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Dieu, le Grand Architecte ou la liberté de conscience ?

Publié par Pierre Pelle Le Croisa

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lundi 30 mars 2020
  • 15
    Anonyme
    5 avril 2020 à 13h47 / Répondre

    Oui ça a l air très compliqué ! J ai lu ce long texte avec bcp d attention.on peut faire mille commentaires il est vrai!cependant,nous n avancons guère,et chacun analyse et comprend a da manière,je pense que Dieu ou son entité reconnaîtra les siens,essayons d ouvrir les yeux et notre cœur,c mon avis,cela n engage que moi.

  • 14
    Corinthien
    5 avril 2020 à 11h40 / Répondre

    On peut penser ce que l’on veut d’Edouard Herriot, cependant l’analyse de sa citation « Ce n’est pas Dieu qui a créé l’homme : c’est l’homme qui a créé Dieu », apporte beaucoup de vérité.
    Et rappelez vous également la partie d’échec entre le Chevalier et la Mort dans « le Septième sceau » de Bergman . Après avoir était mit échec et mat, le chevalier demande à la Mort de lui révéler « son secret », celle-ci lui répond qu’elle n’en a pas…

    https://www.youtube.com/watch?v=s1ZAMiW4yEQ

  • 12
    marcos testos
    31 mars 2020 à 15h54 / Répondre

     » Les dieux n’ont existence concrètes qu’au travers des affirmations humaines comme quoi il y aurait un « quelque chose », variable selon les cultures, un quelque chose qu’il faudrait vénérer … en se soumettant aux directives du dit clergé. »
    Joab’s, quelle image rétrograde et laicarde de la religion ! Je préfère en rire tellement c’est ridicule !!!

    • 13
      joab's
      31 mars 2020 à 21h11 / Répondre

      baratin, comme d’habitude autour des etiquettes collées à autrui … Toujours le même niveau. Et evidemment pas le moindre contre-argument.
      Les dégâts de cette approche gourouesque cultivée par les dirigeants de la GLNF.
      Tu peux ricaner. Ca doit être ce qui constitue ta FM. qui ne represente pas les FF de la GLNF, ni les loges mais ce qu’il en devient après allégeance à un « ultime lien ».

  • 11
    marcos testos
    31 mars 2020 à 15h46 / Répondre

    A la lecture de ce texte je me rends compte de la chance extraordinaire que j’ai d’être à la fois Théiste, Déiste et Franc-Maçon.

  • 10
    Amal
    31 mars 2020 à 8h59 / Répondre

    À mon avis, peut importe le dieu auquel on croit. La différence c’est le rapport que nous avons avec les autres qui n’y croient pas et l impact sûr notre vie quotidienne ainsi que notre vision du monde autour de nous.
    Alors rangeons les épiés dans leurs ferreux, et ne nous oublions, pas la différence c’est une richesse pour l homme qui a de le bon sens.

  • 9
    Israël
    30 mars 2020 à 19h53 / Répondre

    Belle planche et merci pour ces lumières enrichissantes

  • 8
    Nicolas Bes
    30 mars 2020 à 19h33 / Répondre

    Alors qu’elle morale et quelle espérance si elles s’orientent sur une confession de foi sincère !
    En réalité c’est le fondement sur le lequel reposera cette foi qui importera, avec sincérité !
    Car l’on peut avoir foi en tout et aussi en rien …

    Ce qui peut paraître pour certains une chute sans espérance peut pour d’autre en revanche n’être que le fruit d’une victoire grandiose sur la mort accomplit par celui est la résurrection.
    D’autre part la solution en est résulter par une rédemption a salut, offerte gratuitement et non par mérite, pour ceux qui veulent déposer leurs foi en Christ avec sincérité car;

    « Car Dieu à tant aimé le monde qu’il a donné son fils unique, afin que quiconque ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle.  » Jean 3.16 la Bible..

  • 7
    Orphe Gab
    30 mars 2020 à 19h29 / Répondre

    Indépendamment de tout cela. L’Homme est une entité divine en Lui-même. Par cette caractéristique, Il peut et doit se rapprocher de son Créateur et Concepteur de même nature que Lui (Celui qui dit :  »Faisons l’homme à Notre image »).
    Mais de par ses découvertes savantes et son avancement dans la science et la maîtrise de la matière, Il veut s’en émanciper. Puisqu’Il pense suffisamment maitriser le Monde dans lequel Il se trouve.
    Voulant faire fi de l’autorité de son Créateur, de par la suffisance qui caractérise son Être, Il se met dans une rébellion prononcée.
    Il le fait. Détruit son habitat. Cherche à atteindre des horizons lointains, sortir de sa caverne, et recherche la Lumière.
    Se trompe t’Il dans sa démarche ? Fait-Il bien? Qu’en est-il de sa marche dans le monde ? Dans ce monde? Son monde ?
    Peut-Il sortir de cette prison? Est-Il réellement libre?
    Telles sont les questions, aussi simples soient-elles, qu’il conviendrait d’apporter des réponses à toute l’humanité.

  • 6
    Maxime
    30 mars 2020 à 16h41 / Répondre

    C’est effrayant. Le croyant dit que si tu ne crois pas, c’est que crois (que tu ne crois pas).
    Pour un croyant il n’est pas question de ne pas croire.
    Pour un croyant, croire en un autre dieu que le sien, c’est déjà bien. L’enemi, c’est le mécréant, l’athée.
    Moi, je n’ai rien contre l’hypothèse-dieu.
    Je ne demande qu’à croire.
    Mais la preuve revient à celui qui émet l’hypothèse.
    Et comme dit si bien JC (Jissey pas l’autre) on n’a pas besoin d’au delà, il n’y a pas assez de réssuscité(s).

    Maxime

  • 5
    joab's
    30 mars 2020 à 16h21 / Répondre

    Dialogue amusant, mais si vrai et philosophiquement de haute portée.
    Par contre, n’y aurait pas un veritable sujet, bien pratique et concret dépassant les considerations spirituelles ou philosophiques ?
    Ce que l’on appelle « dieu » se manifeste au travers des dires d’un clergé, bien humain lui, et à l’action concrete indiscutable.
    Les dieux n’ont existence concrètes qu’au travers des affirmations humaines comme quoi il y aurait un « quelque chose », variable selon les cultures, un quelque chose qu’il faudrait vénérer … en se soumettant aux directives du dit clergé.
    Et hélas la FM n’echappe pas non plus à cette derive avec son clergé obédentiel qui prendrait les mesures, les imposerait, hypocritement sans reconnaître que ca provient de leurs caprices ou intérêts, mais au nom d’une valeur supra-humaine qu’ils seraient chargés de faire pratiquer.
    ET ce ne sont pas seulement les obediences les plus religio-sectaires. Y compris les pretendues « liberales », « laïques » et surtout leur clergé, s’arrogent des pouvoirs déconnectés de la franc-maçonnerie (tout en s’en reclamant).
    Donc, en franc-maçons, il me semble que laisser chacun croire en un dieu (ou un non-dieu) de quelque sorte qu’il soit est finalement un echange interessant et sans grande conséquence pratique.
    Ce qui est plus grave et nous concerne tous, FM, est de savoir si nous acceptons de nous soumettre à un clergé maçonnique, ou religieux, ou les deux. Et là c’est concret !

  • 4
    Suppo
    30 mars 2020 à 14h44 / Répondre

    Tout est vibrations et la vie continue sous diverses formes. L’œuvre n’est et ne sera jamais achevée. Et le monde avec. Tout est en constants mouvements, rien n’est inerte.
    Apprenons à mieux développer nos sens internes. Pour arriver à fouler d’un pas ferme et assuré, ce sentier Royal qui lui seul, mène l’être vers la véritable Lumière.
    Elle sommeille au-dedans de chacun de nous… Il nous appartient, à nous seuls, d’accomplir nos efforts pour la découvrir.
    Et celle-ci revêt tous les noms… Dieu, Allah,…. etc

  • 3
    Zain monzer
    30 mars 2020 à 14h35 / Répondre

    Hum, enrichissante lecture.
    Dieu, dieux ou les hommes.
    A mon humble avis, il existe autant de dieux qu’il y’a d’hommes sur la terre.
    Cependant, je crois en un monde invisible, pas à cause de la pulsion de croyance intrinsèque à l’homme, mais à causes de certaines expériences.
    Des dieux qui auraient laisser des livres, repris, dupliqué, puis vendus comme des petits pains et du poisson par les hommes je n’y crois pas, mais l’homme qui réintègre l’être de lumière à travers le temps(temps estimé à celle de la cuisson de la pierre philosophale) d’une lecture sérieuse de tout ces livres traitant des questions existentielles…j’y crois…
    Et je fini toujours par me demander entre croire et être qu’est ce qui doit être l’objet de ma transcendance.
    ….
    Cependant je pense être aussi à la mesure de celui qui ne sait absolument rien, à part qu’il y’a des hommes qui savent tout, tout ce que je ne sais pas…
    Ainsi je prend pour principe que tout ce qui est en haut est en bas et que tout ce qui est en bas est en haut.
    Le secret la connaissance le savoir se trouve en tout et en rien, tout comme nous nous trouvons en tout et tout se trouve en nous.

  • 2
    Yves Mil
    30 mars 2020 à 14h08 / Répondre

    Mon Dieu que c’est compliqué !
    Croire ou ne pas croire, ce n’est pas la seule question ! Croire en quoi, en qui, comment, pour_quoi… ?
    Une solution peut-être : l’important est d’être cohérent, sincère dans sa foi, et que celle-ci laisse une place à la morale et à l’espérance.

  • 1
    PATOU
    30 mars 2020 à 12h44 / Répondre

    On dirait parfois du Raymond DEVOS cette planche . Beau travail

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