octobre 2018 à 19h41 / Répondre

      La Maçonnerie invite?
      A la bonne heure!
      Vous lui avez déjà serré la main à la Maçonnerie? Moi pas.
      Elle vous a déjà parlé la Maçonnerie? Moi pas. En tout cas pas en tête à tête.
      Vous lui avez déjà offert des fleurs ou un verre à la Maçonnerie?
      Moi pas, et pourtant je suis Franc-Maçon depuis quelques dix-huit années.
      La Franc-Maçonnerie française ce sont quelques 150 à 170.000 Frères ou Soeurs et vous l’imaginez homogène, monolithique, égale en tous points, sans aspérité aucune, marchant d’un seul et unique pas.
      Pourquoi tant d’obédiences alors?
      Et il en est de même des Juifs, que vous citez aussi.
      Quels Juifs?
      Et là aussi vous croyez qu’ils sont tous fait pareils, issus d’un même moule, parlant d’une seule et unique voix.
      Pourquoi, et dans les deux cas, parler ainsi en termes généraux, comme s’il s’agissait d’ensembles, voire en termes communautaires?
      Que cherchez vous à nous dire ainsi?
      Que cherchez-vous à démontrer par là?
      Et ne venez pas me dire que ce faisant je défends BHL, cela prouverait en plus que vous n’auriez pas lu mon intervention précédente (n°8).
      Et je vous fais grâce du « fanatisme européiste » (sic) dont je crains le pire si d’aventure on venait à demander une définition.

  • 9
    Corinthien
    30 septembre 2018 à 12h37 / Répondre

    Vu le passé de ce monsieur, il serait vraiment desobligeant, par rapport aux degats mondiaux causés par l’intervention en Libye, de faire de la publicité pour cette pseudo conference…. Cela me fait penser à Kouchner et son sac de riz….

    • 10
      HRMS
      30 septembre 2018 à 15h46 / Répondre

      Certes je connais la ou les responsabilités de BHL dans l’affaire libyenne, mais pensez vous sincèrement qu’il soit le déterminant principal de cette guerre ? Ne pensez vous pas que ce type de situation soit multifactorielle et que les causalités soient plus sérieuses et profondes, que les gesticulations de cet agitateur flamboyant qui émarge sur quelques « fonds » secrets, des diverses puissances? … Même pris à parti sur ce blog et même en planchant à la GLNF il reste fidèle dans son rôle, il continue sa mission d’agent façonneur d’opinion et d’agitation;
      De la part de FF que l’on croirait averti de ces mondes troubles, gris à la marge du Beauceant, ces commentaires psycho-moralisateurs, sont quelques peu décevants;
      Telle que nous la voyons par média interposées, la figure de BHL ne reflète que notre immaturité, encore une fois façonnée: par les médias : Bravo l’artiste en Lumière, péripatétitien du Mal et du malheur; »Non nobis Domine non nobis sed Nomini Tuo da gloriam »; Qui est le Domine ?
      AH!AH!AH!AH!

      • 11
        lazare-lag
        30 septembre 2018 à 21h13 / Répondre

        @ HRMS:
        Quelle que puisse être l’Obédience où le profane se présente aux fins d’initiation, je ne crois pas qu’une fois initié il lui soit demandé en loge une maîtrise totale, permanente et quotidienne du latin, comme des autres langues mortes d’ailleurs.
        Aussi, mon TCF HRMS, si tu pouvais distraire quelques instants de ton précieux temps maçonnique pour venir nous traduire ici: « Non nobis Domine non nobis sed Nomini Tuo da gloriam », je pense que tous ceux qui te lisent ici, sur Hiram.be., t’en seraient vivement reconnaissants.
        Et si d’aventure, je devais être le seul à ne pas l’avoir compris, n’ayant pas cette culture là, eh bien tu bénéficierais au moins de mes remerciements fraternels et d’ores et déjà anticipés.
        Une telle traduction de cet aphorisme permettrait alors de mieux comprendre et apprécier ce « AH!AH!AH!AH! » qui le suit, lequel pour le moment demeure totalement abscons et énigmatique.
        Ce qui, j’en suis certain, est fort dommage.

        • 13
          HRMS
          1 octobre 2018 à 9h56 / Répondre

          Hormis de travailler et d’aider son Frère, rien d’autre n’est demandé au profane;
          Ce sont les deux premiers versets du psaume 115:V1 de David, devenus la devise templière Sa traduction donne « Non pas à nous Seigneur, non pas à nous, Mais à Ton Nom (seul), donne la gloire » ou encore « Non pour nous Seigneur, non pour nous, Mais en votre Nom et pour votre gloire.
          Ce psaume énonce aussi plus loin:
           » Leurs idoles : or et argent, ouvrages de mains humaines. Elles ont une bouche et ne parlent pas, des yeux et ne voient pas, des oreilles et n’entendent pas, des narines et ne sentent pas.
          « Leurs mains ne peuvent toucher, leurs pieds ne peuvent marcher, pas un son ne sort de leur gosier ! Qu’ils deviennent comme elles, tous ceux qui les font,ceux qui mettent leur foi en elles ».

  • 8
    lazare-lag
    28 septembre 2018 à 20h13 / Répondre

    A tout hasard, voici ce que François Mitterrand a pu dire de Bernard-Henri Lévy dans un de ses livres, L’Abeille et l’Architecte:
    – – –
    « J’ai connu Bernard-Henri Lévy alors qu’il venait d’entrer à Normale supérieure. Je me flatte d’avoir pressenti en ce jeune homme grave le grand écrivain qu’il sera. Un danger le guette : la mode. Mais la souffrance, amie des forts, le sauvera. Tout l’y prépare. Je ne m’inquiète pas de ce goût de plaire qui l’habite et l’entraîne aujourd’hui hors de son territoire. Quand il s’apercevra qu’il possède en lui-même ce qu’il cherche il reviendra à sa rencontre. Le voudrait-il qu’il n’échapperait pas au feu qui le brûle. Il a déjà dans le regard, ce dandy, de la cendre. Peut-être me trompé-je, peut-être cédera-t-il aux séductions du siècle au-delà du temps qu’il faut leur accorder. J’en serais triste. J’accepte qu’il dépense encore beaucoup d’orgueil avant de l’appeler vanité. J’ai apporté de France avec moi La Barbarie à visage humain que j’annote pour mes chroniques. C’est, à l’image de son auteur, un livre superbe et naïf. Superbe par le verbe, le rythme intérieur, l’amère certitude qu’il n’est qu’incertitude. Naïf par l’objet de sa quête, qui le fuit dès qu’il en approche. […] Bernard-Henri Lévy, caressé, adulé, propulsé, trituré par les médias, adieu sourire de connivence, geste ailé d’une main amie, adieu langage à demi-mot ? Non, au revoir. ».
    – – –
    Pour ma part j’y relève ceci:
    – « Un danger le guette : la mode. »
    – « ce goût de plaire qui l’habite et l’entraîne aujourd’hui hors de son territoire. »
    – « Il a déjà dans le regard, ce dandy, de la cendre. »
    – « Peut-être me trompé-je, peut-être cédera-t-il aux séductions du siècle au-delà du temps qu’il faut leur accorder. J’en serais triste. »
    On peut penser ce qu’on veut de François Mitterrand sur le plan politique, on peut lui reconnaître qu’il a toujours su juger et jauger les hommes.
    Et cette appréciation de Mitterrand qui date d’environ 40 ans ne semble pas avoir pris une ride, non?
    A propos de rides, et si je ne me trompe pas, si la GLNF avait invité ce philosophe médiatique un mois plus tard, en novembre prochain, ils auraient alors invité un septuagénaire et auraient pu lui souhaiter son anniversaire avec sept dizaines de bougies.
    Mais il est vrai que BHL est toujours jeune, avec le même débraillé savamment étudié, avec, été comme hiver, mais sous les sunlights, une éternelle chemise blanche entreouverte depuis son premier passage à Apostrophes chez Bernard Pivot, en 1976.
    C’était encore une télévision à deux ou trois chaines, et peut-être encore en noir et blanc il me semble.
    Un temps où présidait Giscard.
    Depuis 7 autres présidents élus, dont deux auront fait deux mandats successifs.
    Toujours jeune, BHL?

  • 7
    Aazam-ZANGANEH
    28 septembre 2018 à 15h30 / Répondre

    Dommage qu’il n a jamais fait des déclarations contre les TERORISME des ayatollahs en 40 ans de barbarie
    Si avec monsieur Netanyahu et président Trump d’ici quelque mois on change le régime iranien
    Je l’inviterais à Tehran pour un débat télévisé
    S.F

  • 6
    Gérard NOËT
    28 septembre 2018 à 14h53 / Répondre

    Pitoyable milliardaire se prenant pour un philosophe. Même pas honte pour la Lybie. Espérons que les FF ne se déplaceront pas.

  • 5
    speculum
    28 septembre 2018 à 14h35 / Répondre

    La personnalité de BHL est à geometrie variable tout comme ses engagements. On verra ou il arrive cette fois-ci. C’est du cent pour cent mediatique.

  • 4
    Désap.
    28 septembre 2018 à 11h45 / Répondre

    « L’idée du Mal » ? Une belle illustration : le ploutocrate BHL, théoricien de l’intervention en Libye en 2011.
    Enfin, heureusement depuis lors ce trou de balle est grillé partout.
    Et puis « Mal » avec une majuscule, non mais franchement, c’est ridicule !
    Et pourquoi pas les gousses d’ail qui remplacent la Houppe dentelée pendant qu’ils y sont ?

  • 3
    HRMS
    28 septembre 2018 à 11h18 / Répondre

    La question c’est que le Mal corrélativement et dialectiquement générateur du Bien, n’est pas qu’une idée, c’est en de ça de l’idée, la substance de la « conscientisation »

  • 2
    Oliroc
    28 septembre 2018 à 9h48 / Répondre

    J’espère également qu’il y aura des interventions qui feront réléchir aussi BHL, qui me semble bien partial…

  • 1
    Lionel MAINE
    28 septembre 2018 à 7h51 / Répondre

    « L’idée du mal » … chez Jean-Baptiste BOTUL ?

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