L Humanite

Colloque « L’Humanité a-t-elle un genre ? »

Publié par Géplu
Dans Divers

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lundi 24 décembre 2018
  • 7
    astronome64
    26 décembre 2018 à 18h09 / Répondre

    Si on reste attentif à l’actualité on peut dire sans trop se tromper que l’humanité à mauvais genre de nos jours.
    Quant à ce genre de colloque inspiré par les délires des universitaires américains, ça me fait penser aux débats relatifs aux anges qui agitaient Byzance…. la suite est connue.

  • 6
    Mai 68
    26 décembre 2018 à 16h34 / Répondre

    Lors d’un récent débat télévisé un des participants a estimé que Dieu était la première « fake-new » …

    • 8
      Yasfaloth
      26 décembre 2018 à 18h52 / Répondre

      Trop cool !
      .
      C’était chez Hanouna ?

  • 5
    réboussié
    26 décembre 2018 à 14h31 / Répondre

    voir OPARINE ……pour ceux qui ont un ordinateur et accès au Net les origines de la vie , les débuts ….mais bien sur , cela ne disqualifie pas dieu , on a toujours besoin de lui pour boucher les trous …..au dernières nouvelles , si mes souvenirs sont bons , le Big bang c’est lui , le trou noir n’est que son oeil attristé de voir le spectacle des G J …pour la théorie des cordes , version quantique ? voir les cantiques d’hiver et délivrez nous du mal , c.a.d coupez les cordes et les chênes ….mais par pitié , laissez nous la chaine d’union …on peut gémir , mais surtout ne pas perdre espoir , sacrifions le book hémisphère et que l’année nouvelle nous soit douce et paix sur la terre aux hommes de bonne volonté …et pardon , René Girard pour mes approximations si tu me vois de la haut , enfin de la bas …d’ailleurs ? vers l’est ? encore merci pour tes lumières …portons donc une autre santé à l’année nouvelle ….

  • 2
    Mai 68
    24 décembre 2018 à 17h33 / Répondre

    Il me semble que dans ce colloque l’on devrait aborder la théorie des genres et donc la mixité en rappelant que grammaticalement en français le neutre est actuellement masculin. Ce pourquoi au GODF dans les 650 LL mixtes ( sur un total de 1350 LL ) on ne féminise pas le nom des attributions des Officiers et que par exemple on parle de la S Hospitalier ou de la S Couvreur.

    • 3
      Désap.
      25 décembre 2018 à 22h30 / Répondre

      Ah oui, la Soeur Hospitalière et la Soeur Couvreuse ça aurait de la gueule !
      Il y a juste un détail, nos Soeurs occupent un office, celui de Couvreur, Hospitalier, 1er Surveillant … , c’est ainsi qu’elles sont Officiers de la Loge, ce qui ne leur enlève rigoureusement rien et ne saurait nier quoique ce soit d’un caractère qui n’est, pour tout initié, qu’une nécessité inhérente au fonctionnement de la nature et, de fait, parfaitement égale à son complémentaire.
      Les susceptibilités profanes n’ont rien à faire en maçonnerie, elles ne sont le fruit que de l’incompréhension et, la nature ayant horreur du vide, du développement de complexes de supériorité ou d’infériorité, eux aussi parfaitement égaux, mais dans l’erreur cette fois-ci puisque simples vues de l’esprit sans aucun fondement.

    • 4
      Bandit
      26 décembre 2018 à 3h07 / Répondre

      Les chinois disent: « une rose, tu peux l’appeler autrement: elle sentira toujours aussi bon »

    • 9
      luciole
      27 décembre 2018 à 11h46 / Répondre

      Doit on pour autant « neutraliser » la Vie,l’Humanité,la Science qui sont féminines?
      Tant que l’on s’occupera de pareilles fariboles
      les choses sérieuses ne progresseront pas!

    • 10
      Manu Hainaut
      30 décembre 2018 à 16h57 / Répondre

      Il est préférable de parler des « études du genre » (Gender Studies).

      L’expression « Théorie du genre » a été forgée par des groupes radicalement opposés à la prise en compte du genre (du style : « Une famille c’est une maman et un papa. Au sein de la famille les rôles sont bien clairs »).

      Dans toute la démarche originale des chercheurs anglo-saxons, c’est l’observation de la manière dont le genre se met/est mis en place dans le cadre d’une société donnée.

  • 1
    Anwen
    24 décembre 2018 à 4h56 / Répondre

    « L’Humanité a-t-elle un genre ? »
    Poser cette question n’est-ce pas, avant tout, s’interroger sur le Mystère de la Vie, son origine et sa lente évolution ?
    La Vie est une force restée jusqu’ici inconnue, une force dont on a étudié les manifestations, observé les effets, mais dont personne encore n’a osé chercher la cause.
    La science moderne, cependant, est mise en demeure de demander à la genèse son secret, elle est mise en demeure de nous dire quelle est cette force qui, dans le principe, a produit les êtres vivants, de nous dire, surtout, si cette force est encore agissante. Et si la science affirme que la création première est arrêtée, elle est mise en demeure, en nous donnant la démonstration de cette force, de nous expliquer comment son action génératrice s’est ralentie, pourquoi elle ne s’exerce plus.
    Ceux qui se contentent de constater que les êtres vivants ne proviennent que d’êtres semblables à eux ne font qu’affirmer un fait actuel, un fait concernant l’état présent de la terre, (et qui est loin d’être certain), ils ne remontent pas dans le passé. Etendre cette affirmation à tous les âges de notre planète c’est nier tout commencement. C’est le système de ceux dont les vues bornées font de l’état actuel de l’humanité l’image d’un état constant, méconnaissant ainsi la grande loi de l’évolution qui régit les mondes comme elle régit les êtres.
    Mais quiconque a des vues un peu plus larges reconnait que la vie n’est pas une manifestation nécessaire et éternelle et qu’elle a eu un commencement sur notre planète puisque les premiers étages de sa formation cosmologique nous montrent des couches de terrain absolument dépourvues de débris organisés.
    Ceux qui refusent ainsi, de parti pris, d’examiner ces mystères de la Nature se donnent à eux-mêmes un certificat d’incapacité, d’impuissance. Lorsque l’on se sent en possession d’un esprit fort pour résoudre tous les problèmes philosophiques on ne craint pas de les aborder.
    Regarder ces questions comme étrangères au domaine de la science c’est méconnaitre son véritable rôle. Il n’existe pas de question qu’elle puisse s’affranchir d’examiner, pas de manifestations intellectuelles qu’elle ait le droit de dédaigner. Ce qui est étranger au domaine de la science ce ne sont pas les questions relatives à la genèse naturelle puisque ces questions, au contraire, lui appartiennent tout entières, ce sont celles qu’une philosophie malsaine a répandues dans le monde et qui servent encore de guide à ceux qui refusent d’accorder à la science l’émancipation sans laquelle elle ne peut vivre.
    Examinons donc comment la vie a commencé, comment s’est accomplie, à un moment donné de l’existence de notre planète, la formation naturelle d’êtres qui n’avaient pas été engendrés par des parents semblables à eux.
    Cordialement.

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