Continuité et discontinuité chez Guénon et Leibniz

Publié par Jiri Pragman
Dans Divers

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mardi 4 mai 2010
  • 1
    Flupke
    4 mai 2010 à 15h04 / Répondre

    Selon Kipling de très nombreux hommes de la génération de Guenon, dont mon père et mes oncles, ont eu une autre initiation :

    « Je fais un rêve, un rêve horrible
    Un rêve qui ne finit pas,
    J’y vois un homme devenir fou.
    Et cet homme est le Fils de ma Mère
    Ils l’ont flanqué dans un asile,
    C’est comme un tombeau
    Ce n’est pas la maladie ou le crime
    Qui l’ont amené là.

    Mais ils en ont mis sur le Fils de ma Mère
    Plus qu’un homme ne peut supporte.

    Avec le bruit, la peur de mourir,
    Le manque de sommeil, les blessures, le froid
    Ils ont remplis la tasse du Fils de ma Mère
    Plus qu’elle n’en peut contenir.

    Ils ont cassé son corps et sa tête
    Tout en le gardant vivant,

    Et ils ont demandé au Fils de ma mère
    Plus qu’un homme ne peut donner

    Malgré la barbe dans le miroir
    Je sais que cet Homme c’est moi »

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