Création de la GLIF

Publié par Jiri Pragman
Dans Divers

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mercredi 24 octobre 2012
  • 22
    Flupke
    25 octobre 2012 à 20h49 / Répondre

    Pour ma part je discerne comme idéologie dominante la consommation « individualiste, dépendant du marché, quantitativement insatiable, envahissant, hédoniste, axé sur la nouveauté, faisant usage des signes autant que des choses »
    Quand je passe sur certains parkings proches de temples pendant des tenues je n’ai pas vraiment l’impression que les réguliers soient très différents des irréguliers sur cette idéologie dominantes …
    Faut dire que j’ai été élevé enfance et adolescence dans les années 40 et début 60 ……. avant cette « domination »
    A chacun son point de vue n’est-il pas !

  • 21
    Libéro
    25 octobre 2012 à 20h25 / Répondre

    C’est la fonction même d’une “idéologie dominante” que de bourrer le crâne sans qu’on s’en rende compte. Relire Marx, Gramci, Régis Debray, Bourdieux, François Flahault, etc. De nos jours, l’idéologie dominante fait passer les vessies du matraquage médiatique pour les nouvelles lanternes de la vérité. La manipulation par la sensiblerie se fait sous les sunlights. “Les idéologies dominantes mériteraient d’être précisées …” ? Nous ne les voyons pas parce qu’elles sont devant notre nez. Comme le fameuse lettre soit disant perdue d’Edgar Poe. Les idéologies dominantes ne sont pas des paroles perdues pour tout le monde. Comme on dit chez nous : Cherche ; et tu trouveras…

  • 20
    Flupke
    25 octobre 2012 à 20h01 / Répondre

    Les idéologies dominantes mériteraient d’être précisées …

  • 19
    Libéro
    25 octobre 2012 à 15h17 / Répondre

    « Il y a un désir de pureté sous-jacent dans la recherche de la revendication (j’emploie ce terme à la place de celui de « recherche ») de la « régularité » qui est nauséabond.  »
    Ce “désir de pureté” nous renvoie-t-il aux sinistres “Estatutos de limpieza de sangre” de l’Inquisition espagnole à l’encontre des convertis juifs et musulmans ? Le caractère “nauséabond” de la “revendication” de régularité, nous ramène-t-il aux heures les plus sombres du sournois pétainisme rampant en tout individu hexagonal ? L’inconscient culturel collectif sévit aussi de manière masochiste. Et l’inconsciente soumission aux idéologies momentanément dominantes est souvent mauvaise conseillère. En tant que franc-maçon, je tiens à m’appliquer le principe de précaution moral formulé par Talleyrand : “Tout ce qui est excessif est dérisoire”. Le vieux réac de Talleyrand n’était pas plus mauvais psychologue que la vieille baderne de Stéphane Hessel, dégoulinant de bons sentiments. Être Maçon, c’est essayer ne plus accepter d’être pris pour un con. C’est mon critère de “régularité”.

  • 18
    Flupke
    25 octobre 2012 à 12h56 / Répondre

    à Romain
    « Il y a un désir de pureté sous-jacent dans la recherche de la revendication (j’emploie ce terme à la place de celui de « recherche ») de la « régularité » qui est nauséabond. « 
    C’est vrai le concept de pureté est manié/utilisé par tout les mouvements ou excluant une partie de l’humanité … les impurs … selon des critères variables et toujours avec une part variable d’arbitraire, avec des conséquences mortifères pour les exclus … tel n’est pas le cas en FM au niveau des conséquences !
    Mais si on va jusqu’au bout du raisonnement nous excluons aussi en choisissant la couleur de la boule.
    Pas de solution … alors estimons plutôt que chacun est libre de recevoir ou pas recevoir dans sa loge qui il veut.
    S’il veut, régulier se vivant supérieur, de son choix arbitraire tirer une vanité (ce qui serait une autre démarche), c’est son problème. Sans parler de certaines paroles des écritures sur la vanité, qu’il se souvienne au moins du ridicule du bourgeois gentilhomme de Molière ou de la grenouille de La Fontaine.

  • 17
    luciole
    25 octobre 2012 à 12h30 / Répondre

    @ Romain
    ton #15 Ouf j’ai eu peur de lire Alain Bauer! Je regrette la lacheté de certains qui
    viennent nous visiter à la GLdF mais ne veulent pas que leur nom apparaisse,
    J’ai un autre point de vue,:Si ceux que je visiterais ne sont pas des « vrais maçons »alors ma visite a un caractère profane et je ne vois pas au nom de quoi on m’interdirait de visiter une amicale bouliste,je ne représente dans ce cas que moi-même et ne donne aucune caution!
    Si davantage de Frères avaient quelque chose sous leur tablier,la question serait réglée depuis longtemps.

  • 16
    cosmonaute
    25 octobre 2012 à 11h50 / Répondre

    Quelqu’un serait-il en mesure de proposer aux lecteurs de ce précieux blog une petite synthèse de cet éclatement de la planète satellite du soleil déclinant anglais, en attendant l’indépendance de l’Ecosse?
    Intitulé, date de naissance, effectif, géographie etc.
    La grande architecte de la galaxie lui en sera reconnaissante.

  • 15
    Romain
    25 octobre 2012 à 11h30 / Répondre

    @Luciole (#14)
    De quelle GLDF tu parles, de celle des frères ou de celle de ses dirigeants qui eux sont d’accord et agissent dans ce sens ?

    @Libéro (#10)
    Non on s’en fout pas. Cette revendication de la régularité/reconnaissance n’est pas anodin. Ici tout est symbole. Le terme employé permet d’affirmer qu’il y a des vrais et des faux. Cela crée donc un clivage essentiel et fondamental, avec une idée de supériorité. Les « réguliers » (en France en tout cas) ne reçoivent pas. Alain B.est venu plancher lors d’une tenue d’été à la GLDF rue Puteau. Membre d’une obédience régulière, la tenue a été « transformé » en TBF afin que ce dernier ne puisse être « accusé » de ne pas avoir respecté une règle de son obédience. Il y a un désir de pureté sous-jacent dans la recherche de la revendication (j’emploie ce terme à la place de celui de « recherche ») de la « régularité » qui est nauséabond.

  • 14
    luciole
    25 octobre 2012 à 10h57 / Répondre

    Pour le moment la GLdF ne demande rien! Ce n’est pas elle qui a entamé le débat. Je vois mal les Frères, tranquilles jusque là et avec le souvenir de 1965 , tout remettre en question.
    Après tout, ceux qui sont là ont acceptés de ne pas être « reconnus » par l’Ugle,
    sinon ils seraient allés ailleurs! Vu le peu de personnes que cela concernerait!

  • 13
    Augustin1813
    25 octobre 2012 à 10h45 / Répondre

    Tout évolue… Même la GLUA;
    Ne confondons pas les principes de base pour la reconnaissance de 1929 et ceux de 1989:
    1929: Croyance au GADLU et sa volonté révélée.
    1989: Croyance en UN Etre Suprème.
    La nuance est me semble-t-il d’importance.

  • 12
    Expat
    25 octobre 2012 à 10h17 / Répondre

    Il faut clarifier quand on parle de UGLE.
    dans leur livre de constitutions (courante version):
    http://www.ugle.org.uk/wp-content/uploads/2012/02/boc-2009-online-craft-rules-r5.pdf

    on peut lire dans la section qui traîte le sujet « Aims and relationships of the craft », point 3 que pour devenir maçon dans UGLE il faut avoir une croyance à un Être Suprême. Pas de discussion. Mais cette point est interne à UGLE.

    on peut lire dans la section qui traîte le sujet « Basic Principles for GL recognition », point 2:
    « That a belief in the G.A.O.T.U. and His revealed will shall be an essential qualification for membership » Donc pour UGLE une GL étrangère doit aussi, même si on utilise pas la même langage, exiger des ses membres d’avoir une croyance pour devenir maçon. Donc ce que les Anglais appliquent interne à eux ils veulent aussi le voir chez les autres.

    Si aujourd’hui le mot « God » n’existe plus, c’est vraiment très clair en anglais et quand on écrit dans une sujet maçonnique « a belief in the G.A.O.T.U. and His revealed will » qu’on parle d’une croyance religieuse. N’importe quelle.

    J’imagine que la GLNF et les nouveaux obediences GL-AMF et GLIF utilisent cetter terme pour se differencient des autres obediences Françaises et de conformer avec « Basic Principles for GL recognition », point 2.

    @Libéro: le problème que je vois avec la GLdF, apart le fait qu’elle faudra romper tous ses rélations amicales et fraternelles avec tous les obediences avec lesquelles elle a des rélations. (à mon avis peit-être un grand problème interne pour le GLdF), le problème vis-à-vis UGLE, c’est:

    http://www.gldf.org/fr/les-principes-et-les-fondamentaux/d%C3%A9claration-de-principes

    Sur le Grand Architecte de l’Univers : un principe et un symbole .

    La Grande Loge de France n’exige pas de ses membres la croyance en « Dieu et sa volonté révélée » comme le font d’autres obédiences.

    Cette clarification est très clair pour un maçon anglais: « Basic Principles for GL recognition », point 2 n’est pas applicable. Le problème pour moi c’est ici.

  • 11
    makhno
    25 octobre 2012 à 9h44 / Répondre

    Va-t-on enfin poser la vraie question ! Fait-il reconnaître la GLUA ?

  • 10
    Libéro
    24 octobre 2012 à 23h09 / Répondre

    @Tao
    “[Les] « Basic principles » de l’UGLE version […] 1989 disent : « 4. Freemasons under its jurisdiction must believe in a Supreme Being. » “Je ne vois nulle part écrit Dieu (« God ») chez les British…” Rappel nécessaire. C’est probablement sur cette assertion que la GLdF va s’appuyer pour fédérer une confédération de Loges – “régulières” d’après ce critère de 1989 – et solliciter la “Reconnaissance” anglaise. Mais si cela ne débouche pas : on s’en fout un peu.

  • 9
    Zozo
    24 octobre 2012 à 22h25 / Répondre

    Lu dans les extraits du communiqué : « recouvrement ». C’est un terme de comptabilité. Qui est en dette ?

  • 8
    Tao
    24 octobre 2012 à 19h29 / Répondre

    « , qui est Dieu,… » => Et moi qui croyais que cette question avait été traitée il y a longtemps…

    Pour rappel, les « Basic principles » de l’UGLE version 1929 disent :

    « 2. That a belief in the G.A.O.T.U. and His revealed will shall be an essential qualification for membership. »

    Ceux de 1989 disent :

    « 4. Freemasons under its jurisdiction must believe in a Supreme Being. »

    Je ne vois nulle part écrit Dieu (« God ») chez les British…

    Amitiés,

  • 7
    reydy carole
    24 octobre 2012 à 19h07 / Répondre

    bonjour à mes frères et soeurs,

    encore une loge où les femmes sont exclues, quel dommage, quand nos frères comprendront le besoin du partage ensemble ?
    je me le demande!
    je souhaite malgré tout à cette nouvelle obédience longue vie
    (…)
    carole-élisabeth reydy

  • 6
    JL
    24 octobre 2012 à 17h39 / Répondre

    C’est drôle! La GLIF a les mêmes prétentions que la GLAMF, s’appuie sur le même mode statutaire, a les mêmes objectifs de reconnaissance…
    C’est quoi la différence apparente?
    Et en plus ils se définissent comme les inventeurs de l’eau chaude.
    Sans déconner trouvez-moi un producteur, j’ai l’idée de vouloir gagner ma croûte en créant un  » Plus belle la vie » maçonnique, il y a de la matière,si si!
    Nous avons la maçonnerie que nous méritons, a-t-elle encore un sens? Je l’espère, mais jusqu’à quand?

  • 5
    vladaboom
    24 octobre 2012 à 16h24 / Répondre

    @ patrick37
    qu’est-ce qui différencie la GLUF de la GLAMF ?
    pose leur la question
    contact@glif.fr
    http://www.gl-amf.org/index.php
    😉

  • 4
    Flupke
    24 octobre 2012 à 15h41 / Répondre

    Un point important pour gage de réussite :
    « Elle est organisée en une association loi de 1901, regroupant des Loges constituées elles-même en associations du même type, propriétaires de leurs propres ressources financières ».
    Enfin une proposition claire mettant fin à la confusion qui existait à la GLNF entre « la poche » des loges et « la poche » des apparatchiks siègeant à Paris.
    Bon vent sur cette base
    Mais au fait quelle est la position des autres structures issues de la désagrégation de la GLNF sur ce point pas très spiritualiste mais au combien important car évitant bien des dérives …???

  • 3
    patrick37
    24 octobre 2012 à 14h25 / Répondre

    Bonjour à tous!

    Bon, encore une Obédience (nous devons en être à une trentaine en France?).

    Au fait, juste une question: qu’est-ce qui différencie la GLUF de la GLAMF ? sont-ils à ce point ennemis les uns des autres pour ne pas se rapprocher AU MOINS dans une Obédience, même provisoire (car je crois qu’ils sont comme des orphelins et cherchent leur mère – comprenez la maman GLUd’A – détentrice du sésame « reconnaissance ») dans laquelle ils reviendraient à leurs premières amours, c.a.d. une GLNF « refondée » ou remaniée, une fois le Frère Servel ratifié ?

    Cordialement.

  • 2
    Romain
    24 octobre 2012 à 13h53 / Répondre

    Et hop un acteur de plus sur la marché de la mendicité à la reconnaissance de la GLUA.
    Des fois je me dis qu’internet ne permet que les commentaires négatifs. Mais quand on voit ce genre de news, ça donne pas envie d’applaudir des deux mains. Alors bientôt la GLONF, la GLOAUED, la GLJUOEJD, La GLOUJFDID, la GLOUPS, La GLARF, La GLAO, GLOUMYSUNDAY, la GLOUPGLOUP (pour les entarteurs), la GLOGLOGLO, la GLAGLA.

    Quand je vois ça, je me dit que la reconnaissance, c’est un peu le maître anneau de Sauron

    Un Anneau pour les gouverner tous, un Anneau pour les trouver
    Un Anneau pour les amener tous et dans les ténèbres les lier

  • 1
    luciole
    24 octobre 2012 à 12h14 / Répondre

    « Le Grand Architecte de l’Univers qui est Dieu » au moins les choses sont claires! Bienvenue,nous ne sommes pas sectaires.
    Au fait ; »…processus de recomposition auquel elle est officiellement invitée »
    1) Comment se fait-il puisqu’elle n’existait pas encore ?
    2) invitée par qui ?
    Amicalement

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