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Géplu.
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Le ton péremptoire de Mme Lacroix Riz ne laisse effectivement pas place à la contradiction, ni même à la nuance. Il s’agit bien d’un discours dogmatique, à l’opposé de la démarche maçonnique. Lorsqu’on est convaincu, il est toujours facile de trouver des documents qui vont dans le sens de notre thèse. Nous savons combien cela peut être dangereux.
Assister à cette conférence a été très enrichissant, en me montrant ce qui peut se passer lorsque l’on n’abandonne pas ses métaux. Peut-être est-ce dans ce sens qu’elle avait sa place dans le cadre des « vendredis de la GLMU » ?
Sans me reconnaître dans le ton sarcastique de Koopa Troopa, je m’étonne néanmoins que la GLMU invite comme conférencière Mme Lacroix Riz, dont certaines prises de position et la démarche scientifique ont suscité à plusieurs reprises des réactions contrastées au sein de la communauté des historiens…
Elle développe une vision idéologique de la période concernée, qui pose question quand on la confronte avec la démarche maçonnique qui invite a contrario à se défaire de tous les conditionnements, de tous les automatismes de la pensée.
Ses recherches sur la production de Zyclon B en France sont un exemple, parmi d’autres, des sujets qu’elle a traités d’une façon polémique – mais après tout, de telles controverses sont aussi un signe de vitalité de la recherche historique.
Les frères trois points invitent donc une « historienne » admiratrice de Staline, négationiste et raciste… Remarquez, vu l’enthousiasme du GO pour le moustachu géorgien dans les années 30… Toujours utile à rappeler.