Pierre Mollier

Comment Pierre Mollier a sauvé les archives de la franc-maçonnerie française

Publié par Pierre Mollier

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mardi 28 novembre 2023
  • 9
    Bernard Reygrobellet
    23 décembre 2023 à 8h33 / Répondre

    C’est par le biais des anecdotes que l’histoire ré-enchante le monde 🌍, lui donnant une auréole humaine à partir des talents de conteur de « grands témoins ».
    Merci Pierre avec, compte tenu du temps présent, mes meilleurs vœux

  • 8
    Brumaire
    29 novembre 2023 à 13h05 / Répondre

    Grand merci à Pierre, dont la générosité était déjà sa marque il y a 30 ans!

  • 7
    Cécile Revauger
    28 novembre 2023 à 20h19 / Répondre

    Merci cher Pierre pour ce témoignage! Comme quoi il est toujours bon d’être près des petits fours pour faire des rencontres intéressantes!

  • 6
    Jean-michel Reynaud
    28 novembre 2023 à 14h38 / Répondre

    émouvante histoire Pierre !
    un seul mot : merci !!

  • 5
    Pierre-Philippe Baudel
    28 novembre 2023 à 11h38 / Répondre

    La Grande Histoire de notre Institution a aussi ses petites histoires. . . Drôles, parfois. Peut-être celle-ci, émouvante et bénéfique à l’Ordre, donnera-t-elle l’occasion à Pierre de réfléchir à un recueil ? Et, à tout le moins, d’inciter d’autres à nous rapporter les leurs.

  • 4
    lazare-lag
    28 novembre 2023 à 11h25 / Répondre

    L’anecdote est savoureuse.
    Elle nous en dit beaucoup, autant sur Emmanuel Leroy Ladurie que sur Pierre Mollier….
    Et rien que ça, c’est déjà plaisant, agréable, et il fallait le souligner.

    Et elle nous en dit aussi sur ce monde où la cabine téléphonique faisait partie de notre quotidien.
    Quand on a été, par exemple, jeune étudiant, ou jeune appelé sous les drapeaux, éloigné à des kilomètres de sa famille et qu’on cherchait à la joindre, la course pour en trouver une sans queue d’attente devant, ça forge des souvenirs que les natifs du XXIème ont du mal à comprendre.
    Comme le fait d’avoir eu une partie de vie sans chaîne télé couleur, ou sans clavier informatique, et même sans téléphone à la maison pendant longtemps.

    Et ça nous en dit aussi sur la BNF.
    Lieu que je ne connais pas personnellement, n’étant pas suffisamment parisien, mais, si j’ai bien compris (1991-1992, salle Mazarine) je pense que ce devait être la « maison mère », rue Vivienne, dans le 2ème arrondissement, pas très loin à pied de la rue Cadet, et non pas la BNF Mitterrand, Quai François Mauriac, dans le 13ème, derrière la Gare d’Austerlitz.
    Et je vais raconter l’anecdote à un conservateur de bibliothèque de ma connaissance, ça devrait certainement beaucoup l’amuser.
    Car il existe des bibliothécaires qui ont de l’humour, j’en ai rencontré au moins un !

  • 3
    NOET Gérard
    28 novembre 2023 à 9h52 / Répondre

    Quel bonheur de lire ce texte.

  • 2
    Robert COUTY
    28 novembre 2023 à 7h49 / Répondre

    Ah mon TCF Pierre… nous te devons une fière chandelle…

  • 1
    Thamos
    28 novembre 2023 à 7h25 / Répondre

    Une bien belle histoire, joliment contée ! Merci Pierre pour ce sauvetage qui a uni le plus modeste des historiens en formation à l’immense Emmanuel Leroy Ladurie !

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