La tente, le Temple et le palais

Publié par Jiri Pragman
Dans Edition

Ce contenu est réservé aux abonnés.Pour accéder à cet article, vous pouvez choisir de :

*Vous pouvez déverrouiller jusqu’à 3 articles gratuitement.
mercredi 11 avril 2012
  • 11
    VdL-M
    15 avril 2012 à 13h12 / Répondre

    Je suis entièrement d’accord avec le commentaire de eMerek, c’est bien [l’Orientation] qui compte, et que le Temple ou Salomon ne relèvent d’aucune réalité historique, peu importe, c’est l’Idée, et l’orientation de cette idée qui compte…
    Quelquefois on s’appuie sur des légendes ou des mythes, ce qui intéresse ce n’est pas que ce soit vrai ou faux, ce qui intéresse c’est le message humain sous-jaçent à découvrir…

  • 10
    luciole
    15 avril 2012 à 12h19 / Répondre

    @ Stéphane DC
    Je me serais mal exprimé,je voulais justement dire que s’il fallait attendre d’avoir des certitudes absolues pour pouvoir remettre en question quoi que ce soit,nous n’y arriverions pratiquement jamais!
    Merci de ta correction,je crois que nous avons le même avis.
    Bonne journée.

  • 9
    Stéphane DC
    13 avril 2012 à 7h17 / Répondre

    @ Luciole

    Dans l’absolu, tu as raison. Néanmoins, remettre en question l’historicité d’un personnage ou d’un fait, surtout en Maçonnerie, ne porte nullement préjudice à la richesse du mythe ou du symbole. Je trouve, mais c’est là une opinion toute personnelle, que cette remise en question est salutaire, voire nécessaire, histoire de ne pas avaler tout rond les nombreuses légendes édifiantes qui circulent chez nous. Le symbole, ainsi nettoyé de ses scories pseudo historiques, n’en montre que plus son éclat.

  • 8
    luciole
    12 avril 2012 à 15h54 / Répondre

    Pour des Maîtres Maçons qui ne sont ni archéologues ni historiens,peu importe.L’historicité de Jésus ne compromet pas la Chrétienté
    actuelle.
    L’important est ce nous faisons du Temple de Salomon maintenant. Si on remet tout en question sur des bases de certitudes absolues,
    il vaut mieux s’inscrire à une amicale cruciverbiste. (sans offense pour eux)

  • 7
    @ eMeReK
    12 avril 2012 à 6h50 / Répondre

    @ eMeReK

    Je possède et ai lu le livre dont il est question. Néanmoins, dans un autre de leurs ouvarges, « Les rois sacrés de la Bible », ils avancent l’existence de David seul. Il n’existe aucune trace de l’existence d’un roi nommé Salomon, en dehors d’écrits à caractère politico-religieux postérieurs de quatre siècles (Josias). Salomon, comme son temple, serait de l’ordre du symbole et non de la réalité historique.

  • 6
    eMeReK
    11 avril 2012 à 22h29 / Répondre

    @Stéphane DC

    Le livre est très bon en lui même et je me méfie des émissions de télé où l’intéressé a tendance à faire passer un message simple et caricatural qui ne représente pas toujours le fond réel de sa pensée et peut parfois le dépasser…nous connaissons tous ça ……

    Donc : lire le bouquin (que je possède et que j’ai re-parcouru avant d’écrire ces lignes)

    Je pense que nous serons d’accord sur le fait que l’état de la cité de David a été très enjolivé par les écrits du
    VI éme siècle. Ce qui cependant ne remet pas en cause l’existence même de la ville de Jérusalem et d’un lieu de culte fixe en dur ayant la même disposition que le tabernacle itinérant. .( malgré l’absence de débris archéologique pouvant être expliquée par la topographie des lieux et les constructions successives.. )

  • 5
    Stéphane DC
    11 avril 2012 à 19h52 / Répondre

    @ Sur J – Je fais parfaitement la différence entre un symbole, le ci-devant Temple de Salomon, et l’existence réelle du dit bâtiment. Il est d’ailleurs clairement indiqué dans le commentaire de Jiri que l’auteur s’est basé sur les textes sacrés, textes qui sont tout sauf des documents historiques.

    @ eMeReK – J’ai fait, il est vrai, un raccourci : dans la série d’Arte « La Bible révélée », Izraël Finkelstein met en doute l’existence même de la cité de David, du moins telle que décrite dans les écrits archéo-testamentaires (Livre de Josias, entre autres). Et jamais il n’a été trouvé la moindre preuve de l’historicité de Salomon. Et encore une fois, je ne renie nullement l’importance du symbole du Temple. C’était d’ailleurs le sujet de mon travail de Maîtrise.

    @ Rethy – Je crois que tu as raison 🙂

  • 4
    Rethy
    11 avril 2012 à 13h45 / Répondre

    Salomon n’est qu’un mythe basé sur le mot shalom, dont aucune preuve archéologique n’a jamais été apportée. Quand au temple : 27m de long, 9m de large, 13 m de haut, bâtit en bois sur des fondations de pierre sciées. Mon cher Stéphane je crois qu’on va se faire des amis !

  • 3
    eMereK
    11 avril 2012 à 12h46 / Répondre

    à Stéphane DC
    Il n’est pas exact de faire dire à Finkelstein et Silberman que Salomon et son Temple n’ont pas existés.
    Je vous conseille de reprendre le livre .
    Il est simplement dit que la Bible a magnifié cette période Salomonienne car écrite sous le régne de Josias au VI éme siècle dans un but d’unification politique et religieuse.

    Ce qui est important est la symbolique générale, le passage du Tabernacle au Temple et l’orientation

    Ce qui reste n’est pas la Matière,la Ruine ,la Pierre mais bien cette Orientation qui est la base spirituelle des rituels maçonniques .

  • 2
    Sur J
    11 avril 2012 à 12h13 / Répondre

    Pourquoi donc aller maçonner Stephane DC ?
    😉

  • 1
    Stéphane DC
    11 avril 2012 à 9h11 / Répondre

    Cet ouvrage semble intéressant, bien que basé sur le postulat de l’existence réelle du temple de Salomon, et donc de Salomon lui-même, ce que mettent en doute, entre autres, I. Finkelstein et N.A. Silberman.

La rédaction de commentaires est réservée aux abonnés. Si vous souhaitez rédiger des commentaires, vous devez :

Déjà inscrit(e) ? Connectez-vous